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Phénoménologie et oeuvre d'art chez Heidegger

Gruber, Emmanuelle January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Fragments des mémoires d'un poème : lecture génétique de "La marche à l'amour" (1952-1962) de Gaston Miron

Chouinard, Caroline January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Rimbaud, lecteur de Baudelaire : une poétique de l'ironie

Tremblay, Charles-Étienne January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La parole d'une clowne poète au théâtre : écriture, mise en jeu, mise en scène et métaphore de la distance dans le solo Tous les matins qui chantent

Cloarec, Marie-Laure January 2008 (has links) (PDF)
Notre création est un solo pour femme clowne intitulé Tous les matins qui chantent. Nous sommes l'auteure et l'interprète des textes de poésie qui constituent la base de l'écriture du spectacle. La problématique consiste à comprendre comment, dans la démarche de création, le clown et la poésie peuvent se rejoindre. Le premier chapitre, à travers une analyse des représentations du clown, interroge la distance entre l'auteure et l'interprète et éclaire ainsi nos choix dramaturgiques. Le clown est, pour l'auteure poète que nous sommes, une figure de liberté. La chute clownesque évoque le dérisoire de la condition humaine. À l'exemple du clown qui se relève toujours de sa chute ou de son déséquilibre, nous allons rejoindre l'autre, le public, pour dépasser cette solitude qui est la nôtre en scène. Dans la recherche d'un nouvel équilibre, la naïveté du clown, appréhendée comme une forme de légèreté, renouvelle notre rapport au monde. Le clown, dans sa singularité, est une figure de l'étrangeté de l'être. Porter notre poésie sur une scène de théâtre, nous conduit à assumer une pluralité de sens. C'est la quête d'une « vérité » de présence en scène qui permet une rencontre avec l'autre; c'est-à-dire un dialogue de consciences. Le second chapitre explicite comment l'écriture et la mise en scène traduisent les enjeux dramaturgiques. La question de la distance entre la clowne et son public est le fil rouge de cette réflexion. Notre spectacle cherche à représenter la distance entre les êtres. Clowne avant d'être poète, notre passage à l'écriture est l'aboutissement d'un rapprochement avec notre sensibilité poétique. Le texte évoque l'absence de l'être aimé et, au-delà, la difficulté d'une femme à dialoguer avec l'autre et à trouver sa place dans le monde. Les objets scéniques permettent une mise en scène du dévoilement nécessaire à la clowne pour rejoindre l'autre. Une autre clowne, à la féminité assumée, apparaît et exprime l'étrangeté de l'être. Malgré le drame, la rencontre avec le public est rendue possible par une légèreté dans l'interprétation. Par ailleurs, l'utilisation d'une autre langue dans l'écriture permet, tout en évoquant la dualité, une circulation dans les différentes scènes intérieures de l'être. Enfin, c'est notre exigence d'une intimité de liens renouvelés avec la vérité de l'écriture qui permet de maintenir le dialogue de consciences avec le public. Au terme du processus de création, le clown et la poésie se rejoignent pour constituer un poème scénique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Poésie, Clown, Distance, Vérité, Féminité.
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Étreinte de bleu ; suivi de Le mouvement du mot

Ouellet, Anie January 2009 (has links) (PDF)
Ce mémoire de maîtrise en création littéraire est composé de deux parties: un recueil de poésie en prose ponctué de poèmes en vers, Étreinte de bleu, et un dossier d'accompagnement, Le mouvement du mot. Le recueil poétique forme un récit « troué », celui d'un séjour à l'étranger d'une jeune femme, qui laisse derrière elle son amoureux. Confrontée à l'absence de l'homme qu'elle aime et à la solitude, l'énonciatrice tente de cerner son propre désir en regard des attentes de sa lignée maternelle, figurée par une femme imaginée, fantomatique, qui lui impose de partir. Le texte comporte trois parties, correspondant à trois moments du voyage: le départ, le séjour à l'étranger et le retour. Bien qu'écrit en prose, parfois déchiré par de brefs poèmes en vers, Étreinte de bleu s'accorde à la vision qu'on a de la poésie lyrique contemporaine au Québec. Il laisse entendre une voix qui tente de faire corps avec le monde tout en restant près de sa propre subjectivité. Présenté sous forme de fragments, le dossier d'accompagnement entreprend une réflexion sur ma pratique poétique, traversée par une posture mélancolique. Plusieurs théoriciens et créateurs, dont Julia Kristeva, Anne Juranville et Monique Deland, se sont penchés sur le soleil noir de la mélancolie. Ils ont fait état d'une tension dans la pratique du poète, qui est à la fois incité à écrire et freiné dans son élan. Cette tension se retrouve non seulement dans le processus d'écriture, mais aussi dans le texte. Mais la posture mélancolique incite aussi à interroger la poésie actuelle, poésie qu'on qualifie d'intime et qui met en scène un sujet lyrique. Pousse-t-elle au repli sur soi ou est-elle ouverture à l'autre? Se pose alors la question de l'engagement du poète, corollaire du lyrisme, ce chant porteur de désir et d'espoir, selon Martine Broda. Enfin, cet essai interroge mon approche de la création, dont plusieurs aspects rappellent la posture du poète romantique, tout en posant la question suivante: ma posture est-elle tributaire d'une structure psychique personnelle ou d'influences littéraires? Est-il possible de changer de posture? ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Création, Mélancolie, Poésie, Poésie en prose, Corps, Lyrisme.
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Poète-ninja ; suivi de Trajectoires d'une naissance

Rivest, Caroline January 2009 (has links) (PDF)
Poète-ninja rassemble seize parties. Chacune est divisée en trois poèmes. Les premiers évoquent une quête; les seconds, plus narratifs, racontent différents rituels auxquels se livre le sujet; et dans les derniers, l'apprentissage est matérialisé par la création poétique. Construit selon le schéma d'une initiation chamanique, le recueil aborde, au début, la souffrance sacrificielle, jusqu'à un voyage dans la mort, qui finalement mènera à une lente résurrection physique et mentale. Dans chaque poème, le personnage rencontre des membres de sa famille spirituelle, qui prennent part aux différents rituels. Chaque texte constitue une tentative d'ancrage dans le réel, en cherchant à garder les traces d'une métamorphose, par une purification qui passe par la blessure du corps. Trajectoires d'une naissance constitue une réflexion, en quatre chapitres, sur la quête de Dieu et témoigne d'une recherche d'Absolu à travers le matériau du langage et la création de Poète-ninja. Cet appareil réflexif explore comment la poésie, en tant que rituel pratiqué quotidiennement, arrive à remplacer la prière à la suite de la perte de la foi durant l'enfance. Partant du postulat selon lequel l'écriture se substitue à l'objet perdu et permet de reconstituer une relation avec ce qui n'est plus, l'essai emprunte à la psychanalyse, aux théories sur le sujet lyrique, au chamanisme et au mysticisme. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Poésie, Création, Écriture, Rituel, Lyrisme, Chamanisme, Mysticisme, Dieu.
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Au fond de l'air ; suivi de L'intime lointain

Gagnon, Jean-Philippe January 2009 (has links) (PDF)
Conçu en deux volets, l'un poétique, intitulé Au fond de l'air, l'autre ayant la forme d'un essai, L'intime lointain, ce mémoire de création est l'étude et l'expression des modalités concrètes du regard d'un sujet sur les choses. Les vers s'articulent autour de trois apparitions: un buste dans un jardin, une statuette de Minerve et un corps immatériel. Dans ma tentative de les approcher pour ce qu'ils sont, tels qu'ils se donnent, ces objets me sont vite apparus indissociables de l'environnement immédiat et lointain à l'intérieur duquel ils baignent, environnement dont le sujet fait partie. Aussi, j'ai travaillé à partir de l'hypothèse que le symbolique et l'imaginaire, inhérents au regard de l'homme structuré par le langage, sont les véhicules par excellence pour atteindre le réel ou cette vie des choses en soi qu'on envisage à tort distincte de l'humain. Celle-ci, dans l'ordre naturel ou culturel qui la régit, n'est jamais constituée d'objets isolés les uns des autres: chacun est révélé, comme à l'intérieure d'une toile, par d'autres objets. De même, à l'intérieur du savoir, le principe de différenciation s'appuie sur une notion de rapport qui cherche à se faire oublier. C'est à partir de ces considérations que l'image poétique et les diverses figures de la substitution m'ont semblé à même de rendre le plus fidèlement possible notre expérience du monde et des êtres. Face à l'illusion du réalisme et de l'objectivité, lesquels sont nourris par le caractère dénotatif de la langue, la dimension hallucinatoire du regard est ce par quoi on peut prétendre toucher la vie dans sa vérité, en ouvrant un espace où le sujet et les objets sont préservés de l'abstraction en quoi consiste leur existence séparée. Elle est ce qui dévoile en nous la nature et les choses qui, au bout de nos connaissances, se présentent toujours comme des mystères inhumains. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Intime, Réel, Subjectivité, Vision.
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Hystérie palindromes ; suivi de, Psycho-pathologie poétique

Tremblay, Jean-Philippe 08 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire, tant dans l'écriture poétique que dans la réflexion qui l'accompagne, tente d'user d'une forme d'inconfort en ce qui a trait à ma posture en tant que poète. Constituée de déchirements et de tensions irrésolues liées à l'aventure sociale et humaine que présente l'époque, à une expérience intime de l'institution littéraire et à une approche de la poésie qui se veut viscérale et orale, tentant d'héberger autant que de dénoncer cet inconfort, ce malaise. Il témoigne en ce sens d'une pathologie poétique, identifiable autant dans ses symptômes, les poèmes, que dans son diagnostic réflexif. Une somme d'incohérences qui résultent tout de même, j'ose l'espérer, en une représentation pertinente de l'auteur au cœur de son époque, d'un certain déséquilibre contemporain lié à la possibilité d'occuper à la fois la place du médecin et celle du patient, la place de l'analyste comme celle de la substance. Il contient avant tout bon nombre de charges contre la fiction gargantuesque et satisfaite qu'est devenu ce monde, et un peu d'espoir pour la poésie comme potentialité de subversion des idées préfabriquées que l'on paye pour adopter, desquelles on s'habille. Une idée de la poésie comme manière, justement, de déchirer peut-être quelque chose des costumes quotidiens, autant d'homme et de citoyen que de poète, et de mettre à nu un peu de chair au risque d'exposer ses faiblesses, ses insuffisances. Parce que même au cœur du pire des hivers, dévoiler même furtivement, même mal, les plaies et les marques de ce temps est le seul devoir moral qu'il m'apparaisse possible d'invoquer pour expliquer ma pathologie, mon engagement dans l'expression de quelque chose d'irrésolu entre moi et le monde dont seul le poème parvient à tracer le contour. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Poésie, Malaise, Hystérie, Hivers, Urbanité, Institution littéraire
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Ce qui est là derrière ; suivi de, Isabella depuis le mur

Gravel-Renaud, Geneviève 02 1900 (has links) (PDF)
La première partie de ce mémoire est une suite poétique intitulée Ce qui est là derrière et composée de courts poèmes en prose. Très narratif, l'ensemble retrace le parcours d'une jeune femme qui devra apprendre à se réapproprier à la fois l'espace et son identité propre. Dans un style intimiste, l'écriture s'attarde aux détails et aux instants familiers qui peuplent le quotidien. Après une rupture amoureuse, la narratrice se retrouve seule dans l'appartement, où elle s'enferme, choisissant de revivre les gestes quotidiens comme un rituel rappelant l'absent. Les objets, ceux qui restent et qu'elle décide de laisser tels quels, revêtent alors une importance primordiale dans la quête de repères à laquelle elle se livre. Ils deviennent ses compagnons les plus proches. Cependant, certains résistent et refusent de se laisser immobiliser, principalement des portraits peints la représentant. Peu à peu, elle réussira à quitter les portraits en laissant derrière elle les images de l'amoureux disparu et de celle qu'elle était à ses côtés. En convoquant des souvenirs liés à son enfance et grâce à la présence vivante de sa sœur et de son bébé, la narratrice parviendra à sortir de la fiction de l'absence qu'elle a créée et à redécouvrir un quotidien plein et lumineux. Le dossier d'accompagnement, Isabella depuis le mur, est divisé en fragments et comporte trois parties. À partir d'expériences personnelles, je développe les principaux thèmes de ma suite poétique. Dans la première partie, « La mémoire », l'expérience de la mort entraîne la transformation d'un lieu banal en lieu de mémoire où le rôle des objets est amené à être interrogé dans l'écriture. La mémoire qui se révèle dans ce lieu est mouvante et cherche à produire au lieu de reproduire; l'écriture doit demeurer attentive à ce mouvement. La deuxième partie, « Le portrait », s'attarde aux enjeux liés au portrait peint. Objet problématique parce qu'il possède un regard et un visage dans lesquels il est possible de se voir et de se reconnaître, le portrait pousse celui qui se tient devant lui à s'interroger sur son identité. Cependant, le visage du portrait n'est pas le visage humain. La troisième partie, « Le visage », aborde ce choc et ses répercussions sur la rencontre avec l'autre et sur l'écriture. Les mots, tout comme le portrait et le visage, demandent une distance, nécessaire pour éviter la reproduction à l'identique. Les souvenirs et les visages que nous côtoyons tous les jours ne sont jamais figés. Ils se promènent, dans l'attente de notre regard; c'est cette disponibilité que j'ai voulu explorer dans l'écriture. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Poème en prose, mémoire, souvenir, portrait, visage, création, quotidien.
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Derrière les yeux

Caron, Hélène 03 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire en création littéraire comprend deux parties : un recueil de poèmes et un dossier d'accompagnement. Le volet création se compose d'une quarantaine de courts poèmes en vers, divisés en trois sections. À partir de la thématique de la mémoire, le recueil se développe autour des sous-thèmes du deuil, de l'écriture et du désir de mourir. La voix poétique émane d'une énonciatrice qui, par le regard qu'elle porte sur le quotidien, essaie, en évoquant divers souvenirs, de saisir le sens profond de ce qui la constitue. De ce fait, le lecteur sera en présence d'une poésie qui tente de faire entendre les murmures de toutes les voix enfouies, oubliées ou encore reniées chez le sujet, et qui, sans ce désir du poète de rejoindre l'essence des choses, resteraient inaudibles. Écrits dans une langue épurée, les poèmes appartiennent à ce qu'on appelle l'écriture intimiste, s'attachant aux petites choses de la vie. Ils se présentent comme des miniatures, de minuscules peintures d'un fragment de vie. Le dossier d'accompagnement porte sur le rapport entre le travail créateur, la mémoire et la poésie intimiste. En effet, l'écrivain crée à partir de ce qui s'est déposé en lui à son insu : la vie laisse des traces qui, grâce au processus de création, refont surface. Mais s'intéresser à la mémoire, c'est aussi prendre conscience qu'il faut à celle-ci, pour ressurgir, un mouvement, une vision qui l'appelle. Ma réflexion aborde donc l'acte de voir comme fenêtre favorisant un passage entre le dehors et le dedans, l'espace extérieur et l'intériorité, de sorte que le poète peut se délester de son moi pour s'ouvrir à l'altérité. Tributaire de la mémoire qui fait regarder autrement la réalité ou, selon l'expression de Jean-Bertrand Pontalis, permet de « défai(re) le souvenir », de « détisse(r) l'image dans le tapis », l'écriture intimiste suppose un travail de dessaisissement. L'acte poétique devient une quête de présence au monde. Il s'agit du seul moyen pour l'écrivain de retrouver l'essence de l'existence humaine et, par là même, sa propre essence. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Poésie, écriture, processus créateur, mémoire, regard, intimisme

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