Spelling suggestions: "subject:"woman empire"" "subject:"roman empire""
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Temples as Economic Agents in Early Roman Egypt: The Case of Tebtunis and Soknopaiou NesosConnor, Andrew J. 02 June 2015 (has links)
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Where Did All the Women Go: The Archaeology of the Soldier EmpressesRicciardi, Ryan A. 25 August 2008 (has links)
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Mapping the Transformation of Roman Antioch: The Coin EvidenceNeumann, Kristina Marie 19 October 2015 (has links)
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A Case for CorruptionBarber, Cary Michael 15 September 2010 (has links)
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Artifex Patriae: The Specter of Augustus in Petronius' "Satyrica"Mitchell, Jordan David George 07 1900 (has links)
Petronius' Satyrica is uniquely situated as the Roman literary work most concerned with performance, theatricality, and the disconnect between perception and reality. Throughout the Satyrica, Petronius conjures the specter of the first princeps, Augustus. Augustan resonances are a constant occurrence in the Satyrica as Petronius' characters continuously reenact Augustan moments significant to the foundation of the principate. Such reenactments destabilize and alter any meaning essential to Augustan foundational moments leading to their subversion and thus a subversion of the principate in general. Thus, by emphasizing performances of ideological, moral, and social contradictions inherent in the princeps, Petronius presents a critique of the figure that created that role and the continuation of his legacy: that the position of princeps is a farce, that Nero was a byproduct of Augustus' creation, and that the principate had been theater from the very beginning.
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Potentes saeculi: pouvoir séculier et royauté sous le règne de Louis le Germanique (826-876)Glansdorff, Sophie 28 April 2006 (has links)
L’objet de cette thèse est d’étudier les relations entre Louis le Germanique et les aristocrates laïques, aussi bien ceux qui appartenaient à son propre royaume (de Bavière puis de Francie orientale), que ceux qui appartenaient aux autres royaumes issus du traité de Verdun (843). L’intérêt de cette recherche, qui s’inscrit dans le cadre d’un très récent renouveau d’intérêt pour le règne de Louis, est d’apporter un nouvel éclairage sur l’évolution politique de l’Empire carolingien central à tardif, en étudiant sa facette « orientale », souvent négligée par rapport à sa contrepartie « occidentale ».<p>Dans un contexte caractérisé par les rivalités et les conflits, il est évidemment vital pour le roi de s’assurer l’appui des grands et de les intégrer à son entourage. La première partie de ce travail a donc été consacrée à l’entourage du roi et à son évolution. Cet entourage a plus précisément été défini sur base du De Ordine Palatii d’Hincmar de Reims :il inclut d’abord les membres du Palais au sens étroit du terme (famille et détenteurs d’offices palatins – laïques en l’occurence -) ;ensuite l’ensemble des « grands » laïques du royaume, qui, sans détenir d’office au Palais, entretiennent une relation privilégiée avec le roi, soit qu’ils détiennent de lui un honor (les comtes), soit qu’ils appartiennent à ses vassaux ou à ses fideles. Au sein de cet ensemble de personnes, tous ne bénéficient cependant pas de la même « Königsnähe » ;par conséquent, en tenant compte de la nature des sources issues de Francie orientale (essentiellement les actes privés des abbayes et évêchés du royaume), il s’est avéré nécessaire de nuancer ce tableau en recherchant les personnalités qui font réellement preuve de la plus grande proximité avec le roi, sans être nécessairement pour autant les mieux documentés au niveau des sources.<p>De tous les membres (laïques) de cet entourage, les comtes sont apparus comme les plus importants, en raison de leur fonction même ;pour cette raison (et afin de rendre la consultation plus aisée et plus pratique pour qui s’intéresse aux comtes), une prosopographie a été constituée, incluant les comtes actifs en Bavière (826-887), Alémannie, Francie, Saxe, Thuringe (833-887) et Lotharingie orientale (870-887). <p>Si cette approche, essentiellement prosopographique, est intéressante en soi, elle ne permet néanmoins pas, en tant que telle, d’apprécier la teneur des relations entre roi et grands, ni de replacer celle-ci dans le cadre plus global de l’Empire carolingien. Pour ce faire, il est nécessaire d’y ajouter l’étude de certains éléments significatifs, qui permettent de dégager plus aisément continuités, ruptures et spécificités. A l’étude de l’évolution du fisc (et des spécificités des donations royales), s’est jointe celle des éléments représentatifs du pouvoir des aristocrates :possession de monastères privés, disposition de fortifications, transmission des offices comtaux. L’articulation de ces éléments avec le pouvoir royal révèle des spécificités très intéressantes, notamment au niveau du contrôle du roi sur les donations et honores accordés aux grands, le maintien de la révocabilité de ceux-ci étant visiblement souhaité ;s’il n’est pas toujours possible d’évaluer le rôle de la volonté royale dans cette évolution, il n’en va pas de même quand on étudie les divers actes d’infidélité, réels ou supposés, portés contre le roi. Les réactions royales, en la matière, semblent bien le signe d’une politique distincte et cohérente.<p>En conclusion, cette analyse se joint à l’approche prosopographique pour présenter une manière spécifique de concevoir, et d’aborder sur le plan pratique, les relations entre roi et grands. Sous certains aspects, ce règne se distingue nettement de celui de ses contemporains, et éclaire donc une autre facette de l’évolution de l’Empire carolingien postérieure au traité de Verdun, globalement (et provisoirement) plus maîtrisée qu’ailleurs ;celle-ci ne peut être ignorée et doit contribuer à nuancer l’image de l’évolution du pouvoir royal au IXème s.<p> / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation histoire / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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The two Mauretaniae : their romanization and the imperial cultGironi, Claudia 11 1900 (has links)
The 'Romanization' of the African provinces of Mauretania Tingitana and
Mauretania Caesariensis was in fact a two-way process of exchange between
Roman and African elements which resulted in a uniquely Romano-African
civilization. The imperial cult highlights issues common to all Romanization
processes, such as ruler-subject interaction and the role of local initiative
in bringing about change, as well as unique issues such as the impact of
politics on emperor-worship. The success of the imperial cult was hampered
by the fact that only a select few - notably the wealthy local elite -
derived direct benefit from the process, and by the fact that, because the
pre-Roman Mauretaniae had no established ruler-cults, the imperial cult
failed to assimilate with local tradition. As a result, the cult was unable
either to make a decisive impact on the Romanization of the Mauretanians, or
to achieve any real religious unity among them. / History / M.A. (Ancient History)
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Recherches sur la politique orientale de l’empire romain tardif : Rome, le royaume de Grande Armenie et l’Iran Sassanide dans la seconde moitie du IVeme siecle ap. J.-C. / Researches about the Later Roman Empire policy : Roma, the kingdom of Great Armenia and Sasanid Iran in the second half of the IVth centuryAune, François 19 May 2012 (has links)
A une date mal fixée au cours des années 380, mais généralement placée en 387, l’empereur Théodose, princeps depuis 379, abandonne officiellement les quatre cinquième de l’Arménie aux Perses sassanides. C’est un acte sans précédent : depuis plus de quatre siècles, la plupart de ses prédécesseurs avaient tout mis en œuvre pour maintenir le royaume caucasien dans la sphère d’influence romaine ou, à défaut, neutre face à un Etat iranien menaçant ou jugé comme tel. Dorénavant, la présence de l’Empire y est limitée à une bande de terre étroite située le long de ses frontières orientales et qui s’étend, du nord au sud, de l’extrémité orientale du Pont (Pontus en anglais) à la pointe septentrionale de la Syrie. Le cœur du pays et ses régions les plus importantes d’un point de vue historique et stratégique sont aux mains du grand rival oriental. Comment expliquer ce quasi retrait romain qui établit une situation qui perdurera jusqu’au début du 6ème siècle, une longueur inédite pour un accord entre les deux parties ? L’objectif de notre étude est de répondre à cette interrogation, en distinguant notamment les prémices de cette politique de repli à partir de la seconde moitié du 4ème siècle. / At an uncertain date in the 380's A.D. yet generally set in 387, Emperor Theodose, princeps since 379, officially abandons four fifths of Armenia to the benefit of the Sassanide Persian people. This had never happened before since for over four centuries, most his predecessors had managed to maintain the Caucasian kingdom into the Roman sphere of influence , or even to keep it neutral to a threatening -or considered as such - Iranian state. Now the presence of the Empire is limited to a narrow strip of land located along its oriental borders that stretches over from the eastern end of the Pontus to the northern end of Syria. The heart of the land and its most important regions from a historical and strategical point of view belong to the great opponent from the east. How can we explain this Roman quasi-withdrawal which lead to a situation that will last to the beginning of the 6th century – a period of time for an agreement between the two parties that had never been seen before in history ?Our study aims at answering this question, by identifying more particularly the beginnings of such a withdrawal policy from the second half of the 4th century.
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Dynasty and collegiality : representations of imperial legitimacy, AD 284-337FitzGerald, Taylor Grace January 2017 (has links)
This thesis investigates representations of dynastic legitimacy and imperial power in the later Roman Empire (AD 284-337). It explores the continuity and change in expressions of dynastic legitimacy by, for and about the emperors of this period, which were presented in coinage, panegyrics, and other literary and material evidence. I argue that familial relationships were used throughout this period to make legitimation claims or to counter claims made by rivals, rejecting the notion of clear breaks between the third century, the Tetrarchy and the reign of Constantine. The Tetrarchy’s creation of familial links through adoption and marriage led to a web of inter-familial relationships that they and later emperors used in promoting their own claims to imperial legitimacy. At the same time, the presentation of these imperial colleges as harmonious co-rulership relied heavily on the adaptation of pre-existing strategies, which in turn would be adapted by the emperors of the early fourth century. This thesis proceeds roughly chronologically, focusing on the regimes of individual emperors and their collaborators when possible. Chapter 1 examines the creation of the Tetrarchy as an extended ‘family’ and the adaptation of ideologies of third-century co-rulership. Chapter 2 explores the changes in the Second Tetrarchy, with an especial focus on the ‘Iovian’ family of Galerius and Maximinus Daza. Chapter 3 looks at Maxentius’ claims to both ‘retrospective’ and ‘prospective’ dynastic legitimacy. Chapter 4 examines Licinius’ legitimacy both as a co-ruler and brother-in-law of Constantine, and as the beginning of a new ‘Iovian’ dynasty. Chapter 5 delves deeper into the different claims to dynastic legitimacy made by Constantine over the course of his thirty-year reign. Taken together, these chapters offer a new approach by arguing against the dichotomy between ‘dynasty’ and ‘collegiality’ that tends to dominate scholarship of this period. Instead they focus on the similarities and continuities between the representations of imperial families and imperial colleges in order to understand how perceptions of dynastic legitimacy evolved in the third and fourth centuries.
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The two Mauretaniae : their romanization and the imperial cultGironi, Claudia 11 1900 (has links)
The 'Romanization' of the African provinces of Mauretania Tingitana and
Mauretania Caesariensis was in fact a two-way process of exchange between
Roman and African elements which resulted in a uniquely Romano-African
civilization. The imperial cult highlights issues common to all Romanization
processes, such as ruler-subject interaction and the role of local initiative
in bringing about change, as well as unique issues such as the impact of
politics on emperor-worship. The success of the imperial cult was hampered
by the fact that only a select few - notably the wealthy local elite -
derived direct benefit from the process, and by the fact that, because the
pre-Roman Mauretaniae had no established ruler-cults, the imperial cult
failed to assimilate with local tradition. As a result, the cult was unable
either to make a decisive impact on the Romanization of the Mauretanians, or
to achieve any real religious unity among them. / History / M.A. (Ancient History)
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