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Life on the Move: Women's Migration and Re/making Home in Contemporary Chinese and Sinophone Literature and FilmHsieh, Hsin-Chin 18 August 2015 (has links)
My dissertation examines the transformation of family and the reinvention of home from migrant women’s perspectives as represented in contemporary Chinese and Sinophone literature and film. In the era of globalization, people are increasingly mobile both within and across borders, resulting in the reshaping of family structure and re-conceptualization of home. In this dissertation I contend that migration is closely related to family dynamics and that migration also facilitates women’s agency in transforming family structure, navigating cultural differences, and negotiating with local societies and nation-states.
The Chinese concept of jia 家 can be translated into English as family, home or house, and “homeness” in the context of Chinese migration is particularly associated with a geographical origin, a dwelling, a settlement, or familial intimacy. In this regard, I argue that migration is a process which reflects tradition, modernity and transnationalism, yet it can move beyond the metanarrative of homeland and nationalism that is often promoted by patriarchal cultural producers. I treat home as a locally defined notion to offer an alternate understanding of women migrants’ localization rather than focusing on the myth of return to the homeland.
Women’s transgression of the boundaries of the household and their movement to other geographical locales transform their gendered role within the family, inciting their agency in opposing patriarchy and nationalism and creating space within which to negotiate the challenges of gender inequity, cultural difference, and marginalization. In contrast with the male-centered grand narrative featuring nostalgia for the homeland, I find that tales of women migrants show their protagonists eagerly adapting to their host countries and embracing local experiences. Hence, my dissertation focuses on the literary and cinematic representation of women migrants in contemporary Chinese and Sinophone literary works, documentaries and fictional films and explores four types of movement: immigration to North America, multiple transnational movements, cross-Strait migration from Taiwan to China, and new marriage-based immigration in Taiwan. Analysis of these works will improve understanding of the transnational flow of populations, the contested notion of home in migration, as well as the ways in which place-based literary and cultural productions are influenced by real-world migration. / 10000-01-01
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L'Excription chinoise : l'oeuvre, son sujet et sa communauté (1839-1979) / The Chinese excription : work, subject and community (1839-1979)Lim, Pierre-Mong 14 March 2017 (has links)
La présente thèse examine l’apparition d’un sujet de l’écriture chinoise durant la période allant de la première guerre de l’opium à la troisième guerre d’Indochine. « Écriture » est ici comprise, d’une part, au sens strict de l’activité littéraire et, d’autre part, au sens plus large, philosophique, que la déconstruction a donné à ce terme. Ainsi, la notion d’excription (néologisme emprunté au philosophe Jean-Luc Nancy) nous permet de revisiter un ensemble de textes qui ont mis au cœur de leur réflexion ou de leur expérience la question de la création, à travers l’écriture, d’un sujet et d’une communauté de sujets. Au cours des trois parties qui la composent, cette thèse interroge transversalement les hypothèses historiques sur la modernité de sinologues tels que Naitô Konan et Takeuchi Yoshimi, ainsi que les conduites créatrices de Huang Zunxian, Wifredo Lam ou encore Zhang Guixing. Car excription signifie aussi que la recherche menée suit un mouvement d’extériorisation, de mise au dehors du sens que peuvent recouvrir le sujet chinois et sa communauté. / This dissertation studies the birth of what we term the subject of Chinese writing, during the period that stretches from the first Opium War to the Third Indochina War. Our research understands “writing” in the narrow sense of literary activity but also in the wider sense that deconstruction has attached to it. Hence, excription as a philosophical concept (created by the philosopher Jean-Luc Nancy) allows us to reinterpret a number of texts whose central thought or experience is the creation of a subject and a community of such subjects. Throughout three parts we read transversally the historical hypotheses on modernity by sinologist such as Naito Konan and Takeuchi Yoshimi as well as the poetic creations of Huang Zunxian, Wifredo Lam or Zhang Guixing. One must indeed keep in mind that excription also means a movement of externalization of meaning, that, precisely, of the Chinese subject and his community.
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Phonological issues in the production of prosody by francophone and sinophone learners of english as a second languagePloquin, Marie January 2009 (has links) (PDF)
Un accent de non-natif peut mener à une incompréhension ou à la perception de degrés différents d'accent d'étrangeté. La prosodie, qui est maintenant reconnue comme un élément important de l'impression d'étrangeté, est relativement peu abordée en recherche en acquisition des langues étrangères. Ceci contraste avec l'intérêt grandissant envers la prosodie en tant qu'élément de la langue maternelle. Dans cette thèse, la recherche phonologique est évaluée quant à sa pertinence dans la recherche sur la prosodie des langues étrangères. Deux aspects de la théorie phonologique sont étudiés: la typologie et l'organisation phonologique. Ce choix est justifié par la présomption générale que l'étrangeté prosodique est créée soit par une différence de typologie entre langue maternelle (L1) et langue étrangère (L2) soit par un transfert de traits prosodiques de la L1. La critique de la recherche en typologie phonologique conclut que, à ce stade, aucun modèle de classification prosodique n'est applicable à l'acquisition d'une L2. En particulier, l'étude démontre que certaines typologies, en particulier la théorie de l'isochronie accentuelle/l'isochronie syllabique de Pike, devraient être exclues parce qu'elles entravent les progrès en recherche sur l'acquisition et la production de la prosodie des langues étrangères. Le second aspect de la théorie phonologique étudié dans cette thèse est l'organisation phonologique. La prémisse est que les différences sous-jacentes à l'organisation prosodique plutôt que les différences phonologiques de surface sont transférées de L1 à L2. Les analyses approfondies de l'anglais nord américain, le français et le chinois standard révèlent d'importantes différences phonologiques entre l'anglais nord américain et les deux autres langues. Quatre expériences évaluent certaines de ces différences. La prosodie de l'anglais produite par des locuteurs natifs du français est analysée dans des phrases rythmiquement simples et des phrases rythmiquement plus complexes. Les résultats démontrent que l'accentuation lexicale est moins problématique que l'accentuation prosodique supra-lexicale. En particulier, il est démontré que les montées de fréquence fondamentale (F0) de début et de fin de syntagme accentuel (SA), typiques du français, sont source d'erreur dans la prosodie de l'anglais langue seconde. Il est cependant montré que cette erreur, bien que remarquée par les locuteurs natifs de l'anglais, n'affecte pas la perception de placement d'accentuation par ces derniers. La prosodie de l'anglais produite par des locuteurs natifs du chinois est analysée en termes de transfert de ton et d'alignement de pic de F0. Les résultats indiquent que les locuteurs du chinois utilisent les tons chinois quand ils produisent des tons accentuels de l'anglais; plus spécifiquement, la majorité des locuteurs utilisent le ton 2 (ton montant) quand ils produisent un ton accentuel montant. La dernière expérience révèle que les locuteurs natifs du chinois alignent le ton accentuel avec la syllabe accentuée à laquelle elle correspond de manière plus stricte que les locuteurs natifs de l'anglais nord américain le font. Les résultats de cette thèse génèrent un aperçu de la progression de la performance de la prosodie d'une langue étrangère. Les conclusions comportent des implications sur le contenu pédagogique et le format de l'enseignement de la prononciation. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Phonologie, Phonétique, Phonologie prosodique, Prosodie, Rythme, ESL, Français du Québec, Français de France, Chinois.
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Singing Sinophone : a case study of Teresa Teng, Leehom Wang, and Jay ChouLee, Lorin Ann 18 July 2012 (has links)
This thesis provides an initial inquiry into the acoustics of Chinese identity, or Chineseness, in the emerging studies of Sinophone and Sinophonicity through the study of three well-known Sinophone musicians -- Teresa Teng, Leehom Wang, and Jay Chou. As critics such as Ien Ang and Rey Chow have reminded us, it is becoming increasingly urgent to reexamine the plurality of Chineseness with the rise of China. Truly, the umbrella term "Chinese pop" or "Mandopop" has become an inadequate common denominator in terms of the multilinguistic and multicultural elements in popular music produced in overseas Chinese communities such as Hong Kong and Taiwan or what Shu-mei Shih calls the "Sinophone" communities. In short, Sinophone studies explore the relation between the Chinese mainland and these Sinophone communities in a set of conditions (geographic, ethnic, linguistic, political, etc.). This thesis will explore the ways in which Sinophone musicians exhibit and perform Chineseness, the reason for its manifestation, and the implications and consequences for these types of articulations. / text
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Multilinguisme, identité et cinéma du monde sinophone : nationalisme, colonialisme et orientalisme / Multilinguism, identity in sinophone cinema : nationalism, colonialism and orientalismLeperlier, Henry 18 September 2015 (has links)
Le monde chinois ou sinophone ne se limite pas à la Chine continentale, mais il s’étend au-delà de l’État-nation qui est souvent perçu comme étant le phare médiatique de la culture chinoise. La langue chinoise est aussi parlée dans d’autres pays comme Taïwan et Singapour où elle a un statut officiel; elle est aussi langue d’enseignement en Malaisie et à travers la diaspora.Ce monde sinophone n’est pas unilingue et comprend non seulement les langues des minorités officielles définies par la Constitution de la République populaire de Chine, mais aussi les autres langues chinoises, telles le shanghaïen, le cantonais ou le hokkien pour ne citer que les trois langues chinoises jouissant d’un certain prestige. À Taïwan, société multilingue et multiculturelle, à côté des trois langues chinoises, le mandarin, le hokkien, sous sa dénomination locale de taïwanais, et le hakka sont aussi des langues couramment utilisées dans les médias et plus récemment dans le système éducatif ; à leurs côtés se trouvent plusieurs langues aborigènes qui sont encouragées par le gouvernement et jouissent d’une image positive dans la population Han. Cette diversité linguistique est reflétée dans le cinéma différemment en Chine et dans les autres pays sinophones. En Chine, les minorités ethniques ont longtemps été reléguées au statut de sujet anthropologique et présentées au cinéma d’un point de vue paternaliste reflétant une attitude « orientaliste » telle que théorisée par Edward W. Said. Ce n’est que récemment que le cinéma chinois a commencé à produire des films où les minorités ethniques prennent la parole et sont incarnées par des protagonistes prenant en main leur destin. La situation à Taïwan est plus diversifiée : après l’occupation japonaise la majorité des films était en taïwanais mais l’investissement important de la part des autorités dans des productions sophistiquées en couleur a rapidement vu la fin des productions en taïwanais pendant plusieurs décennies. Ce n’est que vers la fin de l’état de siège au milieu des années 1980 que le cinéma taïwanais recommencé à faire usage d’autres langues que le mandarin ; par contraste avec les périodes précédentes, on assiste surtout à des films multilingues reflétant le mélange multiculturel et linguistique de la société taïwanaise du passé aussi bien que du présent.La relative liberté du cinéma sinophone de refléter les pays de langue chinoise dans leur diversité culturelle, d’articuler les contacts entre minorités ethniques en Chine et la majorité Han, comme dans Kekexili ; le souci de réalisme culturel, linguistique, sociétale et historique comme dans Seediq Bale à Taïwan ; le portrait d’une société multilingue à Singapour telle qu’elle est décrite dans Singapore Dreaming sont les signes avant-coureurs que la société sinophone ne se réduit pas à un seul pays et que sur la scène internationale il sera impossible de considérer la Chine comme seule détentrice d’une culture sinophone. Le développement de ce cinéma sinophone dans les festivals étrangers, sur les plateformes de diffusion vidéo ou de salles de cinéma montre qu’il existe un intérêt pour le cinéma sinophone qui est perçu comme une fenêtre sur la culture, la politique et les sociétés de ses composantes. Il sert aussi d’échange entre les différents pays et régions du monde sinophone et pourrait bien être le premier élément d’une culture sinophone transnationale et transculturelle. Dans ce contexte transnational, Taïwan, comme l’avance June Yip à maintes reprises dans Envisioning Taiwan - Fiction, Cinema and the Nation in the Cultural Imaginary, pourrait être le premier pays à avoir abandonné le concept d’État nation et fait preuve d’avant-garde au même titre que le cinéma sinophone transnational. / The Chinese speaking world is not limited to Mainland China. It extends beyond Continental China, a country often perceived as the beacon of Chinese culture. Mandarin and other Chinese languages are spoken in Taiwan and Singapore where the former is an official language. Mandarin is also used as a teaching medium in Malaysia and throughout the diaspora.The sinosphere, as it is increasingly being referred to, is not a unilingual society but also includes not only ethnic minorities languages as defined by the Constitution of the People’s Republic of China, but also other Chinese languages such as Shanghainese, Cantonese or Hokkien (a.k.a. Taiwanese); these three languages being the most prestigious among others. Taiwan is a multicultural and multilingual society and includes three Chinese languages, Mandarin, Taiwanese and Hakka that are widely used in the media and have recently been made part of the school curriculum; in addition to these languages are found aboriginal languages that are encouraged by the government and enjoy a positive image in the majority Han population.China and other sinophone countries differ in their treatment of this linguistic diversity.In China, ethnic minorities have long been viewed and filmed as an anthropological topic and often examined with a paternalistic slant similar to “orientalist” attitudes as proposed by Edward W. Said. Chinese cinema has only recently started to produce films where ethnic minorities speak for themselves and ethnic protagonists take hold of their own future. At the same time Chinese-language films shot in other Chinese languages are still a relatively rare occurrence, probably due to the official policy of promoting Mandarin as the national normative language.Taiwan presents a more diversified situation: after the Japanese occupation, the majority of films was in Taiwanese, but an important investment drive from government authorities resulting in sophisticated colour productions saw the end of Taiwanese-language productions for many years. One would have to wait for the end of martial law near the middle of the 1980’s to see a return of films featuring non-Mandarin languages; in contrast to preceding periods, the majority of these films was multilingual and reflected the real multicultural and linguistic mix of contemporary and past Taiwanese society.In Singapore and Malaysia, an increasing number of films portray characters switching freely from one language to another.The retrocession to Mainland China of the former British colony, Hong Kong, has triggered an examination of its relationship with the People’s Republic and several films feature interaction between mainlanders and Hong Kong inhabitants.The relative freedom that is enjoyed by Chinese-language cinema to reflect sinophone countries and their cultural diversity; to articulate contacts between ethnic minorities and the Han majority, as in Kekexili; the preoccupation with cultural, linguistic, societal and historical realism as in Seediq Bale in Taiwan; the exposé of multilingual Singaporean society as described in Singapore Dreaming demonstrate that sinophone society is not restricted to one country and that, on the international scene, it will be impossible to consider China as the sole representative and owner of sinophone culture. It is also a means of exchange between the different countries and regions of the sinophone world and could well turn out to be the first element in the construction of a transnational and transcultural sinophone culture. In this transnational context, as proposed in many instances by June Yip in Envisioning Taiwan - Fiction, Cinema and the Nation in the Cultural Imaginary, Taiwan could be the first country to have relinquished the concept of a Nation State and proven to be at the forefront of change in a similar vein with transnational sinophone cinema.
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Exotický druhý a formování tibetského Já: studie k moderní tibetské narativní próze 80. let 20.století / The exotic other and negotiation of Tibetian self: a study of modern Tibetian fiction of the 1980sHladíková, Kamila January 2011 (has links)
(ENGLISH) Proposed dissertation examines a so-far less discussed topic of modern Tibetan literature, which is for the purpose of this study defined ethnically, not as based on language of literary creation. Because of specific socio-historical and cultural conditions, modern literature in the Western sense has not emerged in Tibet until the second half of the 20th century. The emergence of modern Tibetan literature was, as in case of genesis of other Asian modern-style literatures, initiated by an encounter with another culture (i.e. 'Western', 'rational', 'scientific' worldview, which was in case of Tibet introduced through the communist China). In the beginning of the 1980s, this process was de facto enforced by the need (of Chinese as well as Tibetan elites) to establish this literature as an authentic Tibetan voice, affirming their will to modernization through Tibet's belonging to the PRC. At the same time, modern Tibetan literature emerged in a period of certain liberalization after the Cultural Revolution, which in Tibet manifested as a kind of 'national revival', oriented specifically on restoration of religion and related cultural heritage. During that period this literature thus served two seemingly contradictory interests. In Tibetan society it played mainly enlightening and didactic...
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SinofuturismYip, Sheenie 01 January 2018 (has links)
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