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Ernst Nolte und das totalitäre Zeitalter : Versuch einer Verständigung /Kronenberg, Volker, January 1999 (has links)
Diss.--Hohe Philosophische Fakultät--Bonn--Rheinische Friedrich-Wilhelms-Universität, 1999. Titre de soutenance : Ernst Nolte, Annäherungen an sein Werk. Eine Studie zur ideologischen Dependenz im totalitären Zeitalter. / Bibliogr. p. 325-388.
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Die charismatischen Führerdiktaturen : Drittes Reich und italienischer Faschismus im Vergleich ihrer Herrschaftsstrukturen /Bach, Maurizio, January 1990 (has links)
Version remaniée de: Diss.--Fachbereich für Politik- und Sozialwissenschaften--Florenz--Europäisches Hochschulinstitut, 1989.
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Albert Camus : démocratie et totalitarisme / Albert camus : democracy and totalitarianismCelotto, Emanuela 07 January 2014 (has links)
Cette thèse propose une lecture de la création de Camus sous l’angle démocratique et antitotalitaire pour démontrer l’aspect innovant de sa pensée qui est plus que jamais d’actualité. Cent ans après la naissance de l’écrivain prix Nobel de littérature, son œuvre ouvre de nouveaux axes de réflexion à mi-chemin entre la philosophie, la science-politique et la littérature. Après une introduction générale aux concepts de totalitarisme et de démocratie, nous passerons plus spécifiquement à l’étude de l’auteur. Nous esquisserons un portrait de Camus en tant que journaliste engagé dans les batailles de son temps et nous aborderons une analyse comparative entre Camus et les intellectuels ou penseurs qui ont influencé sa pensée démocratique et inspiré sa réflexion sur les totalitarismes. Ensuite, nous focaliserons l’analyse sur certaines œuvres : les essais journalistiques (Actuelles I, II, III) et philosophiques (L’Homme révolté) ; les œuvres de fiction, comme La Peste, ainsi que trois pièces de théâtre Caligula, Les Justes et L’État de siège. En nous basant sur ce choix d’œuvres, nous examineront la technique adoptée par Camus pour transférer dans la fiction le débat démocratique contre les totalitarismes de son époque. Enfin, nous étudierons du point de vue lexicologique les termes de totalitarisme et démocratie, ainsi que tous leurs synonymes entrant dans le champ sémantique du débat antitotalitaire. / This thesis proposes a reading of Camus’ creation from the democratic and antitotalitarian perspective in order to demonstrate the innovative aspect of his thought, which is more actual than ever. One hundred years after the birth of the writer, Nobel Prize for literature, his work opens up new lines of thought halfway between philosophy, science, politics and literature. After a general introduction to the concepts of totalitarianism and democracy, we will proceed to the more specifically study of the author. We sketch a portrait of Camus as a committed journalist in the battles of his time and we will discuss a comparative analysis between Camus and intellectuals and thinkers who influenced his democratic thought and inspired his thinking on totalitarianism. Then, we will focus the analysis on certain works : journalistic (Actuelles I, II, III ) and philosophical essays (The Rebel), fictional works, such as The Plague, and three plays Caligula, The Just Assassins and The State of siege. Based on this selection of works, we will examine the technique adopted by Camus to transfer into the fictional the democratic debate against the totalitarianism of his era. Finally, we will study from a lexicological point of view the terms of totalitarianism and democracy, and all their synonyms within the semantic field of anti-totalitarian debate.
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La société totalitaire dans le récit d'anticipation dystopique, de la première moitié du XXè siècle, et sa représentation au cinéma / The totalitarian society in the narrative of dystopian anticipation, first half of the XXth century, and its representation in the cinemaRodriguez Nogueira, François 01 December 2009 (has links)
La tradition utopique a longtemps entretenu le rêve d'une société idéale située dans un ailleurs, un u-- topos, le "lieu qui n'est pas" dans L'Utopie de Thomas More. La représentation de ces utopies est indissociable d'un facteur déterminant pour la construction d'un monde meilleur : le progrès. Ainsi, cette tradition se caractérise par l'accent prométhéen d'une telle entreprise, c'est des mains de l'homme que sera façonnée cette nouvelle société. Cependant, le point de vue sur la possibilité d'une société idéale va progressivement s'infléchir, notamment au cours du XIXe siècle, pour s'inverser d'une manière radicale au début du XXe siècle. Nommée anti-utopie ou contre-utopie, cette désillusion souligne l'impuissance de l'homme et le rôle ambigu du progrès pour inventer la société parfaite. Parfois utilisée comme synonyme d'anti-utopie, la dystopie caractérise plus précisément les textes qui décrivent une société dirigée par un système d?oppression absolu, fondé sur un État omnipotent, et presque toujours organisé scientifiquement. Ainsi, des dysfonctionnements de la cité du futur dans Le Monde tel qu'il sera d'Émile Souvestre, en 1846, à l'État Unique dans Nous autres de Evguéni Zamiatine, écrit en 1920, la dystopie évolue en prenant la forme du récit de science-fiction, et en particulier celle de l'anticipation. Nous verrons, notamment, comment l'utopie prend place dans les oeuvres de Jules Verne et H.G. Wells. Zamiatine, très inspiré par Wells, est le premier grand écrivain du XXe siècle à se servir de la dystopie pour décrire les attributs de la société totalitaire. Ainsi, si notre démarche consiste, dans un premier temps, à désigner les auteurs et textes qui ont participé à l'émergence de la dystopie, notre analyse portera essentiellement sur Nous autres et trois autres romans fondateurs de la dystopie au XXe siècle : Le Meilleur des mondes d'Aldous Huxley, publié en 1932, 1984 de George Orwell, publié en 1948 et Fahrenheit 451 de Ray Bradbury, publié en 1953. Nous étudierons le phénomène totalitaire selon les interprétations qu'en font nos auteurs. Il sera donc question de la collectivisation de l'individu, de la propagande ou du rôle de la science dans l'organisation de la société totalitaire. Mais il s'agira aussi de montrer comment nos dystopies illustrent le combat de l'art contre l'entropie totalitaire, et l'engagement de leurs auteurs dans un véritable discours politique. Enfin, il apparaît essentiel de décrire ce qui apparaît peut-être comme la forme la plus efficace de la représentation de la dystopie : le film de science-fiction. Nous verrons pourquoi le roman dystopique peine de plus en plus à soutenir la comparaison face à l'immédiateté du langage de l'image animée. / The utopian tradition a long time maintained the dream an ideal society located in one elsewhere, a u-topos, the "place which is not" in the Utopia of Thomas More. The representation of these Utopias is indissociable of a determining factor for the construction of a better world: progress. Thus, this tradition is characterized by the Promethean accent of such a company, they are hands of the man who this new society will be worked. However, the point of view on the possibility of an ideal society gradually will inflect, in particular during the 19th century, to be reversed in a radical way at the beginning of the 20th century. Named anti-Utopia or against-Utopia, this disillusion underlines the impotence of the man and the ambiguous role of progress to invent the perfect society. Sometimes used as synonym of anti-Utopia, the dystopia more precisely characterizes the texts which describe a society directed by an absolute system of oppression, based on an omnipotent State, and almost always scientifically organized. Thus, abnormal operations of the city of the future in The World such as it will be of Emile Souvestre, in 1846, in the State Unique in Us of Evgueni Zamiatine, written in 1920, the dystopia evolves by taking the form of the account of science fiction, and in particular that of anticipation. We will see, in particular, how the Utopia takes seat in works of Jules Verne and H.G. Wells. Zamiatine, very inspired by Wells, is the first great writer of the 20th century to be made use of the dystopia to describe the attributes of the totalitarian society. Thus, if our step consists, initially, to appoint the authors and texts which took part in the emergence of the dystopia, our analysis will primarily carry on Us and three other Romance founders of the dystopia at the 20th century: Brave New World of Aldous Huxley, published into 1932, 1984 of George Orwell, published in 1948 and Fahrenheit 451 of Ray Bradbury, published in 1953. We will study the totalitarian phenomenon according to interpretations that make our authors of them. It will be thus a question of the collectivization of the individual, the propaganda or the role of science in the organization of the totalitarian society. But it will also be a question of showing how our dystopies illustrates the combat of art against the totalitarian entropy, and the engagement of their authors in a true political discourse. Lastly, it appears essential to describe what perhaps appears as the most effective form of the representation of the dystopia: the science fiction film. We will see why the novel dystopic sorrow more and more support the comparison face to the immediacy of the language of the moving image.
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L'architecture totalitaire. Un monographie du Centre civique de Bucarest / The totalitarian architecture : A research monograph of Bucarest's civic centerRacolta, Radu-Petru 30 June 2010 (has links)
Le centre civique de Bucarest est le projet étudié d'une façon approfondie et il devient progressivement, avec l'avancement de cette thèse, l'élément de référence qui nous permet de faire des parallèles et des comparaisons avec d'autres projets construits sous un régime totalitaire. La confrontation directe entre des réponses architecturales différentes a le mérite de mettre en exergue des traits communs de l'acte d'édifier et ses conséquences dans l'atmosphère urbaine, en un mot, d'identifier la production architecturale totalitaire. Elle permet aussi de souligner le parcours intellectuel que les dictateurs empruntent pour arriver à imaginer et matérialiser le monde qui est le leur. L'architecture est une expression incontournable, une dimension inéluctable pour la compréhension de l'esprit totalitaire. / Bucharest's civic center is the main subjetc studied in detail in this thesis. It becomes gradually the base point which allows us to draw parallels and comparisons with other projects built up under the totalitarian regime. The direct comparisons of various architectural answers enabled us to highlight common points between the fact of building and it's consequences to urban atmosphere. Beyond, more than helping to identify the totalitarian architecture, these comparisons lead up to understand the intellectual exercise done by dictators. Indeed, it brings us to understand their way of imagining and materializing their vision of the world. Architecture is the key dimension of understanding totalitarianism.
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Art et pouvoirTozzi, Béatrice Tancelin, Philippe January 2009 (has links) (PDF)
Reproduction de : Thèse doctorat : Esthétique : Paris8 : 2008. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr. f. 407-419.
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The metaphysical relation between person and liberty and its application to historical liberalism and totalitarianism /Harvey, Rudolf John, January 1942 (has links)
Thesis (Ph. D.)--Catholic University of America, 1942. / Includes bibliographical references (p. 199-207).
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The theme of totalitarianism in "English" fiction : Koestler, Orwell, Vonnegut, Kosinski, Burgess, Atwood, Amis /Klawitter, Uwe, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Bochum, Allemagne--Ruhr-Universität, 1996. / Bibliogr. p. 211-222.
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L'exercice des libertés publiques en période de transition démocratique : le cas de la Tunisie / Civil liberties exercise in democratic transitions : the Tunisian caseBrik Mokni, Hedia 07 September 2016 (has links)
Les libertés publiques ont toujours rencontré des obstacles affectant leur réel exercice en Tunisie. Les transitions démocratiques souvent invoquées par les dirigeants, se sont avérées des périodes au cours desquelles, cet exercice est le plus vulnérable. A chaque période, correspondent des priorités présentées par l’élite dirigeante pour justifier l’ajournement de l’exercice des libertés publiques. Les institutions politiques, l’organisation du pouvoir et le cadre normatif, ne permettent pas de dire qu’ils offrent un terrain favorable aux libertés publiques. Ces d.dernières, sont d’autant plus vulnérables, qu’elles évoluent dans un milieu politico-idéologique peu propice à leur épanouissement. Les affrontements entre les modernistes et les conservateurs, sont la plus part du temps résolus grâce au consensus, fruit d’une alliance entre la modernité et la tradition. Toujours est-il, à chaque ouverture d’une période transitoire, le débat se durcit et aussi la peur de perdre les acquis d’une Tunisie réformiste. / Civil liberties have always meet difficulties to their real exercise in Tunisia. Democratic transitions which are often put forward by political leaders reveal themselves as the most critical periods for freedoms exercise. During each period, priorities are invoked in order to justify delaying the freedom exercise. Political organization and legal rules does not allow affirming that they offer a favorable environment and conditions for freedom exercise. The civil liberties are evolving in a unfavorable ideological and politic context. Confrontations between modernists and conservatives are most of the time avoided by the resort to the agreement in order to reconcile tradition and modernity. Let us underline that at each opening of a transitional period that the debates get harder and the fear losing the rights collectively acquired grows.
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Écoute, mémoire, durée dans les œuvres de Vladimir Jankélévitch, Jean Améry, Paul Celan et Jorge Semprún : Acousmatique de la souffrance, du totalitarisme et de l’anéantissement / Listening, memory, length of time in the works of Vladimir Jankélévitch, Jean Améry, Paul Celan and Jorge Semprún : Acousmatic of suffering, totalitarianism and annihilationBenveniste, Marc 21 December 2017 (has links)
Le totalitarisme nazi, la souffrance, la mort de masse et d’êtres chers constituent des formes d’anéantissement présentes dans les parcours de Vladimir Jankélévitch, Jean Améry, Paul Celan et Jorge Semprun. Rescapés de la Seconde Guerre mondiale, ils ont subi, à des degrés divers, et dans des circonstances différentes, les épreuves de l’exil et des camps. Leurs expériences respectives de la Résistance, de la déportation, de la torture, de la tentation du suicide ouvrent à des écrits et des réflexions majeurs. La mémoire et la voix y sont convoquées afin de s’opposer au totalitarisme et à ses conséquences : la souffrance, le risque de la prescription conduisant à celui de l’oubli, et le caractère irréversible de la torture. Tandis que le bourreau a pour objectif de nier l’humanité de chaque supplicié, le rôle de la voix et de l’écoute sont déterminants. L’opéra Tosca illustre cette tension. La douleur confère à l’instant et à l’ipséité de chaque supplicié une expérience strictement individuelle qui peut néanmoins être décrite : l’invivable n’est pas nécessairement indicible.Voix et mémoire s’inscrivent dans l’inachevé. L’ascension, dans le quasi-silence désespérant des années trente, et le triomphe temporaire du nazisme, que la propagande radiophonique assure pour partie, puis sa défaite complète appellent la transformation dans la durée de l’Allemagne. Concomitamment, les évolutions musicales marquent des formes de refus de la répétition pour échapper à l’aliénation.Le cri possède pour fonction d’alerter. Mais de la mémoire de la Shoah au suicide, l’appel insurmontable de l’anéantissement conduit à revivre une violence que le poème et la musique tentent de surmonter. / Nazi totalitarianism, suffering, mass killing -including loved ones-, are all forms of annihilation that Vladimir Jankélévitch, Jean Améry, Paul Celan and Jorge Semprun went through. World War II survivors, they endured, at varying intensities and through different circumstances, the hardship of exile and of the camps.Their respective experiences of torture, deportation, the Resistance, and their consideration of suicide have brought prominent works and should lead us to major reflections.Remembrance and voice are weapons involved in the fight against totalitarianism and its consequences, of which: suffering, the risk of prescription leading to that of forgetting, and the irreversibility of torture.While the torturer aims to deny even the humanity of its victims, the role of voice and listening are decisive. Tosca Opera gives an accurate representation of this tension. Pain confers to the moment and to the uniqueness of each victim a strictly individual experience, which can nevertheless be described: the unbearable is not unspeakable. Voice and remembrance fall within the ‘unfinished’. Nazism’s ascent —in the practically desperate silence of the thirties—, its temporary triumph —that radio propaganda partly ensures—, and ultimately its complete defeat, call for the profound transformation of Germany overtime. Simultaneously, the contemporaneous cultural developments highlight the rejection of recurrence in music, in an attempt to escape alienation. The purpose of screaming is to alert. But from the Holocaust memory until the very notion of suicide, the devastating call of annihilation amounts to experience once more a violence that poetry and music seek to overcome.
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