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Représenter la femme à la fin de la République / Representing Women at the end of the Roman Republic

Taiuti, Aurora 19 October 2019 (has links)
La production statuaire féminine de la fin de la République et du début de l’époque impériale se révèle être bien plus variée que ce que les anciennes études ont mis en évidence jusqu’à présent. La présente étude propose une critique des précédentes classifications typologiques à partir d’un corpus documentaire comprenant deux cent quatre statues en ronde bosse et haut-relief. L’étude de ce corpus a permis de mettre en lumière l’existence d’un riche répertoire de variantes aux types statuaires officiels et d’élaboration hellénistique. Ces variantes statuaires se révèlent être fondamentales pour la compréhension des relations entre les différentes régions de l’Empire ainsi que des traditions artisanales locales qui s’imposent encore parfois face à l’élaboration du langage de l’art augustéen. En même temps, l’analyse des statues féminines dans leur contexte a permis de démontrer une différence substantielle entre le plan de l’art officiel et celui de la production privée : contrairement aux choix iconographiques et stylistiques réservés aux hommes, les premières statues honorifiques des femmes romaines ne se révèlent pas totalement soumises aux règles de l’imitatio principis. L’importance de cette étude repose dans l’originalité de cette période de transition entre les modèles féminins issus de la précédente expérience iconographique hellénistique et ceux élaborés au cours de la période impériale romaine. / The statues of roman women during the end of the Republic and the first decades of the Empire were far more diversified than what previous scholars have claimed so far. Thanks to two-hundred and four female statues on round and high-reliefs collected from the west provinces of the roman Empire, the classifications proposed in the previous studies are retreated in order to stress the existence of a rich group of variations, which were different from the hellenistic statue types or from those which had been introduced during the imperial period. This variations are fundamental for the understanding of the relations between the different regions of the Empire as is the knowledge of traditional handicrafts, which were still heterogeneous in spite of the hellenization of roman art in the roman Republic. Moreover, this study of female honorific statues stresses the difference between the private and the official levels: on the contrary of masculine honorific sculpture, the first female statues from honorific context don't strictly reproduce the types and the facial features of female members of the Domus Augusta. The importance of this study resides in the peculiarity of this period of transition that, lying between the hellenistic and the imperial eras, represents a key moment for the elaboration of the image of the roman woman.
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Titulature et pouvoir de l’empereur Trajan dans les provinces de l’Occident romain d’après l’épigraphie et la statuaire / Titulature and power of Emperor Trajan in the provinces of the Roman West from epigraphy and statuary

Ben Messaoud, Fadhila 12 December 2018 (has links)
À travers l’analyse des témoignages de l’épigraphie et de la statuaire relatifs à l’empereur Trajan, issus des cités des provinces occidentales, notre objectif est de déterminer les différentes formes d’expression d’allégeance et de loyalisme des provinciaux à son égard. La présence de Trajan à travers ces deux formes d’expression privilégiées pour la propagande impériale est très significative. Elle est due à plusieurs facteurs : Trajan est d’abord originaire d’Italica, en Bétique, Il est le premier provincial à prendre le pouvoir à Rome ; ensuite il est qualifié de Meilleur des Princes ; et il fut un grand militaire et un bon administrateur durant un long règne de 19 ans et demi. Aussi lui a-t-on rendu hommage par de nombreux documents épigraphiques, élevés sur les fora des cités provinciales qu’accompagnent des statues, en pied, ou équestre. C’est un prince bien connu aussi dans la littérature et la numismatique. Tous ces témoignages montrent qu’il est le premier empereur dont la titulature va s’enrichir d’attributs divers tout au long de son règne, il est Optimus princeps, le premier Dacicus, le premier Parthicus, mais aussi le premier à avoir porté le titre Proconsul, en dehors de Rome.Cette titulature établie d’abord à Rome puis envoyée dans les provinces constitue une matière d’étude riche et variée qui nous a permis de faire des comparaisons entre les provinces et les cités mêmes. Cela nous a été possible, grâce à un inventaire systématique des recueils épigraphiques, qui a recensé 316 inscriptions le concernant. Cet empereur, a non seulement renouvelé certains aspects dits républicains mais a préservé aussi le modèle augustéen, perceptible à travers sa dénomination dans laquelle Imperator Caesar est cité de manière constante en tête de la séquence impériale. En fait, les innovations de Trajan sont importantes et vont marquer longtemps l’histoire impériale, comme l’inauguration d’un nouveau comput tribunicien fixé au 10 décembre de chaque année, au lieu d’un comput variable marqué tout le premier siècle. Il n’a revêtu le consulat que cinq fois et pendant des périodes très coutres. Par cette pratique, il a redonné au pouvoir impérial son importance ; se présente comme le vrai père pour ses concitoyens, à Rome comme à travers l’empire. En somme, la formula de l’empereur trouve sa physionomie définitive à partir du règne de Trajan.Dans les cités des provinces occidentales, Trajan fut vénéré à travers le monumentum, comme par le texte qui fait corps avec la statue impériale. Cette image double répond d’abord aux exigences de la chancellerie impériale et parfois de l’empereur lui-même. Nombreuses sont les inscriptions qui lui sont dédiées. Elles expriment la reconnaissance des provinciaux, satisfaits de sa politique, source de paix et de prospérité. Les cités occidentales ont accordé une importance particulière à son image impériale et à ses différentes transcriptions liées parfois à un programme édilitaire. Il a bénéficié d’une reconnaissance sans limite par les provinciaux qui lui ont dédié des monuments encore visibles en Afrique, en Ibérie et en Germanies. Ce nouvel empereur, est grand conquérant, bon gouverneur, mais aussi héros (nouveau Diomède), il a plusieurs facettes. La fortune de l’empereur, sous son règne, comme après son décès est considérable. Il fut toujours le modèle du bon prince jusqu’aux époques contemporaines. / Through the analysis of the epigraphic and statuary evidence that relates to emperor Trajan in the cities of the western provinces, my objective is to determine the various forms of expression of allegiance and loyalty of the provincials towards him . The presence of Trajan through these two forms of expression usually privileged for imperial propaganda is very significant. It is due to several factors: Trajan is originally from Italica, in Betic, He is the first provincial to take power in Rome; then he is called Best of Princes; and he was a great soldier and a good administrator during a long reign of 19 years and a half. He was therefore honored by many epigraphic documents erected on the fora of provincial cities, accompanied by statues, on foot, or equestrian. He is a prince well known also in literature and numismatics. All these testimonies show that he is the first emperor whose title will be enriched with various attributes throughout his reign; he is Optimus princeps, the first Dacicus, the first Parthicus, but also the first to have worn the title Proconsul, outside Rome.This imperial title first established in Rome and then sent to the provinces is a rich and varied subject of study to make comparisons between the provinces and the cities themselves. This seems thanks feasible to a systematic inventory of epigraphic books allowing us to list 316 inscriptions mentioning the Emperor Trajan. This emperor not only renewed certain aspects said republicans but also preserved the Augustan model perceptible through its denomination in which Imperator Caesar is quoted constantly at the head of the imperial sequence. But the innovations of Trajan are important and will mark the imperial history for a long time, as the inauguration of a new computary tribune set to 10 December of each year, instead of a variable computary marked the entire first century. He has only been in the consulate five times and for very long periods. By this practice he has restored to imperial power its importance; He presents himself as the true father for his fellow citizens, in Rome as well as throughout the empire. In short, the Emperor's formula finds its definitive appearance from the reign of Trajan.
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Les portes de l'enceinte antique d'Autun et leurs modèles (Gaule, Italie, provinces occidentales de l'Empire romain) / City gates of Augustodunum and their architectural models (Gaul, Italy, Western Provinces of the Roman Empire)

Barriere, Vivien 07 December 2012 (has links)
Augustodunum, civitas Aeduorum, fondée à l’époque augustéenne, fut dotée de quatre portes urbaines : la porte d’Arroux et la porte Saint-André qui sont les mieux conservées, la porte Saint-Andoche dont il ne reste qu’une tour de flanquement et la porte de Rome, depuis longtemps disparue. L’étude stratigraphique du bâti des portes et la réflexion sur le fonctionnement du chantier de construction des portes urbaines d’Autun constituent le cœur de ce travail. Par ailleurs, antiquaires, voyageurs et artistes ont laissé depuis le XVIème siècle de nombreux témoignages de leur visite des portes romaines d’Autun. Ce fonds documentaire considérable, constitué de sources écrites et iconographiques, n’avait jusqu’alors pas été étudié de manière globale. Il a fallu mettre en série les sources textuelles afin de comprendre la part des emprunts aux travaux antérieurs. Un travail semblable de critique des représentations iconographiques des portes urbaines a également été effectué. Complément indispensable de l’étude stratigraphique des élévations conservées, l’étude de cette documentation ancienne a permis de proposer une hypothèse de restitution de l’histoire longue des portes d’Augustodunum de leur construction à nos jours. Le dernier volet de ce travail a consisté à replacer les portes d’Autun dans la série des portes urbaines monumentales de l’Occident romain construites entre le IIème siècle av. J.-C. et le IIème siècle ap. J.-C. mais aussi à présenter de nouvelles propositions de restitution du projet architectural, du plan des portes et de l’organisation interne de leurs tours de flanquement. / Augustodunum, civitas Aeduorum, roman city founded under the reign of Augustus, was equipped with four roman city gates : the gate of Arroux and the gate of Saint André, both well preserved, the gate of Saint Andoche which sole remaining part is a flanking tower, and the gate of Rome, destroyed long ago.The heart of this study lies in the stratigraphic reading of those gates structure and in thoughts about the building site of Autun’s city gates operating process. Moreover, since the 16th century, antiquaries, travelers and artists have described in many ways their visits to the roman city gates of Autun. These accounts constitute a major documentary collection of written and iconographical sources that had never been studied as a whole before. A classification of written sources was necessary in order to understand the borrowings from previous works. A similar work of critical study has been realized for the iconographical representations of the gates. As an essential complement of the stratigraphic reading of remaining elevations of the gates, the ancient archeological documentation study was indispensable to propose a restoration hypothesis of Augustodunum’s city gates long term history from their construction time to nowadays. The last section of this study aims to locate Autun’s city gates in the series of monumental city gates built in Western Roman Empire between the 2nd century BC and the 2nd century AD. Furthermore, that section presents new propositions for the restoration of the architectural project, of the gates plan and of the inner organization of these gates flanking towers.

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