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La mort du héros dans le finale du film hollywoodien, ou, La fabrique d'un mythe culturel puissant

Gendreau, Philippe 04 1900 (has links) (PDF)
La machine hollywoodienne se distingue par son emprise sur la consommation internationale de cinéma. Notamment, la récurrence des figures présentées dans le cinéma issu des grands studios de production influencerait non seulement les attentes du public relativement à la forme (durée, structure scénaristique, effets spéciaux), mais aussi la perception de l'histoire, des valeurs, de « l'Amérique » et du trépas. Une de ces figures tient dans les représentations de la mort du héros dans le finale hollywoodien, à laquelle cette recherche se consacre, et ce, à travers la récurrence des figures et leur portée idéologique. C'est sur cette question principale que s'adosse la structuration conceptuelle du mémoire qui est traduite en cadre d'interprétation. Celui-ci s'inspire des concepts de l'École de Francfort sur l'industrie culturelle, des travaux sur l'idéologie du cinéma américain d'Anne-Marie Bidaud, et d'un certain nombre d'auteurs sur les aspects du mythe (Joseph Campbell) et de la représentation de la mort (Louis-Vincent Thomas, Edgar Morin). Nous avons constitué un corpus de 12 films issus de la production hollywoodienne (300, Avatar, Easy Rider, Gladiator, lnglourious Basterds, Pearl Harbor, Public Enemies, Saving Private Ryan, Scarface (1932), Scarface (1983), Titanic, Troy). Ces films, choisis pour leur succès à l'échelle internationale et/ou leurs caractéristiques particulières en regard de la production des grands studios, s'avèrent pertinents pour une analyse s'effectuant sous l'angle des représentations de la mort du héros, particulièrement éloquentes de l'idéologie inscrite dans le finale. On sait que Hollywood produit des films en fonction de marchés donnés, que les productions sont formatées selon des genres précis déclinant leurs propres codes (historique, gangster, drame, péplum, action, fantastique, guerre) et que les finales hollywoodiens, surtout ceux des blockbusters, sont reconnus pour recourir au happy end. Ce schéma récurrent, manifeste dans l'analyse film à film du corpus, est exploré dans la dynamique « mythidéologique » à l'œuvre, mettant en relief des ressorts idéologiques précis, qui traversent les procédés de représentation de la mort et ce qu'en tirent les vivants. Il nous est apparu évident en conclusion qu'en esthétisant la mort, Hollywood renforce une certaine vision de la vie humaine. Peu importe les détours scénaristiques, les films et les héros, les grands studios nous ramènent à une impitoyable finalité : le monde dans lequel nous vivons doit être préservé tel qu'il est. Ceux qui sauront donner leur vie à la reconduction de ce projet de société seront récompensés et les autres, sanctionnés et privés de la rétribution symbolique réservée aux héros. En fait, il ressort nettement que dans les films à l'étude, il n'y a pas de sacrifice du héros sans que la mise en scène le compense par des dispositifs pour évoquer la survivance symbolique du sacrifié, illustrer son immortalité ou justifier son amortalité. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Cinéma, Happy end, Mort, Mythe, Rêve américain
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Le rêve américain dans l'oeuvre de Romain Gary

Perreur, Carine 12 April 2010 (has links) (PDF)
Le rêve américain est une source d'espoir pour les personnages garyens qui, en localisant leurs rêves et en leur offrant des modèles idéaux, leur insuffle une force nouvelle. Cette Amérique, faite de clichés que Gary détourne ou s'approprie, peut prendre appui dans la réalité mais il en amplifie les traits, jusqu'à réinventer un pays plus grand que nature, mythique et miraculeux. Le Nouveau Monde, libérateur de la Seconde Guerre mondiale, a gardé, pour les personnages européens, une image plus intacte que l'Europe meurtrie. Vu comme neuf et différent, il est la destination rêvée, mais difficile d'accès, pour ceux qui veulent changer de vie et " devenir quelqu'un ". Il pourrait peut-être même laisser apparaître cet homme nouveau qu'espère Gary. Mais les États-Unis sont loin d'être parfaits et Gary nuance avec lucidité ces images, évoquant un pays affecté par des problèmes et remises en questions qui sont souvent l'écho de ses propres interrogations et déceptions. La terre promise imaginée par les personnages n'est qu'un pays, presque comme les autres, de même que les Noirs américains, que certains auraient voulu croire différents et supérieurs aux autres hommes, ne sont qu'humains : tous sont capables du pire comme du meilleur. Les textes garyens sont ancrés dans la culture américaine, nourris par l'histoire contemporaine, parfois l'actualité brûlante, et par des citations, références ou parodies puisées dans un vaste fonds littéraire et populaire américain. Gary connaît l'Amérique et refuse d'en donner une image trop simple ; il utilise son omniprésente ironie pour s'en distancier, mais il conserve toujours son intérêt pour ce pays qui trace un chemin vers le futur.
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Le rêve américain dans l'oeuvre de Romain Gary / The american dream in the works of Romain Gary

Perreur, Carine 12 April 2010 (has links)
Le rêve américain est une source d’espoir pour les personnages garyens qui, en localisant leurs rêves et en leur offrant des modèles idéaux, leur insuffle une force nouvelle. Cette Amérique, faite de clichés que Gary détourne ou s’approprie, peut prendre appui dans la réalité mais il en amplifie les traits, jusqu’à réinventer un pays plus grand que nature, mythique et miraculeux. Le Nouveau Monde, libérateur de la Seconde Guerre mondiale, a gardé, pour les personnages européens, une image plus intacte que l’Europe meurtrie. Vu comme neuf et différent, il est la destination rêvée, mais difficile d’accès, pour ceux qui veulent changer de vie et « devenir quelqu’un ». Il pourrait peut-être même laisser apparaître cet homme nouveau qu’espère Gary. Mais les États-Unis sont loin d’être parfaits et Gary nuance avec lucidité ces images, évoquant un pays affecté par des problèmes et remises en questions qui sont souvent l’écho de ses propres interrogations et déceptions. La terre promise imaginée par les personnages n’est qu’un pays, presque comme les autres, de même que les Noirs américains, que certains auraient voulu croire différents et supérieurs aux autres hommes, ne sont qu’humains : tous sont capables du pire comme du meilleur. Les textes garyens sont ancrés dans la culture américaine, nourris par l’histoire contemporaine, parfois l’actualité brûlante, et par des citations, références ou parodies puisées dans un vaste fonds littéraire et populaire américain. Gary connaît l’Amérique et refuse d’en donner une image trop simple ; il utilise son omniprésente ironie pour s’en distancier, mais il conserve toujours son intérêt pour ce pays qui trace un chemin vers le futur. / The American Dream is a source of hope for Romain Gary’s characters which, by locating their dreams and offering them ideal models, inspires them with a new strength. This America, made of clichés that Gary diverts or appropriates, can be based on reality but Gary amplifies its features, up to reinventing a country larger than life, mythical and miraculous. The New World, liberator of World War II, kept a more intact image for European characters than the wounded Europe. Seen as new and different, it’s the dream but hard to reach destination for those who want to change their life and « become someone ». Maybe there could even appear what Gary longs for, a new humanity. The United States are nevertheless far from being perfect and Gary lucidly qualifies those images when he describes a country affected by problems and reappraisals which often echo his owns queries and disillusions. The promised land characters had imagined is just a country after all, almost like the others, as Black Americans, who some characters wanted to believe could be different and superior, are only humans : they’re all as capable of giving their worse or best. Gary’s works are anchored in American culture, making use of contemporary history and of many quotations, references or parodies drawn from a large collection of American literature and popular culture. Gary knows America and refuses to portray it in too simplistic a way ; he uses his omnipresent irony to distance himself from it but never ceases to show his interest for this country which leads the way towards the future.
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Un noir à la Maison-Blanche : du processus de racialisation au rêve américain : analyse de la mise de l'avant des identités de "race", de genre et de sexualités en contexte électoral

Lapointe, Valérie 07 1900 (has links) (PDF)
Le 4 novembre 2008, le 44e président des États-Unis est élu. Un noir fait son entrée à la Maison-Blanche. Obama aura eu raison de dire Yes we can. Par sa victoire, il marquera l'histoire de la nation américaine : il sera, à jamais, le premier président noir des États-Unis. L'élection d'Obama à la présidence permet de mettre en exergue le caractère exclusif que portait la « race » de l'institution présidentielle avant son arrivée à ce haut poste de décision. Ainsi, partant du postulat que l'institution présidentielle n'est pas neutre, mais qu'elle a un genre, une « race » et une sexualité précises, nous entendons nous intéresser aux identités qu'il est nécessaire de mettre de l'avant pour atteindre la présidence. Puisque l'élection d'Obama représente un moment clé dans l'analyse des identités, ce mémoire en fera son étude de cas. Partant de deux allocutions publiques, soit A More Perfect Union et The Victory Speech, ainsi que de deux autobiographies écrites par Obama (Les rêves de mon père et L'audace d'espérer), nous étudions la mise de l'avant des identités en contexte électoral. L'analyse discursive des allocutions publiques et des autobiographies nous permettra d'avancer l'hypothèse qu'en mettant de l'avant son identité racisée et en la juxtaposant à l'idée du rêve américain (Yes we can), Obama a non seulement réitéré les identités dominantes de la présidence américaine (homme, hétérosexuel), mais il a également dépolitisé les enjeux raciaux aux États-Unis. Enfin, l'originalité de la présente recherche se situe au niveau de la prise en compte de l'identité sexuelle de l'actuel président américain, dans la mesure où celle-ci ne fait pas l'objet d'analyse dans la littérature, qu'elle soit classique ou critique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : institution présidentielle américaine, genre, « race », sexualité, rêve américain.

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