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Contraintes institutionnelles, leadership et sélection des objectifs partisans au sein des partis politiques : les cas du Parti québécois et du Labour britannique

Montigny, Éric 17 April 2018 (has links)
À l'aide du cadre conceptuel conçu par Mulier et Strom (1999), cette thèse analyse à la fois l'impact des contraintes institutionnelles sur l'évolution d'une formation politique et sur la sélection des objectifs partisans (policy-seeking,vote-seeking, office-seeking ) et le rôle joué par les chefs sur la sélection de l'objectif partisan priorisé, tout en tenant compte de l'impact des contraintes institutionnelles sur leur leadership. À cette fin, nous avons étudié les cas de deux formations politiques évoluant au sein d'institutions parlementaires de type Westminster, soit le Parti québécois et le Labour britannique pendant la période qui s'étend de 1993 à 2005. S'appuyant notamment sur des indicateurs identifiés par Wolinetz (2002), notre cadre opératoire repose sur huit propositions associées à des contraintes institutionnelles (nature du débat interne, imputabilité du chef, motivation des militants, existence de factions, stratégies électorales utilisées, nouvelles techniques électorales, prévisibilité du système partisan, niveau du financement étatique). En comparaison, les objectifs partisans ciblés par le Labour se révèlent plus stables dans le temps que ceux établis par le Parti québécois, d'autant plus que le Labour s'avère être un parti plus centralisé que ne l'est le Parti québécois. Par ailleurs, l'objectif policy seeking dispose d'un poids plus important au PQ qu'au Labour. Ce dernier étant devenu un parti de pouvoir et le PQ évoluant dans cette direction, nous avons cependant observé deux processus de « dédémocratisation » (Lawson, 2007) distincts. Cela permet notamment d'identifier certaines conditions de succès associées aux réformes institutionnelles visant à réduire le niveau de contraintes internes. De plus, nos travaux indiquent que même si le rôle du chef est central dans la sélection de l'objectif partisan sélectionné, notamment par son poids dans une campagne électorale, un niveau élevé de contraintes minera à plus ou moins long terme son leadership. Nos résultats confirment également la pertinence du concept de mécanisme de compensation pour expliquer la configuration interne d'une formation politique et révèlent l'existence d'une certaine proximité entre les objectifs partisans priorisés et les qualités attribuées à un chef départi.
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Usages politiques des médias sociaux et du WEB 2.0 : le cas des partis politiques provinciaux québécois

Verville, Mélanie 19 April 2018 (has links)
Les médias sociaux et les applications diverses du Web 2.0 proposent de nouvelles façons de communiquer pour les organisations politiques désireuses d’entretenir des liens avec leurs divers publics. Au Québec, les partis politiques provinciaux commencent peu à peu à investir cette nouvelle sphère médiatique et à intégrer les médias sociaux dans leurs stratégies de communication. Dans un contexte de malaise démocratique, le web offre plusieurs potentialités, notamment pour revitaliser le lien de confiance avec les citoyens, mobiliser l’électorat et susciter sa participation. Il en revient cependant aux partis politiques de miser sur ces fonctionnalités. En procédant à une analyse de contenu d’un échantillon de 60 sites Web, comptes Facebook et Twitter des cinq principaux partis politiques provinciaux québécois, nous tentons de déterminer si ces organisations utilisent le Web et les médias sociaux de façon à favoriser l’engagement et la participation politique des citoyens. Nous proposons d’abord qu’un parti de gouverne tendra davantage vers une approche marketing de l’usage des médias sociaux alors qu’un parti d’opposition ou un tiers parti favorisera l’approche citoyenne. Nous avançons également qu’un parti d’électeurs tendra davantage vers l’approche marketing alors qu’un parti de militants favorisera l’approche citoyenne. Les résultats démontrent que tous les partis, peu importe leur position de pouvoir ou leur culture organisationnelle, adoptent majoritairement l’approche marketing. La position de pouvoir et la culture organisationnelle ont cependant une incidence minime, les partis d’opposition, tiers partis et partis de militants étant, de façon générale, ceux accordant une plus grande part de leur usage à l’approche citoyenne.
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Le nationalisme et les partis politiques dans l'élection provinciale québécoise de 1936

Bergeron, Marco 24 April 2018 (has links)
Les malheurs causés par la grande dépression des années 1930 et l'inertie du gouvernement Taschereau ont permis à une idéologie comme celle du nationalisme canadien-français de connaître un nouvel essor au Québec. En effet, le chômage toujours croissant, la misère tant urbaine que rurale et l'incapacité du libéralisme à remédier à tous ces problèmes n'ont pu que provoquer l'essor du nationalisme. Lorsque le Parti libéral et l'Union nationale s'affrontent dans l'arène électorale durant l'été 1936, ils sont conscients que le libéralisme à la Taschereau est fortement contesté et qu'ils se doivent d'adopter certaines mesures proposées par une idéologie nationaliste en pleine montée. Bien qu'il se garde d'afficher un certain nationalisme lors de la campagne, le chef du Parti libéral, Adélard Godbout, propose quelques réformes sociales réclamées depuis longtemps par l'Église et les nationalistes. De son côté, l'Union nationale, sans pour autant être anglophobe, s'affiche ouvertement nationaliste dans ses pamphlets électoraux. Toutefois, les représentants de ce parti préfèrent ressasser les scandales du régime libéral dans leurs assemblées plutôt que de promouvoir l'idée d'une politique nationale. Le 17 août 1936, l'Union nationale écrase le Parti libéral. D'après nous, le nationalisme n'a pas joué un grand rôle dans cette victoire unioniste. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013

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