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Historische Kritik bei Polybios /Meister, Klaus. January 1975 (has links)
Texte remanié de la: "Habilitationsschrift--Philosophische Fakultät--Saarbrücken, 1971" / Bibliogr. p. XI-XII. Index.
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Das Führerideal des Polybius.Sarrazin, Erwin. January 1934 (has links)
Breslau, Phil. Diss. v. 7. Nov. 1934.
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Polybe ou La Grèce conquise par les Romains /Fustel de Coulanges, Numa Denis, Hemmerdinger, Bertrand, January 1984 (has links)
Thèse--Lettres--Paris, 1858. / La préface est propre à l'édition de 1984.
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Le Latin de Polybe : les implications historiques d'un cas de bilinguisme /Dubuisson, Michel, January 1985 (has links)
Thèse--Lettres--Liège, 1980. / Bibliogr. p. 374-391 . Index.
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Commentaire historique composé des livres XXII à XXIX des "Histoires" de Polybe / Historical compound commentary on "Histories" of PolybiusHelin, Alexandre 26 January 2015 (has links)
La victoire des Romains sur les Séleucides à Apamée en 188 av. J.-C. leur permet d'acquérir le statut de puissance dominante du bassin méditerranéen, au détriment des monarchies hellénistiques et des confédérations de cités grecques. Dans les livres XXII à XXIX des Histoires, dont les fragments qui nous sont parvenus proviennent des Excerpta Constantiniana, Polybe nous décrit les événements qui ont suivi, jusqu'à la victoire de Rome sur la Macédoine de Persée en 168. Il cherche à justifier l'attitude des Romains, rejetant la responsabilité du déclenchement de la troisième guerre de Macédoine sur Philippe V. Le récit de Polybe, bien que manquant parfois d'objectivité, est cependant très intéressant pour comprendre à la fois la diplomatie des Romains dans l'Orient méditerranéen et la politique menée par les Achéens, placés entre Rome et les monarchies hellénistiques. Il montre principalement que, comme les autres Grecs, il n'a pas perçu l'évolution de l'impérialisme romain, un impérialisme défensif qui n'accepte plus que l'on puisse nuire, même indirectement, à ses intérêts. Cette description des événements politiques et militaires s'accompagne d'un certain nombre de jugements et de leçons de Polybe. Ils nous permettent de mieux cerner sa vision de l'homme politique idéal et révèlent parfaitement la cohérence des livres XXII à XXIX avec le reste des Histoires, malgré le statut particulier de ces livres puisqu'ils correspondent à la totalité de la carrière politique de Polybe en Grèce, avant son exil à Rome de 168 à 151. / The Roman’s victory over the Seleucids at Apamea in 188 B.C. offers them the chance to become the most powerful force of the Mediterranean area, overtaking hellenistic monarchies and confederations of Greek cities domination. In the books XXII through XXIX of Histories, from which the fragments that remain today come from the Excerpta Constantiniana, Polybius describes the following events until the Roman victory over Perseus’ Macedonia in 168 B.C. He tries to justify the Roman behaviour and accuses Philippe V of being the one who pulled the trigger of the Third Macedonian War. Polybius’ story, although its lack of objectivity is sometimes obvious, is an interesting resource to understand both Roman diplomacy across the Oriental Mediterranean area and the Achean politic between Rome and the hellenistic monarchies. It mainly reveals that, as any other Greek, Polybius couldn’t detect the rise of the Roman imperialism, an defensive imperialism that does not accept, even indirectly, that its interests might be harmed. The description of these political and military events comes with a number of judgements and lessons from Polybius. Thanks to those, we can better understand his vision of the ideal political man. Moreover, they perfectly reveal the consistency between the books XXII through XXIX and the rest of Histories, despite the particular status of these books since they match Polybius’ entire political carreer in Greece, before his exile in Rome from 168 to 151 B.C.
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Polybiosinterpretationen Beobachtungen zu Prinzipien griechischer und römischer Historiographie bei Polybios.Eisen, Karl Friedrich. January 1966 (has links)
Diss.--Freiburg i.B. / Bibliography: p. [186]-188.
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L'itinéraire transalpin d'Hannibal : l'énigme et sa résolution géographique / Hannibal's itinerary across the Alps : the enigma and his geographic resolutionRenaud, Jean-Pierre 26 October 2010 (has links)
Le cadre spatial et temporel de l’étude est restreint : il s’agit de l’itinéraire suivi entrele Rhône et la plaine du Pô par l’armée carthaginoise sous les ordres d’Hannibal Barca aucours du second semestre de l’année 218 avant J.-C. L’événement auquel cet itinéraire serapporte fait très largement déborder le sujet du cadre énoncé ; le parcours de la traverséealpine, qui n’est pas précisément défini par les textes antiques, est perçu comme une desénigmes les plus attrayantes de l’Histoire ancienne. Les historiens modernes qui ont essayéde la résoudre en établissant des concordances entre la réalité géographique et les indicationsdu livre III des Histoires de Polybe (205 ? - 123) et du livre XXI de l’Histoire romaine deTite-Live (64 ? av. J.-C. - 17 après J.-C.) ont émis diverses hypothèses contradictoires parceque systématiquement basées sur une opposition entre les données polybiennes et les donnéesliviennes. Les objectifs de la thèse sont de définir le problème que pose cette énigme à partirdes différentes façons de la traiter depuis son apparition jusqu’à aujourd’hui, et d’en tenterune approche nouvelle, selon une démarche issue de la démarche scientifique classique, enémettant deux hypothèses qui laissent délibérément de côté les itinéraires basés sur uneremontée de la rive gauche du Rhône. L’étude détaillée des deux textes de référence révèleleur complémentarité et permet de percevoir l’origine de l’énigme. La reconnaissance d’unparcours le long de la Durance et à travers le Queyras débouche sur la découverte, au pied dela Crosennetta, dans la vallée du haut Pellice, d’un site unique qui confirme ces hypothèses. / When one examines the whole story, definite limits in time and space are set: in thecourse of the second half of the year 218 B.C., Hannibal Barca led the Carthaginian armyfrom the Rhone to the plain of the river Po. The event related to this itinerary shows that theabove indications are not that certain: the precise route followed to cross the Alps, which theantique texts do not describe in detail, is considered to be one of the most fascinatingenigmas of ancient History. Modern historians have tried to solve it by comparing thegeography of the area and the indications in “Histories”, Book III, of Polybe (205?-123) andin “Roman History”, Book XXI, of Livius (64? B.C.-17 A.D.). They have suggested severalcontradictory theories because these are systematically based on the differences betweenPolybien and Livien data. The aim of the thesis is to clearly state the problems arising fromthis enigma, because of the way it has been examined, from the very beginning right up tillnow, and to try a new approach: a suggestion (using classical scientific methods) whichtemporally abandons the idea of an itinerary on the left bank of the Rhone. The origin of thepuzzle is obvious after careful reading of the two texts referred to and which shows theircomplementary nature. A survey of the route that runs along the side of the river Duranceand crosses the Queyras region led to the discovery, at the foot of the Crosennetta Mountain,at the top of the Pellice valley, of a unique site which confirms these assumptions.
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L'espansione di Roma in Oriente : problemi e interpretazioni : commento storico a Diodoro Siculo, XXXI 1-17b Walton / L'expansion de Rome en Orient : enjeux et interprétations : commentaire historique à Diodore de Sicile, XXXI 1-17b Walton / The Roman Expansion in the East : problems and interpretations : a Historical Commentary on Diodorus Siculus, XXXI 1-17b WaltonGandini, Alberto 05 June 2013 (has links)
Ce travail consiste en un commentaire ad locum, à caractère à la fois historique et historiographique, de la première moitié du livre XXXI de la Bibliothèque Historique de Diodore de Sicile, parvenu jusqu’à nous de façon fragmentaire. L’analyse recouvre 34 fragments, correspondant aux chapitres 1-17b de l’édition Loeb de F.R. Walton et issus du récit annalistique de la première olympiade successive à la bataille de Pydna (168/7-165/4 av. J.-C. = Ol. 153). Le choix du sujet se dessine dans le cadre d’un renouvellement général d’intérêt pour les deux dernières décades fragmentaires de l’œuvre diodoréenne, et pour les livres proprement ‘romains’ en particulier (XXIII-XL). Leur étude semble aujourd’hui centrale pour une meilleure appréciation de la personnalité de l’historien d’Agyrion, du fait de la proximité de l’époque de l’auteur aux événements relatés et de l’importance réservée aux deux cents dernières années d’histoire romaine dans l’économie globale de l’œuvre. La double perspective adoptée vise aussi bien à centrer la question de l’interprétation que l’historien sikéliote donne aux faits narrés qu’à envisager de manière novatrice les enjeux caractérisant la phase historique considérée, à la lumière des apports et des sollicitations de la recherche scientifique la plus récente. A côté de l’intérêt porté à l’écriture de Diodore – ici considérée en particulier du point de vue de son rapport avec la tradition polybienne –, une place privilégiée est ainsi accordée à la réflexion sur les causes et les procédés de l’expansion romaine en Orient, à un moment clé pour la redéfinition des équilibres de pouvoir entre l’Urbs et le monde gréco-hellénistique. / This work consists in an ad locum commentary, both historical and historiographical, on the first half part of the XXXI book of Diodorus Siculus’ Historical Library, that has reached us in fragments. This analysis is about the 34 fragments corresponding to the chapters 1-17b of F.R. Walton’s Loeb edition and to the remaining annalistic narration of the first Olympiad following the battle of Pydna (168/7-165/4BC = Ol. 153). The choice of the subject fits within a new general interest for the two last fragmentary decades of the Historical Library, and particularly for the so called ‘Roman’ books (XXIII-XL). A study of this section of Diodorus’ Bibliotheke seems nowadays essential for a better appraisal of the personality of the historian of Agyrion: this is because of the proximity of the author’s time to the events related and because of the great importance of the two last centuries of Roman history into the global economy of his work. The double perspective adopted aims to point out the historian’s interpretation of the facts narrated, but also to reconsider in an innovative way the problems characterizing the period analyzed, specially under the new light offered by the most recent contributions of the scientific research. Therefore, a privileged place is granted to the reflection on the causes and the procedures of the Roman expansion in the East, in a key-moment for the redefinition of the balance of power between the Urbs and the Greco-Hellenistic world, together with a particular attention to Diodorus’ writing, here considered in its relation with the Polybian tradition.
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Les Etoliens dans l'Antiquité. Essai d'histoire des représentations / The Aitolians in Antiquity. An essay on the history of representationsPerrier, Amélie 10 November 2012 (has links)
Des « gens broüillons & méchans », voilà la réputation des Étoliens résumée par J. Spon1 au XVIIe s. et qui a encore aujourd'hui la force d'une image commune.En raison de la nature et de l'origine de la documentation ancienne conservée et en raison des topoi formés dans l'Antiquité ou l'époque moderne, une étude sur les Étoliens doit emprunter le chemin de l'histoire des représentations. Les sources imposent en effet deux contraintes, dues à leur disproportion en faveur du IIIe s. et à l'absence de sources littéraires d'origine étolienne.Ce travail propose une analyse de la formation et de l'évolution des représentations de l'Étolie et des Étoliens dans les sources, depuis la fondation des grands sanctuaires jusqu'à la réorganisation de la Grèce du Nord-Ouest par Auguste. Il permet de dater l'apparition de certaines images et d'en comprendre les différents contextes : le contexte historique de l'événement narré et le contexte historique et littéraire de production du récit. La contextualisation des représentations permet de distinguer ce qui relève de la propagande politique et ce qui relève de représentations communes. Enfin, l'analyse précise des sources laisse entrevoir le point de vue étolien, ou du moins permet de saisir des bribes du discours étolien.La première partie est consacrée à l'image géographique de l'Étolie et des Étoliens et permet de distinguer ce qui, dans les représentations des Étoliens, relève de topoi ou de grilles d'analyse modernes. Les trois parties suivantes suivent la chronologie des événements et des sources. La deuxième partie analyse l'image des Étoliens dans l'épopée et l'entrée des Étoliens dans le récit historique, qui correspond à leurs premières confrontations de l'époque classique avec les autres Grecs. La troisième partie montre comment, à l'époque hellénistique, les Étoliens devinrent des porte-drapeau de l'hellénisme et comment Polybe construisit son discours anti-étolien de façon à inventer une « idée étolienne » qui fut, en grande partie, à l'origine de l'image des Étoliens chez les Modernes. La quatrième partie analyse les conséquences du rôle des Étoliens sur leurs représentations pendant la période romaine, et propose une synthèse sur l'image des Étoliens dans l'opinion romaine qui permet notamment d'évaluer la fortune du discours polybien dans l'Antiquité.Cette étude se veut enfin une contribution à la définition des méthodes, des objets et des limites de l'histoire des représentations pour l'Antiquité. / In the 17th century, J. Spon condensed the Aitolians’ reputation in a phrase, “gens broüillons & méchans”1, which still bears the strength of a common image nowadays. Because of the nature and origin of the ancient documents and of the topoi created during Antiquity or the Modern age, Aitolian studies need to turn towards cultural history. Sources generate two constraints, with a bulk of documents from the 3rd c. and a lack of literary sources of Aitolian origin. This thesis analyses the formation and the evolution of the representations of Aitolia and Aitolians in the sources, since the foundation of the main sanctuaries and until the reorganization of north-western Greece by Augustus. It enables us to date the apparition of some images and to understand their various contexts: the historical context of the narrated event and the historical and literary context of the narrative production. By contextualizing representations, what stems from political propaganda can be distinguished from what results from common representations. Finally, thanks to a precise analysis of the sources, the Aitolian point of view may be glimpsed, at least through fragments of Aitolian discourse. The first part deals with the geographical image of Aitolia and Aitolians, showing where topoi or modern interpretation grids generate representations. The next three parts follow the chronology of the events. The second one analyses the Aitolians’ image in the epic and the entry of Aitolians in the historical narrative, which corresponds to their first confrontations to other Greeks in the classical period. The third part shows how the Aitolians became the standard-bearers of Hellenism in the Hellenistic era and how Polybius designed his anti-Aitolian discourse so as to create an “Aitolian idea” which largely contributed to shaping how the Aitolians were seen in the modern era. The fourth part looks into the consequences of the Aitolians’ role on their representations during the Roman period and gives a synthetic picture of the Aitolians in the Roman opinion, leading to an assessment of the popularity of the Polybian discourse during Antiquity.This thesis contributes to defining the methods, objects and limits of the history of cultural representations in Antiquity.
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Le tyran grec, genèse et représentations d'un contre-modèle, Ve-1er siècle av. J.-C. / The Greek tyrant, genesis and representations of a counter-model, 5th century-1st century B. C.Bouyssou, Gerbert-Silvestre 05 December 2014 (has links)
Cette thèse d'histoire culturelle propose de réfléchir à la genèse et aux évolutions des représentations grecques du tyran, en lien avec les transformations des formes de pouvoir, du Ve au Ier siècle avant J.-C. La recherche porte sur l’ensemble du monde hellénique et s'appuie sur un corpus de sources variées, littéraires, historiques et philosophiques, épigraphiques ou numismatiques. L'enjeu est en effet de comprendre l'évolution des interactions entre, d'une part, les approches juridiques, politiques ou historiques des tyrans, et, d'autre part, leurs représentations philosophiques et littéraires. À l'époque classique les considérations politiques, institutionnelles ou juridiques s'articulèrent aux représentations d'ordre éthique exprimant des jugements de valeur condamnant la cruauté et la tryphè du tyran. Puis, à partir du IVe siècle, les lieux communs à l’oeuvre dans ses représentations le transformèrent en une figure du mauvais souverain caractérisé par l'hybris et la souillure qu'il répand au sein de la cité. Ce processus amena à faire progressivement du tyran un contre-modèle absolu, opposé à la cité classique comme à la figure du roi idéal de l'époque hellénistique. Figure de l'altérité et la marginalité, le tyran tient ainsi, paradoxalement, une place centrale dans les représentations politiques et philosophiques grecques : il représente l'ennemi contre lequel se soude la communauté politique / The present doctoral thesis in cultural history considers the genesis and evolutions of the Greek representations of the tyrants in relation to changes in the actual forms of power, from C5th to C1st B. C. The research includes the whole Greek area and is based on varied sources : literary, historical, philosophical, epigraphic or numismatic. The purpose is indeed to understand the evolution of the interactions between legal, political or historical approaches of the tyrants, and their literary and philosophical representations. During the Classical Age, The political, institutional or legal considerations were combined with the ethical representations condemning the cruelty and the tryphè of the tyrant. Then, from C4th onward, the stereotypes found in literature led to view the tyrant as a bad sovereign, characterized by hybris and by the blemish he spreads over the city. This process would progressively turn the tyrant into the absolute counter-model, as opposed to the Classical city as to the ideal Hellenistic monarch. A figure of otherness and marginality, the tyrant becomes the paradoxical focal point of the Greek political and philosophical representation : he embodies the enemy the political community unites against.
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