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Les arts communautaires à Belfast de 1979 à 2006 : de la marge au consensus ? / The community arts sector in Belfast from 1979 to 2006 : from resistance to consensus?

Hamayon-Alfaro, Hélène 28 November 2009 (has links)
Ce travail de recherche explore les raisons et les enjeux de l’essor des arts communautaires à Belfast de 1979 à 2006. Il a pour objectif de mettre en relief une interdépendance entre les stratégies déployées pour résoudre le conflit nord-irlandais et le développement des arts communautaires. Nous avons, dans un premier temps, analysé le contexte dans lequel les arts communautaires ont émergé à Belfast. Nous avons, ensuite, étudié en parallèle le développement des stratégies mises en œuvre tant sur le plan national qu’européen et l’essor des arts communautaires. Principalement présents dans les quartiers catholiques, les arts communautaires ont d’abord été l’expression d’une résistance aussi bien artistique que politique. Au cours des années 90, le regard que les milieux décisionnels portent sur les arts communautaires évolue, notamment sous l’impulsion de l’Europe dont les Programmes pour la Paix et la Réconciliation encouragent la participation des habitants à des projets variés. Identifiés comme moteur de changement, les arts communautaires apparaissent en mesure de répondre aux attentes gouvernementales et européennes en termes de construction de la paix, de cohésion sociale, de relations communautaires et de développement économique. Dans un contexte de sortie de conflit, la municipalité de Belfast, désireuse de transformer l’image de la ville et de s’ouvrir sur l’extérieur, place les arts et la culture au cœur d’une stratégie de reconversion urbaine. / This dissertation looks into the factors that have caused the Belfast community arts sector to grow over a period of time that was marked by major political changes. Indeed, in the 80s community arts, which developed primarily in Catholic working-class areas against a backdrop of communal violence and community activism, were marginalised, undervalued and underfunded. In the 90s, this situation gradually changed as the British government and Europe came to realise the contribution community arts could make to peace building, social cohesion, community relations and economic development by enhancing community confidence. The impact this shift in approach has had, has been particularly impressive in the field of arts and culture where cultural trends promoting greater participation and wider access to the arts have gained momentum. In practice, the gradual move from arts policy to cultural policy has meant that community arts have been placed! at the heart of Belfast’s regeneration process and increasingly used as a tool to further public policies.
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La Commission de la capitale nationale et l’Île de Hull : entre identité nationale et conscience régionale (1959-1979)

Legris-Dumontier, Sophie-Hélène 28 January 2014 (has links)
Au moment de sa création, en 1959, la Commission de la capitale nationale (CCN) a pour but d’intégrer les villes de Hull et d’Ottawa, cette union devant symboliser, plus largement, celle des deux peuples fondateurs du Canada. Or, ce projet a provoqué d’importants débats politiques à Hull au fil des années. En se voyant ainsi intégrée à la région de la capitale nationale (RCN), Hull perdait une partie de son autonomie. Cette thèse propose une étude de la CCN pendant la rénovation urbaine de l’Île de Hull des années 1960 et 1970 afin d’y cerner le rôle joué par le débat sur la question nationale. Il s’agit d’un élément moteur de l’action de la CCN. En fait, la question nationale se trouve à plusieurs niveaux de la problématique. Ce sujet peu exploré donne à cette recherche son originalité. En examinant les relations entre les acteurs de la revitalisation du centre-ville, soit la CCN, le conseil municipal de Hull, les regroupements citoyens et le gouvernement du Québec, la thèse opte pour une perspective à la fois politique, institutionnelle et sociale. Un jeu de pouvoir entre les paliers gouvernementaux prend place alors que Hull et Ottawa se disputent les investissements fédéraux. Les citoyens de l’Île de Hull s’engagent dans les assemblées citoyennes et y développent une conscience régionale qui tardait à s’affirmer.
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Saint-Denis face au défi de l’habitat insalubre, enjeux et politiques publiques / Saint-Denis and the challenges of insalubrious housing : stakes and public policy

Costil-Levasseur, Mathilde 31 March 2016 (has links)
Saint-Denis, ville populaire et limitrophe de Paris est particulièrement impactée par l’habitat insalubre. Comment une ville communiste qui promeut une politique inclusive traite la question de l’habitat insalubre et quels sont les enjeux géopolitiques derrière la résorption de cet habitat ? Concernant les bidonvilles, les élus de Saint-Denis se sont fait les porte-voix de cette question à l’échelle nationale et mènent plusieurs projets d’insertion sur le territoire. Ceux-ci relèvent plus, en l’absence de politique nationale, d’un bricolage et se heurtent au manque de moyens, au problème de relogement et parfois à la réaction de certains riverains. Quant à l’insalubrité des immeubles, elle persiste malgré trente ans de politiques publiques, en raison de la faible efficacité des politiques incitatives, de la paupérisation de la ville et de la logique de marché qui a attiré des propriétaires bailleurs d’abord intéressés par la rentabilité des biens. Depuis 2008, la municipalité concentre ses efforts sur le centre-ville via un important programme de rénovation urbaine (un Programme National de requalification des Quartiers Anciens Dégradés – PNRQAD), qui s’inscrit dans une stratégie de valorisation du centre-ville pour attirer des propriétaires plus à même d’entretenir le bâti. La mise en place du PNRQAD soulève des enjeux de peuplement, d’image et d’évolution sociologique du centre-ville, d’autant plus que les communistes sont politiquement en difficulté. Ils se retrouvent pris dans une contradiction majeure : changer l’image de Saint-Denis pour contribuer à un meilleur entretien du bâti favorise une évolution du peuplement qui leur sera défavorable électoralement. / Saint-Denis, a working class city in the suburb of Paris, is particularly impacted by run-down housing. How does a communist city that promotes an inclusive politics, addresses the question of degraded housing and what are the geopolitical stakes behind the resorption of this type of habitat? Saint-Denis’ elected officials have become outspoken on the question of slums at the national level and lead several projects for inserting their inhabitants in the territory. Those are however more akin to patch-up jobs considering the absence of a national policy and they face the lack of funding, the problem of rehousing, and sometimes negative reactions from other residents. With regards to apartment buildings’ insalubrity, it remains a problem despite thirty years of public policies. This is due to the low efficiency of incentivizing policies, city pauperization, and market-based solutions that attract landlords more interested in economic returns than good maintenance. Since 2008, city hall concentrates its efforts on the downtown area through a major program of urban renewal (PNRQAD), as part of a strategy to revalorize it to attract owners that would maintain housing’s upkeep. The implementation of the PNRQAD raises questions on issues of settlement, image, and sociological evolution of the downtown area, all the more so now that communists are faced with a rising socialist party. Communist elected officials therefore now face an internal contradiction: changing Saint-Denis’ image with the purpose of increasing the quality of housing conditions favors a settlement pattern that will be electorally detrimental to them.
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Rénovation urbaine, mobilités résidentielles et changement social : études comparées / Urban renewal, residential mobility and social change : a comparative approach

Léostic, Fanny 13 December 2013 (has links)
Depuis la loi du 1er août 2003 d’orientation et de programmation pour la ville et la rénovation urbaine, les quartiers dits « sensibles » des agglomérations françaises sont engagés dans un vaste programme de transformation, présenté par son concepteur, Jean-Louis Borloo, comme le plus grand chantier du siècle. Localement, les projets de rénovation urbaine s’appuient sur des opérations urbanistiques – démolition, réhabilitation, construction de logements – qui suscitent des mobilités résidentielles plus ou moins contraintes et organisées par les acteurs engagés dans les projets. Cette thèse pose la question de l’impact de ces opérations dans l’évolution des quartiers, replacés dans une perspective temporelle plus longue. Y a-t-il rupture radicale dans les dynamiques observées à moyen terme ? Quels sont les effets des transformations physiques et des mobilités résidentielles induites sur la composition sociale des quartiers rénovés ? À l’aide d’une démarche inductive et pragmatique partant de la comparaison de quatre sites en rénovation, et d’une analyse statistique, ce travail de recherche interroge l’effet de lieu dans la rénovation urbaine. Les conclusions mettent en évidence que des phénomènes structurels (parc de logements initial, contexte géographique et social) contraignent fortement l’évolution des sites, et que les mobilités résidentielles se traduisent par une reconcentration des populations précaires dans des quartiers de plus en plus fragmentés. / In 2003, a landmark enactment was passed in France to fight urban blight. Since then, the French government is engaged in a policy of major urban renewal that targets run-down neighborhoods in central or peripheral urban areas. Local projects consist in refurbishing existing buildings or in tearing down and rebuilding old ones, as a way to promote spatial and social changes. Those programs induce different types of residential mobility, from mandatory mobility implemented by local players, to mobility that is more spontaneous. This thesis addresses the impact of those projects upon the evolution of the targeted areas, studied on a middle-term basis. Do the spatial and social dynamics of those areas radically change? What are the social consequences of the transformations of the built environment and of residential mobility? Our approach is inductive, and pragmatic. The comparison of four projects, statistically studied, allows us to test the hypothesis of an impact of place on urban renewal. As the result of our analysis, structural facts, such as housing stock, or social and geographical contexts, appear to be determining factors of the evolution of the studied areas. Residential mobility tends to re-concentrate disadvantaged people, thus increasing spatial fragmentation – which does not match the initial goals of the 2003 law.
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D'une pensée moderniste à une approche paysagère : étude du rôle de l'identité dans les approches de rénovation urbaine à Téhéran contemporain (depuis la fondation de l' organisation de la rénovation urbaine de Téhéran en 1975) / From a modernist thought to a landscape approach : study of the role of identity in urban renovation approaches in Tehran comtemporary (since the founding of the organization of urban renovation of Tehran in 1975)

Teimouri, Mahmoud 18 September 2015 (has links)
La présente thèse se propose d'évaluer le rôle de l'identité urbaine dans les évolutions des approches de la rénovation urbaine en Iran et à Téhéran contemporain. La Partie I examine les fondements théoriques dont l'identité et l'identité du lieu, ainsi que leur rôle dans l'histoire de la civilisation iranienne. Le chapitre 1 présente une analyse des pensées des philosophes irano-musulmans pour déterminer un cadre pour le concept de l'identité. Le chapitre 3 se servira de ce cadre conceptuel pour obtenir les critères d'évaluation de l'identité de la ville. La Partie II est consacrée aux expériences de la rénovation urbaine dans le monde et présentera une image générale de l'évolution historique des tendances identitaires. La Partie III examine les politiques identitaires, les programmes, la législation et les plans de rénovations urbaines pendant l'histoire contemporaine de l'Iran. Le but est de présenter les courants d'idées identitaires dans le domaine de la rénovation urbaine. La Partie IV se concentre sur l'étude de trois grands projets de rénovation à Téhéran, pour évaluer les évolutions des approches de rénovation, du point de vue de l'attention portée à la question de l'identité. La thèse présentée est la suivante : l'identité urbaine a toujours été l'un des défis principaux des projets de rénovation urbaine en Iran et à Téhéran, et a joué un rôle déterminant dans les changements des approches. Pour accéder à une identité urbaine convenable à Téhéran, de nombreuses approches ont été expérimentées ; du recours aux méthodes modernistes se focalisant sur les aspects physiques, à l'approche de la théorie du paysage, se fondant sur la construction du lieu. / This thesis evaluates the role of identity in changing urban renovation approaches in contemporary Iran and Tehran. The first part as theoretical bases deals with the concepts of identity, place identity and its importance in the civilization history of Iran. In the first chapter, the framework of the concept of identity in the culture of Iran is developed by the content analysis of the main Iranian-­Islamic philosophers' view. In the third chapter, the criteria of evaluating place identity and its functions are investigated by using this framework and analyzing theoreticians' views. In the second part, the experiences of urban renovation in the world are studied and dominant approaches are introduced. In the third part, while identifying identity policies, development programs, regulations and urban plans are evaluated in three main periods of the contemporary history of Iran. The result of this part is identifying currents claiming identity in the urban renovation of Iran comparing the change of their tendencies towards its universal evolution. In the fourth part, renovation approaches in Tehran and the change of their tendencies towards urban identity are evaluated by focusing on three case studies of the main renovation projects in Tehran. Finally, the conclusion was drawn that urban identity has been suggested as one of the main challenges of urban renovation in Iran and Tehran and has had a determining rote in changing renovation approaches. Various approaches are examined to achieve the desirable urban identity in Tehran that their evolution is started from frame-oriented modernistic methods and is ended in landscape approach based on place making.
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La Commission de la capitale nationale et l’Île de Hull : entre identité nationale et conscience régionale (1959-1979)

Legris-Dumontier, Sophie-Hélène January 2014 (has links)
Au moment de sa création, en 1959, la Commission de la capitale nationale (CCN) a pour but d’intégrer les villes de Hull et d’Ottawa, cette union devant symboliser, plus largement, celle des deux peuples fondateurs du Canada. Or, ce projet a provoqué d’importants débats politiques à Hull au fil des années. En se voyant ainsi intégrée à la région de la capitale nationale (RCN), Hull perdait une partie de son autonomie. Cette thèse propose une étude de la CCN pendant la rénovation urbaine de l’Île de Hull des années 1960 et 1970 afin d’y cerner le rôle joué par le débat sur la question nationale. Il s’agit d’un élément moteur de l’action de la CCN. En fait, la question nationale se trouve à plusieurs niveaux de la problématique. Ce sujet peu exploré donne à cette recherche son originalité. En examinant les relations entre les acteurs de la revitalisation du centre-ville, soit la CCN, le conseil municipal de Hull, les regroupements citoyens et le gouvernement du Québec, la thèse opte pour une perspective à la fois politique, institutionnelle et sociale. Un jeu de pouvoir entre les paliers gouvernementaux prend place alors que Hull et Ottawa se disputent les investissements fédéraux. Les citoyens de l’Île de Hull s’engagent dans les assemblées citoyennes et y développent une conscience régionale qui tardait à s’affirmer.
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La copropriété dégradée, le relogement et après ? Professionnels et habitants dans une opération rénovation urbaine / Privately-owned buildings, re-housing, what next steps ? Professionnals and inhabitants involved in an urban renewal operation

Habouzit, Rémi 30 June 2017 (has links)
Depuis 2003, plus de 400 quartiers populaires classés en Zones Urbaines Sensibles (ZUS) et 4 millions d’habitants sont devenus les destinataires d’un Programme de Rénovation Urbaine (PRU) instauré par la « loi Borloo » d’orientation et de programmation pour la ville. Dans un objectif de transformation des quartiers et de mixité sociale, ces programmes entraînent des opérations de démolition/reconstruction de logements, la réhabilitation du parc existant et la redéfinition des espaces urbains collectifs (voirie, espaces verts, etc.).Les communes de Clichy-sous-Bois et de Montfermeil en Seine-Saint-Denis font l’objet d’un de ces PRU. Tout en étant le plus important de France (en termes de budget et de logements détruits), il a aussi la particularité d’entraîner la démolition d’immeubles en copropriétés privées dégradées : les Bosquets à Montfermeil et la Forestière à Clichy-sous-Bois. À leur place, toutes les nouvelles constructions et les relogements se font dans le parc social. L’ensemble des habitants relogés passe donc du statut de propriétaires occupants ou locataires du parc privé à celui de locataires du parc social. Outre ce changement de statut résidentiel, cette situation s’accompagne de la mise en interactions régulières de ces « délogés » aux professionnels (de la ville, associatifs et des bailleurs) qui interviennent sur ce quartier, dans ces immeubles dans le cadre d’accompagnement pré et post relogement.Basée sur une enquête conduite par entretiens, observations et archives, cette thèse vise autant à saisir la genèse de cette politique, que les effets de la volonté de transformation des quartiers, par la généralisation du parc social, sur les pratiques professionnelles et les trajectoires des habitants relogés.Dans cette optique, les archives et les entretiens donnent à comprendre que la dégradation des anciennes copropriétés s’explique en priorité par leurs conditions de commercialisation, de production et de gestion. Or, toutes les mesures d’actions publiques, jusqu'à la signature du programme de rénovation urbaine, présentent systématiquement les habitants et leurs caractéristiques (populaires et immigrées) comme les principaux responsables de cette dégradation.L’ethnographie des pratiques professionnelles illustre ensuite comment dans les résidences neuves, ces acteurs se servent des interactions avec les habitants pour encadrer leurs manières d’habiter. Ce travail se faisant dans l’idée d’éviter une nouvelle dégradation des bâtiments.Enfin, les entretiens auprès des habitants (réalisés avant et après relogement) dévoilent comment le relogement et la rencontre avec les professionnels les déstabilisent dans leurs ancrages individuels et ébranlent le sens des hiérarchies internes à ce groupe social. Alors que les anciens propriétaires constituaient dans la copropriété la frange supérieure de ce groupe, ils sont aujourd’hui ceux qui se sentent le plus déclassés. À l’inverse, les locataires qui dans la copropriété occupaient les positions les plus dominées sont aujourd’hui les plus réhabilités.Au-delà des résultats empiriques, ces pistes analytiques situent les enjeux de la thèse à plusieurs échelles. D’abord, c’est dans une perspective constructiviste que ce travail illustre comment ces copropriétés et leurs occupants ont été construits comme un problème et une catégorie d’action publique. Ensuite, c’est en partant de la pratique des professionnels que cette thèse dévoile comment dans l’espace de la politique de la ville se maintiennent des formes d’encadrement et de domination à l’égard de certains publics cibles (ici issus des catégories populaires et immigrées). Enfin, cette thèse s’inscrit dans une sociologie des classes populaires autant attentives à leurs différences internes qu’aux modalités de réception variée d’une mesure d’action publique. / Since 2003, more than 400 popular districts categorized as sensitive urban zones and 4 million inhabitants have become part of a program initiated by the Framework Act on Town Planning and Urban Renewal (so-called “Borloo law”). In order to achieve district transformation and social diversity, the program has led to demolition/rebuilding operations, the refurbishment of existing dwellings and the redefinition of public urban areas (street network and green spaces, etc.)The municipalities of Clichy-Sous-Bois and Montfermeil in the Seine-Saint-Denis region were part of this program. Whilst being the largest program in France (in terms of allocated budget and demolished dwellings), it also had the singularity to involve the destruction of dilapidated privately-owned buildings such as Les Bosquets in Montfermeil and La Forestière in Clichy-sous-Bois. All the new buildings reconstructed there are under social housing management.All re-housed inhabitants consequently moved from the status of owner-occupiers or private housing tenants to that of social housing tenants. In addition to their change in status, this situation implies regular interactions between these ‘displaced’people and the professionals (of the city, of nonprofit organizations, social landlords who operate in the area, in these buildings within the frame of pre- and post-rehousing accompaniment.Based on an analysis supported by interviews, observations and archives, this thesis aims at understanding the genesis of this policy as much as the effects of the will for district transformation through generalizing social housing, on professional practices and the trajectories of the re-housed inhabitants. To this end, archives and interviews help understanding that the degradation of the former co-ownership properties was attributable primarily to their conditions of marketing, construction and management. Yet, all the measures of public action, up to the signature of the urban renewal program, systematically present the inhabitants and their features (popular classes or migrants) as solely responsible for this deterioration.The ethnography of professional practices then shows how in the new homes the professionals use the interactions with the inhabitants to regulate the way they live there. This work is done with a view to avoiding new damage to the buildings.Eventually the interviews with the inhabitants (made before and after re-housing) illustrate how re-housing and the interactions with professionals destabilize them within their individual anchorages and shake the sense of hierarchies within this social group. While former owners made up the upper class in their previous housing, they now feel the most downgraded. Conversely, tenants who were the most dominated are today the most rehabilitated.Beyond empirical results, this analytical approach rates the issues of the thesis on sevral scales. First, this work illustrates how, in a constructivist perspective, these co-ownership properties and their inhabitants have been built as a problem and a category of public action. Then, starting from the practices of professionals, this thesis discloses how within the frame of urban policy, some forms of regulation and domination over certain targeted publics (here working classes and migrants) are still exerted. Finally this thesis is consistent with a sociology of popular classes who are attentive to their internal differences as much as to the various ways a measure of public action can be perceived.
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Entre patrimonialisation et aménagement du territoire : une archéologie des représentations des communautés religieuses dans le développement et la mise en valeur des "grands domaines" de Sillery (Québec, Canada)

Aubin, Laurent 31 July 2019 (has links)
Depuis quelques années, les communautés religieuses du Québec expérimentent des transformations considérables sous l’effet de la baisse et du vieillissement de leurs effectifs. Il en découle de multiples manifestations visant à protéger et mettre en valeur le patrimoine des congrégations. Ce mémoire s’intéresse plus précisément au processus de requalification des propriétés conventuelles et la patrimonialisation qu’il suscite dans l’optique de l’aménagement du territoire, à travers une archéologie des représentations. Le présent mémoire étudie la patrimonialisation et la planification du secteur des « grands domaines » du site patrimonial de Sillery, un quartier de la ville de Québec au Canada entre 1964 et 2016. Il retrace et analyse les interprétations associées à la représentation des communautés religieuses et leur usage dans les discours et les pratiques aménagistes. / In recent years, religious communities in Quebec have been experiencing changes as a result of the decline and aging of their members. As a result, there are attempts to protect and enhance the communities’ heritage. This thesis focuses on the process of requalification of convent properties and their patrimonialization, in the perspective of urban planning, through an archeology of representations. The thesis examines patrimonialization and planning processes that took place between 1964 and 2016 on the main estates of the Sillery Heritage Site, located in Quebec City, Canada. It traces and analyzes interpretations associated with representations of these communities and their use in discourses and planning practices.
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La requalification des friches industrielles urbaines : la caractérisation typo-morphologique des établissements papetiers au Québec (1880-1930)

Nadon-Roger, Maxime 09 November 2022 (has links)
Le patrimoine industriel façonne le paysage de nombreuses villes au Québec au 20e siècle. L'industrie des pâtes et papiers et les villes papetières sont notamment des cas représentatifs issus de la deuxième révolution industrielle à la fin du 19e siècle au Québec fondée sur l'essor de l'hydroélectricité et l'extraction des ressources naturelles. En tout, 125 établissements papetiers ont été édifiés en sol québécois depuis 1805. En 2001, il en existait 62 en exploitation tandis qu'en 2021, il n'en restait que 38. Le présent mémoire propose de caractériser l'implantation, la transformation et les réalités morphologiques existantes des établissements papetiers au Québec à travers autant d'échelles dimensionnelles d'analyses que de sous-objectifs : le territoire, la ville papetière, le tissu urbain et l'usine. La caractérisation morphologique concerne les usines construites pendant la période de forte croissance (1880-1930) et aborde prioritairement le tissu spécialisé, mais suggère une première ébauche typologique du tissu urbain de base. La finalité de la recherche est de nourrir un regard prospectif sur la requalification éventuelle de sites post-industriels. Ce projet confronte trois lacunes dans la littérature récente : le silence relatif au sujet de l'aménagement des friches post-industrielles ; l'importance donnée à l'histoire sociale de ces territoires industrialisés négligeant les enjeux urbains et architecturaux dans leur caractérisation morphologique ; et l'omniprésence du domaine affectif dans les analyses patrimoniales conventionnelles orientées vers les objets d'exception plutôt que le caractère commun. Prenant racine dans un cadre d'analyse mixte issu de la morphologie urbaine - combinaison des approches historico-descriptive, typo-morphologique et historico-géographique -, l'étude porte sur la forme urbaine en tant que patrimoine vivant. L'analyse à l'échelle territoriale porte sur toutes les usines construites depuis 1805 (N=125), tandis que la caractérisation morphologique aborde le phénomène à la fois de manière synchronique et diachronique à l'échelle des systèmes de structure, des structures d'éléments et des éléments agrégés à l'aide d'un échantillonnage intentionnel (n=16). La lecture comparée permet d'éclairer les récurrences et les exceptions pour définir des typologies. En somme, l'examen des données principalement cartographiques permet d'expliquer les phénomènes urbains et architecturaux propres au domaine des pâtes et papiers en plus de nuancer le concept connu de « ville de compagnie ». Le mémoire s'ouvre sur le potentiel que présente la compréhension élargie des phénomènes architecturaux et urbains dans leur relation à l'espace entre bâtiments, parcelles et formes urbains afin de mettre en lumière les futures interventions à apporter sur le cadre bâti de demain. De plus, cette analyse profitera à une éventuelle vie urbaine de meilleure qualité en améliorant l'utilisation et la planification des sites vacants ou qui le seront prochainement. / Industrial heritage shaped the urban landscape of many Quebec cities and towns in the 20th century. During the second industrial revolution (1880-1940), the pulp and paper industry in Quebec developed out of initial advantages that enabled industrial production, including the growth of new cities and neighbourhoods. A total of 125 paper mills were built since 1805. In 2001, only 62 remained in operation while in 2021, there were only 38. This master's thesis suggests characterising the implantation, transformation and existing morphological realities of paper mills in Quebec through as many dimensional scales of analysis as sub-objectives: the territory, the city, the urban fabric and the mill itself. The morphological characterisation concerns the mills built during the period of string growth (1880-1930) and primarily addresses the specialised fabric but suggests a typology of basic urban fabric. The purpose of the research is to provide a look forward on the possible requalification of urban post-industrial sites. This study confronts three gaps in recent literature: the relative silence about the transformation of the post-industrial brownfields ; the place given to social history neglecting urban and architectural issues in their characterisation ; and the omnipresence of the affective domain in conventional heritage analyses oriented towards exceptional objects rather than common character. Taking roots in a mixed framework borrowed from urban morphology - a combination of historical-descriptive, typo-morphological and historical-geographical approaches -, the study addresses the urban form as a living heritage. The analysis at the territorial level covers all mills built since 1805 (N=125). Using intentional sampling (n=16), the morphological analysis addresses the phenomenon at the scale of the structural systems, structures of elements and aggregated elements both in a synchronic and a diachronic way. Comparative reading allows to note recurrences and exceptions to define typologies. Finally, the examination of cartographic data explains the urban and architectural phenomena specific to the pulp and paper field, in addition to nuance the known concept of « company town ». The thesis opens on the potential of a broader understanding of architectural and urban schemes in their relationship to space, plots and urban forms to highlight future interventions on the built environment for future generations. Also, this analysis will benefit a possible better urban life by improving the land use and planning of vacant sites or those that will soon be.
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L'habitation et l'évolution de l'urbanisme à Montréal : de la grande dépression à la création de la société d'habitation du Québec, 1935-1968

Perreault, Louis 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012

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