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Impact des retards intellectuels sur la réussite aux épreuves de la théorie de l'esprit chez les enfants présentant un trouble envahissant du développement

Bédard, Karmen January 2006 (has links) (PDF)
Les personnes avec un trouble envahissant du développement (TED) se caractérisent par des difficultés en ce qui concerne les habiletés sociales, langagières et comportementales. Depuis une vingtaine d'années, différents auteurs utilisent un modèle de méta-représentation, la théorie de l'esprit (ToM), pour prédire les déficits spécifiques présents chez ces personnes. Le but de cette recherche n'est pas de remettre en cause l'hypothèse d'un déficit sur le plan de la ToM et son rôle privilégié dans l'explication des problèmes qui caractérisent le TED. lI s'agit plutôt de vérifier l'apport de la performance intellectuelle dans la maîtrise de la ToM. Cette recherche se veut donc un éclairage supplémentaire en ce qui a trait aux recherches faites sur la ToM et ce, pour l'ensemble de la population avec un TED, et non seulement ceux présentant un trouble autistique. Trois différents tests de la ToM et un test d'intelligence (Stanford-Binet 4e édition,1991) furent administrés à 39 participants avec un TED. L'hypothèse de recherche est que plus les Q.l. global et verbal des participants avec un TED sont élevés, plus ils ont de chance de réussir les épreuves combinées de la ToM. En général, les résultats présentent des relations significatives entre le Q.I. et la réussite aux tests de la ToM. Ces derniers confirment l'hypothèse de recherche et ce, pour les différentes combinaisons de tests de la ToM. À petite échelle, cette recherche remet donc en question la spécificité de la ToM chez les participants avec un TED, et met en lumière l'impact ainsi que l'importance de l'intelligence dans la réussite de la ToM. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Trouble envahissant du développement, Théorie de l'esprit, Fausse croyance, Quotient intellectuel, Trouble autistique.
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La théorie de l'esprit à la petite enfance en lien avec les comportements agressifs manifestés à la maternelle

Renouf, Annie January 2009 (has links) (PDF)
Cette thèse doctorale s'intéresse à la relation entre la théorie de l'esprit avant l'entrée scolaire et les comportements agressifs manifestés lors de la maternelle. La théorie de l'esprit est une habileté sociocognitive qui implique la capacité de comprendre et de prédire les comportements humains en se basant sur les représentations mentales de la réalité. Les comportements agressifs ont longtemps été associés à des déficits au plan des habiletés sociocognitives (Crick & Dodge, 1994). Toutefois, l'agressivité regroupe une variété de comportements hétérogènes dont certains pourraient requérir de bonnes habiletés sociocognitives. Il est proposé que la relation entre la théorie de l'esprit et l'agressivité varie selon la forme d'expression du comportement agressif (physique ou indirecte) ou encore selon la fonction que ce comportement dessert (réactive ou proactive). La théorie de l'esprit est négativement reliée à l'agressivité physique (Capage & Watson, 2001) alors qu'elle pourrait être positivement associée à l'agressivité indirecte (Björkqvist, Österman & Kaukiainen, 2000; Sutton, Smith & Swettenham, 1999a). Lorsque les enfants utilisent l'agressivité indirecte, ils manipulent la représentation mentale de leurs pairs (ex. en induisant une fausse croyance chez leurs pairs par la diffusion de rumeurs diffamatoires au sujet de la victime) afin que ces derniers modifient subséquemment leur comportement envers la victime (ex. exclure la victime du groupe). La prédiction des comportements d'autrui et la manipulation des représentations mentales pourraient nécessiter la théorie de l'esprit. De même, un lien différentiel pourrait être attendu entre la théorie de l'esprit et les fonctions réactive et proactive de l'agressivité. L'agressivité réactive est une réaction impulsive visant à se défendre contre une menace perçue. Des évidences empiriques démontrent que l'agressivité réactive est associée à des déficits dans les habiletés sociocognitives, comme des difficultés dans la résolution de problèmes (Day, Bream & Pal, 1992), et pourrait également être associée à une faible théorie de l'esprit. L'agressivité proactive, qui est motivée par l'obtention de gains personnels ou la domination des autres, n'est pas associée à de tels déficits (Crick & Dodge, 1996). À date, aucune étude ne s'est penchée sur l'étude du lien entre la théorie de l'esprit et l'agressivité en tenant compte de la nature multidimensionnelle des comportements agressifs. Le présent projet a pour but d'examiner la relation entre la théorie de l'esprit et l'agressivité selon les formes et fonctions des comportements agressifs. Par ailleurs, la relation entre la théorie de l'esprit et l'agressivité est sûrement plus complexe qu'un simple effet linéaire. Un deuxième objectif consiste à vérifier des modérateurs potentiels de ces relations. D'une part, l'effet modérateur des comportements prosociaux dans la relation entre la théorie de l'esprit et l'agressivité indirecte/physique sera évalué. D'autre part, l'effet modérateur de l'intimidation par les pairs dans la relation entre la théorie de l'esprit et l'agressivité réactive/proactive sera également examiné. Un échantillon de convenance de 287 paires de jumeaux, provenant d'une étude longitudinale, a été utilisé pour vérifier les hypothèses. De plus, la première étude utilise un échantillon de 119 singletons provenant d'une étude longitudinale d'enfants de naissance unique. À l'âge de cinq ans, la théorie de l'esprit et le vocabulaire réceptif ont été évalués par des tâches standardisées. L'année suivante, lors de la maternelle, les formes et les fonctions de l'agressivité, les comportements prosociaux ainsi que l'intimidation par les pairs ont été évalués par des questionnaires aux enseignants. Tel qu'attendu, les résultats concernant les formes d'agressivité démontrent un lien positif entre la théorie de l'esprit et l'agressivité indirecte, ce lien varie selon le niveau de comportements prosociaux. La théorie de l'esprit n'est pas reliée à l'agressivité physique, alors que les comportements prosociaux sont négativement reliés à celle-ci. Les résultats concernant les fonctions de l'agressivité montrent que la théorie de l'esprit est négativement reliée à l'agressivité réactive mais seulement pour les enfants victimes d'intimidation par leurs pairs. Un lien positif est trouvé entre la théorie de l'esprit et l'agressivité proactive, ce lien varie selon le niveau d'intimidation par les pairs. Ces relations s'appliquent aux garçons et aux filles, et également aux jumeaux et aux enfants à naissance unique. L'ensemble de ces résultats démontrent qu'entre l'âge de cinq et six ans, la théorie de l'esprit joue un rôle dans l'explication des comportements agressifs. Toutefois, ce rôle diffère selon les formes et selon les fonctions de l'agressivité, ce qui appuie l'importance de tenir compte de la multi-dimensionnalité de l'agressivité afin de mieux la comprendre. Elle permet de nuancer l'hypothèse des déficits cognitifs souvent associés à l'agressivité. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Comportements agressifs, Théorie de l'esprit, Comportements prosociaux, Intimidation par les pairs.
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Mécanismes computationnels de la théorie de l'esprit / Computational mechanisms of theory of mind

Devaine-Tholozan, Marie 07 October 2015 (has links)
Les hommes semblent dotés d'une capacité fascinante : celle d'attribuer des croyances et des désirs aux autres afin d'expliquer leur comportement. Cette capacité, appelée Théorie de l'Esprit, nous permet de résoudre un problème complexe : à partir de la seule observation de leurs faits et gestes, nous déduisons les états mentaux qui poussent les autres à agir. Dans cette thèse, nous formalisons ce problème et en proposons une solution se fondant sur l'inférence bayésienne. Nous appliquons ce cadre théorique à deux situations particulières : l'attribution de croyances récursives en situations d'interaction sociale et l'apprentissage des préférences des autres. En combinant modèles computationnels et expériences comportementales, nous abordons avec une nouvelle perspective certaines questions fondamentales soulevées par l'étude de la Théorie de l'Esprit. Sommes-nous optimaux lorsque nous attribuons des croyances et des préférences aux autres ? Employons-nous des processus spécifiques quand nous interagissons avec d'autres personnes ? Quelles sont les contraintes évolutionnaires qui ont donné forme à notre Théorie de l'Esprit ? Cette capacité est-elle spécifiquement humaine ? Comment la Théorie de l'Esprit est-elle affectée dans l'autisme ? / Human beings have this surprising ability – coined Theory of Mind (ToM) – to reason about the mind of others and interpret their behaviour in terms of beliefs and desires. In this thesis, we focus on two critical aspects of ToM: (1) our ability to attribute recursive beliefs of the type “I think that you think that I think...” in the context of social interactions, (2) our ability to infer other people’s personal characteristics or preferences from observing their choices. This computational characterization of mechanisms at play in ToM provides new tools to address important questions such as: What is specific about learning in a context of social interactions? Are we optimal in our inference about others’ preferences or beliefs? Can we identify evolutionary constraints that may have shaped our current sophistication in ToM? Are these processes uniquely human? In which ways is ToM affected in disorders involving difficulties with social interactions? We investigated these questions combining computational modelling and behavioural experiments. The results of our studies offer significant advances in the description of the computational mechanisms underlying social cognition in humans and in non-human primates. Moreover, applying our paradigms to people from the autistic spectrum disorder allowed us to characterize what makes social cognition in autism so different.
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Les albums de littérature jeunesse comme soutien au développement de la théorie de l’esprit chez les élèves du cycle préparatoire : comparaisons entre les albums avec des animaux anthropomorphisés et les albums avec des personnages humains

Nechadi, Souad 10 May 2021 (has links)
C’est vers l’âge de 4 à 6 ans que l’enfant commence à prendre conscience que chaque individu a des états émotionnels (être heureux, être triste) ainsi que des états mentaux (vouloir, penser, croire) qui influencent ses comportements dans différentes situations vécues au quotidien. Il développe ce que les scientifiques appellent une théorie de l’esprit (Nader-Grosbois, 2011). Grâce à cette capacité cognitive, l’enfant comprend que les personnes ne pensent pas toutes la même chose, qu’elles ne pensent pas toutes de la même manière et que leurs pensées peuvent même être différentes de la réalité (Mélançon, 2015). Le cycle préparatoire constitue une période déterminante pour le développement de la théorie de l’esprit. Plusieurs auteurs (Larzul, 2010 ; Mélançon, 2015) indiquent qu’à leur entrée à l’école, certains enfants comprennent déjà certains états mentaux, tels que la fausse croyance. Cependant, nombreux sont ceux qui n’utilisent pas adéquatement des référents aux états mentaux tels que « je veux », « je pense » et « je suis triste ». Or, les travaux d’Astington et Edward (2010) démontrent que les enfants qui ont une bonne théorie de l’esprit sont de meilleurs communicateurs, qu’ils sont plus compétents socialement et qu’ils sont capables de résoudre des conflits. D’où l’importance de soutenir les jeunes enfants dans le développement de leur théorie de l’esprit dès le cycle préparatoire. La littérature de jeunesse, par la richesse et la diversité de ses contenus et les possibilités d’interactions qu’elle offre, semble être une avenue intéressante pour soutenir le développement de la théorie de l’esprit des enfants. Dans cette recherche, nous avons exploré l’effet du genre d’albums sur le développement de certains éléments de la théorie de l’esprit. Malgré la courte durée de l’expérimentation, nos résultats suggèrent que l’utilisation d’albums mettant en scène des personnages humains paraît plus efficace pour soutenir le développement de la théorie de l’esprit des jeunes enfants, comparativement aux albums avec des personnages animaux anthropomorphisés.
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La lecture interactive : un contexte propice au développement du discours narratif et de la théorie de l'esprit chez l'enfant autiste

Baron, Marie-Pierre 24 April 2018 (has links)
Cette étude de cas qualitative porte sur le développement du discours narratif et de la théorie de l'esprit chez une enfant autiste de onze ans. Pour ce faire, une intervention intensive en lecture interactive a été déployée quotidiennement par la praticienne chercheuse au domicile familial de l'enfant pendant dix mois. Cela visait à répondre aux objectifs de la thèse, soit de décrire la progression de l'enfant au regard de la structuration du discours narratif et de la théorie de l'esprit, de décrire le type d'interventions élaborées par l'adulte permettant de soutenir l'enfant dans cette progression, mais aussi de décrire l'interrelation entre la structure narrative et la théorie de l'esprit en contexte de lecture interactive. Sur un total de 105 lectures interactives vidéofilmées, trois lectures (novembre, avril et juin) ont été sélectionnées et mises en verbatim aux fins d'analyse. La méthodologie de la recherche s'inscrit dans une démarche inductive d'attribution de sens par création de catégories. Pour ce faire, sept étapes distinctes ont été réalisées et, par souci de transparence ainsi que dans le but d'éviter les biais méthodologiques, une seconde juge a participé au processus d'analyse. Les catégories créées ont permis de répondre aux objectifs de la thèse. Outre la présentation du type de questions posées par l'adulte et des interactions spontanées de l'enfant, les catégories d'analyse permettent de rendre compte du nombre et du type de composantes récurrentes du récit nommées, du nombre et du type de relations causales faites ainsi que du nombre et du type d'états internes nommés, et ce, tant par l'adulte que par l'enfant. Les résultats de la recherche permettent de rendre compte de l'évolution de l'enfant en ce qui a trait au développement de la structuration du discours narratif et de la théorie de l'esprit. Il est possible de remarquer que la proportion des questions répondues par l'enfant augmente dans le temps, de même que le nombre de ses interactions spontanées en cours de lecture interactive, de sorte qu'il est possible d'affirmer que l'enfant sollicite elle-même des moments d'attention conjointe avec l'adulte autour du livre d'histoire. De plus, l'enfant énonce davantage de composantes récurrentes du récit et d'états internes des personnages relatifs à la théorie de l'esprit. De ce fait, dans le temps, on remarque non seulement une augmentation, mais une complexification des états internes nommés. Finalement, à la lumière des résultats, il est possible de remarquer une augmentation et une complexification de relations causales faites par l'enfant dans les questions auxquelles elle répond de même que dans les interactions spontanées dans lesquelles, au fil des interventions, elle s'est approprié les questions de l'adulte. En ce qui a trait à l'adulte, il est possible de remarquer dans le temps une complexification du type de questions par une hausse des questions ouvertes posées. De plus, les résultats montrent une baisse des interventions de l'adulte en ce qui a trait à l'énonciation des composantes récurrentes du récit, des relations causales et des états internes qui correspond à la hausse de la participation de l'enfant. En ce sens, il est possible d'affirmer que l'adulte, par la médiation, intervient dans la zone proximale de développement de l'enfant en agissant comme un guide et lui laissant de plus en plus de place lors des discussions. À la lumière des analyses, il est possible de remarquer une progression entre les trois temps d'analyse en croisant la description de ce que l'enfant fait à la description des interventions de l'adulte. Ainsi, il est possible d'affirmer que les questions ouvertes posées par l'adulte en cours de lecture interactive, qu'elles soient rétrospectives ou prospectives, propulsent l'expression par l'enfant des composantes récurrentes du récit et des composantes de la théorie de l'esprit (états internes) et que l'expression de celles-ci favorise la création de relations causales par l'enfant. De plus, en observant le type de questions posées par l'adulte et la nature des interactions spontanées de l'enfant, il est possible de montrer que l'enfant s'approprie progressivement la démarche de construction de sens autour du récit, démarche partagée en discussion avec l'adulte qui prend un rôle de guide, de médiatrice, de modèle de lectrice mature qui se questionne ouvertement devant un texte tout au long de sa lecture. Il est donc proposé, dans le but de favoriser la structuration du discours narratif et le développement de la théorie de l'esprit chez l'enfant autiste, d'opter pour des interventions en lecture interactive intensives, complexes et contextualisées permettant la construction de sens et de liens de causalité par l'enfant, et ce, grâce à la médiation de l'adulte, notamment par des questions ouvertes portant sur les divers états internes des personnages en différents moments de la trame narrative.
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Développement des détournements d'usages d'objets dans les jeux entre enfants de 3 à 7 ans / Development of symbolic uses of objects in 3 to 7 years-old peer play children

Barthélémy-Musso, Audrey 26 September 2012 (has links)
Comment les conventions sociales se développent-elles dans les jeux entre enfants de 3 à 7 ans ? L’objectif de cette recherche est de mieux comprendre la co-construction de significations à travers l’étude des détournements d’usages d’objets. Très peu d’études s’intéressent au développement des usages d’objets chez l’enfant après 3 ans au sein de situations sociales et communicatives. La présente thèse vise donc à combler ce vide et suppose que les compétences symboliques enfantines examinées via les usages d’objets se développent entre 3 et 7 ans.Trois études ont été réalisées avec des dyades d’enfants de 3, 4, 5 et 7 ans. Les mêmes objets sont présentés dans chaque étude. La première étude est un jeu libre, sans contrainte. La deuxième invite les enfants à faire de l’humour avec les objets. La troisième est la plus contraignante du point de vue des détournements d’usages d’objets. Les enfants doivent prétendre préparer un repas n’ayant que des objets inadéquats pour le faire. Dans le jeu libre, les principaux résultats montrent que les enfants de 3 ans sont déjà très compétents pour détourner les objets. En revanche, la création d’usages détournés humoristiques est moins élaborée à 3 et 4 ans qu’à 7 ans. Enfin, dans le jeu du repas, les enfants de 3, 4 et 5 ans développent des significations moins complexes que les enfants de 7 ans. Ainsi, plus le jeu est contraint, plus les enfants de 3, 4 et 5 ans ont des difficultés à détourner et s’accorder sur de nouvelles fonctions pour les objets. Ces résultats apportent un regard nouveau sur les relations entre conventions sociales, jeu entre pairs, usages d’objets et théorie de l’esprit dans le champ de la psychologie du développement. / How do social conventions develop in children’s play between the ages of 3 and 7 years? The aim of the present research was to improve current understanding of the co-construction of meanings by investigating symbolic uses of objects. Very few studies have focused on the use of objects in social and communicative situations among children beyond the age of 3 years. The purpose of the current thesis was thus to fill this gap, based on the assumption that children's symbolic skills, examined here via the use of objects, develop between the ages of 3 and 7. Three studies were conducted with dyads of 3-, 4-, 5- and 7-year-old children. The same objects were used in each study. The first study consisted of free, unrestricted play. In the second one, the children were invited to play in a humoristic way with objects. The third one was the most constraining in terms of symbolic uses of objects, as the children had to pretend that they were preparing a meal, but were not given the appropriate objects. Results for the unrestricted play study, showed that the 3-year-olds were already very skilled at using objects in a symbolic way. However, the creation of humoristic symbolic uses was less elaborated in the 3- and 4-year-olds than in the 7-year-olds. Finally, for the pretend meal, the 3-, 4- and 5-year-olds developed less complex meanings than the 7-year-olds. Thus, the greater the level of constraint, the greater the difficulty for the 3-, 4- and 5-year-olds in using objects in a symbolic way, and the greater the difficulty in agreeing on new functions for such objects. These results shed new light on the relationship between social conventions, children’s play, object uses and theory of mind in the field of developmental psychology.
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Déficits de cognition sociale lors d'un premier épisode psychotique et corrélats neuronaux structuraux associés

Bertrand, Marie-Claude January 2007 (has links)
No description available.
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Contributions à l'étude des phénomènes de dépendance à l'environnement chez les patients cérébrolésés frontaux

Besnard, Jérémy 24 November 2009 (has links) (PDF)
Les manifestations comportementales de dépendance à l'environnement renvoient à des concepts fondamentaux tels que le libre-arbitre et l'autonomie de l'homme. Ces phénomènes sont paradoxalement peu étudiés dans la littérature, mais leurs définitions particulièrement discutées et contrastées. Par l'analyse des données empiriques et leur confrontation aux performances des épreuves de l'examen neuropsychologique, les visées de ce travail étaient de contribuer à préciser les définitions sémiologiques de ces manifestations ainsi que d'examiner leurs interprétations théoriques. Sous l'influence des modèles cognitivistes, les phénomènes de dépendance à l'environnement ont été attribués à l'altération de processus inhibiteurs, fréquemment postulés pour être sous la dépendance du contrôle exécutif. La présente thèse suggère que ce point de vue est perfectible, car il néglige ce qui fonde la spécificité du fonctionnement humain en situation d'interaction. Par conséquent, si ce travail s'inscrit résolument dans le champ de la neuropsychologie clinique, il s'inspire de postulats théoriques issus de la sociologie et de la psychologie sociale. Cinq études expérimentales ont été menées auprès de trois groupes de patients neurologiques, porteurs de lésions cérébrales frontales, sous-corticales et postérieures. Des perturbations spécifiquement associées à l'atteinte des structures cérébrales antérieures sont rapportées. Ce travail contribue ainsi à fonder une distinction entre deux concepts historiques de la clinique neuropsychologique, désignés sous les termes de « syndrome frontal » et de « syndrome dysexécutif ».
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Développement des détournements d'usages d'objets dans les jeux entre enfants de 3 à 7 ans

Barthélémy-Musso, Audrey 26 September 2012 (has links) (PDF)
Comment les conventions sociales se développent-elles dans les jeux entre enfants de 3 à 7 ans ? L'objectif de cette recherche est de mieux comprendre la co-construction de significations à travers l'étude des détournements d'usages d'objets. Très peu d'études s'intéressent au développement des usages d'objets chez l'enfant après 3 ans au sein de situations sociales et communicatives. La présente thèse vise donc à combler ce vide et suppose que les compétences symboliques enfantines examinées via les usages d'objets se développent entre 3 et 7 ans.Trois études ont été réalisées avec des dyades d'enfants de 3, 4, 5 et 7 ans. Les mêmes objets sont présentés dans chaque étude. La première étude est un jeu libre, sans contrainte. La deuxième invite les enfants à faire de l'humour avec les objets. La troisième est la plus contraignante du point de vue des détournements d'usages d'objets. Les enfants doivent prétendre préparer un repas n'ayant que des objets inadéquats pour le faire. Dans le jeu libre, les principaux résultats montrent que les enfants de 3 ans sont déjà très compétents pour détourner les objets. En revanche, la création d'usages détournés humoristiques est moins élaborée à 3 et 4 ans qu'à 7 ans. Enfin, dans le jeu du repas, les enfants de 3, 4 et 5 ans développent des significations moins complexes que les enfants de 7 ans. Ainsi, plus le jeu est contraint, plus les enfants de 3, 4 et 5 ans ont des difficultés à détourner et s'accorder sur de nouvelles fonctions pour les objets. Ces résultats apportent un regard nouveau sur les relations entre conventions sociales, jeu entre pairs, usages d'objets et théorie de l'esprit dans le champ de la psychologie du développement.
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L’orientation mentale maternelle : relation avec le développement du langage et de la théorie de l’esprit chez les enfants de 2 à 4 ans

Laranjo, Jessica 12 1900 (has links)
L’étude de l’orientation mentale (OM), soit l’habileté des parents à concevoir et à traiter leur enfant comme un individu disposant d’une vie mentale autonome et active (Meins, 1997), a gagné en intérêt grâce à la démonstration de ses associations avec plusieurs sphères du développement de l’enfant, entre autres avec le style d’acquisition linguistique chez les enfants de 20 mois ainsi que le développement de la théorie de l’esprit chez les enfants d’âge préscolaire (p. ex., Meins & Fernyhough, 1999). En dépit de ces résultats, l’étude du développement du vocabulaire et des stades initiaux de la théorie de l’esprit chez les enfants a été négligée dans cette littérature. La présente thèse est composée de trois articles empiriques et vise à combler certaines lacunes de la littérature actuelle. Le premier article vise à examiner les liens longitudinaux entre l’OM maternelle et le vocabulaire expressif chez les enfants de 2 ans. Les deuxième et troisième articles ont pour but d’évaluer les relations longitudinales entre l’OM maternelle, la sécurité d’attachement des enfants et les toutes premières articulations de la théorie de l’esprit chez les enfants de 2 ans, puis 2 ans plus tard, avec la théorie de l’esprit chez les enfants de 4 ans. Les données des trois articles proviennent de cinq visites effectuées au domicile de 84 dyades mère-enfant. À 12 mois, l’OM maternelle a été mesurée lors de jeux libres mère-enfant à l’aide du système de codification de Meins et al. (2001). À 15 mois, la sécurité d’attachement de l’enfant a été mesurée par un observateur avec le Q-Sort d’attachement (Waters & Deane, 1985). À 2 ans, les mères ont évalué le langage de leur enfant à l’aide des inventaires MacArthur du développement de la communication (Dionne, Tremblay, Boivin, Laplante, & Pérusse, 2003). Finalement, la théorie de l’esprit de l’enfant a été mesurée à 2 et 4 ans à l’aide de diverses tâches expérimentales (Carlson, Mandell, & Williams, 2004). Les résultats du premier article indiquent que l’OM maternelle est associée au développement du vocabulaire expressif des enfants de 2 ans. Les résultats des deuxième et troisième articles indiquent que la compréhension des enfants de 2 et 4 ans aux tâches de théorie de l’esprit est associée à l’OM maternelle. De plus, ces deux articles ont démontré que les garçons, mais pas les filles, présentant des comportements d’attachement davantage sécures ont obtenu de meilleures performances à une tâche demandant la compréhension des perspectives visuelles de leur mère à 2 ans et de celles d’une étrangère à 4 ans. En conclusion, les résultats de la thèse suggèrent que l’utilisation que les mères font de commentaires mentaux à 12 mois semble favoriser l’acquisition de mots dans le vocabulaire expressif de leur enfant à 2 ans ainsi que le développement d’une meilleure compréhension aux tâches de théorie de l’esprit à 2 et 4 ans. / Studies on mind-mindedness (MM), which is an indication of parents’ inclination to conceive and treat their child as an independent individual with an autonomous and active mental life (Meins, 1997), have grown in interest because of the associations found with children’s developmental areas, such as with 20-month-olds’ acquisition of linguistic style and with preschoolers’ theory of mind development (ToM) (e.g., Meins & Fernyhough, 1999). Despite these results, studies on expressive vocabulary and earlier ToM stages were neglected in this literature. This thesis is composed of three empirical articles and aims to fill the gaps in the current literature. The first paper aims to examine the longitudinal links between maternal MM and children’s expressive vocabulary at 2 years of age. The second and third articles aim to evaluate the prospective relations between maternal MM, children’s attachment security and 2-year-olds’ first articulations of ToM understanding, and 2 years later, with 4-year-olds’ ToM understanding. The data of the three articles was collected from five home visits made with 84 mother-infant dyads. At 12 months, maternal MM was measured during mother-child free plays with Meins et al. (2001) coding scheme. At 15 months, children’s attachment security was measured with the Attachment Q-Sort (Waters & Deane, 1985) by a research assistant. At 2 years of age, mothers were asked to complete the MacArthur Communicative Development Inventory (Dionne, Tremblay, Boivin, Laplante, & Pérusse, 2003) to measure their child’s expressive vocabulary. Finally, children’s ToM was assessed with different experimental tasks at 2 and 4 years of age (Carlson, Mandell, & Williams, 2004). Results of the first paper suggested that maternal MM is related to children’s expressive language at 2 years of age. Results of the second and third papers proposed that 2- and 4-year-olds’ understanding on ToM tasks is associated with maternal MM. Furthermore, results from these two articles showed that more securely attached boys, but not girls, performed better on a task requiring comprehension of their mothers’ visual perspective at 2 years of age and of a stranger’s visual perspective at 4 years of age. In conclusion, results of this thesis suggest that mothers more inclined to use mental comments at 12 months have children that acquire more words in their expressive vocabulary at 2 years of age and who show a better understanding on ToM tasks at 2 and 4 years of age.

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