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La vie intellectuelle et littéraire en Ukraine au siècle des Lumières

Sirotchouk, Tatiana 01 April 2009 (has links)
Indisponible / Unavailable
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Christoph Willibald Gluck 1774-1779 : vers un style universel ? : Contribution à l'analyse d'Iphigénie en Aulide, Armide, Iphigénie en Tauride, Echo et Narcisse / Christoph Willibald Gluck 1774-1779 : to a universal style ? : Contribution to the analysis of Iphigénie en Aulide, Armide, Iphigénie en Tauride, Écho et Narcisse

Garde, Julien 13 December 2013 (has links)
Lorsque Christoph Willibald Gluck (1714-1787) arrive à Paris à l’automne 1773, onze ans se sont écoulés depuis la création d’Orfeo à Vienne. La rupture avec l’opera seria a été consommée, et le développement des théories de la « réforme » initiées par la collaboration avec Calzabigi s’engage résolument dans la recherche d’un drame européen. Il serait cependant erroné de scinder la carrière du compositeur entre un « avant » et un « après » Orfeo, car l’œuvre de Gluck se définit comme l’épanouissement permanent des premières idées dramatiques appliquées dans ses premiers opéras italiens. Gluck établit sa « réforme » à partir de l’expérience sensible et pratique, questionnant en réalité l’ensemble des genres musicaux européens non pas sur leur légitimité, mais sur ce qu’ils offrent de possibilité d’émancipation. Cette étude s’intéresse aux œuvres françaises dans ce qu’elles développent d’autonomie et d’épanouissement musicaux à partir, étonnamment, du recul pris par rapport à l’indépendance de la musique, et grâce aussi à l’émergence dans l’Europe des Lumières d’une esthétique fondée sur la réunion et la liaison entre les arts. Il s’agit de proposer une contribution à l’étude musicale des dernières partitions certes prises comme autant d’éléments du langage gluckiste, mais également envisagées à partir des suggestions originelles des premières œuvres et, dans la mesure du possible, face aux discussions et polémiques sur la musique et l'opéra de l'époque. Les drames parisiens élucident dès lors le concept de langage universel dont le compositeur se réclame lui-même. / When Christoph Willibald Gluck (1714-1787) arrived in Paris in the fall of 1773, eleven years have passed since the creation of Orfeo in Vienna. The break with the opera seria was consumed, and the development of theories of the « reform » initiated by the collaboration with Calzabigi is firmly committed to the search for a European drama. It would be wrong to split the composer's career between « before » and « after » Orfeo, as Gluck's work is defined as the permanent development of the first dramatic ideas applied in his first Italian opera. Gluck established his « reform » from the sensible and practical experience, questioning actually all musical European genres, not their legitimacy, but they offer the possibility of emancipation. This study focuses on French works in that they develop autonomy and musical development, from, surprisingly, the step back compared to the independence of the music, and thanks to the emergence in the European Enlightenment of an aesthetic based on the meeting and the connection between the arts. It is to propose a contribution to the study of musical scores last course taken as elements of gluckiste language, but also considered suggestions from the original works of the first and, to the extent possible, given the discussions and controversy over the music and opera of the time. Parisian dramas therefore elucidate the concept of universal language which the composer calls himself.
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La pratique et les réseaux savants d'Albrecht von Haller (1708-1777), vecteur du transfert culturel entre les espaces français et germaniques au XVIIIème siècle

Catherine, Florence 18 September 2009 (has links)
Le médecin bernois Albrecht von Haller (1708-1777) est une figure centrale de l'espace des Lumières germaniques et helvètes. Auteur d'une oeuvre pluridisciplinaire, il polarise un vaste réseau de correspondants dans toute l'Europe. Nous nous proposons donc d'analyser son rôle de médiateur privilégié dans le transfert d'idées savantes entre les espaces français et germaniques. En procédant à des échanges de livres et en rédigeant de très nombreuses recensions, Haller lit de façon critique la production de la scène intellectuelle française. Il en diffuse et en commente les résultats dans le monde germanophone et dans l'ensemble de son réseau épistolaire. Les membres du réseau français de Haller sont aussi les médiateurs de sa pensée auprès des cercles éclairés français : ils sélectionnent dans ses oeuvres des éléments intellectuels qui correspondent à leurs attentes et les importent dans le but d'enrichir leurs propres écrits. / The Bernese doctor Albrecht von Haller (1708-1777) is a central figure in the Germanic and Helvetian period of Enlightenment. Author of a multidisciplinary work, he attracts a vast amount of correspondents all over Europe. Consequently, we suggest to analyse his role as a privileged mediator in the transfer of scholar ideas between the French and Germanic spheres. Through exchanging books and doing a lot of recensions, Haller has a critical reading of the French intellectual scene's productions. He edits and comments his results in the Germanic world and in the whole of his epistolary network. The members of the French Haller network are also mediators of his views within the French enlightened circle: They select intellectual elements in his work which correspond to their own expectations and incorporate them in to their own writings in order to enrich them.
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La théâtralité de l'écriture romanesque : Le paysan parvenu de Marivaux

Poulin, Maria-Clara January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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La critique de l'irrationnel dans L'ami des enfants (1782-1783) d'Arnaud Berquin

Fournier-Goulet, Geneviève 02 1900 (has links) (PDF)
On a longtemps considéré l'enfant comme « un petit adulte » et ce n'est qu'avec les XVIe et XVIIe siècles qu'on commence à lui reconnaître des caractéristiques propres. Toutefois, c'est avec le XVIIIe siècle que des auteurs se mettent à écrire des récits spécifiquement destinés à un jeune public. Ceux que l'on peut qualifier de grands auteurs pour la jeunesse à la fin de l'Ancien Régime, qu'il s'agisse de Madame d'Épinay (1726-1783), de Madame de Genlis (1746-1830) ou d'Arnaud Berquin (1747-1791), se font les porte-paroles des idées et des critiques que nous désignons aujourd'hui sous le nom de « philosophie des Lumières ». Nous nous intéresserons ici à L'Ami des enfants, un périodique écrit par Arnaud Berquin. Paru en vingt-quatre numéros entre 1782 et 1783, il comporte 121 historiettes de plusieurs genres différents, dans lesquelles Berquin se réclame d'une des idées essentielles des Lumières : le recours à la raison. En effet, il y dénonce de plusieurs manières l'irrationnel (revenants, monstres, magie, mondes enchantés) et c'est cette critique que nous étudierons, afin de voir comment elle est rendue accessible aux jeunes lecteurs, tout en restant très près des Lumières. Dans un premier chapitre, nous retracerons le contexte socio-historique pour comprendre comment la critique des croyances s'est articulée en France, et ce, jusqu'à envahir le domaine de la littérature pour enfants. Il s'agira avant tout de voir comment le discours de Berquin s'insère dans un mouvement qui le dépasse et qui tire ses origines de la fin du XVIIe siècle. Ce rappel historique nous mènera à une définition opératoire des termes « irrationnel » et « irrationalité », qui seront utilisés dans la suite de notre mémoire. Nous tenterons ensuite de voir de quelle manière Berquin s'emploie à mettre cette critique à la portée des enfants. L'ensemble des histoires sera d'abord observé, afin de voir comment elles mettent toutes de l'avant un monde où la raison prime. Trois manifestations de ce monde « raisonnable » seront étudiées dans les historiettes : leur réalisme de fond et de forme; leurs liens avec la science et la méthode scientifique, telles que décrites dans l'Encyclopédie de Diderot et D'Alembert (1751-1772) ; leur proximité avec le déisme. Notre troisième chapitre sera finalement consacré à l'analyse de six histoires en particulier qui traitent explicitement de la critique des irrationalités. Il s'agira surtout de déterminer quelles stratégies rhétoriques utilise Berquin pour inciter à critiquer les irrationalités. Une telle étude nous permettra de lier la critique des irrationalités faite par Berquin aux idées véhiculées dans la société française de cette époque, de manière à voir comment cet auteur diffuse une philosophie des Lumières et une définition de la raison adaptées aux enfants. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Arnaud Berquin, littérature pour enfants, irrationnel, philosophie des Lumières, XVIIIe siècle
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La théâtralité de l'écriture romanesque : Le paysan parvenu de Marivaux

Poulin, Maria-Clara January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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L'esprit dans le théâtre de Marivaux / Wit in Marivaux's comedies

Igouazi - Tatem, Nathalie 20 October 2016 (has links)
Le dialogue marivaudien est plaisant parce qu'il est vif, brillant, plein de finesse, spirituel ; tous les personnages participent d'ailleurs à cette fête verbale, ce qu'on a souvent reproché au dramaturge. Ses contemporains condamnaient effectivement son affectation, sa subtilité exagérée, sa vaine métaphysique : il faisait montre de trop d'esprit et on l'accusait même de corrompre la langue française. Qu'est-ce donc que l'esprit marivaudien ? Un vernis brillant sans autre but que de susciter l'admiration et l'amusement ? Un ingrédient clinquant qui ne serait que poudre aux yeux ? Le résultat d'une forme d'abus de langage ? Ou bien doit-il être pris au sérieux et étudié de près pour en comprendre les enjeux et les significations ?La première partie s'attache à définir la notion d'esprit en s'appuyant sur différents textes d'auteurs et de dictionnaires ainsi que sur les écrits de Marivaux lui-même. La notion de trait d'esprit est alors privilégiée pour appréhender les comédies du dramaturge. La deuxième partie étudie le fonctionnement de l'esprit dans ces œuvres théâtrales en mettant au jour une typologie du trait d'esprit et en montrant son caractère fragmentaire et spectaculaire. La dernière partie cherche à mettre en lumière les fonctions de l'esprit chez Marivaux dans les domaines du sentiment, de la morale et de la dramaturgie. / Marivaux's dialogue is pleasant because it's lively, brilliant, subtil, witty ; besides, all the characteres take part in this verbal festival, and the dramatist was often blamed for that. Indeed, his contemporaries criticize his preciosity, his exaggerated subtlety, his affected style : he was too witty, he was even accused of corrupting language. How could we define Marivaux's wit ? As a sparkling writing which is just about good enough for entertaining and tries to dazzle the audience ? Is it the result of a misuse of language ? Or have we to study it seriously to understand its meanings and its stakes ?In the first part, we try to define the notion of wit through different authors, dictionaries and Marivaux's written works. Then we choose the notion of witticism to analyse these comedies. In the second part, we study how wit functions : we give a typology and we show that it's both fragmentary and spectacular. The last part is devoted to explaining how wit influences the sentimental and moral sphere and the dramatic action.
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Érudits, théologiens et libertins autour de l'exégèse allégorique à l'âge des lumières

Drouin, Sébastien 12 April 2018 (has links)
Longtemps, la recherche dix-huitiémiste considéra la critique de la religion au siècle des Lumières comme un phénomène issu du libertinage érudit du XVIIe siècle et de la littérature philosophique clandestine. Parmi les points essentiels de la religion chrétienne contestés par les libres penseurs, l'exégèse allégorique des prophéties chrétiennes occupe une place déterminante. Les principes interprétatifs qui font de personnages bibliques des préfigurations du Christ, bref l'exégèse allégorique, à propos desquels les « Philosophes » font des gorges chaudes, furent à maintes reprises contestés par plusieurs érudits et théologiens du XVIIe siècle. C'est à ce titre que cette thèse vise à mettre en évidence certaines influences méconnues pourtant au cœur des nombreux textes contestant la religion chrétienne au XVIIIe siècle. Pour parvenir à cette fin, nous avons pratiqué une lecture sérielle de la presse savante entre 1684 et 1750. L'analyse des réseaux internationaux au cœur de cette actualité érudite a mis en évidence plusieurs querelles exégétiques aujourd'hui méconnues, mais qui passionnèrent alors la République des Lettres, et dont on trouve des échos tant dans la littérature philosophique clandestine que dans Y Encyclopédie. Insister sur la place occupée par l'érudition religieuse dans l'histoire de la libre pensée : voilà qui relativise l'idée de « Lumières philosophiques » et laisse place à une conception davantage plurivoque des Lumières, dont les « Lumières religieuses » en sont un exemple aussi méconnu qu'étonnant. Telles sont, entre autres, les considérations auxquelles nous mène la rencontre inattendue entre les érudits, les théologiens et les libertins autour de l'exégèse allégorique à l'âge des Lumières.
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François Colin de Blamont (1690-1760). Une carrière officielle au cœur des institutions musicales françaises du Grand Siècle au Siècle des Lumières / François Colin de Blamont (1690-1760). An official career in the French musical institutions during the Classical Century up to the Age of Enlightenment

Dratwicki, Benoît 12 February 2014 (has links)
Débutant sa carrière durant les dernières années du règne de Louis XIV sous les auspices de Michel-Richard de Lalande, François Colin de Blamont se fait connaître dans les salons de la Régence par ses airs et ses cantates. Nommé Surintendant de la Musique de la Chambre du jeune Louis XV (1719), il devient l’un des acteurs déterminants de l’évolution des goûts et des pratiques musicales de la Cour. Dans la capitale, il est joué avec succès au Concert Spirituel, à l’Académie royale de musique et dans les cénacles en vue, souffrant toutefois de l’étoile montante de Jean-Philippe Rameau. Ses partitions témoignent de l’ambiguïté musicale française caractéristique du Siècle des Lumières, associant respect de la tradition et recherche de modernité. Ce travail propose de mettre en lumière la carrière et l’Œuvre de ce compositeur en les éclairant par le contexte historique, social et politique. La première partie fait le point sur la jeunesse, la formation et les premières productions de l’auteur. La deuxième partie est consacrée au service de la Cour. La troisième partie aborde le milieu musical parisien et les implications de Colin de Blamont dans les grandes institutions de la capitale. Enfin, la dernière partie tente de porter un regard neuf sur l’auteur, considéré tout à la fois comme homme de cour, esthète et musicien. / François Colin de Blamont started his career during the last years of the reign of Louis XIV under the aegis of Michel-Richard de Lalande. During the Regency, he was mostly known through his arias and cantatas. In 1719, he was appointed ‘Surintendant de la Musique de la Chambre’ of the young Louis XV. He became one of the main personalities involved in the evolution of the tastes and the musical practices at the Court. In Paris, his music was successfully played at the ‘Concert Spirituel’, at the ‘Académie royale de musique’ and in the most famous literary sets, even if the rising star of Jean-Philippe Rameau was to overshadow him. His style shows the musical ambiguity typical of French music of the 18th century, which associated the respect of the tradition with the aspiration to modernity. This study aims to bring to light the career and the works of this composer by considering them in their historical, social and political context. The first part sums up his youth, his training and his first works. The second part is devoted to his career at the Court. The third part explores the Parisian musical environment and the involvement of Colin de Blamont in the main institutions of the city. Finally, the last part will consider the author in a new way, as a man of court, as an esthete and as a musician.
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La "FOUTERIE" versus les émois grandiloquents : étude de l'évolution du langage libertin à travers Le sopha de Crébillon fils et La philosophie dans le boudoir de Sade

Lavoie, Liette January 2007 (has links) (PDF)
Le libertinage, en plus d'être associé à une esthétique littéraire circonscrite à quelques décennies, a été un art de vivre, une étape cruciale dans le processus d'émancipation de l'Homme. Ce sont les libertins qui, à partir du XVIIe siècle, ont posé un regard critique sur tout ce qui se présentait comme une entrave à la liberté, sur les tyrannies religieuses, politiques, intellectuelles ou morales. Les pulsions physiques ayant subi de graves oppressions pendant l'Ancien Régime, il était inévitable que la sexualité devienne un enjeu majeur, voire le symbole même de l'affirmation de soi. Les romans libertins, qui remportent un franc succès malgré les interdits dont ils sont frappés, sont toutefois bien davantage qu'une présentation de scènes de débauche. Ils mettent en place des stratégies stylistiques et rhétoriques qui visent à dire la sexualité et, ultimement, à influencer les mentalités. Cette langue libertine se révèle être feutrée ou audacieuse, flamboyante, hypocrite ou irrévérencieuse selon les périodes qu'elle traverse. En effet, des débuts de l'époque libertine à sa chute irrémédiable au tournant du siècle, en passant par son apogée vers les années 1730, cette langue subit des métamorphoses foudroyantes que nous avons choisi d'analyser à partir de deux romans représentant les moments-clés. Rédigé en 1739 dans une langue fleurie et grandiloquente, Le Sopha de Crébillon fils incarne l'esprit de la période dorée du libertinage alors que La Philosophie dans le boudoir de Sade, paru en 1795, est plutôt saturé de mots interdits et d'idées scandaleuses qui laissent entrevoir l'émergence de l'écriture moderne. Les écarts entre ces oeuvres, tant en ce qui concerne le sujet et le style que le contact avec le lecteur, nous permettront de cerner les objectifs recherchés par les deux auteurs. Se détachant d'une part graduellement des anciens modes de pensée, ces écrivains manifestent un attachement marqué pour certaines réflexions du XVIIIe siècle. Nous nous intéresserons donc, dans un premier temps, aux emprunts faits aux discours philosophiques, techniques rhétoriques et lieux communs de la conversation mondaine afin de déterminer si leur entreprise de séduction se base davantage sur l'art de plaire ou sur celui de persuader. Nous poursuivrons par l'analyse des traits stylistiques qui les distinguent de la norme langagière de leur époque. Notre démarche procèdera de l'analyse minutieuse des marques textuelles comme le lexique et les figures afin de cerner le style de chacun. Si les écarts de Crébillon manifestent une tendance à camoufler les critiques sociales derrière l'ambiguïté et l'ironie, ceux de Sade visent à détruire les normes langagières par un excès de crudité. Nous verrons enfin si ces deux ouvrages licencieux s'inscrivent dans le genre pornographique. De plus en plus modernes d'autre part, les auteurs des Lumières commencent à réaliser l'importance du lectorat et à développer des techniques de communication. Nous nous intéresserons dans un troisième chapitre à la structure dialogique qui implique le lecteur dans Le Sopha, aux stratégies de répétition qui visent à anéantir sa sensibilité dans La Philosophie dans le boudoir, ainsi qu'à la présence commune de personnages-lecteurs qui ont pour objectif d'indiquer le mode de lecture à adopter. Nous constaterons enfin que cette conception de la littérature comme outil pour critiquer, imposer son individualité et influencer le public évolue rapidement vers la Modernité. Bref, il s'agit de voir comment ces deux écrivains ont participé à la transformation de la langue libertine en langue moderne. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Libertin, Liberté, Langue, Lumières, Dix-huitième siècle, Crébillon, Sade.

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