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L'architecture monumentale à caractère civique dans les Cantons-de-l'Est de 1855 à 1914 : étude de cas : le district judiciaire de Bedford

Lefebvre, Chantal 04 1900 (has links) (PDF)
L'arrivée massive de loyalistes restés fidèles à l'Empire britannique, au lendemain de la guerre de l'Indépendance américaine de 1776, alliée à l'intensification de la colonisation britannique dès la fin du XVIIe siècle, mèneront à la création du territoire des Cantons-de-l'Est et à la division des terres -jusqu'alors divisées selon les règles d'attribution caractérisant les seigneuries - en franc et commun socage. Provenant de divers groupes ethniques et de différentes positions sociales, ces nouveaux arrivants ont tôt fait de marquer ce territoire en friche, leur présence ayant de fortes répercussions sur le développement démographique, économique et culturel du Bas-Canada. Avec le surpeuplement des seigneuries, l'arrivée de compagnies de colonisation ainsi que l'avènement de phénomènes tels l'urbanisation, l'industrialisation et le développement de nouveaux modes de communications, qui favoriseront l'installation de francophones de religion catholique dans les Cantons-de-l'Est, la nécessité d'établir un ordre social dans ce vaste territoire en essor démographique devient une nécessité. Le développement des collectivités des Cantons-de-l'Est, allié aux demandes répétées de sa population, amèneront les autorités gouvernementales à adopter, dès la fin de la première moitié du XIXe siècle, des projets de loi visant à instaurer un certain ordre social. Suivant l'implantation des premiers bureaux d'enregistrement (Loi de l'enregistrement en 1841), la formation des premiers conseils municipaux (Loi des municipalités et des chemins du Canada-Est de 1855) ainsi que la création des districts judiciaires et des cours de comtés (Acte judiciaire du Canada de 1857), émerge la nécessité d'ériger des édifices en mesure d'abriter adéquatement ces nouveaux pouvoirs locaux et régionaux, tant municipaux que juridiques et judiciaires. La construction simultanée de diverses typologies d'édifices monumentaux à caractère civique entre 1855 et 1914, dans un territoire ne comportant aucune structure sociale, donnera lieu à des planifications et à des mises en chantier principalement marquées par les aspirations, les ressources financières disponibles et les besoins de chacune de ces nouvelles corporations municipales. Bien que présentant des caractéristiques qui leurs sont propres, tant au niveau de leur volumétrie, de leur forme architecturale que de leurs procédés de construction, ces édifices s'inscrivent dans un processus global présentant une certaine homogénéité. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Histoire de l'architecture, architecture monumentale, pratiques architecturales, gouvernance, urbanité, comté, canton, ville, village, paroisse, palais de justice, bureau d'enregistrement, édifice de comté, hôtel de ville, marché, caserne d'incendie, district judiciaire de Bedford, Cantons-de-l'Est, Québec (province), Canada, 1855-1914, 19e siècle, 20e siècle.
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Intégration des techniques de vérification formelle dans une approche de conception des systèmes de contrôle-commande : application aux architectures SCADA / Integration of formal verification techniques into a control-command system design approach : application to SCADA architectures

Kesraoui, Soraya 11 May 2017 (has links)
La conception des systèmes de contrôle-commande souffre souvent des problèmes de communication et d’interprétation des spécifications entre les différents intervenants provenant souvent de domaines techniques très variés. Afin de cadrer la conception de ces systèmes, plusieurs démarches ont été proposées dans la littérature. Parmi elles, la démarche dite mixte (ascendante/descendante), qui voit la conception réalisée en deux phases. Dans la première phase (ascendante), un modèle du système est défini à partir d’un ensemble de composants standardisés. Ce modèle subit, dans la deuxième phase (descendante), plusieurs raffinages et transformations pour obtenir des modèles plus concrets (codes,applicatifs, etc.). Afin de garantir la qualité des systèmes conçus par cette démarche, nous proposons dans cette thèse, deux approches de vérification formelle basées sur le Model-Checking. La première approche porte sur la vérification des composants standardisés et permet la vérification d’une chaîne de contrôle-commande élémentaire complète. La deuxième approche consiste en la vérification des modèles d’architecture (P&ID) utilisés pour la génération des programmes de contrôle-commande. Cette dernière est basée sur la définition d’un style architectural en Alloy pour la norme ANSI/ISA-5.1. Pour supporter les deux approches, deux flots de vérification formelle semi-automatisés basés sur les concepts de l’IDM ont été proposés. L’intégration des méthodes formelles dans un contexte industriel est facilitée, ainsi, par la génération automatique des modèles formels à partir des modèles de conception maîtrisés par les concepteurs métiers. Nos deux approches ont été validées sur un cas industriel concret concernant un système de gestion de fluide embarqué dans un navire. / The design of control-command systems often suffers from problems of communication and interpretation of specifications between the various designers, frequently coming from a wide range of technical fields. In order to address the design of these systems, several methods have been proposed in the literature. Among them, the so-called mixed method (bottom-up/top-down), which sees the design realized in two steps. In the first step (bottom-up), a model of the system is defined from a set of standardized components. This model undergoes, in the second (top-down) step, several refinements and transformations to obtain more concrete models (codes, applications, etc.). To guarantee the quality of the systems designed according to this method, we propose two formal verification approaches,based on Model-Checking, in this thesis. The first approach concerns the verification of standardized components and allows the verification of a complete elementary control-command chain. The second one consists in verifying the model of architecture (P&ID) used for the generation of control programs.The latter is based on the definition of an architectural style in Alloy for the ANSI/ISA-5.1 standard. To support both approaches, two formal semi-automated verification flows based on Model-Driven Engineering have been proposed. This integration of formal methods in an industrial context is facilitated by the automatic generation of formal models from design models carried out by business designers. Our two approaches have been validated on a concrete industrial case of a fluid management system embedded in a ship.
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Political Identity in Nairobi’s Central Business District (CDB) : an æsthetic critique / La manifestation spatiale de l'identité politique dans le centre de Nairobi (Kenya) (1899-1995)

Muthuma, Lydia Waithira 14 January 2013 (has links)
Cette étude se penche sur la façon dont le pouvoir politique se est imaginé et imagée dans le centre-ville de Nairobi. Il examine comment l'environnement bâti de la ville a transformé l'ubiquité en place-de-appartenance. Construit culture est considérée comme un outil (mais non exclusif) pour forger une relation entre la société et un contexte spatial donné; un support pour la société de «personnaliser» son espace. L'accent est mis bâtiments emblématiques situées dans l'espace central, public et symbolique et est en outre délimitée à leur style architectural. L'autorité politique, mais pas singulièrement responsables de l'identité collective, a été choisi comme point de départ, car sa contribution est décisive. Par conséquent, il est aussi un produit de la performance politique Nairobi est interrogé. Une exploration des connotations et les nuances des styles utilisés pour ériger ses bâtiments emblématiques possibles sont esquissées. Gouvernement colonial de Nairobi utilisé un style néo-classique. Kenyatta, le premier président indigène, se est éloigné de cette tradition néo-classique. Sa préférence était une déclaration stylisée-africaine. Et, en plus de choisir un style différent, il réorienté la dynamique spatiale dans City Square ainsi ré-articuler son identité. Pour un examen plus complet de Nairobi, elle est comparée à Dar es-Salaam (la capitale commerciale de la Tanzanie) voisin. Dar es Salaam dispose d'une plus grande variété dans les styles architecturaux: arabo-swahili, classique européenne avec des fonctionnalités omanais-arabes et les Sarrasins compositions décoratives. Pendant ce temps, la variété architecturale à Nairobi coloniale, où les Britanniques avaient plus de six décennies undisturbed- pour élaborer leur image, est carrément néo-classique. Présenté avec plus (ou moins) polarisée images coloniales, les présidents autochtones du Kenya et de la Tanzanie ont réagi différemment. L'image postcoloniale de Nairobi est ouvertement «africaine» peut-être une réponse au classicisme néo aussi manifeste des coloniaux. Dar es Salaam, d'autre part, est dépourvu de stridente de va-et-vient dans ses discours stylistiques. En conclusion, il semble que le plus fougueux du concours sous-jacente de posséder une ville, plus articuler son image spatiale; plus contesté un espace a été, le plus spectaculaire de l'image qu'il porte. Nairobi a connu un concours de propriété plus intense par rapport à Dar es-Salaam. Une concurrence intense nécessite un style architectural décisive tout pluralisme stylistique prospère où le concours est moins intense. Cela peut ne pas se applique à toutes les villes en Afrique, mais ce est la vue en gros plan, l'identité imagé dans l'espace central de Nairobi. / This study looks at how political power has imagined-and-imaged itself in Nairobi’s city centre. It examines how the city’s built environment has transformed ubiquity into place-of-belonging. Built culture is considered as a tool (though not an exclusive one) for forging a relation between society and a given spatial context; a medium for society to ‘personalise’ its space. The focus is iconic buildings sited in the central, public and symbolic space and is further delimited to their architectural style. Political authority, though not singularly responsible for collective identity, has been selected as the point of departure because its contribution is decisive. Therefore, it is as a product of political performance that Nairobi is interrogated. An exploration of possible connotations and nuances of the styles employed to erect its iconic buildings are sketched out. Nairobi’s colonial government used a neo classical style. Kenyatta, the first indigenous president, distanced himself from this neo-classical tradition. His preference was a stylised-African statement. And, in addition to selecting a different style he re-oriented the spatial dynamics in City Square thus re-articulating its identity. For a fuller scrutiny of Nairobi, it is compared to neighbouring Dar es Salaam (the commercial capital of Tanzania). Dar es Salaam features greater variety in architectural styles: Arab-Swahili, European classical with Omani-Arab features and the decorative saracenic compositions. Meanwhile, architectural variety in colonial Nairobi, where the British had over six decades–undisturbed– to craft their image, is bluntly neo-classical. Presented with more (or less) polarised colonial images, the indigenous presidents of Kenya and Tanzania reacted differently. Nairobi’s postcolonial image is overtly ‘african’ perhaps as a response to the equally overt neo classicism of the colonials. Dar es Salaam, on the other hand, is devoid of strident back-and-forth in its stylistic discourses. In conclusion, it appears the more spirited the underlying contest to own a city, the more articulate its spatial image; the more contested a space has been, the more spectacular the image it bears. Nairobi has experienced a more intense ownership contest compared to Dar es Salaam. Intense competition necessitates a decisive architectural style while stylistic pluralism thrives where the contest is less intense. This may not apply to all the cities in Africa but it is the close-up view, the imaged identity in Nairobi’s central space.

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