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Le stigmate au miroir de l'estime de soi le cas du désordre mental face à l'étiquetage psychiatrique /Lacaze, Lionel Durif-Varembont, Jean-Pierre. January 2006 (has links)
Reproduction de : Thèse de doctorat : Psychologie sociale : Lyon 2 : 2006. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr.
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The social psychology of knowledge reassessed : toward a new delineation of the field with empirical substantiation /Pirttilä-Backman, Anna-Maija. January 1993 (has links)
Licentiate th.--Social psychology--University of Helsinki, 1991. / Bibliogr. p. 231-248.
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Crowds, psychology and politics, 1871-1899 /Van Ginneken, Jaap. January 1989 (has links)
Proefschrift--Universiteit van Amsterdam, 1989.
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La psychanalyse : son image et son public /Moscovici, Serge, January 2004 (has links)
Texte remanié de: Th.--Lettres--Paris, 1961.
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Learning about Groups: The Self and Social Networks in the Emergence of StereotypesEberlen, Julia 20 May 2020 (has links) (PDF)
Stereotypes are often considered to exist as a consequence of categorizing people into different groups, our belonging (or not) to the group, and our exposure to perceived covariation between group member’s physical and psychological characteristics However, the process of stereotype learning itself is not always taken into account. In my thesis, I hypothesized that people will categorize artificial social stimuli into groups, and learn to associate them with descriptions compatible with stereotype content, even if they are not actively made aware of such a connection. This learning process is influenced by the individuals process on the one, and its social environment on the other. First, we find that people learn stereotypes in the absence of explicit information about the existence of social outgroups. For stimuli with equal baseline valence, the contrast between perceived stereotypes was stronger when the stereotypical information was more distinctive for one social group over the other. When baseline valence was not the same, stereotype-consistent information increased this difference while non-stereotypical information led to less stereotypical differentiation between the groups.Second, when participants are themselves part of a group, stereotype consistent information is readily integrated into the group impression. For stereotype inconsistent information, and within the context of experimentally induced group belonging, participants did learn the (counter) stereotypical information, but the identification with the group decreased. Finally, the focus is again on outgroup stereotype learning, but this time in the context of small social networks. The aim here was to isolate network structure from social interaction per se and investigate whether structure alone influences the emergence of stereotypes. People learned from each other in these distinct network configurations, i.e. in a fully connected network or a star network. Different from the other studies, participants decided themselves how a member of our experimental social groups was presented to other participants. This way, we could observe whether stereotypes emerge as a consequence of social interaction, restricted by their network ties. We found that participants will learn outgroup stereotypes consistent with the covariation between group stimuli and description to which they were exposed in their respective network. However, the network structure itself does not contribute to stereotype learning or emergence. / Doctorat en Sciences psychologiques et de l'éducation / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La stigmatisation d'une sous-culture : étiquetage, marginalisation et déviance : étude d'une communauté de joueurs de jeux de rôle parisiensPécheur, Raphaële January 2006 (has links) (PDF)
Notre intérêt de recherche porte sur la stigmatisation des sous-cultures par la société. Afin d'étudier le phénomène de l'étiquetage social, nous avons décidé d'étudier une sous-culture dépréciée: la sous-culture des rôlistes. En effet, nos recherches préliminaires nous ont amenée à constater que cette communauté est décriée de manière très virulente. Cependant, nous nous sommes posés la question à savoir pourquoi une telle opinion? Pourquoi ce passe-temps est-il dénigré? Ces jeunes sont-ils dangereux ou fous? Les jeux sont-ils vecteurs de pathologies? Pourquoi une telle mise à l'écart? Notre but, dans cette étude, est d'identifier la stigmatisation et l'étiquetage dont ils sont victime et d'en comprendre les mécanismes. Nous voulons savoir si les joueurs sont des jeunes comme les autres ou en dehors de la réalité, une sorte de jeunesse dégénérée en mal de socialisation. La mise en marge de cette sous-culture par la société est un phénomène complexe que nous analysons dans cette recherche. Afin de mieux comprendre ce que sont les jeux de rôle, nous effectuons un bref historique des courants littéraires qui ont façonné le jeu de rôle jusqu'à aujourd'hui dont, principalement, le courant de la Fantasy, puis nous expliquons ce qu'est ce jeu de rôle. Pour mener à bien notre recherche, nous nous appuyons sur une méthodologie qualitative. Nous effectuons, une observation participante auprès d'un groupe de joueurs parisiens afin de comprendre leur dynamique et celle des jeux. N'ayant jamais joué aux jeux, nous confrontons notre point de vue avant l'expérience et après, afin de saisir si les jeux sont effectivement répréhensibles. Puis, nous interrogeons des non-joueurs pour connaître leur opinion sur les jeux. Des entrevues avec les joueurs nous permettent enfin de confronter les opinions et de comprendre quelle est leur position vis à vis des accusations à leur encontre. Le cadre théorique de l'École de Chicago et de l'interactionnisme symbolique nous permet de développer les concepts de l'étiquetage et de la stigmatisation, notions sur lesquelles nous nous basons pour effectuer notre analyse. Nos principaux résultats sont que les joueurs, considérés comme « déracinés », sont des jeunes comme les autres, passionnés par un passe-temps surtout inconnu. L'opinion générale serait propagée par les médias, entraînant une panique morale. Nous observons ainsi deux attitudes des joueurs face à ceci: devenir une source d'information; ou bien, développer une stigmatisation auprès de leurs accusateurs. La stigmatisation et l'étiquetage sont donc les résultats d'une influence extérieure impalpable. Il nous est apparu que le stigmate apportant le stigmate, le cercle apparaît difficile à briser. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Déviance, Marginalisation, Sous-culture, Étiquetage, Stigmatisation, Jeu de rôle.
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Étude exploratoire sur l'actualité du mauvais oeil et de l'envieKoubanioudakis, Denise January 2009 (has links) (PDF)
Ce mémoire de maîtrise tient lieu de recherche exploratoire sur la croyance au mauvais oeil. Il s'agit d'un mauvais sort qu'une personne peut jeter sur une autre en lui donnant paradoxalement, « trop » de compliments, en lui exprimant
« trop » d'admiration, causant différents malaises : maux de tête, bâillements excessifs, faiblesse physique, ou encore, dépression légère. L'individu importuné a recours à un guérisseur et/ou à une série de moyens prophylactiques.
L'étude du mauvais oeil renvoie à une appréhension «traditionnelle», associée à la tradition orale et à la transmission pratique multiséculaire, de sorte que le mauvais oeil apparaît essentiellement comme une manière de penser et d'agir qui vient du passé et reste du domaine ethnologique et folklorique. Or, il se trouve que ce phénomène est actuel, bien que situé à la marge communicationnelle, dans des sociétés contemporaines et occidentales telles que l'Europe, et ici même, en Amérique du Nord. Ce qui nous préoccupe et ce qui constitue sans doute l'originalité de notre étude concerne dès lors la manière dont des individus qui ne sont pas issus d'une société traditionnelle et qui évoluent dans une société dite « post-moderne », appréhendent le phénomène et trouvent un sens dans celui-ci, que nous désignons comme « l'appréhension moderne du mauvais oeil ». Lors de cette étude, la dimension de l'envie a été privilégiée, en se posant une question centrale: est-ce que le phénomène du mauvais oeil consiste à neutraliser la violence que peut potentiellement générer l'envie? Pour y répondre, nous avons d'abord retracé la genèse et la description de l'appréhension traditionnelle du mauvais oeil selon les écrits scientifiques. Notre cadre conceptuel est construit à l'aide de données issues de différentes études de cas. À ces données sont combinés des éléments théoriques de la psychosociologie, avec Alberoni (1995), puis de l'anthropologie du religieux avec Girard (1999, 2001, 2002). Le souci qui anime notre recueil de données (à travers des entrevues semi-dirigées) et notre analyse tient au fait de se tenir le plus justement et le plus fidèlement possible à proximité de l'expérience du mauvais oeil telle que décrite et analysée par trois (3) participants à cette recherche. Dès lors, le but de cette recherche exploratoire n'est pas tant d'arriver à une généralisation de cette « appréhension moderne » du phénomène, mais plutôt d'explorer les motifs susceptibles d'expliquer sa pérennité, le tout, dans une perspective interdisciplinaire. Aussi nous relevons comment le recours aux rituels prophylactiques du mauvais oeil est une forme de parade à l'agressivité que pourrait enclencher le mal, conscient ou inconscient, causé par l'envie, phénomène plus courant qu'il n'y paraît et notamment associé aux modèles sociaux-économiques dominants et relayés par les média et les mots d'ordre de performance et de «visibilité». Ainsi posées dans le monde contemporain, nos conclusions se prolongent dans l'univers interculturel de la santé mentale et physique et de ses enjeux de compréhension interdisciplinaire. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Mauvais oeil, Envie, Violence, Interculturel.
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Identité et itinérance : les stratégies identitaires dans le processus de désinsertion socialeOuellet, Guillaume 09 1900 (has links) (PDF)
L'identité individuelle résulte d'un processus complexe qui s'ébauche et se parfait à travers le rapport dialectique qu’entretient l'individu à l'autre. Au fil des interactions, l'individu - à la fois être singulier et membre d'une collectivité – est façonné par et pour le social. Toutefois, dans une société essentiellement axée sur la performance professionnelle et sur la réussite personnelle, certains individus ne trouvent pas l’occasion de participer pleinement au monde social. Exclus à divers degrés des principaux vecteurs d'inscription sociale que représentent, le travail, la consommation et la participation à un réseau relationnel, ces derniers se voient apposer l'étiquette de perdants. Parmi ceux-ci, ceux que l'on désigne comme étant « les itinérants » sont certainement les plus visibles. Socialement stigmatisées, les personnes en situation d'itinérance doivent apprendre à composer avec le fait de ne pas correspondre à l'image de l'autre idéal. En analysant le discours de dix-sept hommes en situation d'itinérance, ce mémoire propose d'explorer ce que représente l'itinérance du point de vue des personnes en situation d'itinérance, de quelle façon ces personnes portent-elles le poids de la stigmatisation sociale, quelles stratégies déploient-elles afin d'échapper à l'effet dévastateur de la stigmatisation sur leur identité et quelles sont les étapes qui ponctuent leur parcours dans l'itinérance.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Identité, Itinérance, Exclusion sociale, Désinsertion sociale, Stigmatisation, Rôle, Stratégies identitaires.
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Kontrollüberzeugungen, Vertrauen und politische Partizipation : eine Analyse handlungstheoretischer Modelle bei Psychologie- und Politikstudierenden in Deutschland, Kolumbien und Griechenland /Schmidt, Carsten Oliver, January 1900 (has links)
Diss.--Universität Frankfurt am Main, 2004. / Bibliogr. p. 173-192.
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Changement de représentations de l'objet travail le public précurseur des bilans de compétences /Charrol, Dominique. Cornaton, Michel January 2001 (has links)
Thèse de doctorat : Psychologie : Lyon 2 : 2001. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr. Index.
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