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Le sommeil des personnes atteintes de schizophrénie : résultats d’études par questionnaire, polysomnographie et analyse spectrale de l’EEG en sommeil paradoxal

Poulin, Julie 06 1900 (has links)
Les personnes atteintes de schizophrénie peuvent présenter un sommeil anormal même lorsqu’elles sont stables cliniquement sous traitements pharmacologiques. Les études présentées dans cette thèse ont pour but de mesurer le sommeil afin de mieux comprendre les dysfonctions des mécanismes cérébraux pouvant être impliqués dans la physiopathologie de la schizophrénie. Les trois études présentées dans cette thèse rapportent des résultats sur le sommeil dans la schizophrénie à trois niveaux d’analyse chez trois groupes différents de patients. Le premier niveau est subjectif et décrit le sommeil à l’aide d’un questionnaire administré chez des personnes atteintes de schizophrénie cliniquement stables sous traitements pharmacologiques. Le deuxième niveau est objectif et évalue le sommeil par une méta-analyse des études polysomnographiques chez des patients atteints de schizophrénie ne recevant pas de traitement pharmacologique. Le troisième niveau est micro-structurel et utilise l’analyse spectrale de l’électroencéphalogramme (EEG) afin de caractériser le sommeil paradoxal de patients en premier épisode aigu de schizophrénie avant le début du traitement pharmacologique. La première étude montre que, lorsqu’évaluées par un questionnaire de sommeil, les personnes atteintes de schizophrénie cliniquement stables sous traitements pharmacologiques rapportent prendre plus de temps à s’endormir, se coucher plus tôt et se lever plus tard, passer plus de temps au lit et faire plus de siestes comparativement aux participants sains. Aussi, tout comme les participants sains, les personnes atteintes de schizophrénie rapportent un nombre normal d’éveils nocturnes, se disent normalement satisfaites de leur sommeil et se sentent normalement reposées au réveil. La deuxième étude révèle qu’objectivement, lorsque les études polysomnographiques effectuées chez des patients non traités sont soumises à une méta-analyse, les personnes atteintes de schizophrénie montrent une augmentation du délai d’endormissement, une diminution du temps total en sommeil, une diminution de l’efficacité du sommeil et une augmentation de la durée des éveils nocturnes comparativement aux participants sains. Les patients en arrêt aigu de traitement ont des désordres plus sévères au niveau de ces variables que les patients jamais traités. Seulement les patients jamais traités ont une diminution du pourcentage de stade 2 comparativement aux participants sains. La méta-analyse ne révèle pas de différence significative entre les groupes en ce qui concerne le sommeil lent profond et le sommeil paradoxal. La troisième étude, portant sur l’analyse spectrale de l’EEG en sommeil paradoxal, montre une diminution de l’amplitude relative de la bande de fréquence alpha dans les régions frontales, centrales et temporales et montre une augmentation de l’amplitude relative de la bande de fréquence bêta2 dans la région occipitale chez les personnes en premier épisode de schizophrénie jamais traitées comparativement aux participants sains. L’activité alpha absolue est positivement corrélée aux symptômes négatifs dans les régions frontales, centrales et temporales et négativement corrélée aux symptômes positifs dans la région occipitale. L’activité beta2 absolue ne montre pas de corrélation significative avec les symptômes positifs et négatifs de la schizophrénie. Ces résultats sont discutés suivant la possibilité que des dysfonctions au niveau des mécanismes de la vigilance seraient impliquées dans la physiopathologie de la schizophrénie. / Patients with schizophrenia may have an abnormal sleep even when clinically stable under pharmacological treatments. In the present thesis, sleep studies aim at measuring central nervous system dysfunctions that can be involved in the pathophysiology of schizophrenia. The present thesis includes three studies. These studies report results on sleep in patients with schizophrenia in a three levels analysis with three different groups of patients. The first level is subjective and describes sleep habits using a questionnaire administered to outpatients with schizophrenia clinically stable under pharmacological treatments. The second level of analysis is objective and evaluates sleep architecture using a meta-analysis of polysomnographic studies in untreated patients with schizophrenia. The third level is microstructural and uses electroencephalogram (EEG) spectral analysis to characterize REM sleep in never-treated patients with first-episode schizophrenia. The first study shows that, when evaluated using a sleep habits questionnaire, outpatients with schizophrenia clinically stable under pharmacological treatments report increased time to fall asleep, have earlier bedtime, later risetime, spend more time in bed and do more naps compared to healthy participants. Also, similarly to healthy participants, most patients with schizophrenia report normal wake time after sleep onset, are normally satisfied about their sleep and feel normally refreshed in the morning. The second study reveals that, objectively, when polysomnographic studies evaluating untreated patients with schizophrenia are submitted to a meta-analysis, patients with schizophrenia have increased sleep latency, reduced total sleep time, reduced sleep efficiency and increased wake time after sleep onset compared to healthy participants. Patients in acute drug withdrawal show more severe sleep disturbances in these variables compared to never treated patients. Only never treated patients show decreased stage 2 sleep duration compared to healthy participants. The meta-analysis does not reveal significant differences between groups in regards to slow wave sleep and paradoxical sleep variables. The third study about REM sleep EEG spectral analysis shows decreased relative alpha spectral amplitude in frontal, central and temporal cortical regions and increased relative beta2 spectral amplitude in the occipital region in never treated patients with first-episode schizophrenia compared to healthy participants. Absolute alpha spectral amplitude correlates positively with negative symptoms in the frontal, central and temporal regions and negatively with positive symptoms in the occipital region. No significant correlation has been observed between beta2 spectral amplitude and clinical symptoms of schizophrenia. These results are discussed following the possibility that dysfunctions in the mechanisms of vigilance would be involved in the pathophysiology of schizophrenia.
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Les troubles psychotiques chez les enfants agressés sexuellement

Bourgeois, Catherine 07 1900 (has links)
Durant la dernière décennie, plusieurs études ont identifié l’agression sexuelle à l’enfance en tant que facteur de risque des troubles psychotiques. Toutefois, la survenue des troubles psychotiques chez les enfants et les adolescents ayant vécu une agression sexuelle à l’enfance a été très peu étudiée à ce jour de façon longitudinale, les études précédentes ayant majoritairement utilisé des devis rétrospectifs, étudiant les traumas à l’enfance chez les adultes ayant un trouble psychotique. Notre compréhension du développement des troubles psychotiques chez cette population est ainsi très limitée. L’objectif général de cette thèse est de mieux comprendre la survenue des troubles psychotiques chez les enfants ayant reçu un signalement d’agression sexuelle corroboré par le DPJ. Le premier article vise à documenter la prévalence des troubles psychotiques chez des jeunes agressés sexuellement entre le premier signalement corroboré d’agression sexuelle et le début de l’âge adulte. Les données administratives médicales de 882 jeunes ayant reçu un signalement d’agression sexuelle corroboré par le DPJ ont été comparées à 882 jeunes de la population générale sur une période de 13 ans. Les résultats obtenus via des modèles linéaires généralisés mixtes démontrent que les jeunes agressés sexuellement sont 10 fois plus à risque de recevoir un diagnostic de trouble psychotique que ceux de la population générale. Le second article documente la trajectoire développementale des troubles psychotiques suite à l’agression sexuelle en termes d’âge de survenue. La même méthodologie que celle du premier article est utilisée. Les analyses de survie réalisées démontrent que l’agression sexuelle et l’abus de substance sont associés à l’âge de survenue des troubles psychotiques. Ainsi, les jeunes de l’étude sont plus à risque de recevoir leur premier diagnostic de trouble psychotique plus tôt 6 dans leur développement lorsqu’ils ont reçu un signalement d’agression sexuelle et lorsqu’ils ont un diagnostic d’abus de substance. Lorsque les groupes sont comparés séparément, l’abus de substance est associé à l’âge de survenue uniquement dans le groupe agressé sexuellement. Le troisième article, de nature exploratoire, vise à identifier les facteurs psychologiques impliqués dans la survenue des troubles psychotiques chez les jeunes agressés sexuellement. Un premier objectif est d’identifier les facteurs psychologiques survenant de façon concomitante aux troubles psychotiques ; un second objectif est d’identifier les facteurs qui contribuent à prédire les troubles psychotiques. Pour cet article, seulement l’échantillon de jeunes agressés sexuellement est inclus. Les régressions logistiques révèlent que les troubles de personnalité sont significativement associés aux troubles psychotiques, les jeunes ayant reçu un tel diagnostic étant 10 fois plus à risque de recevoir également un diagnostic de trouble psychotique, peu importe l’ordre d’apparition des diagnostics. La déficience intellectuelle et l’abus de substance ont été identifiés comme contribuant à la survenue des troubles psychotiques. Les contributions théoriques de cette thèse à la littérature portant sur l’association entre l’agression sexuelle à l’enfance et la psychose ainsi que les implications cliniques pour l’intervention et la prévention auprès de cette population spécifique sont discutées. / In the last decade, several studies identified child sexual abuse as a risk factor for psychotic disorders. However, few longitudinal studies addressed the development of psychotic disorders in sexually abused children and adolescent. Previous studies mostly relied on retrospective designs, studying childhood trauma in adults with psychotic disorders, which limits our comprehension of the development of psychotic disorders in sexually abused children. The present thesis aims to achieve a better understanding of the development of psychotic disorders in youths who received a corroborated report of sexual abuse by the DYP. The first article aims to document the prevalence of psychotic disorders in sexually abused youth between the time of the first corroborated report of sexual abuse and the beginning of adulthood. Administrative databases of 882 youths who received a corroborated report of sexual abuse by the DPY were compared to 882 youths from the general population over a 13-year period. Conditional generalized linear mixed models reveal that sexually abused youth were 10 times more at risk to receive a diagnosis for a psychotic disorder than the general population. The second article documents the developmental trajectory of psychotic disorders following sexual abuse in terms of age at onset. The methods used are the same as the first article. Survival analysis reveal that sexual abuse and substance misuse are associated to the age at onset of psychotic disorder. Thus, studied youth are more at risk of receiving their first diagnosis of psychotic disorder early in their development when they received a corroborated report of sexual abuse or when they received a diagnosis for substance misuse. When the groups are compared separately, substance misuse is associated to the age at onset of psychotic disorder only in sexually abused youth. 8 The third article has an exploratory nature and aims to identify the psychological factors implied in the development of psychotic disorders in sexually abused youth. A first objective is to identify which psychological factors cooccur with psychotic disorder; a second objective is to identify which factors predicts psychotic disorders. For this article, only the sample of sexually abuse youth is used. Logistic regressions reveal that personality disorders are significantly associated to psychotic disorders. Youths with a diagnosis of personality disorders are 10 times more at risk of receiving also a diagnosis of psychotic disorder, regardless of the order in which they received either diagnosis. Intellectual disability and substance misuse are identified as factors who predict the development of psychotic disorders. The theoretical contributions of the present thesis to the literature on the association between childhood sexual abuse and psychotic disorders as well as the clinical implications for intervention and prevention programs offered to this population are discussed.
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Efficacité d'un programme d'activité physique basé sur le modèle transthéorique et sur les préférences-patient chez des individus atteints de troubles psychotiques

Dubois, Ève 12 1900 (has links)
Introduction : Quoique plus de 90 minutes/semaine d’activité physique (AP) soient recommandées, peu d'individus présentant un premier épisode psychotique (PEP) en pratiquent, malgré la présence de complications métaboliques fréquentes. La littérature suggère qu'une intervention d'AP incluant leurs préférences d’AP et des conseils motivationnels faciliterait leur adhésion. Objectifs: Vérifier la faisabilité, l’acceptabilité et l’impact d’une intervention d’AP sur la motivation à l’AP, le niveau d’AP, de sédentarité et la participation sociale. Méthodes: Essai clinique ouvert (étude pilote) conduit auprès de PEP. L’intervention de 24 séances d’AP supervisées est basée sur les « préférences-patient » et inclut des conseils motivationnels utilisant le modèle transthéorique. La faisabilité et l’acceptabilité étaient mesurées grâce au taux d’abandon, de présence et à la satisfaction. La motivation à l’AP, la participation sociale, le niveau d’AP et de sédentarité ont été mesurés. Résultats: Des 40 PEP (25,63±4,22 ans, 52,5% de femmes) recrutés, 40% ont abandonné; le taux de présence était 67,5%. Les PEP (94%) étaient beaucoup (4/5) à énormément (5/5) satisfaits. Le niveau d’AP est passé de 52,71 à 91,79 minutes/semaine (recommandations atteints) et la sédentarité de 90,85 à 33,75 ± 49,16 minutes. Aucun impact observé sur la motivation d’AP et la participation sociale. Conclusion: Les résultats préliminaires suggèrent qu'une intervention basée sur les préférences-patients est faisable et acceptable chez les PEP. De futures études contrôlées randomisées permettraient de déterminer si la diminution de la sédentarité et l’augmentation d’AP sont réellement attribuables à cette intervention et si elle peut contribuer à réduire les complications métaboliques chez les PEP. / Introduction: Although 90 minutes or more/week of physical activity (PA) is recommended, few individuals with early psychosis (IEP) practice it despite the frequent presence of metabolic complications. The literature suggests that a PA intervention including their preferred PA and motivational counseling would facilitate their adherence. Objectives: To determine the feasibility, acceptability and impact of a PA intervention on PA motivation, PA level, sedentary time and social participation. Methods: Open clinical trial (pilot study) conducted with IEP. The PA intervention of 24 supervised PA sessions is based on “patients-preferences” and includes motivational counseling using the transtheoretical model. Feasibility and acceptability were measured by drop-out rates and attendance and satisfaction level. PA motivation, PA level, level of physical inactivity and social participation were measured pre and post intervention. Results: Of the 40 IEP (age: 25.63 ± 4.22 years, 52.5% of women) recruited, 40% dropped out and the attendance rate was 67.5%. The satisfaction was rated (94%) “very satisfied” to “very much”. The PA level increased from 52,71 to 91.79 minutes/week (reaching recommendations) and physical inactivity decreased from 90,85 to 33.75 ± 49.16 minutes. The intervention had no impact on PA motivation and social participation. Conclusion: Our preliminary results suggest that an intervention based on patient preferences is feasible and acceptable in IEP. Future randomised controlled trials would allow to determine if the decreased physical inactivity and increased PA levels are due to this intervention and if it may contribute to reduce the frequent metabolic complications in IEP.

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