Spelling suggestions: "subject:"cocial sciences - bpolitical science"" "subject:"cocial sciences - bipolitical science""
251 |
Cracking the gender lensGerritsen, Theresa 22 December 2007 (has links)
Gender has developed as an important ‘public and political’ category throughout the Twentieth Century in BC and Canada as the basis of feminist demands on society and governments. In 2007, gender has become ‘privatized’ and increasingly erased from government institutions. The de-politicization of gender in Canada is an example of a shifting social consciousness and political discourse that avoids a critical perspective on the social context and places an increasing emphasis on the individual. A new critical discourse must grapple with these challenges, emerge at some distance from government and coincide with a political activism that has resonance in women’s lives.
|
252 |
Memories, myths and misconceptions : an analysis of dominant Zionist narratives formalized in the Israeli Declaration of Independence.Douglas, Tara 08 December 2008 (has links)
This thesis contends that from the inception of Zionist ideology until the formation of Israel, the Zionist leadership, through the skillful use of narratives and the process of articulating a specific position and constraining opposing narratives, has been highly effective in creating and molding the historic perspectives and collective memories which have shaped, and continue to shape, Jewish identity and experience in Palestine. This study argues that the Israeli Declaration of Independence of May 1948 formalized core Zionist narratives and national myths within Israeli national self-identity, while simultaneously promoting their acceptance among world Jewry and the international community. This paper also maintains that these key narratives were used to legitimize the attitudes and actions of the early Zionists, and later Israelis, towards the indigenous (and surrounding) Arab populations. The impact of these narratives and national myths on the Palestinian Arabs, the effects of which continue to reverberate, is particularly addressed.
|
253 |
Politiques et conflits territorialisés à propos du séjour irrégulier des étrangers. Comparaison de configurations en France et en EspagneBurchianti, Flora 07 December 2010 (has links) (PDF)
La présence d'étrangers en situation administrative irrégulière en France et en Espagne, interroge les politiques menées par l'État. La plupart des approches du séjour irrégulier des étrangers se fondent sur une lecture fonctionnaliste, soit pour souligner le dysfonctionnement d'une politique de lutte contre les flux irréguliers, soit pour mettre en évidence leur fonctionnalité sur le marché du travail ou pour des usages électoralistes. Dans cette recherche, nous avons voulu d'abord sociologiser l'analyse des effets politiques de la présence d'étrangers sans titre de séjour pour comprendre de quelle façon elle était appréhendée par l'action publique. En déplaçant notre regard dans les contextes d'action locaux, le cadre d'exclusion mis en place par les politiques nationales et européenne laisse place à un jeu plus ouvert, où les interactions, des jeux d'échelle et l'association d'acteurs privés contribuent à définir les règles de traitement politique du séjour irrégulier, dans des configurations différenciées. L'action publique suscite de nombreux conflits locaux en faveur de la régularisation des étrangers ou d'une extension de leurs droits, qui s'appuient eux-même sur le territoire pour traduire des définitions de situation alternatives de celle de l'État. Les interactions protestataires agissent sur les frontières entre le champ de l'action publique et l'espace des mouvements sociaux, en les renforçant par l'autonomisation de chacun des deux espaces ou, au contraire, en les brouillant par des coopérations et des transferts. Elles influencent également les relations entre acteurs dans l'espace en redéfinissant leurs alliances, leurs concurrences et leur pouvoir.
|
254 |
L'économie politique du système d'immigration américain : une analyse des échecs des réformes de la politique d'immigration des Etats-Unis, 1994-2010.Guidecoq, Simon 20 January 2012 (has links) (PDF)
Cette thèse propose une analyse de l'incapacité du gouvernement des Etats-Unis à modifier en profondeur sa politique d'immigration. Elle montre que son principal facteur explicatif est institutionnel : la résilience du régime d'immigration, entendu comme mode de régulation de l'admission d'immigrants, s'explique par sa capacité à s'appuyer sur une structuration de l'économie politique de l'immigration favorable au blocage des réformes. Pour démontrer cette proposition, notre étude est donc articulée en deux blocs : les facteurs engendrant une crise du régime, et ceux permettant son statu quo. Dans un premier temps, les facteurs structurels et conjoncturels de la crise du régime sont étudiés. Une analyse empirique de la régulation de l'immigration met en évidence ses deux dysfonctionnements structurels : d'une part un déséquilibre croissant entre le nombre de candidats à l'immigration et l'offre de visas et, d'autre part, la formation d'un stock de résidents en situation irrégulière. Néanmoins, l'analyse des représentations de la population américaine concernant cette régulation démontre que la volonté de réformer les conditions d'admission de l'immigration relève aussi de facteurs subjectifs. Une conjoncture économique dégradée intensifie la perception d'une crise du régime, et la préférence pour sa fermeture. Dans un second temps, les facteurs explicatifs de l'absence de fermeture du régime sont analysés. La validité de deux hypothèses explicatives de sa résilience est démontrée par une analyse des épisodes de réforme de 1994 à 2010. En premier lieu, la mise en œuvre politique d'une réforme donne la primauté aux préférences des groupes d'intérêts organisés (communautés immigrées, employeurs, syndicats, nativistes) par rapport à celles de l'opinion publique. En second lieu, les préférences antagonistes de ces groupes d'intérêts les rendent incapables de coopérer : malgré sa non-optimalité, le régime d'immigration correspond donc à une issue stable des négociations législatives, car il limite les pertes de l'ensemble des acteurs en présence.
|
255 |
L'immigration des Azerbaïdjanais en France : histoire et perspectivesAsgarov, Vazeh 12 November 2012 (has links) (PDF)
Au cours du XXème siècle, l'étude de la politique répressive en URSS a été menée sans utilisation des sources statistiques et des données des organismes internationaux. Ces documents étaient tenus strictement secrets et donc inaccessibles. Avec la chute du mur de Berlin en 1989 et l'effondrement de l'URSS en 1991, le monde se trouve complètement modifié. Ce processus engendre la division de certains états en Europe, la création de nouvelles zones de conflit et aussi la proclamation de l'indépendance de certains pays comme l'Azerbaïdjan en octobre 1991. Ces modifications politiques provoquent des mouvements de population. Essentiellement liée à la sécurité, surtout en raison du conflit arrnéno azerbaïdjanais qui a influencé l'économie, les hommes émigrent et s'installent dans les pays de la CEl, particulièrement en Russie et en Ukraine, mais aussi en Allemagne, en Israël, et ailleurs. Aujourd'hui, les raisons de l'émigration du peuple azerbaïdjanais sont différentes. Notre problématique propose d'étudier, de façon historique et sociologique, l'ensemble des courants migratoires azerbaïdjanais vers la France à l'époque contemporaine, c'est-à-dire de la fin du XIXème siècle. au début du XXIème siècle. Cette question est éclairée par l'étude de mouvements migratoires des pays voisins. L'exemple azerbaïdjanais regroupe différents types d'immigration, c'est pourquoi il nous a paru pertinent et judicieux de l'analyser pour comprendre les enjeux actuels des mouvements de population. De plus, l'étude des flux migratoires azerbaïdjanais est intéressant de par ses caractéristiques culturelles, politiques et surtout économiques et permet d'accéder à une meilleure intelligibilité de nos sociétés.
|
256 |
La liberté de l'art face à la protection des croyances religieuses : étude d'un conflit de valeurs sous le prisme du droit international.Polymenopoulou, Eleni 16 September 2011 (has links) (PDF)
Notre projet de thèse suggère une lecture juridique, politique et sociale d'un conflit entre deux droits fondamentaux culturels. Plusieurs controverses existent aujourd'hui dans le monde occidental, dont l'objectif serait la légitimation éventuelle des restrictions de la liberté d'expression, et la liberté de l'art en particulier, au nom de la protection des croyances religieuses. Nous pourrions constater en effet un certain " paroxysme ", qui aboutit, en dernier essor, à un conflit juridique, voire, un conflit réel. Au plan international, les premières indications de ce conflit apparussent peu ou prou au même époque que la controverse autour les " Versets sataniques " de Salman Rushdie. Quinze ans après, déclencha une autre " crise mondiale ": l'affaire des caricatures danoises, suivie, jusqu'aujourd'hui, par des dizaines de résolution du Conseil des droits de l'Homme et de l'Assemblée Générale des Nations Unies sur la diffamation des religions. Si l'on associe ce prétendu 'conflit de valeurs' aux répercussions des attaques du 11 septembre et de la guerre contre le terrorisme, ainsi qu'aux politiques de discrimination constante à l'encontre des immigrés et les requérants d'asile en Europe, ou encore à la théorie de Huntington qui prône un supposé " conflit de civilisations ", nous comprenons bien que la discussion est loin de concerner uniquement la liberté d'expression, ni, a fortiori, la liberté de l'art. Notre but est de proposer des approches " alternatives " aux conflits de droits, basées sur l'analyse des valeurs qui sont en jeu, et ciblant plutôt à la prévention de tels " conflits culturels ", qu'à leur résolution formelle en faveur d'un droit ou d'un autre.
|
257 |
Le discours américain sur le terrorisme : Constitution, évolution et contextes d'énonciation (1972-1992)Brulin, Rémi 19 November 2011 (has links) (PDF)
Depuis les attaques du 11 septembre 2001 contre New York et Washington, D.C. le terme de " terrorisme " a pris une place prépondérante dans le discours politique américain. Profondément péjoratif et s'accompagnant indéfectiblement d'une forte condamnation morale, il a été utilisé afin d'expliquer et justifier le recours à la force armée dans de multiples régions de monde et l'imposition de limites aux libertés civiles des citoyens américains, et ce malgré l'absence de définition claire de ce concept au niveau américain comme au niveau international. Le discours américain sur le terrorisme fit son apparition sur la scène politique durant la dernière décennie de la Guerre froide, l'Union Soviétique et ses alliés " totalitaires " étant décrits par Ronald Reagan comme recourant au " terroriste international " afin d'assouvir leurs velléités hégémoniques et de mener une véritable guerre contre l'ensemble du monde civilisé, d'abord en Amérique centrale puis, de plus en plus souvent, au Moyen-Orient. Le président américain, s'exprimant dans un contexte d'énonciation protégé, n'eut jamais à proposer de définition explicite de ce terme. Les débats devant le Congrès, l'Assemblée Générale et le Conseil de sécurité des Nations Unies révèlent eux par contre que ce concept était à l'époque fortement contesté au sein du pouvoir américain tout comme au niveau international, et que les représentants du gouvernement américain défendirent non pas un mais de multiples discours très différents les uns des autres et adaptés aux contextes d'énonciation propre à chacun de ces forums. Grâce à cette compartimentation rendue possible par l'absence d'une définition claire et acceptée par tous du " terrorisme ", mais aussi au rôle joué par les experts et les médias, le discours américain put ainsi s'imposer malgré ses contradictions flagrantes, et après l'interlude des années 1990, faire son retour triomphant après le 11 septembre 2001.
|
258 |
Le droit international à l'épreuve de la question palestinienne : quel état palestinien ?Al Smadi, Morsee 09 July 2012 (has links) (PDF)
La question palestinienne est depuis un siècle sans solution. Les Palestiniens qui, tout comme les peuples arabes de la région, espéraient obtenir leur indépendance à l'issue de la 1ère Guerre mondiale se sont vus placés sous Mandat britannique octroyé par la Société des Nations. Depuis la Palestine est la terre d'un affrontement de deux nationalismes ; arabe palestinien d'un côté et juif sioniste de l'autre. L'intervention de l'ONU en vue de résoudre la question par le partage de la Palestine (un Etat arabe et un Etat juif) n'a pas apporté la solution. Au contraire, cela a aggravé la situation. Plusieurs guerres ont éclaté créant des situations humaines terribles notamment en ce qui concerne les réfugiés palestiniens et l'occupation des territoires palestiniens en 1967. De plus, le conflit israélo-arabe a pris un caractère durable. Depuis 1967 le Droit International dans son organisation actuelle se trouve tantôt inappliqué tantôt bloqué. En effet, Bien que les droits nationaux du peuple palestinien à l'autodétermination et à l'indépendance étatique aient été reconnus et à mainte reprise rappelés fussent l'occupation israélienne perdure. L'échec du Droit International dans le règlement de la question a laissé place à des négociations politiques, entre Israël et les Palestiniens représentés par l'OLP, et qui se sont soldées par la mise en place d'un régime transitoire vers la formation d'un Etat palestinien souverain. La dynamique d'Oslo a consolidé le droit du peuple palestinien à l'autodétermination, notamment par la territorialisation de la direction palestinienne dans les Territoires Occupés et l'instauration des structures institutionnelles autonomes, pouvant servir de base à la construction étatique. Toutefois, forcé de constater une inertie dans les négociations, qui durent depuis dix-huit ans, et un non respect du calendrier établi par les Accords. Aussi, plusieurs éléments mettent en doute la possibilité d'un Etat souverain et indépendant sur les frontières de 1967 : le durcissement de la position israélienne sur la question territoriale ; la volonté manifeste d'Israël de conserver le contrôle sur une partie de la Cisjordanie ; le refus d'évacuer les territoires selon le calendrier ; la multiplication des faits accomplis ; la poursuite de la colonisation et la construction du mur de séparation dans les Territoires Occupés.
|
259 |
La construction du champ politique local à Accra (Ghana) et Ouagadougou (Burkina Faso). Le cas de la politique de gestion des déchetsQuénot, Hélène 29 January 2010 (has links) (PDF)
Les processus de décentralisation ont renforcé les pouvoirs et les responsabilités d'Accra et Ouagadougou et créé une « nouvelle donne » urbaine, qui implique la mise en place de modes de gestion renouvelés, comme la privatisation de certains services ou la prise en compte accrue de la société civile à travers des processus de type « gouvernance ». Ouagadougou et Accra restent cependant dans une situation paradoxale puisqu'elles sont à la fois des entités locales et des symboles du pouvoir central. Dans ce contexte, les réformes de gestion des déchets, d'abord techniques, possèdent également une dimension politique forte puisqu'elles interrogent la capacité des municipalités à contrôler leur territoire et à répondre aux demandes des acteurs internationaux et gouvernementaux. Ces réformes sont extrêmement comparables mais ont des résultats très différents. Après un état des lieux de la question des déchets, ce travail s'interroge donc sur les conditions de leur mise en oeuvre : quels facteurs institutionnels, historiques, humains structurent le champ et expliquent les différences de résultats dans les deux villes ? L'analyse de ces facteurs permet par ailleurs d'interroger l'autonomie politique des municipalités, qui doivent faire face à un manque de moyen chronique mais également aux demandes des bailleurs de fonds et aux réticences des gouvernements centraux. Ces réformes ont enfin été des opportunités de mise en oeuvre de nouvelles relations politiques au niveau local. Ces « nouvelles règles du jeu » ont-elles contribué à la structuration du champ et à l'émergence de pratiques politiques et d'identités spécifiquement locales ? Les difficultés parfois grandes des municipalités ont conduit à la mise en place de relations et d'organisations inattendues, qui permettent de dépasser l'analyse en termes de succès ou d'échec pour mettre en valeur les inventions politiques constantes à l'oeuvre dans les deux capitales.
|
260 |
L'agir sanitaire. Processus et formes d'expression à travers le cas aquitainMonneraud, Lise 10 December 2009 (has links) (PDF)
La santé est un construit complexe. Les configurations observées en France et plus particulièrement dans un espace régional témoignent d'un constant processus de reconstruction du champ de l'intervention en matière sanitaire, donc du concept même de santé, ainsi que des formes légitimes d'engagement. La santé déborde des frontières de l'intervention et de l'analyse en des termes sectoriels. Saisir non pas tant ce qu'elle est mais ce qu'elle devient appelle une approche de type descriptif au sens latourien. Une telle démarche sert à révéler des dynamiques de reconstruction cognitive et normative et d'engagement multiples de la part d'acteurs hétérogènes. Au-delà de la stricte analyse d'une politique publique, il s'agit de déployer la trame des acteurs, objets et représentations qui par leurs connexions forment un agir collectif en matière sanitaire. L'analyse permet de mettre au jour la construction d'un agir non pas sous forme d'un réseau structuré, d'un projet systémique élaboré collectivement, mais selon un processus d'ajustement : ajustement entre acteurs, ajustement des missions aux situations perçues, ajustement du modèle d'intervention publique. Ce sont donc des dynamiques d'actualisation plus que de réforme qui émergent de l'observation locale. Les acteurs entrent en cohérence selon un processus kaléidoscopique d'adaptation sans fin : sans fin parce que sans terminaison située dans l'espace et le temps, et parce que les interventions ne participent pas de la réalisation d'un but explicite unanimement reconnu comme la visée politique légitime pour l'ensemble des formes d'intervention qui, donc, constituerait un principe de gouvernance en matière sanitaire.
|
Page generated in 0.129 seconds