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Elements of a theory of social competence : socio-cognitive and behavioral contributions in typical development

Seni, Anne Gabrielle 12 1900 (has links)
L’être humain évolue quotidiennement au cœur d’un monde social hautement complexe auquel il est singulièrement adapté d’un point de vue évolutif. L’individu qui navigue de façon adéquate, parmi les situations et les interactions sociales, y parvient grâce à une machinerie cognitive sophistiquée et spécialisée connue sous le terme de « cognition sociale », composée d’un ensemble de fonctions acquises durant le développement et permettant la perception, le traitement, l’interprétation et la réaction à des stimuli sociaux dynamiques et nuancés. Le développement social serait sous-tendu par le fonctionnement cognitif global (p. ex. le fonctionnement intellectuel, le langage, la mémoire, l’attention, les habiletés visuoperceptuelles), ainsi que par des habiletés sociocognitives spécifiques (p. ex. la théorie de l’esprit, l’empathie, la reconnaissance des émotions faciales, la prise de perspective, l’attribution d’intentions, le raisonnement moral), le tout assuré par un ensemble de structures et réseaux neuronaux connu sous le terme « cerveau social ». Malgré les connaissances empiriques suggérant une association entre les facteurs neuronaux, cognitifs et environnementaux du développement social, notre compréhension des interactions dynamiques et complexes entre les habiletés sociocognitives, l’influence externe de facteurs environnementaux, ainsi que leurs impacts individuels et combinés sur le développement social typique demeure préliminaire. L’objectif général de cette thèse était d’étudier deux corrélats principaux qui sous-tendent la compétence sociale durant le développement, soient la cognition sociale et le comportement social. Le modèle SOCIAL (Beauchamp & Anderson, 2010) est utilisé comme cadre théorique et empirique pour explorer de multiples facettes du développement de la compétence sociale et des liens entre les habiletés sociocognitives (p.ex. le raisonnement moral et la prise de perspective) et le comportement social global. La première étude explore la contribution des aspects cognitifs (théorie de l’esprit) et affectifs (empathie) de la prise de perspective au raisonnement moral et au comportement social des enfants et des adolescents neurotypiques. Un outil novateur d’évaluation du raisonnement moral, le Socio-Moral Reasoning Aptitude Level (So-Moral), fut utilisé pour rehausser la valeur écologique du construit. Ainsi, des dilemmes sociomoraux quotidiens ont été présentés aux participants, qui ont également complété des mesures de théorie de l’esprit, d’empathie, et de comportement social. Les résultats suggèrent que les aspects cognitifs (théorie de l’esprit) et affectifs (empathie) de la prise de perspective contribuent conjointement à prédire la maturité morale chez les enfants, mais pas chez les adolescents. Par ailleurs, certaines lacunes au plan du raisonnement moral seraient associées à des instances plus fréquentes de comportements externalisés, mais aucun lien entre la maturité morale et les comportements prosociaux n’a été détecté. La théorie de l’esprit contribuerait de manière significative à la maturité du raisonnement moral chez les enfants, suggérant l’importance d’une évaluation cognitive d’une situation sociomorale. Comme les facteurs prédictifs du raisonnement moral différeraient chez les enfants et les adolescents, il est possible que des mécanismes sous-jacents distincts soient impliqués. La deuxième étude documente l’association entre les facteurs externes, tels qu’opérationnalisés par le temps hebdomadaire passé à jouer à des jeux vidéo, et le comportement social. Cette étude vise également à comprendre les liens entre l’usage des jeux vidéo, la cognition sociale et l’adaptation sociale chez des enfants du primaire. L’étude révèle que les enfants qui passent moins de temps à jouer à des jeux vidéo par semaine tendent à exhiber plus de comportements prosociaux. Toutefois, aucun lien n’a été identifié entre la fréquence d’usage de jeux vidéo et les comportements mésadaptés. Il est donc possible que les interactions sociales complexes, réelles et face-à-face soient particulièrement importantes au développement des compétences sociales chez les enfants. De façon globale, les données de la thèse contribuent à établir un portrait plus complet des relations complexes et dynamiques entre la cognition sociale, les expériences sociales et le comportement social lors du développement typique. Les résultats offrent des pistes novatrices quant à l’approfondissement des connaissances théoriques, empiriques et cliniques au sujet du développement social, et fournissent des fondements empiriques pour soutenir l’élaboration de programmes d’intervention et d’outils d’évaluation de la cognition et de la compétence sociale. / Humans are characterized by species-specific social skills and interactions, which direct much of their behaviors, dictate thought processes and form the foundations of human consciousness and reality. These social abilities are highly complex and intricate, involving a large range of developmentally acquired skills allowing the perception, processing, interpretation and response to dynamic social stimuli. The fine-tuning of these diverse abilities across the lifespan contributes to an individual’s social competence, allowing the navigation of the social world. Smooth and adaptive social development is supported by core cognitive functions (e.g. intellectual ability, language, memory, attention, visual-perceptive skills), as well as by specific skills (e.g. theory of mind, empathy, emotion recognition, perspective taking, intent attribution, moral reasoning) referred to under the umbrella of “social cognition” and subsumed by neural structures and networks of the “social brain”. Despite strong evidence supporting the associations between neural, cognitive and social functioning, much remains to be learned about the interplay between socio-cognitive abilities during development, the external influence of environmental factors, as well as their individual and additive impact on social behavior. The main objective of this dissertation was to study two manifestations of social competence in typical development, namely, social cognition and social behavior. The SOCIAL model (Beauchamp & Anderson, 2010) is used as the theoretical and empirical framework providing fertile ground for the investigation of multiple facets of the development of social competence and a better understanding of the global interplay of socio-cognitive skills (e.g., moral reasoning and perspective taking) and social behavior more broadly. The first study explores the contribution of cognitive (theory of mind) and affective (empathy) aspects of perspective taking to moral reasoning and social behavior in typically developing children and adolescents. An innovative neuropsychological tool for assessing moral reasoning, the Socio-Moral Reasoning Aptitude Level (So-Moral), was used to enhance the ecological value of the construct. Everyday socio-moral reasoning dilemmas were presented to children and adolescents to evaluate their moral maturity, and assessments of theory of mind, empathy and social behavior were also completed. Jointly, both aspects of perspective taking (theory of mind and empathy) predicted moral reasoning maturity in children, but not in adolescents. Poorer moral reasoning skills were associated with more externalizing behavior problems across the age span, but no associations were found with respect to prosocial behavior. Theory of mind skills were independent predictors of moral reasoning, suggesting that a cognitive understanding of the situation may be especially useful when children are asked to reason about a moral conflict. Contributing factors to moral reasoning differed in children and adolescents, suggesting differential underlying mechanisms. The second study investigates the contribution of external influences, as operationalized by time spent playing video games, to social behavior. A secondary objective was to add to the growing body of literature exploring associations between video game playing, social cognition and social behavior, in an age group less frequently focused on (elementary school-aged children). The main results of the study indicate that children who spend less time per week playing video games have greater prosocial tendencies, but no association was found with behavior problems. Findings highlight the possibility that real-life, complex, and nuanced social interactions outside screen-based play may be central to fostering social competence skills in children. Overall, the results of the studies presented in this dissertation contribute to building a more comprehensive picture of the complex interplay between social cognition, social experience and social competence during typical development. Findings offer new avenues for improving theoretical, empirical and clinical knowledge of social development and provide an empirical basis for the development of social skills intervention programs as well as social cognition assessment tools.
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Aging and spatial abilities : age-related impact on users of a sign language

Luna, Stéphanie 03 1900 (has links)
Introduction. Les fonctions cognitives évoluent avec l’âge : certaines tendent à diminuer dans leur efficacité alors que d’autres se maintiennent. Des recherches ont montré que le vieillissement affecte la rotation mentale, la perception spatiale, la visualisation spatiale et la prise de perspective. Des facteurs sociodémographiques et comportementaux peuvent aussi influencer le cheminement du vieillissement cognitif des personnes âgées. À titre d’exemple, l'expérience langagière, comme le bilinguisme, agit comme un facteur neuroprotecteur contribuant à la réserve cognitive. L’impact de l’utilisation d’une langue des signes sur la cognition spatiale a suscité beaucoup d’intérêt chez les chercheurs s’intéressant aux langues des signes. Pourtant, aucune recherche n’a encore abordé l’effet de l’utilisation à long terme d’une langue des signes sur la cognition spatiale des signeurs aînés. Objectif. Le but de cette thèse est d’examiner s’il existe des différences sur le plan des habiletés spatiales entre signeurs (sourds et entendants) et non-signeurs de différents groupes d’âge. Plus précisément, cette thèse a examiné i) si la performance à des tâches d’habiletés spatiales diffère selon l’âge (jeunes adultes/aînés) et l’expérience linguistique (signeurs sourds/entendants signeurs/entendants non-signeurs) et ii) si la performance diffère selon la sous-composante d’habiletés spatiales ciblée (perception spatiale; visualisation spatiale; rotation mentale; prise de perspective). Méthode. Pour investiguer l’effet de l’âge et de l’expérience linguistique sur les habiletés spatiales, une collecte de données auprès de 120 participants a été effectuée : 60 adultes âgés de 64 à 80 ans (20 sourds signeurs, 20 entendants signeurs, 20 entendants non-signeurs) et 60 jeunes adultes de 18 à 35 ans (20 sourds signeurs, 20 entendants signeurs, 20 entendants non-signeurs). Afin de s’assurer de l’admissibilité des participants, une évaluation de l’acuité visuelle, de l’acuité auditive, des compétences langagières (français et langue des signes québécoise), de la santé cognitive et de l’intelligence a été effectuée. Les participants ont été appariés entre groupes d’expérience linguistique selon leur niveau d’éducation et d’intelligence. Les quatre sous-composantes d’habiletés spatiales ciblées (perception spatiale; visualisation spatiale; rotation mentale; prise de perspective) ont été testées par l’entremise d’une batterie de sept tests psychométriques. Résultats. Conformément à ce qui a été précédemment observé sur l’effet de l’âge sur les habiletés spatiales, les résultats en termes de justesse de la réponse ont révélé que les jeunes signeurs sourds obtiennent globalement de meilleurs résultats que les signeurs sourds aînés dans toutes les tâches d’habiletés spatiales. De plus, les résultats ont montré un avantage des entendants signeurs sur les entendants non-signeurs aux tâches de rotation mentale et de prise de perspective, quel que soit leur âge. Un avantage général des signeurs aînés (sourds et entendants) par rapport aux non-signeurs aînés a été observé uniquement pour les tâches de visualisation spatiale en termes de justesse de la réponse. Ces résultats suggèrent que les changements cognitifs associés au vieillissement ont un effet sur le traitement de l’information spatiale quelle que soit la modalité linguistique utilisée et que l’effet de l’utilisation de la langue des signes sur les processus spatiaux semblent différer entre les signeurs sourds et les signeurs entendants. Discussion. Cette recherche transversale a permis d’étudier pour la première fois l’impact du vieillissement sur les habiletés spatiales des utilisateurs d’une langue des signes. Également, elle explore le facteur potentiellement atténuant de l’utilisation de la langue des signes quant aux effets de l’âge sur la performance à des tâches d’habiletés spatiales. Sur la base des résultats, il est proposé que l’effet de l’utilisation d’une langue des signes sur la cognition spatiale est spécifique aux sous-domaines d’habiletés spatiales (perception spatiale; visualisation spatiale; rotation mentale; prise de perspective), et que l’expérience linguistique, telle que le bilinguisme bimodal, est un facteur d’intérêt dans la relation entre l’utilisation d’une langue des signes et les processus spatiaux. Conclusion. Les résultats rapportés dans la présente thèse seront utiles aux futurs chercheurs intéressés par l’étude de la cognition chez les aînés signeurs. Des recherches futures devraient se poursuivre dans cette direction afin de préciser l’impact du bilinguisme bimodal sur la cognition spatiale à la lumière de ce qui est connu des effets protecteurs du bilinguisme unimodal face au vieillissement. De plus, les recherches futures devraient envisager d’élargir la perspective de l’effet de l’âge sur les habiletés spatiales des signeurs, en tenant compte des données cognitives et linguistiques. Ces recherches pourraient investiguer la cause de la distinction dans le traitement d’informations spatiales sur la production et la compréhension d’une langue des signes. / Introduction. Across the adult lifespan, cognitive abilities change: some tend to decrease with age whereas others are maintained. The results of previous studies have shown that performance on tasks spatial perception, spatial visualization, mental rotation and perspective taking are poorer in older adults than in younger adults. Sociodemographic and behavioral factors may influence the cognitive aging trajectories of older adults. For example, language experience, such as bilingualism, may be a neuroprotective factor contributing to the cognitive reserve. The impact of language experience in another modality, as it is the case for visual-spatial language, on spatial cognition has generated much interest. To date, no research has addressed this issue with regards of the potential effect of longtime use of sign language on the spatial cognition of older signers. Aim. The aim of this thesis is to investigate whether there are differences in spatial abilities among signers (deaf and hearing) and non-signers of different age groups. More specifically, this thesis examined i) if performance on tasks of spatial abilities differs according to age (younger/older) and linguistic experience (deaf signers/hearing signers/hearing non-signers) and ii) if performance differs according to the type of spatial abilities subcomponent targeted (spatial perception; spatial visualization; mental rotation; perspective taking). Methods. To examine the effect of age and linguistic experience on spatial abilities, data were collected from 120 participants: 60 older adults from 65 to 80 years of age (20 deaf signers, 20 hearing signers, 20 hearing non-signers) and 60 young adults ranging in age from 18 to 35 years (20 deaf signers, 20 hearing signers, 20 hearing non-signers). Prior to the experiment, participants were tested for visual and hearing acuity, language proficiency (Quebec Sign Language and French), cognitive health and intelligence. Based on their linguistic experience, the participants were matched on the basis of their educational level as well as their level of intelligence. The four subcomponents of spatial abilities were tested using a battery of seven tests. Results. Consistent with previously published data on the effect of age on spatial abilities, accuracy results revealed that the younger deaf signers constantly performed better than the older deaf signers on all tasks. Results also highlighted a specific advantage of hearing signers over hearing non-signers in terms of accuracy on mental rotation and perspective taking tasks regardless of age. A general advantage of older signers (deaf and hearing) over older non-signers was observed on spatial visualization tasks only. These results suggest that age-related cognitive changes impact the processing of spatial information regardless of the linguistic modality used. Also, the effect of sign language use on spatial processes may differ between deaf signers and hearing signers. Discussion. This cross-sectional research made it possible to investigate for the first time the impact of aging on spatial abilities among sign language users, as well as to explore the potential effect of sign language use with regards to performance on tasks of spatial abilities in an older population. Based on the results, it is proposed that the effect of sign language use is subdomain specific and that language experience such as bimodal bilingualism is a factor of interest in the relation between sign language use and spatial processing. Conclusion. The results reported in the present thesis will be helpful to future researchers interested in investigating aspects of cognition throughout the lifespan of older signers. Future research should be pursued in order to investigate the impact of bimodal bilingualism on spatial cognition in the light of the aging factor. In addition, future research should consider broadening the scope of this research area by examining in detail the interaction between cognitive skills and linguistic modality. Researches could address the effect of the distinction observed between deaf signers and hearing signers in terms of spatial processing and investigate links between spatial processing and sign language production and comprehension.
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Towards Socially Intelligent Robots in Human Centered Environment / Vers des robots socialement intelligents en environnement humain

Pandey, Amit kumar 20 June 2012 (has links)
Bientôt, les robots ne travailleront plus de manière isolée mais avec nous. Ils entrent peu à peu dans notre vie de tous les jours pour coopérer, assister, aider, servir, apprendre, enseigner ou même jouer avec l'homme. Dans ce contexte, nous considérons que ce ne doit pas être à l'homme de s'adapter au robot. Au contraire, le robot doit être capable d'intégrer, dans ses stratégies de planification et de décision, différents facteurs d'effort et de confort et de prendre en compte les préférences et désirs de l'homme ainsi que les normes sociales de son environnement. Tout en respectant les principes de sécurité réglementaire, le robot doit se comporter, naviguer, manipuler, communiquer et apprendre d'une manière qui soit pertinente, acceptée et compréhensible par l'homme. Cette thèse explore et définit les ingrédients clés nécessaires au robot pour développer une telle intelligence socio-cognitive. Elle définit également un cadre pour l'interaction homme-robot permettant de s'attaquer à ces challenges dans le but de rendre le robot socialement intelligent / Robots will no longer be working isolated from us. They are entering into our day-to-day life to cooperate, assist, help, serve, learn, teach and play with us. In this context, it is important that because of the presence of robots, the human should not be on compromising side. To achieve this, beyond the basic safety requirements, robots should take into account various factors ranging from human’s effort, comfort, preferences, desire, to social norms, in their various planning and decision making strategies. They should behave, navigate, manipulate, interact and learn in a way, which is expected, accepted, and understandable by us, the human. This thesis begins by exploring and identifying the basic yet key ingredients of such socio-cognitive intelligence. Then we develop generic frameworks and concepts from HRI perspective to address these additional challenges, and to elevate the robots capabilities towards being socially intelligent

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