Spelling suggestions: "subject:"senghor"" "subject:"senghors""
11 |
The transculturation of Thomas Mofolo's Chaka : Southern Africa and francophone Africa in dialogueVassilatos, Ellas Alexia 26 September 2008 (has links)
Thomas Mofolo’s novel Chaka was a key contributor to Shaka’s mythical status.
This thesis attempts to demonstrate the significance of this work in light of the author’s
intellectual education and development by the Paris Evangelical Mission Society in
Lesotho and the subsequent exploitation of the novel by Léopold Sédar Senghor. In the
figure of Shaka, whom Senghor posed as an intellectual challenge to the imperial cultural
assumptions of the colonising powers, the Senegalese author created one of Négritude’s
most powerful symbols.
Following Senghor, a succession of Francophone African versions of Mofolo’s
story imbued the Zulu king with each author’s cultural and political idiosyncrasies. These
versions offered entirely new texts, which performed the simultaneous acts of
deculturation and neoculturation of Mofolo’s novel and Shaka/Chaka’s life.
Traditionally, Anglophone and Francophone African literary cultures have been
treated as separate intellectual spheres. This thesis seeks to understand the dialogue
between them, and examines the evolving narrative of their cultural exchanges through
the ‘transculturation’ of Mofolo’s Chaka.
|
12 |
Léopold Senghor's approach to opposition : a policy of reconciliationFilipovich, Jean, 1947- January 1980 (has links)
No description available.
|
13 |
Musicalité, corps et spiritualité dans la poésie de la négritude chez Césaire, Senghor et Craveirinha / Musicality, body and spirituality in the poetry of the Negritude, in the works of Césaire, Senghor and CraveirinhaHernandez-Monmarty, Eva 20 December 2018 (has links)
La négritude répond à la fois à une recherche identitaire en réaction à la colonisation et une esthétique littéraire qui emprunte son langage et son rythme au pays natal de chaque auteur et au pays colonisateur. Elle est ainsi en lien avec la politique. Le rythme des poèmes d'Aimé Césaire, Léopold Sédar Senghor et José Craveirinha a une résonance dans la typographie. La typographie est également associée à la musique par l'espace que les mots occupent sur la page. Les bonds rythmiques du tam-tam sont par exemple des bonds typographiques chez Léopold Sédar Senghor. Ce rythme nommé la musicalité en poésie fait entrer différents langages au sein de la poésie. Le questionnement est donc porté sur la poésie et les instruments de musique. En d'autres termes, peut-on y voir un de ces éléments qui entraîne la naissance de l'autre ou bien existe-t-il une co-existence de ceux-ci ? De plus, la typographie offre aussi presque quasi systématiquement des allers-retours entre les deux sens que sont la vue et l'ouïe. Ces allers-retours permis par le peu de ponctuation voire son absence laissent le soin au lecteur de donner un rythme. Les couleurs et la lumière mentionnées dans les poèmes sont autant l'occasion de faire appel à la vue. Les poèmes deviennent picturaux. Le rythme comme le rapprochement des poèmes de l'écriture calligramme confèrent à ceux-ci un aspect physique. Celui-ci se retrouve dans le thème du corps qui est, le plus souvent, le corps de la femme. Le corps féminin est certes empreint de sensualité, mais il est aussi celui de la mère qui traduit la terre natale. De cette manière le lien entre le poète est la terre natale est sensible. C'est aussi ce qui peut expliquer une certaine animalité lorsque les poètes évoquent le rythme du tam-tam et la fabrication de cet instrument de musique en peau. Cela est notamment le cas chez José Craveirinha où le poète prononce le désir de se transformer en « tambor » (en tambour) ou encore dans le rythme effréné de la transe chez Aimé Césaire lorsque la musicalité créée par l'anaphore imite le rythme du tam-tam. Ainsi, le rythme et la musicalité sont proches. Le corps féminin s'étend au corps du poète et aux corps des lecteurs puisque le sensible est mis à l'honneur dans les poèmes des trois auteurs à l'étude. Elle est la marque d'un espace à l'autre que Gilles Deleuze évoquée déjà. La frontière est ce qui est fait pour être transgressée selon le philosophe. L'expérience sensible est cruciale pour les poètes ainsi que la résonance de la parole poétique qui permet de dire des souffrances dans les poèmes de José Craveirinha par exemple. C'est cette pensée, cette spiritualité poétique qui est à l'origine de la particularité de la poésie de la négritude. / The negritude deals with the quest for identity which is the result of the colonization and with literary aesthetics, borrowing its language and rhythm from both of the countries : the one where the author was born and the colonizing one. Therefore, it is linked to politics. In poetry, it creates a particular rhythm which reveals sometimes a tension between the cultures. Moreover, the rhythm in Aimé Césaire's, Léopold Sédar Senghor's and José Craveirinha's poems has a resonance in the typography. Typography is also related to music thanks to the space occupied by the words on the page. The rythmic tam-tam bounds are, for instance, typographical bounds in Léopold Sédar Senghor's works. This rhythm, which is called musicality in poetry, lets differents languages in poetry. The question deals with poetry and musical instruments. In other words, is there an element giving birth to the other one or is there a coexistence of them ? Moreover, nearly systematically typography also gives roundtrips between eyesight and hearing. These roundtrips, allowed by the lack of ponctuation or its absence, let the reader give rhythm to the reading. The colors and the light mentioned in the poems highlight eyesight.The poems become paintings. Both the rhythm and the parallel between the poems and the calligrams give them a physical aspect. This one is revealed in the topic of body which is, frequently, a woman body. On one hand, the feminine body is full of sensuality, but on the other one it also is the mother's one, showing the native land. Through this, the link between the poet and his native land is underlined. That can also explain a sort of animality when the poets evoke the rhythm of tam-tam and the making of this musical instrument with a piece of skin. José Craveirinha is strongly concerned, because the poet pronounces his desire to become a « tambor » (drum), and Aimé Césaire's trance and its frenetic rhythm when the musicality created by the anaphor imitates the rhythm of tam-tam. Thus, rhythm and musicality are close to each other. The feminine body extends to the poet's and the reader's bodies because the perceptible is in the place of honour in the poems of the three authors studied. That's why the notion of border appears. It reveals the delimitation between a portion of space and the other that Gilles Deleuze already mentioned. The border is made to be broken, as the philosopher says. This way, the three authors' poetry is a poetry focused on the passing from a place to the other. The experience of senses is crucial for the poets, and also the resonance of poetic speech which can express sufferings, in José Craveirinha's poems for instance.
|
14 |
Le marronnage de l'exil : essai d'une esthétique négro-africaine contemporaine : des précurseurs francophones à Alain Mabanckou et Fatou DiomeDiagne, Khady Fall 12 September 2014 (has links)
Notre sujet de réflexion consistait à penser à ce qui fait lien entre la littérature francophone d’Afrique noire et antillaise, en plus de l’histoire. Nous nous sommes penché sur les stratégies d’écriture déployées par les écrivains, pour se démarquer, pour signifier leur existence, Partant de la pratique du marronnage comme phénomène historique lié à l’esclavage, nous avons amorcé une réflexion sur sa transposition littéraire, à partir de la mythification de la figure du Marron, par des auteurs comme Dayot, Houat, et plus récemment Glissant et Chamoiseau, qui ont pu développer une esthétique de la survivance, valoriser l’ identité du Marron, héraut du peuple antillais dans la résistance à l’esclavage. L’essentiel de notre travail a porté sur l’élargissement de ce thème du marronnage aux périodes coloniale et postcoloniale, en posant comme postulat l’hypothèse de l’existence d’une forme de marronnage intellectuel comme fondement d’une esthétique négro-africaine, instauré par les précurseurs de la Négritude, Senghor et Césaire, dont le travail le plus original, mais souvent négligé, a été la conquête d’une langue de la négritude. Les écrivains contemporains francophones d’Afrique noire, à l’instar d’Alain Mabanckou et de Fatou Diome, dans un contexte inscrit dans une dynamique mondialiste et un espace littéraire conditionnés par les diktats d’une critique eurocentriste, ont pratiqué une forme de marronnage ( trans) esthétique, mais aussi par une surconscience linguistique redoublée, en développant des stratégies destinées à inscrire subversivement au cœur de la langue l’empreinte d’une déviance revendiquée, comme seul moyen de signifier son identité. / Our subject of reflection consisted in thinking of what makes link between the French-speaking literature of subsaharian Africa and the Antilles, in addition to the history. We dealt with the writing strategies deployed by the authors, to stand out, to reveal their existence. On the basis of the French word “marronnage”, taking its name from Spanish “Cimarron” used to qualify this historical phenomenon related to slavery, we started to think about its literary transposition. The literary mythologizing of the Maroon by authors such as Eugène Dayot, Louis-Timagène Houat, and more recently Glissant, has enabled to develop aesthetics of the survival, to value the identity of the Marron, herald of the Antillean people, in the resistance to slavery. The main part of our work was about the extension of this theme of the marronnage to the colonial and postcolonial periods, by setting as postulate the hypothesis of the existence of a form of intellectual marronnage as foundation of negro-African aesthetics, established by the forerunners of the Negritude, Senghor and Césaire, whose most original but often unknown work was the conquest of a language of the negritude. The French-speaking contemporary writers of subsaharian Africa, for instance Alain Mabanckou and Fatou Diome, in a context of an internationalist dynamics and a literary space conditioned by the diktats of an eurocentrist criticism, applied a form of ( trans ) esthetic marronnage, but also with a doubled “linguistic surconscience”, by developing strategies intended for subversively setting at the heart of the language the print of a claimed abnormality, as only means to make their identity known.
|
15 |
La négritude et l'esthétique de Léopold Sédar Senghor dans les oeuvres de l'École de DakarL'Heureux, Marie-Hélène January 2009 (has links) (PDF)
Au moment où le Sénégal obtient son indépendance de la France, en 1960, de nouvelles formes d'art émergent sous l'impulsion des actions entreprises par le président Léopold Sédar Senghor. Homme de lettres, amateur d'art, mécène et ardent défenseur de la Négritude, Senghor annonce les critères d'une esthétique négro-africaine dans un article publié pour la première fois en 1956, Senghor croit fermement que les arts africains, modernes de surcroît, sauveront l'homme noir et montreront au monde entier la valeur réelle de la culture africaine. Agissant selon ses convictions, le président sénégalais instaure une importante politique culturelle qui a pour trame de fond l'idéologie de la Négritude. Il fait alors mettre en place de nouvelles structures culturelles favorisant l'éclosion de nouveaux arts plastiques. Par conséquent, nous serions portés à croire que la production artistique de l'époque illustre la Négritude et correspond aux idéaux de Senghor. Le sujet principal de ce mémoire consiste à étudier les oeuvres des artistes sénégalais formés à l'École des arts de Dakar dans les années 1960 et 1970 afin de vérifier si la production visuelle correspond aux critères véhiculés par Senghor dans son esthétique négro-africaine et dans sa définition de la Négritude. Le corpus d'oeuvres analysées est tiré de l'exposition Art sénégalais d'aujourd'hui qui a été présentée pour la première fois à Paris en 1974. L'analyse formelle de ces oeuvres nous permet de constater que, non seulement les contenus formels et thématiques sont conformes aux idéaux de Senghor, mais témoignent également du contexte historique et esthétique de l'époque en Afrique et en Europe. Toutefois, certains artistes dépassent le programme esthétique prescrit par Senghor et présentent une réalité et des aspects culturels qui vont au-delà de la Négritude et de l'esthétique négro-africaine. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Art contemporain, Art moderne, Afrique, Léopold Sédar Senghor, Négritude, École de Dakar, Esthétique.
|
16 |
Le rôle de Léopold Sédar Senghor dans la francophonie et dans le mouvement littéraire " la négritude".Manirambona, Marie-Rose January 2012 (has links)
No description available.
|
17 |
The image of Africa in the poetry of Neto and Senghor /Brás, A. R. (Alberto Raimundo) January 1982 (has links)
No description available.
|
18 |
The image of Africa in the poetry of Neto and Senghor /Brás, A. R. (Alberto Raimundo) January 1982 (has links)
No description available.
|
19 |
Interkulturalität und Perspektive : zur Präsenz Goethes und Brechts in Themen der kritischen Intelligenz Afrikas : am Beispiel Senghors und Soyinkas /Ba, Amadou Oury, January 2006 (has links)
Dissertation--Philosophische Fakultät--Mannheim--Universität, 2005. / Bibliogr. p. 203-210.
|
20 |
Interkulturalität und Perspektive zur Präsenz Goethes und Brechts in Themen der kritischen Intelligenz Afrikas ; am Beispiel Senghors und SoyinkasBa, Amadou Oury January 2005 (has links)
Zugl.: Mannheim, Univ., Diss., 2005
|
Page generated in 0.0382 seconds