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El proceso comunicativo en El beso de la mujer araña de Manuel Puig. Una aproximación desde la pragmática

Cabanillas Ramos, Luis Daniel January 2016 (has links)
Determina la relación existente entre el discurso político y cinematográfico presente en El beso de la mujer araña del escritor Manuel Puig. Ambos discursos se incluyen en la obra a través de los diálogos, por tal motivo, se analizan desde una perspectiva pragmática, puesto que esta es una disciplina que toma en cuenta los factores extralingüísticos, los cuales determinan el uso del lenguaje. Interrelaciona los conceptos de subversión y homosexualidad dentro de la novela, analiza la relación entre lo literario y lo político y evalúa la manera en que influye un narrador homosexual en el discurso cinematográfico.
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La voix des voix narratives de l'adaptation cinématographique du roman Le baiser de la femme-araignée de Manuel Puig, réalisée par Hector Barbenco

Gauthier, Claire January 2010 (has links) (PDF)
L'objectif de ce mémoire consiste à examiner l'apport de la vocalité et du verbal dans l'adaptation cinématographique du roman Le Baiser de la femme-araignée, de Manuel Puig. À partir de ce cas précis, ce travail interroge les caractéristiques dominantes relatives à la contribution de la voix sous son double aspect, matériel et narratif, dans la transposition des textes au cinéma. Il était d'abord nécessaire d'aborder le phénomène de l'adaptation en prenant particulièrement en compte les distinctions entre récits littéraire, scénique et filmique, et de faire part, par la suite, des diverses façons de concevoir le passage d'une oeuvre littéraire à l'écran. Or, ce corpus permet non seulement d'observer la réécriture du roman par le film, mais aussi la transposition en images mouvantes et sonores des récits de plusieurs films verbalisés par un des protagonistes. Ainsi, le double mouvement de l'ekphrasis (présentation verbale d'une représentation visuelle) et de son renversement réunit l'art de la narration à celui de la projection. L'utilisation de la voix caractérise fortement cette adaptation filmique du roman de Puig réalisée par Hector Babenco, en 1985. Dans un univers clos, en racontant des films à son compagnon de cellule, un des héros se prête à des batifolages vocaux qui, dans le roman, s'apparentent à de la novellisation, alors que transposés verbalement au cinéma, ils relèvent de l'ekphrasis et inspirent des images insolites. Celles-ci introduisent le spectateur à une expérience esthético-poétique du cinéma et favorisent parfois le jeu entre le réalisme et un des aspects de ce que Gilles Deleuze nomme « les puissances du faux ». Mais c'est surtout la puissance de la voix à produire un imaginaire où se rencontrent le filmique et le verbal qui, dans ce mémoire, retient l'attention. Partant de l'idée que la voix identifie un personnage au même titre que son visage et que l'impact qu'elle produit est du même ordre qu'un gros plan facial, nous avons examiné ce parallèle du visage et de la voix sur la base de la distinction établie par Gilles Deleuze entre « visagéification » (unité réfléchissante de l'image) et « visagéité » (traits expressifs). Selon diverses théories concernant la voix en général et la voix au cinéma, nous avons pu constater que la voix constituait à elle seule un univers et que son expression au travers du dispositif filmique offrait un raffinement et une multitude de moyens dans l'expression artistique. La voix, à la fois en tant que son et parole signifiante, se révèle centrale dans la manifestation d'une oeuvre, au même titre qu'un personnage. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Voix, Adaptation cinématographique, Novellisation, Ekphrasis, Mise en abyme, Le baiser de la femme-araignée, Puissances du faux.
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"El beso de la mujer araña": Los sujetos y la imposibilidad de actuar.

Herrera Díaz, Tatiana January 2005 (has links)
Informe de Seminario para optar al grado de Licenciado en Lengua y Literatura Hispánica. / El siguiente trabajo trata del texto El beso de la mujer araña de Manuel Puig que relata la relación que se establece entre dos sujetos que se encuentran en una celda: Molina y Valentín. El personaje central para este trabajo es Valentín, sujeto poseedor de un discurso de tipo político que lo configura como sujeto revolucionario. Este carácter lo lleva a aspirar a desarrollarse como héroe.
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A letra, o corpo e o desejo : uma leitura comparada de Puig, Abreu e Bayly / Letter, body and desire : a comparative reading of Puig, Abreu and Bayly / La letra, el cuerpo y el deseo : una lectura comparativa de Puig, Abreu y Bayly / La lettre, le corps et le désir : une lecture comparée de Puig, Abreu et Bayly

Alos, Anselmo Peres January 2007 (has links)
La lettre, le corps et le désir: une lecture comparée de Puig, Abreu et Bayly a pour but de réaliser une analyse contrastive de trois récits qui représentent la problématisation de l´identité homosexuelle masculine dans le continent latinoam éricain : El beso de la mujer araña (Argentine, 1976), de Manuel Puig ; Onde andará Dulce Veiga? (Brésil, 1990), de Caio Fernando Abreu ; et No se lo digas a nadie (Pérou, 1994), de Jaime Bayly. L´articulation d´une épistémologie queer permet de penser la textualité comme le lieu de mise en scène d´une fiction politique qui met en question les démarches hétéronormatifs du sexe et du genre, et propose une stratégie de résistance fondée autant sur les corps et sur les plaisirs que sur les politiques de représentation et de réinvention des masculinités et des féminités. En prenant les présupposés féministes, la narratologie et la théorie/épistemologie queer comme appui théorique, on mène une lecture critique de ces récits, qui s´élèvent contre la démarche hétéronormatif et s´investent dans le potentiel subversif d´un lieu d´énonciation du discours littéraire marqué par la différence et par la résistance aux dispositifs hétéronormatifs de régulation des identités sexuelles. À partir d´une reprise des principes de narratologie, on recherche aussi la façon (ou façons) dans laquelle le texte narratif s´ébauche comme l´espace de négociation d´une perspective queer sur la nationalité, la sexualité et le genre dans l´énonciation des ces récits. Dans ce sens, la littérature réécrit autant le corps sexuel, pris comme le lieu de la subjectivité individuelle, que le corps social/national, compris comme une fiction régulatrice des sociabilités corporelles et sexuelles. À la fin, avec l´intention de visibiliser autant que de compprendre cette poétique queer, on cherche de souligner les contradictions et les impasses qui émergent dans les récits, surtout en ce qui concerne les questions de race, classe et genre, aussi bien que les potentialités et les points problématiques de la poétique queer en tant que lieu d´intervention culturelle, dans lequel se projètent de manière performative des nouveaux arrangements de legibilité sociale. / A letra, o corpo e o desejo: uma leitura comparada de Puig, Abreu e Bayly tem por objetivo a realização de uma análise contrastiva de três romances representativos da problematização da identidade homossexual masculina no continente latino-americano: El beso de la mujer araña (Argentina, 1976), de Manuel Puig; Onde andará Dulce Veiga? (Brasil, 1990), de Caio Fernando Abreu e No se lo digas a nadie (Peru, 1994), de Jaime Bayly. A articulação de uma epistemologia queer permite pensar a textualidade como o lugar de encenação de uma ficção política que questiona os regimes heteronomativos do sexo e do gênero, e propõe uma estratégia de resistência baseada tanto nos corpos e nos prazeres quanto nas políticas de representação e reinvenção das masculinidades e das feminilidades. Tomando os pressupostos feministas, os estudos narratológicos e a teoria/epistemologia queer como sustentação teórica, realiza-se uma leitura crítica desses romances, os quais questionam o regime heteronormativo e investem no potencial subversivo de um lugar de enunciação do discurso literário marcado pela diferença e pela resistência aos dispositivos heteronormativos de regulação das identidades sexuais. A partir de uma retomada dos princípios da narratologia, investiga-se também de que forma (ou formas) o texto narrativo configura-se como espaço de negociação de uma perspectiva queer sobre a nacionalidade, a sexualidade e o gênero na enunciação dos referidos romances. Neste sentido, a literatura reescreve tanto o corpo sexual, tido como o lugar da subjetividade individual, quanto o corpo social/nacional, entendido como uma ficção reguladora das sociabilidades corporais e sexuais. Com vistas a uma poética queer, busca-se evidenciar as contradições e impasses que emergem nos romances, particularmente em relação a questões de raça, classe e gênero, bem como as potencialidades e os pontos problemáticos da poética queer como lugar de intervenção cultural, no qual são performativamente projetados novos arranjos de legibilidade social. / Letter, body and desire : a comparative reading of Puig, Abreu and Bayly aims at analyzing in a contrastive way three representative novels of the problematic of the male homosexual identity in Latin America: Manuel Puig´s El beso de la mujer araña (Argentine, 1976), Caio Fernando Abreu´s Onde andará Dulce Veiga? (Brazil, 1990) and Jaime Bayly´s No se lo digas a nadie (Peru, 1994). The articulation of a queer epistemology allows us to think about textuality as a place of dramatization of a politic fiction that questions the heteronormative patterns of sex and gender, and proposes a strategy of resistance based both on bodies and pleasures and on politics of representation and reinvention of masculinities and femininities. Taking feminist assumptions, narratology and queer theory/epistemology as theoretical basis, it is made a critical reading of these novels, which are presented against the heteronormative model and invest in the subversive potential of a place of enunciation in the literary discourse marked by difference and resistance to the heteronormative disposals of regulation of sexual identities. Through the principles of narratology, it is also studied in which way (or ways) the narrative is configured as a space of negotiation, from a queer perspective, of nationality, sexuality and gender in the enunciation of these novels. In this sense, literature rewrites both the sexual body, seen as the place of individual subjectivity, and the social/national body, understood as a fiction that balances body and sexual sociabilities. At last, the contradictions and impasses that emerge from the novels are analyzed, particularly in which concerns questions of race, class and gender, as well as the potentialities and problematic points of a queer poetics as a place of cultural intervention, intending the construction and the comprehension of this queer poetics, where new arranges of social legibility are projected in a performative way. / La letra, el cuerpo y el deseo: una lectura comparativa de Puig, Abreu y Bayly tiene por objetivo la realización de un análisis contrastivo de tres novelas representativas de la problematización de la identidad homosexual masculina en el continente latinoamericano: El beso de la mujer araña (Argentina, 1976), de Manuel Puig; Onde andará Dulce Veiga? (Brasil, 1990), de Caio Fernando Abreu, y No se lo digas a nadie (Perú, 1994), de Jaime Bayly. La articulación de una epistemología queer posibilita pensar la textualidad como escena de una ficción política que cuestiona las políticas heteronormativas del sexo y del género, sugiriendo una estrategia de resistencia calcada en los cuerpos, en los placeres, en las políticas de representación y en la reinvención de las masculinidades y de las feminidades a la vez. Tomándose como base los presupuestos feministas, la narratología y la teoría/epistemología queer, se enuncia una lectura crítica de esas novelas, las cuales cuestionan la lógica heteronormativa y invierten en la potencia subversiva de un locus de enunciación del discurso literario señalado por la diferencia y por la resistencia a los dispositivos heteronormativos de la regulación de las identidades sexuales. A partir de una retomada de los principios de la narratología, se investiga también de qué forma (o formas) el texto narrativo se impone como espacio de negociación de una perspectiva queer acerca de la nacionalidad, de la sexualidad y de los géneros en la enunciación de las novelas en cuestión. En ese sentido, la literatura reinscribe tanto el cuerpo sexual, pensado como ubicación de la subjetividad individual, como el cuerpo social/nacional, comprendido como ficción reguladora de las sociabilidades corpóreas y sexuales. Finalmente, con vistas a una poética queer, búscase destacar las contradicciones y los conflictos emergentes en las novelas, en particular lo que se relaciona con cuestiones de raza, clase y género. Mientras tanto, las potencialidades y los puntos problemáticos de la poética queer son pensados como sitio de intervención cultural, en el cual hay la performance de la proyección de nuevos arreglos de legibilidad social.
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A letra, o corpo e o desejo : uma leitura comparada de Puig, Abreu e Bayly / Letter, body and desire : a comparative reading of Puig, Abreu and Bayly / La letra, el cuerpo y el deseo : una lectura comparativa de Puig, Abreu y Bayly / La lettre, le corps et le désir : une lecture comparée de Puig, Abreu et Bayly

Alos, Anselmo Peres January 2007 (has links)
La lettre, le corps et le désir: une lecture comparée de Puig, Abreu et Bayly a pour but de réaliser une analyse contrastive de trois récits qui représentent la problématisation de l´identité homosexuelle masculine dans le continent latinoam éricain : El beso de la mujer araña (Argentine, 1976), de Manuel Puig ; Onde andará Dulce Veiga? (Brésil, 1990), de Caio Fernando Abreu ; et No se lo digas a nadie (Pérou, 1994), de Jaime Bayly. L´articulation d´une épistémologie queer permet de penser la textualité comme le lieu de mise en scène d´une fiction politique qui met en question les démarches hétéronormatifs du sexe et du genre, et propose une stratégie de résistance fondée autant sur les corps et sur les plaisirs que sur les politiques de représentation et de réinvention des masculinités et des féminités. En prenant les présupposés féministes, la narratologie et la théorie/épistemologie queer comme appui théorique, on mène une lecture critique de ces récits, qui s´élèvent contre la démarche hétéronormatif et s´investent dans le potentiel subversif d´un lieu d´énonciation du discours littéraire marqué par la différence et par la résistance aux dispositifs hétéronormatifs de régulation des identités sexuelles. À partir d´une reprise des principes de narratologie, on recherche aussi la façon (ou façons) dans laquelle le texte narratif s´ébauche comme l´espace de négociation d´une perspective queer sur la nationalité, la sexualité et le genre dans l´énonciation des ces récits. Dans ce sens, la littérature réécrit autant le corps sexuel, pris comme le lieu de la subjectivité individuelle, que le corps social/national, compris comme une fiction régulatrice des sociabilités corporelles et sexuelles. À la fin, avec l´intention de visibiliser autant que de compprendre cette poétique queer, on cherche de souligner les contradictions et les impasses qui émergent dans les récits, surtout en ce qui concerne les questions de race, classe et genre, aussi bien que les potentialités et les points problématiques de la poétique queer en tant que lieu d´intervention culturelle, dans lequel se projètent de manière performative des nouveaux arrangements de legibilité sociale. / A letra, o corpo e o desejo: uma leitura comparada de Puig, Abreu e Bayly tem por objetivo a realização de uma análise contrastiva de três romances representativos da problematização da identidade homossexual masculina no continente latino-americano: El beso de la mujer araña (Argentina, 1976), de Manuel Puig; Onde andará Dulce Veiga? (Brasil, 1990), de Caio Fernando Abreu e No se lo digas a nadie (Peru, 1994), de Jaime Bayly. A articulação de uma epistemologia queer permite pensar a textualidade como o lugar de encenação de uma ficção política que questiona os regimes heteronomativos do sexo e do gênero, e propõe uma estratégia de resistência baseada tanto nos corpos e nos prazeres quanto nas políticas de representação e reinvenção das masculinidades e das feminilidades. Tomando os pressupostos feministas, os estudos narratológicos e a teoria/epistemologia queer como sustentação teórica, realiza-se uma leitura crítica desses romances, os quais questionam o regime heteronormativo e investem no potencial subversivo de um lugar de enunciação do discurso literário marcado pela diferença e pela resistência aos dispositivos heteronormativos de regulação das identidades sexuais. A partir de uma retomada dos princípios da narratologia, investiga-se também de que forma (ou formas) o texto narrativo configura-se como espaço de negociação de uma perspectiva queer sobre a nacionalidade, a sexualidade e o gênero na enunciação dos referidos romances. Neste sentido, a literatura reescreve tanto o corpo sexual, tido como o lugar da subjetividade individual, quanto o corpo social/nacional, entendido como uma ficção reguladora das sociabilidades corporais e sexuais. Com vistas a uma poética queer, busca-se evidenciar as contradições e impasses que emergem nos romances, particularmente em relação a questões de raça, classe e gênero, bem como as potencialidades e os pontos problemáticos da poética queer como lugar de intervenção cultural, no qual são performativamente projetados novos arranjos de legibilidade social. / Letter, body and desire : a comparative reading of Puig, Abreu and Bayly aims at analyzing in a contrastive way three representative novels of the problematic of the male homosexual identity in Latin America: Manuel Puig´s El beso de la mujer araña (Argentine, 1976), Caio Fernando Abreu´s Onde andará Dulce Veiga? (Brazil, 1990) and Jaime Bayly´s No se lo digas a nadie (Peru, 1994). The articulation of a queer epistemology allows us to think about textuality as a place of dramatization of a politic fiction that questions the heteronormative patterns of sex and gender, and proposes a strategy of resistance based both on bodies and pleasures and on politics of representation and reinvention of masculinities and femininities. Taking feminist assumptions, narratology and queer theory/epistemology as theoretical basis, it is made a critical reading of these novels, which are presented against the heteronormative model and invest in the subversive potential of a place of enunciation in the literary discourse marked by difference and resistance to the heteronormative disposals of regulation of sexual identities. Through the principles of narratology, it is also studied in which way (or ways) the narrative is configured as a space of negotiation, from a queer perspective, of nationality, sexuality and gender in the enunciation of these novels. In this sense, literature rewrites both the sexual body, seen as the place of individual subjectivity, and the social/national body, understood as a fiction that balances body and sexual sociabilities. At last, the contradictions and impasses that emerge from the novels are analyzed, particularly in which concerns questions of race, class and gender, as well as the potentialities and problematic points of a queer poetics as a place of cultural intervention, intending the construction and the comprehension of this queer poetics, where new arranges of social legibility are projected in a performative way. / La letra, el cuerpo y el deseo: una lectura comparativa de Puig, Abreu y Bayly tiene por objetivo la realización de un análisis contrastivo de tres novelas representativas de la problematización de la identidad homosexual masculina en el continente latinoamericano: El beso de la mujer araña (Argentina, 1976), de Manuel Puig; Onde andará Dulce Veiga? (Brasil, 1990), de Caio Fernando Abreu, y No se lo digas a nadie (Perú, 1994), de Jaime Bayly. La articulación de una epistemología queer posibilita pensar la textualidad como escena de una ficción política que cuestiona las políticas heteronormativas del sexo y del género, sugiriendo una estrategia de resistencia calcada en los cuerpos, en los placeres, en las políticas de representación y en la reinvención de las masculinidades y de las feminidades a la vez. Tomándose como base los presupuestos feministas, la narratología y la teoría/epistemología queer, se enuncia una lectura crítica de esas novelas, las cuales cuestionan la lógica heteronormativa y invierten en la potencia subversiva de un locus de enunciación del discurso literario señalado por la diferencia y por la resistencia a los dispositivos heteronormativos de la regulación de las identidades sexuales. A partir de una retomada de los principios de la narratología, se investiga también de qué forma (o formas) el texto narrativo se impone como espacio de negociación de una perspectiva queer acerca de la nacionalidad, de la sexualidad y de los géneros en la enunciación de las novelas en cuestión. En ese sentido, la literatura reinscribe tanto el cuerpo sexual, pensado como ubicación de la subjetividad individual, como el cuerpo social/nacional, comprendido como ficción reguladora de las sociabilidades corpóreas y sexuales. Finalmente, con vistas a una poética queer, búscase destacar las contradicciones y los conflictos emergentes en las novelas, en particular lo que se relaciona con cuestiones de raza, clase y género. Mientras tanto, las potencialidades y los puntos problemáticos de la poética queer son pensados como sitio de intervención cultural, en el cual hay la performance de la proyección de nuevos arreglos de legibilidad social.
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Alos, Anselmo Peres January 2007 (has links)
La lettre, le corps et le désir: une lecture comparée de Puig, Abreu et Bayly a pour but de réaliser une analyse contrastive de trois récits qui représentent la problématisation de l´identité homosexuelle masculine dans le continent latinoam éricain : El beso de la mujer araña (Argentine, 1976), de Manuel Puig ; Onde andará Dulce Veiga? (Brésil, 1990), de Caio Fernando Abreu ; et No se lo digas a nadie (Pérou, 1994), de Jaime Bayly. L´articulation d´une épistémologie queer permet de penser la textualité comme le lieu de mise en scène d´une fiction politique qui met en question les démarches hétéronormatifs du sexe et du genre, et propose une stratégie de résistance fondée autant sur les corps et sur les plaisirs que sur les politiques de représentation et de réinvention des masculinités et des féminités. En prenant les présupposés féministes, la narratologie et la théorie/épistemologie queer comme appui théorique, on mène une lecture critique de ces récits, qui s´élèvent contre la démarche hétéronormatif et s´investent dans le potentiel subversif d´un lieu d´énonciation du discours littéraire marqué par la différence et par la résistance aux dispositifs hétéronormatifs de régulation des identités sexuelles. À partir d´une reprise des principes de narratologie, on recherche aussi la façon (ou façons) dans laquelle le texte narratif s´ébauche comme l´espace de négociation d´une perspective queer sur la nationalité, la sexualité et le genre dans l´énonciation des ces récits. Dans ce sens, la littérature réécrit autant le corps sexuel, pris comme le lieu de la subjectivité individuelle, que le corps social/national, compris comme une fiction régulatrice des sociabilités corporelles et sexuelles. À la fin, avec l´intention de visibiliser autant que de compprendre cette poétique queer, on cherche de souligner les contradictions et les impasses qui émergent dans les récits, surtout en ce qui concerne les questions de race, classe et genre, aussi bien que les potentialités et les points problématiques de la poétique queer en tant que lieu d´intervention culturelle, dans lequel se projètent de manière performative des nouveaux arrangements de legibilité sociale. / A letra, o corpo e o desejo: uma leitura comparada de Puig, Abreu e Bayly tem por objetivo a realização de uma análise contrastiva de três romances representativos da problematização da identidade homossexual masculina no continente latino-americano: El beso de la mujer araña (Argentina, 1976), de Manuel Puig; Onde andará Dulce Veiga? (Brasil, 1990), de Caio Fernando Abreu e No se lo digas a nadie (Peru, 1994), de Jaime Bayly. A articulação de uma epistemologia queer permite pensar a textualidade como o lugar de encenação de uma ficção política que questiona os regimes heteronomativos do sexo e do gênero, e propõe uma estratégia de resistência baseada tanto nos corpos e nos prazeres quanto nas políticas de representação e reinvenção das masculinidades e das feminilidades. Tomando os pressupostos feministas, os estudos narratológicos e a teoria/epistemologia queer como sustentação teórica, realiza-se uma leitura crítica desses romances, os quais questionam o regime heteronormativo e investem no potencial subversivo de um lugar de enunciação do discurso literário marcado pela diferença e pela resistência aos dispositivos heteronormativos de regulação das identidades sexuais. A partir de uma retomada dos princípios da narratologia, investiga-se também de que forma (ou formas) o texto narrativo configura-se como espaço de negociação de uma perspectiva queer sobre a nacionalidade, a sexualidade e o gênero na enunciação dos referidos romances. Neste sentido, a literatura reescreve tanto o corpo sexual, tido como o lugar da subjetividade individual, quanto o corpo social/nacional, entendido como uma ficção reguladora das sociabilidades corporais e sexuais. Com vistas a uma poética queer, busca-se evidenciar as contradições e impasses que emergem nos romances, particularmente em relação a questões de raça, classe e gênero, bem como as potencialidades e os pontos problemáticos da poética queer como lugar de intervenção cultural, no qual são performativamente projetados novos arranjos de legibilidade social. / Letter, body and desire : a comparative reading of Puig, Abreu and Bayly aims at analyzing in a contrastive way three representative novels of the problematic of the male homosexual identity in Latin America: Manuel Puig´s El beso de la mujer araña (Argentine, 1976), Caio Fernando Abreu´s Onde andará Dulce Veiga? (Brazil, 1990) and Jaime Bayly´s No se lo digas a nadie (Peru, 1994). The articulation of a queer epistemology allows us to think about textuality as a place of dramatization of a politic fiction that questions the heteronormative patterns of sex and gender, and proposes a strategy of resistance based both on bodies and pleasures and on politics of representation and reinvention of masculinities and femininities. Taking feminist assumptions, narratology and queer theory/epistemology as theoretical basis, it is made a critical reading of these novels, which are presented against the heteronormative model and invest in the subversive potential of a place of enunciation in the literary discourse marked by difference and resistance to the heteronormative disposals of regulation of sexual identities. Through the principles of narratology, it is also studied in which way (or ways) the narrative is configured as a space of negotiation, from a queer perspective, of nationality, sexuality and gender in the enunciation of these novels. In this sense, literature rewrites both the sexual body, seen as the place of individual subjectivity, and the social/national body, understood as a fiction that balances body and sexual sociabilities. At last, the contradictions and impasses that emerge from the novels are analyzed, particularly in which concerns questions of race, class and gender, as well as the potentialities and problematic points of a queer poetics as a place of cultural intervention, intending the construction and the comprehension of this queer poetics, where new arranges of social legibility are projected in a performative way. / La letra, el cuerpo y el deseo: una lectura comparativa de Puig, Abreu y Bayly tiene por objetivo la realización de un análisis contrastivo de tres novelas representativas de la problematización de la identidad homosexual masculina en el continente latinoamericano: El beso de la mujer araña (Argentina, 1976), de Manuel Puig; Onde andará Dulce Veiga? (Brasil, 1990), de Caio Fernando Abreu, y No se lo digas a nadie (Perú, 1994), de Jaime Bayly. La articulación de una epistemología queer posibilita pensar la textualidad como escena de una ficción política que cuestiona las políticas heteronormativas del sexo y del género, sugiriendo una estrategia de resistencia calcada en los cuerpos, en los placeres, en las políticas de representación y en la reinvención de las masculinidades y de las feminidades a la vez. Tomándose como base los presupuestos feministas, la narratología y la teoría/epistemología queer, se enuncia una lectura crítica de esas novelas, las cuales cuestionan la lógica heteronormativa y invierten en la potencia subversiva de un locus de enunciación del discurso literario señalado por la diferencia y por la resistencia a los dispositivos heteronormativos de la regulación de las identidades sexuales. A partir de una retomada de los principios de la narratología, se investiga también de qué forma (o formas) el texto narrativo se impone como espacio de negociación de una perspectiva queer acerca de la nacionalidad, de la sexualidad y de los géneros en la enunciación de las novelas en cuestión. En ese sentido, la literatura reinscribe tanto el cuerpo sexual, pensado como ubicación de la subjetividad individual, como el cuerpo social/nacional, comprendido como ficción reguladora de las sociabilidades corpóreas y sexuales. Finalmente, con vistas a una poética queer, búscase destacar las contradicciones y los conflictos emergentes en las novelas, en particular lo que se relaciona con cuestiones de raza, clase y género. Mientras tanto, las potencialidades y los puntos problemáticos de la poética queer son pensados como sitio de intervención cultural, en el cual hay la performance de la proyección de nuevos arreglos de legibilidad social.

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