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Chassingrimont : de la maison-forte au chastel : étude d'un site castral sur les confins du Berry et du Poitou, de la fin du Moyen âge à l'époque moderne /

Aumasson, Ludovic. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Mémoire de DEA--Histoire et civilisation médiévales--Limoges, 2003. / Bibliogr. p. 163-164. Notes bibliogr.
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Devenir seigneur en Nouvelle-France mobilité sociale et propriété seigneuriale dans le gouvernement de Québec sous le Régime français /

Grenier, Benoît, January 2001 (has links) (PDF)
Thèse (M.A.)--Université Laval, 2000. / Mode d'accès: World Wide Web. Comprend des réf. bibliogr.
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Le comté de Valois jusqu'à l'avènement de Philippe de Valois au trône de France : Xe siècle-1328 /

Carolus-Barré, Louis, January 1998 (has links)
Texte remanié de: Th.--Hist.--Éc. natl. des chartes, 1934. / Bibliogr. p. 3-4 et p. 14-19.
4

Nobleza y señoríos en la Navarra moderna : entre la solvencia y la crisis económica /

Usunáriz Garayoa, Jesús María, January 1997 (has links)
Texte remanié de: Tesis doctoral--Universidad de Navarra, 1995. / Bibliogr. p. 293-315. Index.
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Devenir seigneur en Nouvelle-France, mobilité sociale et propriété seigneuriale dans le gouvernement de Québec sous le Régime français

Grenier, Benoît January 2000 (has links) (PDF)
No description available.
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Seigneurs campagnards de la Nouvelle-France : présence seigneuriale et sociabilité rurale dans la vallée du Saint-Laurent à l'époque préindustrielle /

Grenier, Benoît, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Histoire--Rennes 2, 2004. Texte remanié de: Thèse de doctorat--Histoire--Québec--Université Laval, 2004. / Bibliogr. p. 383-395. Notes bibliogr. Index. PUR = Presses universitaires de Rennes.
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Dynamiques politiques, économiques et sociales dans la Corse médiévale : le Diocèse de Nebbio (XI° siècle – c. 1540) / Political, economic and social dynamics in corsica of the middle ages : tHE DIOCESE OF NEBBIO (XIth century- c. 1540)

Broc, Damien 10 December 2014 (has links)
Par la richesse de sa documentation, le diocèse de Nebbio nous offre un point d’observation de première importance sur la Corse du Moyen Âge. La place de l’institution épiscopale s’y perçoit particulièrement bien. Les évêques jouaient d’abord un rôle politique et administratif dans la mesure où ils gouvernaient la cité de Nebbio et collectaient des taxes sur le commerce maritime. En cela, ils avaient certainement capté à leur profit une part des pouvoirs de ban des comtes ou des marquis de Corse. Par ailleurs, entre la fin du XIe siècle et le courant du XIIe siècle, ils participaient à la réforme de l’Église sous l’égide du Saint-Siège, laquelle se traduisait par l’édification d’églises piévanes et de la cathédrale Santa Maria de Nebbio et par un effort de formation et de contrôle du clergé local. L’empreinte des évêques des XIIe-XIIIe siècles était d’autant plus forte sur leur diocèse que la plupart était d’origine corse.Cependant, un autre pouvoir s’affirmait au XIIIe siècle : les communautés. Elles s’organisaient selon trois degrés de juridiction. Leur mission consistait à rendre la justice et, par voie de conséquence, à résoudre les conflits. Autrement dit, les institutions communales jouaient un rôle social majeur car elles permettaient la coexistence pacifique de deux groupes sociaux qui s’étaient nettement différenciés au fil du temps : le popolo et les familles seigneuriales. Elles protégeaient, en outre, les biens de l’Église contre les usurpations des grands laïcs.Malgré tout, dans le cours du XIVe siècle, les équilibres sociaux étaient rompus. Il est vrai qu’un seigneur tel que Giovanninello de Loreta montraient des prétentions exorbitantes qui heurtaient les populaires. En sorte qu’en 1357-1358, tous les châteaux du Nebbio étaient détruits, cependant que les Avogari-Gentile se maintenaient dans leurs seigneuries de Nonza et de Canari, au prix de la concession de statuts d’inspiration communale. Les révoltes populaires amenaient aussi l’émergence d’un nouveau groupe social : les caporali. Ces notables se faisaient alors les hérauts du popolo mais, au fil du temps, ils s’en détachaient. Ils adoptaient au XVe siècle un style de vie aristocratique et violent tandis qu’ils prétendaient à un statut social privilégié.Au milieu du XVe siècle, les populaires du diocèse, excédés par les désordres et l’arbitraire générés par les aristocraties seigneuriales ou « caporalices », trouvaient à Saint-Florent un refuge. La cité devenait leur point de ralliement. Ils la développaient grâce aux privilèges que le pouvoir génois, bien implanté dans l’île à partir de la seconde moitié du XVe siècle, leur avait concédés. Cependant, la situation sociale du diocèse de Nebbio se tendait et se dégradait entre la fin du XVe siècle et les années 1540. La population connaissait alors une croissance importante, de sorte que le contrôle des ressources économiques entrainait une vive concurrence mais aussi de grands déséquilibres sociaux. De là, résultaient de nombreuses violences, dont beaucoup étaient le fait des caporali. / By the wealth of its documentation, the diocese of Nebbio offers us a point of observation of first importance on Corsica of the Middle Ages. The place of the episcopal institution perceives itself there particularly well. The bishops played at first a political and administrative role as far as they governed the city of Nebbio and collected taxes on the maritime trade. In that respect, they had certainly got in their profit a part of the powers of the counts or the marquesses of Corsica. Besides, between the end of the XIth century and the current of the XIIth century, they participated in the reform of the Church under the aegis of the Holy See, who was translated by the construction of “piévanes” churches and the cathedral Santa Maria of Nebbio and by an effort of formation and control of the clergy. The imprint of the bishops of the XIIth and XIIIth centuries was all the stronger on their diocese as most were of Corsican origin.However, another power asserted itself in the XIIIth century: communities. They got organized according to three degrees of jurisdiction. Their mission consisted in returning the justice and, consequently, in solving the conflicts. In other words, the municipal institutions played a major social role because they allowed the peaceful coexistence of two social groups which had clearly differed over time: the popolo and the seigneurial families. They protected, besides, the properties of the Church against the usurpations of the big laymen.Nevertheless, in the course of the XIVth century, the social balances were broken. It is true that a Lord such as Giovanninello de Loreta showed exaggerated claims which struck the popular. So that in 1357-1358, all the castles of Nebbio were destroyed, however when Avogari-Gentile remained in their seigneuries of Nonza and Canary, at the price of the concession of statutes of municipal inspiration. The popular revolts also brought the emergence of a new social group: caporali. These notables were then made the heralds of the popolo but, over time, they got loose from it. They adopted in the XVth century an aristocratic lifestyle whereas they aspired to a privileged social status.In the middle of the XVth century, the popular of the diocese, irritated by the disorders and the arbitrary power generated by seigneurial aristocracies or by caporali, found to Saint-Florent a refuge. The city became their assembly point. They developed it thanks to the privileges which the Genoese power, implanted well on the island from the second half of the XVth century, had granted them. However, the social situation of the diocese of Nebbio tightened and degraded between the end of the XVth century and 1540’s. The population knew then an important growth, so that the control of the economic resources caused a keen competition but also of big social imbalance. From there, resulted numerous violence. Many were the fact of caporali.
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Les barons de la chrétienté orientale. Pratiques du pouvoir et cultures politiques en Orient latin (1097-1229) / The barons of Eastern Christendom. Practices of power and political cultures in the Latin East (1097-1229)

Besson, Florian 04 December 2017 (has links)
Les États latins d’Orient, nés après le succès de la première croisade (1095-1099), sont dominés par une aristocratie militaire, catholique et latine, qui revendique une supériorité à la fois sociale, culturelle, économique et politique, laquelle lui donne, dans la logique du temps, un droit à gouverner les autres. Il s’agit dans ce travail de s’intéresser aux pratiques de pouvoir de cette classe dominante, autrement dit à l’ensemble des actions et des techniques déployées par les seigneurs pour établir, imposer, légitimer et pérenniser leur domination ; le tout dans un long XIIe siècle allant de la fondation du royaume de Jérusalem à l’arrivée en Orient de Frédéric II Hohenstaufen (1229). Ces pratiques – de la construction des châteaux au service militaire, de la justice aux mariages, du conseil au tirage au sort – structurent les jeux de pouvoir et constituent l’essence même de la nature politique de cette société aristocratique. L’Orient latin est un terrain d’études d’autant plus intéressant que les seigneurs latins, s’ils restent inscrits dans un paysage culturel occidental, savent néanmoins s’adapter aux conditions locales – marquées notamment par une très forte diversité ethnique et confessionnelle – ce qui les pousse à faire preuve d’une réelle inventivité juridique et politique ainsi qu’à emprunter de nombreuses pratiques aux mondes byzantin et musulman. Dans ce terreau particulier germe alors une culture politique originale, qui ne cesse d’évoluer au fil du siècle et qui se caractérise par une intense circulation du pouvoir, à la fois réelle et symbolique, sans cesse remis en jeu pour mieux irriguer l’ensemble de la société seigneuriale. / The Latin East, born in the aftermath of the First Crusade (1095-1099), was ruled by a military, Catholic and Latin aristocracy, which claimed a social, cultural, economic and political superiority. In this work, I studied the practices of power of this dominant class : the lords deployed diverse actions and techniques to establish, impose, legitimate, and perpetuate their domination, during a long twelfth century (from the foundation of the Kingdom of Jerusalem to the arrival in Orient of Frederick II Hohenstaufen in Orient in 1229). These practices - ranging from the construction of castles to military service, from justice to marriages, and from council to lottery - structured the games of power and characterized the political nature of this aristocratic society. The Latin Orient is a rich field of study inasmuch the Latin lords, although they remained part of a Western cultural landscape, nevertheless knew how to adapt to local conditions. These were marked in particular by a very high ethnic and religious diversity, which led the lords to show a real legal and political inventiveness and borrow many practices from the Byzantine and Muslim worlds. In this peculiar society, an original political culture grew and evolved over the course of the century. It was characterized by an intense circulation of power, both real and symbolic, which flew over the whole seigneurial society.
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Fortifications seigneuriales et résidences aristocratiques gasconnes dans l'ancien comté d'Astarac entre le Xème et le XVIème siècle

Guinaudeau, Nicolas 26 May 2012 (has links) (PDF)
L'étude des résidences aristocratiques dans l'ancien comté d'Astarac résulte de travaux réalisés entre 2003 et 2011. Elle s'inscrit dans l'enquête sur les forteresses médiévales de Midi-Pyrénées qui a débuté en 1994 et qui vise à procéder à l'évaluation du patrimoine régional. L'objectif principal a été d'inventorier les différentes formes de fortification liées à la résidence seigneuriale. Le corpus final, composé d'ouvrages de terre fortifiés (mottes, plates-formes et enclos fossoyés), de tours, salles et tours-salles, constitue la base de notre réflexion. Il ressort de cette enquête que le Gers méridional a connu l'implantation d'un grand nombre de fortifications seigneuriales et de résidences aristocratiques médiévales entre le Xe siècle et le XVIe siècle. Près de 320 sites, dispersés sur 10 cantons ont ainsi été répertoriés. Cette étude a été enrichie par le dépouillement des sources écrites disponibles. Un travail historique sur le comté d'Astarac et les seigneurs de cette zone, constituant l'aristocratie locale généralement peu évoquée dans les études analogues, a également été entrepris afin de mieux cerner le statut des propriétaires des habitats fortifiés repérés. Les informations recueillies sur le terrain et dans les sources consultées ont ainsi permis de réaliser un travail de réflexion sur le peuplement et l'organisation du territoire comtal astaracais.
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"Gentilshommes campagnards de la Nouvelle France" : présence seigneuriale et sociabilité rurale dans la vallée du Saint-Laurent à l'époque préindustrielle

Grenier, Benoît 11 April 2018 (has links)
Cette étude a pour cadre d'analyse les seigneuries de la vallée du Saint-Laurent habitées par leur seigneurs et, plus précisément, la rencontre entre la famille seigneuriale résidante et la population locale, notables et habitants, des origines du régime seigneurial, au début du XVIIe siècle, à son abolition, dans la seconde moitié du XIXe siècle. En observant ces acteurs privilégiés du monde rural préindustriel, dominé par le paysage seigneurial, l'objectif est de saisir l'ampleur et l'impact de cette présence, mais aussi son caractère évolutif dans la longue durée. À travers l'analyse de la sociabilité particulière d'une dizaine de ces communautés se caractérisant par une présence intergénérationnelle de la famille seigneuriale, l'opportunité est donnée de relancer le débat sur la nature du régime seigneurial dans la vallée du Saint-Laurent. Si les seigneurs résidants représentent une frange minoritaire des propriétaires seigneuriaux au Canada, l'analyse des familles ayant choisi de résider et de s'y enraciner a fait apparaître un sous-groupe qui, en dépit de son caractère hétérogène, composé de nobles mais surtout de roturiers souvent bien modestes, se distingue par son rapport plus intime à la seigneurie dont elle constitue l'un des pivots. Tantôt intégrée à la communauté dont on la dissocie mal, tantôt affichant clairement sa distinction, la famille seigneuriale résidante permet de donner une autre vision de la seigneurie dans la vallée du Saint-Laurent et de repenser la nature de l'institution seigneuriale dans le cadre de l'historiographie québécoise de cette question. La présence seigneuriale et la sociabilité tributaire de celle-ci mettent à jour la diversité des comportements seigneuriaux, tant en regard des attitudes familiales que des rapports sociaux locaux. Les conclusions de cette thèse revendiquent alors la multiplicité des réalités seigneuriales plutôt que l'appartenance à une vision globale de la seigneurie, bénéfique ou contraignante. Entre les seigneurs-colonisateurs et les seigneurs-oppresseurs, la réalité seigneuriale laurentienne se situait bien souvent quelque part à mi-chemin, adoptant un caractère variable au gré des seigneuries et des seigneurs, mais également au cours de l'évolution historique du système seigneurial. Alors que cent cinquante années ont passé depuis la fin du régime seigneurial, la présence de la famille seigneuriale sur son fief constitue, en dehors des seigneurs ecclésiastiques, une clé permettant de saisir cette diversité. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014

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