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La participation des Premières Nations à la gouvernance des forêts publiques québécoises

Lalonde, Louis January 2017 (has links)
La gouvernance des forêts publiques du Québec a été marquée d’importants bouleversements dans les dernières décennies. L’apparition de nouvelles dynamiques dans les milieux forestiers, notamment avec l’émergence toujours plus importante d’acteurs issus de la société civile, ont mené le Québec forestier dans une crise d’envergure. Prenant conscience de la situation, l’État a entrepris une refonte de son régime forestier pour poser un jalon majeur dans la gouvernance des forêts. Ce virage a été entrepris en 2010 avec l’adoption de la Loi sur l’aménagement durable du territoire forestier, qui est ensuite pleinement entrée en vigueur en 2013. Parmi les changements majeurs marquant le nouveau régime forestier de la province, l’instauration d’une gestion participative et décentralisée est mise de l’avant afin de rejoindre les préoccupations et intérêts des communautés locales. Ce virage idéologique a aussi porté une reconnaissance plus importante du caractère particulier de la participation des Premières Nations, acteurs distincts en raison de leur rapport au milieu forestier et un historique de marginalisation dans la gouvernance des ressources. La présente recherche s’attarde donc à l’intégration des collectivités autochtones dans la foresterie au Québec à partir de la question spécifique suivante : quel est l’état de la participation des Premières Nations à la gouvernance des forêts publiques québécoises depuis 2010 selon la typologie de Wyatt? Élaborée depuis une typologie considérant les différentes composantes de la gouvernance des forêts publiques, la recherche a pour objectif de contribuer à une meilleure compréhension des dispositions du nouveau régime forestier québécois en regard à la participation autochtone.
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Les situations de compromission. Regards professionnels sur les interventions auprès des Premières Nations

Robitaille, Martine 04 May 2011 (has links)
Parmi les minorités présentes au Canada, les communautés Premières Nations ont longtemps vécu et continuent à vivre des expériences qui les placent aux marges de la société canadienne. Récemment pourtant, une éclaircie est apparue, notamment en ce qui concerne les Centres Jeunesse au Québec. Des dispositifs ont ainsi été mis en place pour aider les intervenants à prendre des décisions qui prennent davantage en compte les réalités culturelles des communautés Premières Nations. Dans ce contexte, nous avons trouvé intéressant d’observer un de ces dispositifs pour comprendre où, quand et comment la culture Anishinaabeg des Premières Nations apparaît dans les décisions des intervenants quand ils sont confrontés à des situations de compromission et ce, aux stades de l’orientation et de l’application des mesures prises dans ce type de dossier. À partir d’une approche ethnométhodologique de notre matériau empirique (entretiens et observations participantes), nous avons ainsi pu tirer cinq grands enseignements au sujet du processus décisionnel qui est suivi en matière de compromission (par processus décisionnel, nous n’entendons pas les décisions liées à l’évaluation du dossier mais seulement celles qui touchent à l’orientation et à l’application des mesures prises dans ledit dossier) : 1) La culture Anishinaabeg des Premières Nations prend différents visages selon l’acteur professionnel qui la mobilise et le contexte dans lequel il la mobilise ; 2) La culture Anishinaabeg des Premières Nations joue différents rôles (secondaire ou absent) dans le processus décisionnel en matière de compromission ; 3) Quand la culture Anishinaabeg des Premières Nations joue un rôle informel dans le processus décisionnel en matière de compromission, elle se fait toujours dans une approche différencialiste; 4) Quand la culture « blanche » joue un rôle formel ou informel dans le processus décisionnel en matière de compromission, elle se fait toujours dans une approche normalisante; et 5) Qu’elles soient formelles ou informelles, les approches différencialiste et normalisante présentent des impasses comme des ouvertures.
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Les situations de compromission. Regards professionnels sur les interventions auprès des Premières Nations

Robitaille, Martine 04 May 2011 (has links)
Parmi les minorités présentes au Canada, les communautés Premières Nations ont longtemps vécu et continuent à vivre des expériences qui les placent aux marges de la société canadienne. Récemment pourtant, une éclaircie est apparue, notamment en ce qui concerne les Centres Jeunesse au Québec. Des dispositifs ont ainsi été mis en place pour aider les intervenants à prendre des décisions qui prennent davantage en compte les réalités culturelles des communautés Premières Nations. Dans ce contexte, nous avons trouvé intéressant d’observer un de ces dispositifs pour comprendre où, quand et comment la culture Anishinaabeg des Premières Nations apparaît dans les décisions des intervenants quand ils sont confrontés à des situations de compromission et ce, aux stades de l’orientation et de l’application des mesures prises dans ce type de dossier. À partir d’une approche ethnométhodologique de notre matériau empirique (entretiens et observations participantes), nous avons ainsi pu tirer cinq grands enseignements au sujet du processus décisionnel qui est suivi en matière de compromission (par processus décisionnel, nous n’entendons pas les décisions liées à l’évaluation du dossier mais seulement celles qui touchent à l’orientation et à l’application des mesures prises dans ledit dossier) : 1) La culture Anishinaabeg des Premières Nations prend différents visages selon l’acteur professionnel qui la mobilise et le contexte dans lequel il la mobilise ; 2) La culture Anishinaabeg des Premières Nations joue différents rôles (secondaire ou absent) dans le processus décisionnel en matière de compromission ; 3) Quand la culture Anishinaabeg des Premières Nations joue un rôle informel dans le processus décisionnel en matière de compromission, elle se fait toujours dans une approche différencialiste; 4) Quand la culture « blanche » joue un rôle formel ou informel dans le processus décisionnel en matière de compromission, elle se fait toujours dans une approche normalisante; et 5) Qu’elles soient formelles ou informelles, les approches différencialiste et normalisante présentent des impasses comme des ouvertures.
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Les situations de compromission. Regards professionnels sur les interventions auprès des Premières Nations

Robitaille, Martine 04 May 2011 (has links)
Parmi les minorités présentes au Canada, les communautés Premières Nations ont longtemps vécu et continuent à vivre des expériences qui les placent aux marges de la société canadienne. Récemment pourtant, une éclaircie est apparue, notamment en ce qui concerne les Centres Jeunesse au Québec. Des dispositifs ont ainsi été mis en place pour aider les intervenants à prendre des décisions qui prennent davantage en compte les réalités culturelles des communautés Premières Nations. Dans ce contexte, nous avons trouvé intéressant d’observer un de ces dispositifs pour comprendre où, quand et comment la culture Anishinaabeg des Premières Nations apparaît dans les décisions des intervenants quand ils sont confrontés à des situations de compromission et ce, aux stades de l’orientation et de l’application des mesures prises dans ce type de dossier. À partir d’une approche ethnométhodologique de notre matériau empirique (entretiens et observations participantes), nous avons ainsi pu tirer cinq grands enseignements au sujet du processus décisionnel qui est suivi en matière de compromission (par processus décisionnel, nous n’entendons pas les décisions liées à l’évaluation du dossier mais seulement celles qui touchent à l’orientation et à l’application des mesures prises dans ledit dossier) : 1) La culture Anishinaabeg des Premières Nations prend différents visages selon l’acteur professionnel qui la mobilise et le contexte dans lequel il la mobilise ; 2) La culture Anishinaabeg des Premières Nations joue différents rôles (secondaire ou absent) dans le processus décisionnel en matière de compromission ; 3) Quand la culture Anishinaabeg des Premières Nations joue un rôle informel dans le processus décisionnel en matière de compromission, elle se fait toujours dans une approche différencialiste; 4) Quand la culture « blanche » joue un rôle formel ou informel dans le processus décisionnel en matière de compromission, elle se fait toujours dans une approche normalisante; et 5) Qu’elles soient formelles ou informelles, les approches différencialiste et normalisante présentent des impasses comme des ouvertures.
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Les situations de compromission. Regards professionnels sur les interventions auprès des Premières Nations

Robitaille, Martine January 2011 (has links)
Parmi les minorités présentes au Canada, les communautés Premières Nations ont longtemps vécu et continuent à vivre des expériences qui les placent aux marges de la société canadienne. Récemment pourtant, une éclaircie est apparue, notamment en ce qui concerne les Centres Jeunesse au Québec. Des dispositifs ont ainsi été mis en place pour aider les intervenants à prendre des décisions qui prennent davantage en compte les réalités culturelles des communautés Premières Nations. Dans ce contexte, nous avons trouvé intéressant d’observer un de ces dispositifs pour comprendre où, quand et comment la culture Anishinaabeg des Premières Nations apparaît dans les décisions des intervenants quand ils sont confrontés à des situations de compromission et ce, aux stades de l’orientation et de l’application des mesures prises dans ce type de dossier. À partir d’une approche ethnométhodologique de notre matériau empirique (entretiens et observations participantes), nous avons ainsi pu tirer cinq grands enseignements au sujet du processus décisionnel qui est suivi en matière de compromission (par processus décisionnel, nous n’entendons pas les décisions liées à l’évaluation du dossier mais seulement celles qui touchent à l’orientation et à l’application des mesures prises dans ledit dossier) : 1) La culture Anishinaabeg des Premières Nations prend différents visages selon l’acteur professionnel qui la mobilise et le contexte dans lequel il la mobilise ; 2) La culture Anishinaabeg des Premières Nations joue différents rôles (secondaire ou absent) dans le processus décisionnel en matière de compromission ; 3) Quand la culture Anishinaabeg des Premières Nations joue un rôle informel dans le processus décisionnel en matière de compromission, elle se fait toujours dans une approche différencialiste; 4) Quand la culture « blanche » joue un rôle formel ou informel dans le processus décisionnel en matière de compromission, elle se fait toujours dans une approche normalisante; et 5) Qu’elles soient formelles ou informelles, les approches différencialiste et normalisante présentent des impasses comme des ouvertures.
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Déterminants de l'efficacité personnelle d'une saine alimentation au sein d'une population autochtone au Québec

Mercille, Geneviève January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Les droits linguistiques des peuples autochtones au Québec et en Ontario

Baillairgé, Caroline 01 May 2012 (has links)
Cette thèse se veut un examen de la protection accordée aux droits linguistiques des autochtones du Québec et de l’Ontario par le droit international, le droit constitutionnel canadien et la législation fédérale et provinciale. Par l’étude des dispositions législatives, de la jurisprudence et de la doctrine pertinentes, on tente de déterminer la portée des obligations des gouvernements fédéral et provinciaux relativement à la protection des langues autochtones. Bien que la revitalisation de leurs langues doive se faire avant tout par les autochtones, l’État a un rôle important à jouer dans le développement et la promotion des langues, par exemple en mettant en place des programmes de financement ou en favorisant l’usage des langues autochtones à l’extérieur des communautés. On remarque une ouverture à la reconnaissance de droits linguistiques en faveur des autochtones, même s’ils ne jouissent pas encore de droits comparables à ceux reconnus aux minorités francophones et anglophones.
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Déterminants de l'efficacité personnelle d'une saine alimentation au sein d'une population autochtone au Québec

Mercille, Geneviève January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Les droits linguistiques des peuples autochtones au Québec et en Ontario

Baillairgé, Caroline 01 May 2012 (has links)
Cette thèse se veut un examen de la protection accordée aux droits linguistiques des autochtones du Québec et de l’Ontario par le droit international, le droit constitutionnel canadien et la législation fédérale et provinciale. Par l’étude des dispositions législatives, de la jurisprudence et de la doctrine pertinentes, on tente de déterminer la portée des obligations des gouvernements fédéral et provinciaux relativement à la protection des langues autochtones. Bien que la revitalisation de leurs langues doive se faire avant tout par les autochtones, l’État a un rôle important à jouer dans le développement et la promotion des langues, par exemple en mettant en place des programmes de financement ou en favorisant l’usage des langues autochtones à l’extérieur des communautés. On remarque une ouverture à la reconnaissance de droits linguistiques en faveur des autochtones, même s’ils ne jouissent pas encore de droits comparables à ceux reconnus aux minorités francophones et anglophones.
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Les droits linguistiques des peuples autochtones au Québec et en Ontario

Baillairgé, Caroline January 2012 (has links)
Cette thèse se veut un examen de la protection accordée aux droits linguistiques des autochtones du Québec et de l’Ontario par le droit international, le droit constitutionnel canadien et la législation fédérale et provinciale. Par l’étude des dispositions législatives, de la jurisprudence et de la doctrine pertinentes, on tente de déterminer la portée des obligations des gouvernements fédéral et provinciaux relativement à la protection des langues autochtones. Bien que la revitalisation de leurs langues doive se faire avant tout par les autochtones, l’État a un rôle important à jouer dans le développement et la promotion des langues, par exemple en mettant en place des programmes de financement ou en favorisant l’usage des langues autochtones à l’extérieur des communautés. On remarque une ouverture à la reconnaissance de droits linguistiques en faveur des autochtones, même s’ils ne jouissent pas encore de droits comparables à ceux reconnus aux minorités francophones et anglophones.

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