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De homine et toxico : essai sur les théories contemporaines de la toxicomanie et les politiques à son endroit /

Fonséca, Félix. January 2004 (has links)
Thèse (Ph. D.)--Université Laval, 2004. / Bibliogr.: f. 330-357. Publié aussi en version électronique.
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"L'animal thérapeute". : Socio-anthropologie de l'émergence du soin par le contact animalier / « Animals as Therapists. » : Socio-anthropological approach of ·the Emergence of Animals in Care Practices.

Michalon, Jérôme 15 September 2011 (has links)
Depuis une quarantaine d'années la place des animaux est devenue problématique et a été re-problématisée dans les sociétés occidentales contemporaines. La montée de la prise en compte sociale des intérêts des animaux, de la bienveillance à leur égard, recompose les représentations << traditionnelles » et « modernes » du monde animal. A travers l'exemple du développement des pratiques de soin par le contact animalier (Zoothérapie, Thérapie Assistée par l'Animal, Médiation Animale ... ), j'analyse les mécanismes de revalorisation de la présence animale auprès des humains. Ces pratiques contribuent à l'avènement d'un nouveau régime de compagnonnage anthropozoologique, dans lequel la bienveillance vis,à-vis de l'animal occupe une grande place. L'hypothèse de ce travail est que la reconnaissance d'une valeur thérapeutique au contact avec l'animal permet de rendre cette bienveillance légitime et d'enrôler tout un réseau d'acteurs autorisant le développement à grande échelle de ce nouveau régime relationnel. Ainsi, j'ai suivi comment la conviction selon laquelle l'interaction avec l'animal améliore une relation de soin "classique", a pu naître, être diffusée, mise à l'épreuve du travail scientifique, et s'actualiser dans des pratiques concrètes. La première partie aborde la constitution d'un champ de savoir autonome autour des questions de l'interaction avec l'animal à but thérapeutique, à travers une analyse bibliographique. La deuxième partie traite des réseaux d'acteurs qui ont promu le soin par le contact animalier,son développement, sa professionnalisation et sa standardisation. Enfin, une troisième partie décrit plus particulièrement les pratiques, en situation, à travers l'analyse d'observations ethnographiques et d'entretiens. / Since forty years, place of the animals become problematic in the contemporary western societies. The ascent of the social consideration of the interests of animals, benevolence towards them, recomposes the "traditional " and "modem" representations of the animal kingdom. Through the exemple of the development of the practices of care using animal contact (Zootherapy, Animal-Assisted Therapy) I analyze the mechanisms of revalorization of the animal presence with the buman beings. These practices contribute to the advent of a new regime of anthrozoological companionship, in which the benevolence towards the animal plays a big role. The hypothesis of this work is that the recognition of a therapeutic value in the contact with animais allows to return thisjustifiable benevolence and to enlist a whole actors' network authorizing the large-scale development of this new "relational regime." I followed how the conviction tbat interaction with the animal improves a "classic" relation of care, was born, spread, put to the test of the scientific work, and became accomplished in concrete practices. The first part approaches the constitution of a field of autonomous knowledge about interactions with animals with therapeutic purpose, through a bibliographical analysis. The second part deals with actors' networks whichh promoted the care by the animal contact, its development, its professionalization and its standardization. Finally, the third part describes more particularly the situated practices, through the analysis of ethnographicalobservations and interviews.
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Les frontières de l'international : autonomisation disciplinaire du savoir sur l'international, 1900-1954

Foucault, Maël 28 September 2021 (has links)
L’histoire des Relations internationales, depuis au moins les travaux de Brian Schmidt, étudie l’évolution de cette entreprise intellectuelle en vase clos : ses dynamiques internes et ses enjeux conceptuels sont analysés sous l’angle de la disciplinarité. Il y aurait à travers l’histoire quelque chose comme une discipline des Relations internationales. Ce postulat qui affirme a priori l’existence d’une discipline nous ramène immanquablement à la relation qu’elle entretient avec la science politique, et notamment dans sa forme américaine. Le premier chapitre sur la revue de littérature montre l’état des recherches à ce sujet. Or, comment expliquer qu’il ait existé une institution internationale dédiée à l’étude des relations internationales, la CPHÉI, avant son équivalent pour la science politique, l’AISP ? Ce fait historique s’explique sous l’angle de l’autonomisation disciplinaire, c’est-à-dire le processus par lequel les Relations internationales acquièrent graduellement un espace à l’intérieur des sciences sociales. Le deuxième chapitre construit le cadre méthodologique autour de ce concept important. En examinant dans une perspective comparée l’évolution des tendances nationales au sein de quatre pays, l’Allemagne, les États-Unis, la France et le Royaume-Uni, le troisième chapitre montre comment le sujet « international » en vient à se développer dans la continuité des disciplines existantes, nommément le droit international, l’économie, la science politique et la sociologie. Si l’état des rapports de force entre ces disciplines varie d’un pays à l’autre jusqu’en 1928, la création de la CPHÉI vise à donner une cohérence disciplinaire au sein des différents pays. Le quatrième chapitre cherche à montrer l’influence de la CPHÉI dans la délimitation des frontières du champ. Cette question est spécifiée au dernier chapitre, consacré aux débats sur l’enseignement des relations internationales, dont l’objectif était de déterminer ce que sont, par définition, les relations internationales. Si la lecture politiste des faits internationaux l’emporte, la CPHÉI, elle, cesse par le fait même d’en constituer le poumon intellectuel, comme si sa fonction avait été remplie, celle de fournir une cohérence disciplinaire. Cette idée, celle voulant que l’internationalisation des Relations internationales constitue la base de son autonomisation disciplinaire, marque l’élément central qui lie la période 1900-1954, cruciale pour comprendre comment la discipline en vient à prendre une certaine forme.
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La recherche universitaire en communication au Québec. Caractéristiques des mémoires et des thèses (1973-2015) et évolution des contextes institutionnels

Falardeau, Marie-Chantal January 2020 (has links) (PDF)
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La domestication de la biodiversité

Brisson, Ghislain 13 April 2018 (has links)
J'analyse un épisode récent de négociation d'une nouvelle image formelle de la nature. La popularisation de l'idée de biodiversité dans les années 1980-90 a engendré un effort d'actualisation des représentations institutionnelles de la nature : les espèces menacées et les aires protégées cèdent le pas, tout en s'y intégrant, aux indicateurs de la diversité biologique. Comment l'objectivité et la légitimité de cette nouvelle image de la nature est-elle négociée? Comment l'idée de biodiversité est-elle domestiquée dans un outil cognitif tel qu'un indice de biodiversité? Mon analyse s'appuie sur les travaux en sociologie de la science qui postulent que les produits d'une entreprise scientifique n'ont rien d'évident et qu'ils sont le résultat d'une négociation des paramètres de la ± bonne ¿ science. Dans cette optique, je mets en relief les différentes conceptions de la ± bonne ¿ science qui s'opposent parmi les acteurs qui participent à la conception de l'Indice canadien de la biodiversité.
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A l'ombre des biotechnologies : reformuler la production de savoirs par la bio-ingénierie en France et aux Etats-Unis / In the shadow of biotech : reformulating the production of knowledge through bioengineering in France and the United States

Raimbault, Benjamin 21 September 2018 (has links)
Qu’est-ce que la bio-ingénierie ? Assimilée à l’essor des nouvelles manières de manipuler et contrôler le vivant par la modification du génome depuis les années 70-80, la bio-ingénierie est fréquemment identifiée et restreinte aux biotechnologies à ADN. Ingénieriser le vivant est alors synonyme du développement des plantes génétiquement modifiées et des transformations de l’industrie pharmaceutique qui témoignent de l’apparition d’un nouvel agencement entre science, industrie et politique. Au milieu des années 2000, une communauté d’ingénieurs se rassemble autour du terme de « biologie synthétique » avec pour ambition de faire advenir la « vraie » bio-ingénierie. Davantage qu’un nouveau domaine scientifique, cette communauté naissante revendique une véritable utopie technique de modification du vivant sur le modèle de l’électronique et de l’informatique en rupture avec les biotechnologies à ADN et leurs régulations. Cette utopie est néanmoins marginalisée et la biologie synthétique se range alors comme un domaine scientifique stabilisée.La thèse enquête à partir de l’émergence de la biologie synthétique pour interroger les pratiques et les régulations de la bio-ingénierie depuis le milieu des années 80. Suivre la bio-ingénierie permet alors de mettre à jour un régime de production de savoir à l’ombre des biotechnologies à ADN et des récits dominants sur la manière dont le savoir contemporain est produit. L’expression « à l’ombre » renvoie alors aux régulations délaissées, aux applications peu révolutionnaires, aux acteurs puissants et discrets, aux secteurs économiques peu enquêtés, aux programmes peu étudiés pour rendre compte de ce que l’on appelle les biotechnologies et de la production de savoirs contemporaine. / What is bioengineering? Associated to the rise of the ways of manipulating and controlling the living through the modification of the genome since the 70s-80s, bioengineering is frequently identified and restricted to DNA biotechnologies. Engineering the living is then synonymous with the development of genetically modified plants and transformations of the pharmaceutical industry which testify to the appearance of a new arrangement between science, industry and politics. In the mid-2000s, a community of engineers gathered around the term "synthetic biology" with the ambition to bring about the "true" bio-engineering. More than a new scientific field, this emerging community claims a real technical utopia of modification of life based on the model of electronics and computer technology breaking with DNA biotechnologies and their regulations. This utopia is nevertheless marginalized and synthetic biology ranks as a stabilized scientific domain.The thesis starts from the emergence of synthetic biology to interrogate the practices and regulations of bioengineering since the middle of the 80's. Following bioengineering then allows to update a regime of production of knowledge in the shadow of DNA biotechnologies and dominant narratives of how contemporary knowledge is produced. The term "in the shadow" then refers to neglected regulations, non-revolutionary applications, powerful and discrete actors, the economic sector under investigation, under-researched programs to account for is commonly called biotechnology and contemporary knowledge production.
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Le domaine des recherches. L'émergence et le développement des bioénergies comme cadre de production de connaissances / The Quest for the Oily Grail : The emergence of a research area on bioenergy and its role in the production of knowledge

Tari, Thomas 14 December 2015 (has links)
Un rattachement ou une formation disciplinaire, pas plus que la relation à des espaces de travail et des instruments spécialisés, ne suffisent seuls à définir une culture scientifique. Ce sur quoi des chercheurs issus d’horizons divers travaillent, construit un mode singulier de conception de leurs activités, pratiques et rapport au monde. Leur réussite est irrémédiablement liée à un sujet, à la fortune que rencontre celui-ci comme innovation dans un contexte social qui le borne et qu’il crée simultanément. Comment s’organise cette (re)conversion vers une nouvelle thématique, alors que l’évolution des modes de financement privilégie aujourd’hui précisément ce cadrage ? Cette thèse propose une enquête sur la notion de « domaine de recherche », que nous définissons a priori comme le cadre des interactions entre l’activité professionnelle de chercheurs et la société autour d’un thème partagé ; elle défend sa dimension épistémique.Ce manuscrit décrit en parallèle le développement des bioénergies, une des principales formes d’énergie dites renouvelables ou encore durables, issue de la biomasse, ses acteurs et leurs jeux d’actions, dans un contexte de forte incitation à conduire une transition énergétique globale, mais aussi de controverses sociales vives. Les deux objectifs de cette thèse convergent :décrire le style de pensée inhérent à un domaine de recherche particulier est nécessaire à l’appréhension, au-delà des seuls discours et promesses, des modes effectifs de développement d’une innovation (ici la mobilisation à grande échelle de végétaux, microorganismes ou déchets pour produire des biocarburants) et donc in fine, à l’évaluation par tout un chacun, de sa pertinence. / Neither academic training within scientific disciplines, nor the daily work in the lab involving specialised equipments, define alone a scientific culture. What diverse researchers from various backgrounds work on, builds a specific way of designing their own activities, practices and relationships with the world. Their individual success is irrevocably bound to a subject, to its fortune as an innovation within the boundaries of a social context it simultaneously changes. How do they perform this (re)conversion to a new domain, as funding agencies nowaday favor this thematic framing? This thesis proposes an investigation into the notion of “research area”, which we a priori define as the frame of interactions between the professional activity of researchers and society around a shared theme; it stands up for its epistemic dimension.This manuscript parallelly describes the “bioenergy” development, a major form of renewable or sustainable energy derived from biomass, its social actors and their interrelations, as strong incentives towards a global energy transition meet sharp social controversies. The two objectives of this thesis meet: describing the inherent style of thinking within a particular research area is required to grasp, beyond the hopes and promises, the actual patterns of development of an innovation (in this case, the large-scale mobilisation of plants, microorganisms or waste to produce biofuels) and thus, ultimately, to collectively evaluate its relevance.
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Nature en politique: Mutations. sociologie du travail scientifique dans le projet de Parc National en Guyane Française (1930-2007).

Ranoux, Maëlle 04 December 2007 (has links) (PDF)
Cette recherche analyse comment et pourquoi la mise en politique de la nature amène à repenser la frontière entre nature et culture. Cette analyse est menée à travers l'étude du processus d'élaboration du Parc National de Guyane Française créé en 2007. Nous mobilisons la sociologie relationiste de Latour afin de comprendre la place de la recherche scientifique dans cette élaboration. Par les liens que la recherche noue entre différents éléments de la réalité, elle construit des objets de recherche. L'intérêt de notre travail est de suivre ces objets de recherche lorsqu'ils se transforment en objets politiques à l'intérieur du projet de parc. Nous analysons alors les éléments qui construisent le processus d'action politique et notamment leur appartenance à la nature aussi bien qu'à la culture. Dès lors, aux moments clefs du processus de création du parc, le registre de la santé apparaît. Il est nécessairement un lien entre nature et culture puisqu'il traite de la biologie de l'homme. Au final, cette recherche démontre que la mise en politique de la nature crée des mutations, aussi bien au sein de cette dernière que dans l'élaboration de son approche collective. On observe alors un passage de l'ontologie naturaliste, telle que définie par Descola, habituelle en Occident vers l'ontologie analogique vers laquelle les acteurs du projet de parc tendent.
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La thèse d'Etat de géographie (1960-1984) : la diffusion de l'innovation au risque des contraintes disciplinaires

Bourgeat, Serge 12 November 2007 (has links) (PDF)
La géographie française a connu un changement de matrice disciplinaire dans les années 1960-1980. De quelle façon la thèse d'État y a-t-elle contribué ? Aujourd'hui, on considère souvent qu'elle a été un frein à l'innovation. Pourtant il faut procéder à un retournement de perspective : la thèse possédait une capacité propre à produire une innovation. Cette capacité est aujourd'hui sous estimée par la communauté universitaire et les représentations négatives attachées à la thèse nuisent à une perception claire de son rôle. La thèse d'État a abouti à la création de son milieu associé et à une modification de l'innovation en fonction d'une écriture de genre particulière. Comment cette écriture de genre s'est-elle traduite dans le discours des thèses, et quel fut, en ce qui concerne l'émergence de l'innovation, le rôle des Écoles locales (Bordeaux, Grenoble) ? D'une façon plus globale, le concept de sous-développement et les géographies urbaines sont utilisés comme marqueurs pour tenter de comprendre les processus et les rythmes de l'intégration d'une innovation dans la thèse.
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La gestion française des rivières et ses indicateurs à l'épreuve de la directive cadre

Bouleau, Gabrielle 08 June 2007 (has links) (PDF)
La directive 2000/60/CE établit un nouveau cadre pour une politique communautaire dans le domaine de l'eau. Elle fixe des objectifs de bon état écologique des milieux aquatiques. Elle impose une optimisation et une planification des actions de restauration avec des échéances précises. Pour les institutions françaises de gestion de l'eau, dont les agences, il s'agit de passer d'une obligation de moyens consacrés à des équipements à une obligation de résultats mesurés par des indicateurs biologiques peu utilisés pour la décision aujourd'hui. <br />Ces indicateurs sont de curieuses constructions à cheval entre l'ingénierie et la biologie et la littérature abonde d'éléments opposant ces deux mondes. D'un côté les ingénieurs de la filière « eau » dimensionnent et gèrent des ouvrages grâce à des indicateurs. Ils ont pour héritage un passé de conquête et réalisent des projets efficaces pensés hors du temps. De l'autre, les pêcheurs et les biologistes ont le souci de la vie au quotidien avec une observation méticuleuse et domestique. Ils ont de la curiosité pour des êtres vivants ignorés des normes et certains d'entre eux ont fait de l'écologie une revendication politique bien ancrée dans les préoccupations du jour. Au-delà des différences de culture, l'opposition entre la filière eau et les amateurs de milieux aquatiques est aussi un rapport de moyens. La filière « eau » bénéficie d'un budget propre de près de 20 milliards d'euros par an. La gestion du patrimoine piscicole a bénéficié dans ses meilleures années d'un budget de 10 millions d'euros, mais elle disparaît aujourd'hui pour se fondre dans le régime commun des agences de l'eau. <br />On ne peut cependant pas rester sur ce constat d'opposition entre ingénieurs et biologistes pour comprendre les indicateurs biologiques. Le pouvoir critique de la biologie qui met en lumière des êtres « anormaux » a régulièrement induit des réactions des filières de gestion qui ont établi de « nouvelles normalités » à ces êtres dérangeants. Pour étudier ce passage de relais, j'étudie les organisations de gestion de l'eau et leurs outils comme des institutions au sens d'Anthony Giddens (Giddens 1987), c'est à dire des combinaisons entre un référentiel de sens, des règles de droit et des moyens. Ce niveau structurel auquel les acteurs se sont habitués continue d'évoluer sous l'influence de médiateurs mobilisant de nouveaux réseaux (Latour 1989). J'étudie ainsi comment sont mises en mots, en nombres, en variables et en modèle (Desrosières 2003) des spécificités auxquelles des naturalistes sont attachés. J'étudie également le lien entre ces modèles et la légitimité politique de l'action publique (Foucault 1978-79).<br />Je retrace ainsi la trajectoire conjointe de quelques outils de représentation des rivières sur le Rhône, sur la Seine et sur l'ensemble du territoire et l'histoire de la mise en place des institutions de la pêche, des agences, des différentes lois sur la nature, la pêche et l'eau. Cette épopée me permet d'identifier des stratégies et contextes communs aux différents promoteurs et assembleurs d'indicateurs biologiques.<br />Je m'intéresse alors aux pratiques de gestion de deux agences de l'eau pour comprendre leur faible utilisation des indicateurs biologiques. Je montre l'existence de plusieurs référentiels de gestion dans ces organismes. Je montre aussi le grand degré d'indétermination des dossiers avant leur stabilisation lors de l'attribution de subvention. Les stratégies d'assemblage inventées par les gestionnaires ont des similarités avec celles mises en œuvre par les biologistes pour parler au nom des rivières. Elles permettent l'adaptation et l'apprentissage.<br />Me déplaçant alors au niveau européen, je relate comment la directive cadre a été adoptée. Ce récit me permet de qualifier le contexte politique qui accompagne les nouvelles modalités d'évaluation. Je conclus alors sur l'enjeu des évaluations partisanes dans une perspective pluraliste pour déconstruire et mettre en débat les indicateurs de gestion des rivières.

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