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La notion de Renaissance en France : genèse, débats, figures (du début du XXe siècle à André Chastel) / The concept of Renaissance in France : genesis, debates, figures (from the beginning of XIXth Century to André Chastel)

De Majo, Ginevra 05 December 2009 (has links)
Après avoir fait le point sur l’état des recherches dans l’Histoire de l’histoire de l’art, la thèse interroge la notion de Renaissance italienne à partir de l’esthétique classique (Quatremère) et de la réaction romantique en faveur du gothique (Lassus, Viollet-le-Duc, Didron) et des primitifs (Rio). L’auteur rapproche la définition de Renaissance consacrée par Michelet au débat contemporain entre tenants du gothique et de la Renaissance. On souligne en même temps, l’émergence de nouvelles données liées à la race et au milieu dans le débat sur la Renaissance (Beulé, Ramée, Viollet-le-Duc) qui insiste sur son origine latine et méditerranéenne. En suite sont approfondies la vision de Taine (fondée sur l’exaltation du corps, de la forme et du paganisme), celle de Renan et de Gebhart (qui placent les origines de la Renaissance au Moyen âge chrétien), et elles sont rapportée au nouveau climat philosophique et idéologique de la seconde moitié du siècle. Un nouveau pan du débat s’ouvre avec les doctrines de Courajod, qui place l’origine de la Renaissance en France au XIVe siècle, et de Müntz tenant de l’esthétique classique, partisan de l’origine italienne et d’une vision de la Renaissance en tant qu’ « âge d’or » de l’humanité. La dernière partie de la thèse suit le développement du débat au XXe siècle, et retrace la ‘victoire’ des tenants du Moyen âge (Mâle, Lemonnier, Michel, Vitry, contre Louis Dimier), la crise de l’histoire de la culture reléguée au second plan par le formalisme (Bertaux, Hourticq, Faure), la définition de Renaissance en tant que prolongement du Moyen âge de Focillon, pour conclure avec la ‘réforme’ de l’histoire de la culture opérée par André Chastel et sa nouvelle définition de Renaissance. / After an update on the state of research on the history of History of Art, the thesis questions the concept of the Italian Renaissance from the classical aesthetics (Quatremère) and the romantic reaction in favor of Gothic (Lassus, Viollet-le-Duc, Didron) and Primitives (Rio). The author makes a comparison between the definition of Renaissance given by Michelet and the contemporary debate between supporters of Gothic and supporters of Renaissance. It is noted -at the same time-, the emergence of new data related to race and “milieu” in the debate on the Renaissance (Beulé, Ramée, Viollet-le-Duc) who insists on his Latin and Mediterranean origin. Moreover, the thesis thoroughly analyzes the vision of Taine (based on the exaltation of the body, shape and paganism), Renan and Gebhart (who place the origins of the Renaissance to the Christian Middle Ages) according to the new philosophical and ideological climate of the second half of the century. A new side of the debate opens with the doctrines of Courajod, who places the origin of the Renaissance in France in the fourteenth century, and the theory of Müntz supporter of the classical aesthetics and advocate of Italian origin and the definition of Renaissance as a "Golden Age" of mankind. The last part of the thesis follows the development of the debate in the twentieth century, and traces the 'victory' of the supporters of the Middle Ages, (Mâle, Lemonnier, André Michel, Vitry, against Louis Dimier), the crisis in the history of culture overshadowed by the formalism (Bertaux, Hourtiq Faure), the definition of Renaissance as an extension of the Middle Ages by Focillon, concluding with the 'reform' of the history of culture made by André Chastel and his new definition of “Renaissance”.
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Voir et savoirs dans la théorie de l'art de Daniel Arasse / Seeing and knowing in Daniel Arasse's art theory

Longo, Sara 05 July 2014 (has links)
Daniel Arasse pratique une histoire de l’art qui pose plusieurs problèmes de définition et de théorie. Sa réflexion méthodologique est inséparable de l’interprétation des œuvres et n’a jamais été isolée dans un écrit spécifique. Chaque œuvre est conçue comme un problème qui oriente le choix d’outils interprétatifs adéquats. Comment s’équilibrent alors, dans le regard arassien, la vision des œuvres et les savoirs de l’historien ? Notre thèse se confronte à cette question. Dans une première partie, nous nous intéressons à la formation de l’historien qui, issu des lettres classiques, est introduit à l’histoire de l’art par André Chastel. La deuxième partie se penche sur le dialogue avec les œuvres et les artistes. La réflexion dialogique imprime sa dynamique originale sur la pratique de l’historien ; menée in vivo à l’Institut français de Florence, qu’Arasse dirige de 1982 à 1989, elle est le fil d’Ariane de ses monographies et de l’Annonciation italienne. Deux confrontations importantes participent à l’élaboration de sa démarche : celle avec l’iconologie panofskyenne et celle avec Louis Marin et Hubert Damisch sur la question de l’opacité de la peinture et l’objet théorique. La troisième et dernière partie met en évidence une théorie du regard et de l’art spécifique, à travers l’étude du Détail et du Sujet dans le tableau, ouvrages qui proposent une refonte de la discipline. La thèse se termine sur une proposition d’outils théoriques (plaisir, écart, anachronisme, écriture), de procédés et de principes de méthode (singularité, évidence, subjectivité, connaissance) qui ouvrent sur une application possible du savoir faire voir singulier et original de Daniel Arasse. / Daniel Arasse’s practice of art history raises several theoretical and terminological issues. Arasse’s methodological thinking is not the explicit subject of any of his texts; it is always inseparable from the interpretation of artworks. The latter, understood as problems to solve, dictate the choice of interpretative tools applied to them. My dissertation discusses the balance between seeing and knowing in the Arassian gaze. Its first part traces the art historian’s education, literary at first and then, following the encounter with André Chastel, more specifically art historical. The second part studies Arasse’s monographic and thematic publications from a dialogical viewpoint: indeed, exchange, dispute, discussion and dialogical thought in general are mainstays of Arasse’s work. They are at the centre of his years as director of the French Institute in Florence, from 1982 to 1989, and remain fundamental in his monographs and in L’Annonciation italienne. This section ends with the two principal discussions in which Arasse was involved and that contributed to the elaboration of his singular art historical voice: on the one hand, the confrontation with Panofskian iconology, and on the other, the discussion with Louis Marin and Hubert Damisch concerning painting’s opacity and the theoretical object. The third and last part of the dissertation singles out Arasse’s theory of art and of the act of looking, through a reading of "Le Détail" and "Le Sujet dans le tableau", two books that propose a revision of the discipline of art history and its methods. The dissertation terminates with an inventory of tools (pleasure, gaps, anachronism, ways of writing), of procedures and of methodological principles (singularity, evidence, subjectivity, knowledge) that are instrumental for any possible future implementation of Arasse’s singular savoir faire voir, the knowledge of making things come to vision.
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La gestuelle dans le portrait peint de la Renaissance italienne (XVe-XVIe siècles) / Gesture in the portrait of Italian Renaissance (XVe-XVIe centuries)

Vermorel, Catherine 25 June 2015 (has links)
Longtemps figé dans l'immobilité, le portrait peint de la Renaissance va s'animer grâce à une gestuelle qui fit l'objet d'une construction progressive. Très précoce, l'idée du geste: est présente dès 1440 chez Filippo Lippi dans les portraits féminins, à partir de 1450 chez Andrea del Castagno pour une effigie masculine et, en 1470, chez Antonello da Messina pour les mimiques. Mais la norme est au portrait en buste et d'autres freins, imposés par les commanditaires, perdureront jusqu'à la fin du XVIe siècle. En dépit des tentatives dissidentes d'Antonello da Messina, de Léonard de Vinci, ou, plus tard, de Bartolomeo Passerotti, c’est le modèle princier qui va s'imposer.Trois types d'écrits de l'Antiquité se préoccupent de l'apparence du corps et de la civilisation des mœurs : les préceptes éducatifs, souvent intégrés à des thèmes plus vastes, les traités de physiognomonie qui tentent de lire sur le visage les intentions ou la destinée de l'autre, et la rhétorique, qui s'intéresse plus particulièrement à l'ethos, au pathos mais aussi à la gestuelle de l'orateur. Ces textes seront reçus à la Renaissance dans divers domaines qui traitent tous, à un moment ou un autre, du geste. Les traités des éducateurs du Quattrocento, qui jalonnent la mise en œuvre d’une véritable réforme, cèderont la place aux manuels de savoir-vivre du XVIe siècle. A partir de 1455, les maîtres à danser lombards posèrent par écrit les premiers éléments d'une théorie de la danse. Les traités artistiques s'intéressèrent au decorum dans lequel s'inscrit le geste. Au tout début du XVIIe siècle, un certain nombre de conventions furent enregistrées dans des recueils illustrés de chironomie. Loin de considérer le doigt, la main ou les membres comme des détails sémantiques, cette thèse montre que la gestuelle est un signal social à replacer dans son environnement. Elle s’est ouverte sur l’histoire de l’éducation, centrale dans celle du geste, ainsi que sur celle du genre, ou encore de la place de l’enfant et de la parentalité. Une place importante a été consacrée à l’histoire du costume, celui que l’on a choisi pour ces images. Au terme de ce travail, il devient évident que le Moyen Âge n’est pas la seule période à avoir vu se développer une "civilisation du geste". L'analyse des textes, de l’Antiquité comme de la Renaissance, révèle une remarquable continuité dans la conception et les théories relatives à la gestuelle, sous-tendue par l'Institution Oratoire, particulièrement la partie traitant de l'actio. Quintilien eut une réception de longue durée dans les arts de la prédication et, de manière plus subtile, ses qualités d’éducateur et d’observateur de l'enfance ont également favorisé sa transmission dans le cadre pédagogique. Cet auteur enseignait l’utilisation programmée du geste pour appuyer le discours, pointant comme un défaut la négligence dans "la toge, la chaussure et le cheveu". Déjà pour lui, ce soin devait être imperceptible, l’éducation et l’apprêt physique devenant comme une seconde nature, la sprezzatura avant l'heure. Parcourant nos images, la référence à l'actio qui s'est imposée depuis l'Antiquité dans l'éducation, l'expression, la représentation imagée ou théâtrale, rend compte de la précocité de cette civilisation et de sa pérennité dans le temps. Le geste s’impose comme un patrimoine vivant, transmis le plus souvent de manière inconsciente de siècle en siècle, par le biais d’une multitude de canaux et de disciplines, parmi lesquels on compte le portrait, à la fois récepteur et vecteur. / The portrait, long considered as a rigid pictorial genre, became increasingly lively through the progressive introduction of gestural expression. This idea appeared as early as 1440 in Filippo Lippi’s female portraits, in 1450 in Andrea del Castagno’s painting of a man and in 1470, in Antonello da Messina’s mimes. But the standard surrounding is bust-length portraiture and other restrictions on movement, imposed by the commissions, lasted until the 16th century. Despite various dissenting works, such as those of Antonello da Messina, Leonardo Da Vinci, or later, Bartolomeo Passerotti, the Princely model held sway.In Antiquity, three literary categories, each with a different approach, addressed the appearance of the body and civilization of the customs : educational precepts often contained within vaster literary works, physiognomic treatises — which attempt to read from faces an individual’s intentions and destiny — and rhetorical studies which, in particular, concern the ethos and the pathos, but equally the orator’s gestures. During the Renaissance these three disciplines all influenced various domains, which are interested, at one point or another, in the gesture. The Quattocento’s didactic treatises, which paved the way for a true reform, were replaced by manuals of etiquette in the 16th century. From 1455, the Lombard dancing masters wrote the initial elements of a theory of dance. Artistic treatises on painting and sculpture insist on the decorum which included gesture. At the very beginning of the 17th century, a certain number of modern conventions were recorded in illustrated collections of chironomy.Far from considering the finger, the hand or the members as semantic details, this thesis shows that body movement is a social signal to be placed back in its environment. It open on the history of education, central in that of gesture, as well as on that of the genre, or still the place of children and the parenthood. An important place was dedicated to the history of the garment, the one that was chose for these pictures.Through this work, it becomes obvious that the Middle Ages are not the only period to have seen developing a "civilization of the gesture". The analysis of texts, of Antiquity as of Renaissance, reveals a remarkable continuity in the conception and the theories relative to the body movements, underlain by the Oratorical Institution, particularly the part dealing with the actio. Quintilien had a long-term reception in the arts of preaching and, in a more subtle way, his qualities of educator and observer of the childhood also favoured his transmission in the educational frame. This author taught the use scheduled of the gesture to support the speech, considering a defect the carelessness in "the toga, the shoe and the hair". Already for him, this care was to be imperceptible, the education and the body care becoming as a second nature, the sprezzatura before time. Browsing our images, the reference to the actio that got established since Antiquity in education, expression, and both pictorial and theatrical imagery, acknowledges how precocious that civilization was and how perennial it has been.The gesture is asserted as a living heritage, transmitted more or less consciously through time, through a myriad of conduits and disciplines, including the portrait, both as recipient and vector.
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Michel-Ange et le motif des genitalia : signification, perception et censure

Laferrière, Maude 04 1900 (has links)
Nous proposons une étude des genitalia masculines dans la production de Michel-Ange afin de saisir ce qu’un tel motif pouvait signifier dans différentes œuvres selon le sujet qu’elles représentent. En nous concentrant principalement sur quatre œuvres de l’artiste florentin nous désirons éclaircir l’impact visuel du dévoilement du sexe masculin et la perception que pouvait en avoir le public italien du XVe siècle et du XVIe siècle. Le Bacchus (1496-1497), Le David (1501-1504), Le Christ Rédempteur (1519-1520) et Le Jugement dernier (1536-1541) ont été choisis pour la diversité des thèmes qu’ils illustrent et pour leurs différents contextes de production et d’exposition. Nous comparons les œuvres religieuses aux œuvres profanes afin d’y relever les problématiques spécifiques qui résultent dans chacun des cas. Le choix de s’en tenir à la production de Michel-Ange implique aussi de se pencher sur un type de figure masculine bien précis, directement inspiré de l’Antiquité. Pour mieux comprendre ce qui résulte du dévoilement des genitalia, nous définissons des notions primordiales comme le nu, la nudité, la sexualité, la masculinité et la virilité dans l’art de la Renaissance. À partir d’une approche historiographique, dont La sexualité du Christ à la Renaissance et son refoulement moderne de Leo Steinberg constitue la référence principale, nous appuyons ses hypothèses quant aux représentations du sexe du Christ. Et selon une approche historique, nous suggérons des hypothèses quant à la nudité intégrale de figures emblématiques de la production de Michel-Ange. En nous concentrant principalement sur les œuvres nommées ci-haut et le détail des genitalia, nous remarquerons que les artistes, y compris Michel-Ange, ne représentent pas ce détail par hasard, mais bien parce que cette partie du corps riche en signification peut servir à exprimer et appuyer plusieurs concepts. / We propose a study on the male genitalia in Michelangelo’s production, in order to grasp the significance in different works of art depending on the subject that they represent. By focusing on four pieces of art of the Florentine artist, we would like to clarify the visual impact of the male genitals unveiled and the perception from the Italian audience of the fifteenth century and sixteenth century. The Bacchus (1496-1497), The David, (1501-1504), The Risen Christ (1519-1520) and The Last Judgment (1536-1541) have been chosen for the variety of the topics they illustrate and for the different contexts of production and exhibition. We compare religious pieces of art to profane pieces of art to identify specific issues that result in every case. The decision to stick to only Michelango’s artistic production also implies looking at a specific type of male figure, directly inspired by the Antiquity. For a better understanding of what results from the genitalia’s unveiling, we define essential notions like nude, nudity, sexuality, masculinity and virility in the Renaissance. With a historiographical approach based on The Sexuality of Christ in Renaissance Art and in Modern Oblivion, written by Leo Steinberg, we support his hypothesis about the representations of Christ’ genitals. And with a historical approach we suggest some hypotheses about the nudity of iconic figures realised by Michelangelo. By focusing mainly on the pieces of art mentioned above and the detail of genitalia, we notice that artists, such as Michelangelo, did not represent this detail by chance, but because this part of the body is rich of signification and can serve to express many concepts.
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À la recherche de Proserpine : la loggia du palais épiscopal de Bagnaia au temps du cardinal Niccolò Ridolfi (1541-1550)

Herbert, Cassandre 09 1900 (has links)
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