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Étiologie génétique et environnementale de la timidité à l'enfance

Morneau-Vaillancourt, Geneviève January 2017 (has links)
Le trait de timidité à l'enfance, particulièrement durant les premières années scolaires, constitue un facteur de risque pour plusieurs troubles ultérieurs. Les connaissances sur le développement de cette dimension du tempérament sont limitées par la rareté des études longitudinales et par la mesure de catégories comportementales générales, n'évaluant pas la dimension de timidité de façon spécifique. Afin de pallier ces lacunes, ce mémoire se centre sur le trait de timidité reflétant un conflit d'approche-évitement en contextes sociaux. En s'appuyant sur les données de l'Étude des jumeaux nouveau-nés du Québec, il vise à documenter l’étiologie et le développement de la timidité à travers l’enfance. Les résultats de l'étude démontrent que des facteurs génétiques contribuant à la timidité au début de l’enfance persistent dans le temps et expliquent ce phénotype tout au long de l’enfance. De plus, la timidité est modérément stable à travers le temps et cette stabilité est presque entièrement expliquée par des facteurs génétiques. Finalement, des facteurs environnementaux uniques, qui pourraient aussi être liés à l’erreur de mesure ponctuelle, contribuent en majorité à la timidité et ces facteurs ne sont pas associés entre les différents temps de mesure. En plus de facteurs génétiques précoces, des expériences propres à chaque enfant et indépendantes d'un temps à l'autre expliquent les différences individuelles de la timidité à travers l'enfance. Ce mémoire met en évidence le trait de timidité, dimension du tempérament peu étudiée d’un point de vue développemental. Il contribue à l’avancement des connaissances sur ce construit, particulièrement au niveau de l’étiologie et du développement. Ce mémoire conduit donc vers de nouvelles pistes sur lesquelles élaborer sur le construit de timidité à l’enfance. / Children expressing high levels of shyness in social contexts are at risk for a host of difficulties, especially in critical developmental periods such as the first school years. The dearth of longitudinal studies and the measurement of broad behavioral categories failing to assess shyness specifically have limited research findings on this construct. Therefore, this thesis focuses on the shyness trait, a dimension of temperament reflecting an approach-withdrawal conflict in social contexts. Using data from the Quebec Newborn Twin Study, this thesis examines the etiology and the development of the shyness trait through childhood. Results from this study show that genetic factors contributing to shyness in early childhood are stable through time and contribute to shyness across childhood. Moreover, shyness is a moderately stable behavior through childhood and this stability is almost entirely explained by genetic factors. Finally, non-shared environmental factors that could partly stem from time-specific measurement error mostly contribute to shyness and these factors are not associated between times. Early genetic factors, as well as experiences that are unique to each child contribute to shyness in childhood. This thesis focuses on the shyness trait, a temperamental dimension on which documentation is scarce. It adds to current knowledge on the etiology and development of shyness. This thesis leads to new landmarks for future research on shyness in childhood.
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Le développement des comportements de timidité et d'agression physique au cours de la petite enfance

Moore, C. Valérie January 2007 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La timidité interagit-elle avec l'affiliation aux pairs pour prédire l'usage de substances des adolescents?

Lemyre, Alexandre 24 April 2018 (has links)
La relation entre la timidité et l'usage de substances est modeste et varie entre les études. Une explication pour ces observations est que dans certains contextes, la timidité exercerait un effet bénéfique contre l'usage de substances, alors que dans d'autres contextes, cet effet serait absent. Un de ces contextes pourrait être la présence ou l'absence d'un groupe d'amis. Par conséquent, la présente étude comporte deux objectifs : 1) tester de manière prospective la relation entre la timidité et l'usage de substances dans une cohorte contemporaine et représentative d'adolescents nés dans la province de Québec (Canada); 2) tester le rôle modérateur de l'appartenance à un groupe d'amis sur la relation entre la timidité et l'usage de substances. Les participants proviennent de l'Étude Longitudinale du Développement Des Enfants du Québec (ÉLDEQ). Ils ont été évalués à 12 ans (n = 1415), 13 ans (n = 1312) et 15 ans (n = 1466). L'échelle de timidité d'Asendorpf a été utilisée à 12 ans. L'appartenance à un groupe d'amis, de même que l'usage de cigarettes et l'usage excessif d'alcool dans la dernière année ont été évalués à 15 ans. Une série de régressions logistiques similaire pour les deux types de substances a été menée. Les résultats montrent que la timidité prédit négativement l'usage de cigarettes et l'usage excessif d'alcool. Ces associations demeurent significatives en contrôlant pour de multiples variables confondantes. Toutefois, la timidité n'interagit pas avec l'appartenance à un groupe d'amis pour prédire l'usage de substances. En conclusion, cette étude confirme l'existence d'une relation prospective négative entre la timidité et l'usage de substances sur une période de trois ans. Les résultats suggèrent que la timidité pourrait exercer un effet bénéfique contre l'usage de substances nonobstant le contexte social de l'adolescent.
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Hétérogénéité des enfants rejetés en milieu scolaire

Dion, Marielle 23 February 2022 (has links)
Les enfants rejetés par leurs pairs ne présentent pas tous le même profil comportemental, certains étant agressifs et d'autres retirés. La présente recherche vise à vérifier dans quelle mesure ces deux types d'enfants se distinguent quant à l'estime de soi, l'anxiété sociale et la perception d'être accepté. Une mesure sociométrique (désignations positives et négatives), une mesure du comportement perçu par les pairs et des mesures de perception de soi sont administrées à 1157 enfants de 2ème, 3ème et 4ème année. Des questionnaires d'évaluation du comportement à l'école sont aussi complétés par les enseignants. Au total, 190 enfants sont retenus pour les analyses, soit 34 rejetés-agressifs et 63 rejetés-retirés. Une troisième catégorie, les enfants rejetés agressifs et retirés (n = 50) émerge également. Les trois catégories sont comparées aux enfants de statut moyen (n = 43). Les analyses révèlent que les enfants rejetés-retirés se perçoivent significativement moins acceptés par leurs pairs que le groupe normatif et les rejetés-agressifs. D'autre part, les enfants rejetés-agressifs et rejetés agressifs-retirés présentent de plus hauts scores d'anxiété sociale. Selon l'enseignant, les trois sous-groupes d'enfants rejetés sont moins acceptés que les enfants de statut moyen et se caractérisent par une plus forte prévalence de problèmes d'extériorisation. Par ailleurs, aucune différence significative n'est observée quant à l'estime de soi et les problèmes d'intériorisation. Ces résultats sont discutés à la lumière des travaux de recherche actuels.
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Les dimensions du retrait social à l'enfance : associations avec les difficultés interpersonnelles, étiologie génétique et précurseurs tempéramentaux

Morneau-Vaillancourt, Geneviève 20 December 2021 (has links)
Le retrait social à l'enfance est associé à un ensemble de difficultés socio-émotionnelles, incluant des problèmes internalisés et des difficultés sociales avec les pairs. Le retrait social est un construit complexe qui peut se décliner de différentes manières puisque plusieurs raisons peuvent mener les enfants à s'isoler en contextes sociaux. Notamment, la réticence sociale et la préférence pour la solitude constituent deux dimensions qui se distinguent sur le plan de leurs motivations sous-jacentes et de leurs répercussions sur l'ajustement socio-émotionnel des enfants. Pour cette raison, il est pertinent d'étudier la réticence sociale et la préférence pour la solitude séparément. Plusieurs questions demeurent toutefois non résolues par rapport à leur développement au cours de l'enfance. C'est pourquoi l'objectif général de la présente thèse de doctorat est de documenter, à l'aide d'un devis longitudinal prospectif, l'évolution de la réticence sociale et de la préférence pour la solitude au cours de l'enfance, ainsi qu'examiner les mécanismes à l'origine de leur développement. Les objectifs spécifiques de la thèse sont d'examiner 1) dans quelle mesure la réticence sociale et la préférence pour la solitude prédisent les difficultés interpersonnelles au cours de l'enfance, 2) leur étiologie génétique, ainsi que 3) leurs précurseurs tempéramentaux. Des données recueillies tout au long de l'enfance auprès de participants de l'Étude des jumeaux nouveau-nés du Québec (ÉJNQ) et de l'Étude longitudinale du développement des enfants du Québec (ÉLDEQ) ont été utilisées pour répondre à ces objectifs. La thèse se compose de trois articles empiriques. Le premier article utilise les données recueillies auprès des familles de l'ÉJNQ pour montrer, à l'aide d'une approche multi-niveaux, que, contrairement à la réticence sociale, la préférence pour la solitude augmenterait le risque de subir de la victimisation et du rejet par les pairs et que ces liens prédictifs s'expliqueraient par des contributions environnementales. Par ailleurs, la préférence pour la solitude était progressivement associée à la victimisation de 6 à 10 ans, suggérant que la préférence pour la solitude deviendrait davantage perçue négativement auprès des pairs vers la fin de l'enfance. Le deuxième article de la thèse met à profit les données issues du génotypage de participants de l'ÉJNQ et de l'ÉLDEQ pour examiner si des profils de vulnérabilité génétique différents permettent de différencier les trajectoires développementales à risque de la réticence sociale et de la préférence pour la solitude au cours de l'enfance. Les résultats indiquent que des scores polygéniques, calculés à partir des données génétiques des participants, sont différemment associés avec la réticence sociale et la préférence pour la solitude. Alors qu'un score polygénique pour la solitude prédisait la réticence sociale, un score polygénique général associé à plusieurs traits en lien avec la santé mentale prédisait la préférence pour la solitude. Ainsi, le deuxième article fournit une démonstration probante que des profils de risque génétique distincts sous-tendenderaient chacune des dimensions. Enfin, le troisième article examine, à l'aide des données de l'ÉJNQ recueillies de 5 mois à 10 ans, les précurseurs tempéramentaux et physiologiques précoces de la réticence sociale et de la préférence pour la solitude à l'âge préscolaire et à l'âge scolaire. Les résultats obtenus à partir d'un modèle séquentiel d'équations structurelles indiquent que l'inhibition comportementale face à une personne inconnue était posivitement associée à la réticence sociale au préscolaire. Par ailleurs, l'expression d'affects négatifs en contextes de nouveauté prédisait de façon similaire la réticence sociale et la préférence pour la solitude au préscolaire. Enfin, une interaction entre deux indicateurs de régulation physiologique, soit le tonus vagal et le cortisol, prédisait la réticence sociale en contexte scolaire. Cette interaction suggère que le tonus vagal pourrait atténuer le risque associé à la réponse du cortisol en ce qui a trait au développement de la réticence sociale à l'âge scolaire. Dans l'ensemble, les résultats du troisième article indiquent que certains précurseurs tempéramentaux et physiologiques prédisent de façon distincte la réticence sociale et la préférence pour la solitude. Ainsi, les résultats de la thèse contribuent à clarifier les distinctions entre les dimensions du retrait social en suggérant que la réticence sociale et la préférence pour la solitude sont différemment associées aux difficultés interpersonnelles et ont une étiologie génétique et des précurseurs tempéramentaux partiellement distincts. / Social withdrawal in childhood is associated with a host of emotional and interpersonal adjustment problems, including internalizing and peer difficulties. Social withdrawal is a complex and multifaceted construct, as different reasons can explain why children may choose to refrain from interacting with peers. Dimensions of social withdrawal such as social wariness and preference for solitude have unique social motivations and distinct associations with socioemotional problems. For these reasons, studying social wariness and preference for solitude separately is warranted. There are, however, several unresolved questions regarding aspects of their development. Hence, the general objective of the thesis is to document, within a longitudinal-prospective design, the development of social wariness and preference for solitude throughout childhood and the mechanisms underlying their respective developmental course. Specifically, the thesis aims to examine 1) the extent to which social wariness and preference for solitude are predictively associated with peer difficulties, 2) their genetic etiology, and 3) their early temperamental predictors. To achieve these goals, data collected throughout childhood from the Quebec Newborn Twin Study (QNTS) and the Quebec Longitudinal Study of Child Development (QLSCD) were used. The thesis includes three empirical chapters. The first chapter incorporates familial data from the QNTS in a longitudinal multilevel model to show that preference for solitude, rather than social wariness, increases the risk for peer victimization and rejection, and that these predictive links are likely a reflection of an environmental process. Preference for solitude progressively predicted victimization from 6 to 10 years old, suggesting that preference for solitude becomes more negatively perceived by peers in late childhood. The second chapter takes advantage of genotype data in the QNTS and in the QLSCD to test whether genetic vulnerability profiles differentiate high-chronic trajectories of social wariness and preference for solitude throughout childhood. Findings show that polygenic scores, calculated from the participants' genotypes, are differently associated with social wariness and preference for solitude. Whereas social wariness was associated with a polygenic score for loneliness, preference for solitude was associated with a general polygenic score for several mental health traits and thus overlapped genetically with a broader range of mental health traits. Results from the second study suggest that social wariness and preference for solitude have different etiological mechanisms, this time characterized by different genetic risk profiles. The third chapter examines, using data from the QNTS collected between 5 months and 10 years old, the early temperamental and physiological precursors of social wariness and preference for solitude in preschool and in grade school. Results from a sequential structural equation model indicate that behavioral inhibition in approaching an unfamiliar person was positively associated with preschool social wariness. Yet, the expression of negative affects in unfamiliar situations predicted both elevated levels of social wariness and preference for solitude in preschool. Further, an interaction between two physiological stress regulation systems, vagal tone and cortisol reactivity, predicted social wariness during the grade school years. This interaction suggests that vagal tone may buffer the risk associated with cortisol reactivity. Overall, findings from the third study show that, for the most part, early temperamental and physiological dispositions differentially predict social wariness and preference for solitude in childhood. In conclusion, results from the thesis contribute to enhancing our understanding of the etiological distinctions between dimensions of social withdrawal and of their respective risk for peer difficulties.
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La théorie des humeurs chez Heidegger : esquisse des fondements dans Sein und Zeit

Ethier-Delorme, Keith January 2015 (has links)
Résumé : « Wege, nitch Werke ». L’exergue de la Gesamtausgabe donne une indication précieuse pour quiconque souhaite lire et comprendre la pensée de Heidegger. Son œuvre se distingue des classiques de la tradition philosophique par le fait qu’elle ne cherche pas à établir une doctrine. Elle vise plutôt à reprendre à bras-le-corps une seule et même question : la Seinsfrage. Heidegger l’a retournée de maintes façons, parfois en puisant dans les préjugés au sujet de l’Être, parfois en empruntant des chemins de pensée plutôt inexplorés, mais à chaque fois il étonne. Le lecteur habitué à la rigidité conceptuelle, aux évidences cartésiennes et aux règles logiques de l'esprit, trouve peut-être en Heidegger son plus grand défi parce qu’il adhérait à une pensée-en-chemin (Zu Denken Wege) qui accueille l'errance et la pause, le silence et le tournant. Il invite le lecteur à prendre le pas, à risquer les chemins qui ne mènent nulle part ― Holzwege ―, à ne pas hésiter à faire un pas en arrière (Schritt zurück). La Gesamtausgabe oblige un certain inconfort pour la pensée. Ce mémoire de maîtrise est consacré à l’examen de la fonction phénoménologique des humeurs (Stimmungen) et à l’importance que leur accorde Heidegger, à partir d’une lecture de Sein und Zeit, tout particulièrement. La recherche a pour hypothèse de travail qu’on y retrouve une théorie des humeurs appréciable, bien que ne lui soit pas réservée une analyse systématique dans l’œuvre. Malgré cela, ce mémoire fait la démonstration, en quelques chapitres, que Sein und Zeit contient des éléments théoriques qui permettent de fonder cette théorie. Au final, le mémoire explore brièvement les humeurs analysées par Heidegger. C’est l’occasion de voir comment la théorie des humeurs s’inscrit véritablement dans la pensée du philosophe. La thèse défendue dans ce mémoire pourrait être reprise et approfondie par une étude doctorale, ce qui donnerait peut-être une clef supplémentaire pour contribuer à l'élaboration d'une lecture intégrale de la Gesamtausgabe. / Abstract : The highlight of the Gesamtausgabe gives a valuable indication for anyone who wants to read and understand Heidegger's thought. His work part from the philosophical tradition in that does not seek to establish a doctrine. Rather, it is intended to tackle the question of Being (Seinsfrage). Heidegger has posed it in many ways, sometimes by challenging our common sense about the “Being”, sometimes by exploring new paths of thinking, each time surprising us. Someone familiar with rational assertion, methodological pattern and logical rule, may find Heidegger really hard to understand because he assumes what he calls a « thought-in-way » (Wege Zu Denken), which welcomes silence and wandering. Heidegger invites the reader to try pathways that lead nowhere at first sight — Holzwege —, and sometimes to take a step back (Schritt zurück) from what he thinks. The Gesamtausgabe is definitively a challenge for the thought. The main goal of this master’s thesis is to examine the phenomenological function of moods (Stimmungen) and the importance we should give to them, from a reading of Sein und Zeit, especially. The aim is to find in it a theory of moods, even if Heidegger did not analyze them systematically. Nevertheless, this essay outlines, in just a few chapters, the reasons why we can pretend there is a such theory and why the moods have a significant phenomenological function. Finally, we explore the moods analyzed by Heidegger so we can see how his theory is truly embodied. This research could be taken further in a doctoral study, which would perhaps contribute to a more comprehensive interpretation of the Gesamtausgabe.
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Les timides et leur timidité : typologie des représentations subjectives dans quatre fils de discussion

Carignan Jacob, Marilyne 08 1900 (has links)
Ce mémoire s’intéresse aux représentations que se font les timides de leur timidité au sein d’un forum de discussion anglophone. Alors que les représentations sociales de la timidité se sont transformées suivant leur contexte sociohistorique et socioculturel, les valeurs occidentales contemporaines de la sociabilité ont posé les conditions pour une timidité perçue comme un problème social et médical. De ce fait, ce mémoire souhaite comprendre comment les sujets timides se représentent l’objet de leur timidité au sein de quatre fils de discussion qui engagent chacun une manière spécifique d'envisager la timidité : « Identité de soi », « Introverti.e », « Compétences sociales », « Anxiété sociale ». Mobilisant les représentations sociales, « l’idéaltype », l’interactionnisme symbolique et l’identité, une centaine de billets anonymes rédigés en 2019 et en 2020 ont fait l’objet d’une analyse thématique avec le logiciel NVivo. De cette analyse, quatre « idéaltypes » sont proposés suivant les représentations de la timidité et la motivation de rédaction des billets : la timidité acquise face à une introversion innée (« Introverti.e »); la timidité comme une souffrance expérientielle avec un regard tourné vers le passé (« Anxiété sociale »); la quête du secret des interactions sociales avec un regard sur le présent (« Compétences sociales »); le processus optimiste de la transformation de soi avec un regard tourné vers le futur (« Identité de soi »). Ces quatre « idéaltypes » partagent une représentation de la timidité comme un problème individuel dont la thérapie est une responsabilité individuelle. / This thesis examines the representations shy people have of their shyness in an English-speaking discussion forum. While social representations of shyness have transformed according to their sociohistorical and sociocultural context, contemporary Western values of sociability have set the conditions for shyness seen as a social and medical problem. As a result, this thesis aims to understand how shy subjects perceive the object of their shyness within four discussion threads, which each engage a specific way of considering shyness: “Self-identity”, “Introversion”, “Social skills”, “Social anxiety”. Mobilizing social representations, the “ideal type”, symbolic interactionism and identity, a hundred anonymous posts written in 2019 and 2020 were the subject of a thematic analysis with NVivo. From this analysis, I propose four “ideal types” according to the representations of shyness and the motivation for writing posts: the shyness acquired in the face of innate introversion (“Introvert”); shyness as experiential suffering with a look to the past (“social anxiety”); the quest for the secret of social interactions with a look at the present (“Social skills”); the optimistic process of self-transformation with a look to the future (“Self-identity”). These four “ideal types” share a representation of shyness as an individual problem for which therapy is an individual responsibility.

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