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Validité des entrevues d'histoire professionnelle dans l'industrie du vêtementBrisson, Chantal 08 February 2019 (has links)
En santé au travail plusieurs études épidémiologiques doivent utiliser des informations sur l'histoire professionnelle des travailleurs. Ces informations proviennent généralement des entrevues réalisées auprès des travailleurs. Elles peuvent également être obtenues de registres publics ou de registres tenus par les employeurs ou les syndicats. Cette étude mesure la validité des histoires professionnelles obtenue par entrevue auprès de 84 travailleuses de l'industrie du vêtement et analyse les facteurs affectant cette validité. La validité des employeurs déclarés a été évaluée année par année pour toute la période comprise entre 1955 et 1983. L'information donnée par la travailleuse a été comparée à celle inscrite dans un registre public et dans un registre syndical. Le taux moyen de validité de l'entrevue est de 80.5%. Il est nettement plus élevé pour la période 1972-1983, soit 88.3%, que pour la période 1955-1971, soit 73.7%. La validité de l'entrevue ne varie pas selon l'âge et la scolarité de la répondante. Elle varie significativement selon le nombre d'emplois occupés, le nombre d'années travaillées et l'origine ethnique. Les travailleuses ayant occupé moins d'emplois différents, celles qui ont travaillé un plus grand nombre d'années et les travailleuses non francophones rapportent plus correctement leur histoire professionnelle. Ces variations sont plus importantes pour la période la plus éloignée dans le temps que pour la période récente. / Montréal Trigonix inc. 2018
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Stigmatisation et précarité des travailleuses du sexe pendant la pandémie de COVID-19Desfossés, Maxime 22 February 2024 (has links)
Ce mémoire porte sur les effets de la crise sanitaire de la COVID-19 et des mesures prises par les gouvernements français et québécois pour freiner sa propagation sur les travailleuses du sexe (TDS). Bien que les enjeux liés à la stigmatisation et la criminalisation des TDS sont déjà bien documentés dans la littérature féministe pro-TDS, ils n'ont encore été que très peu étudiés dans le contexte de la pandémie de la COVID-19. L'objectif de cette recherche est donc d'examiner les effets de la pandémie sur les TDS au prisme de la stigmatisation et du déni de reconnaissance (Fraser, 2011) dont elles font l'objet. Pour ce faire, des témoignages de TDS produits durant la pandémie et diffusés dans les médias traditionnels au Québec et en France, dont la presse écrite francophone, ainsi que sur les réseaux sociaux et YouTube ont été recueillis. À cela s'ajoutent des prises de parole d'organismes par et pour les TDS diffusés durant la même période, ainsi que des rapports de recherche concernant les effets de la pandémie sur les populations stigmatisées. Prenant appui sur les concepts de stigmatisation et de déni de reconnaissance, l'analyse identifie deux grands thèmes : 1) celui de la stigmatisation des TDS révélée et amplifiée par la pandémie et 2) celui des difficultés financières importantes mais néanmoins largement ignorées qu'ont vécues les TDS pendant la pandémie. Les résultats de l'analyse montrent que la surveillance et la répression policières se sont accentuées durant la pandémie et qu'elles ont particulièrement affectées les TDS qui pouvaient difficilement respecter les mesures sanitaires dans l'exercice de leur activité. Cela leur a causé beaucoup de stress, en plus de renforcer l'isolement social vécu par certaines et de rendre leurs conditions de travail moins sécuritaires. Puisqu'il leur était plus difficile voire impossible de continuer à travailler au plus fort de la crise sanitaire, les TDS ont également souffert financièrement et elles n'ont pas eu droit aux aides financières d'urgence offertes par les États français, québécois et canadien. L'oubli ou l'exclusion des TDS dans les programmes d'aide durant la pandémie atteste du déni de reconnaissance dont elles font l'objet, elles qui ne sont pas conçues comme des travailleuses ordinaires, ni même comme des « vies pleurables » (Butler, 2009). / This thesis focuses on the effects of the COVID-19 health crisis and the sanitary measures taken by the French and Quebec governments on sex workers (SW). Although the pro-sex feminist literature has already well documented the issues related to the stigmatization and criminalization of SW, these issues have still been little studied in the context of the COVID-19 pandemic. The aim of this research is therefore to examine the effects of the pandemic on SW through the lens of their stigmatization and denial of recognition (Fraser, 2011). To do this, testimonials from SW produced during the pandemic and broadcasted in traditional media in Quebec and France, including the French-speaking print media, as well as on social media and YouTube, were collected. In addition, statements from SW organizations broadcasted during the same period, as well as research reports concerning the effects of the pandemic on stigmatized populations were also collected. Drawing upon the concepts of stigmatization and denial of recognition, the analysis identifies two main themes: 1) the stigmatization of SW revealed and amplified by the pandemic, and 2) the significant but nevertheless largely ignored financial difficulties that the SW experienced during the pandemic. The results of the analysis show that police surveillance and repression have increased during the pandemic and that they have particularly affected SW who could hardly comply with health measures while working. This caused them a lot of stress, in addition to reinforcing the social isolation experienced by some and making their working conditions less safe. Since it was more difficult or even impossible for them to work at the height of the COVID-19 crisis, SW suffered financially but were not eligible to the emergency financial aid offered by the French, Quebec and Canadian states. The omission or exclusion of SW from the aid programs during the pandemic shows the denial of recognition of SW who are not seen as ordinary workers, nor even as "grievable lives" (Butler, 2009)
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"Die Spinne" : die Erfahrungsgeschichte weiblicher Industriearbeit im VEB Leipziger Baumwollspinnerei /Schüle, Annegret, January 2001 (has links)
Diss.--Jena, 2000. / Bibliogr. p. 351-394.
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Baum, Mond und leerer Spiegel : Identitätskonstruktionen in zeitgenössischen britischen Arbeiterromanen von Frauen /Hussmann, Gabriele. January 2007 (has links)
Dissertation--Technische Universität Dresden, 2006. / Contient des textes en anglais. Bibliogr. p. 215-224.
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Peu nombreuses mais essentielles : les travailleuses salariées de la station de quarantaine de la Grosse-Île, 1891-1924 /Vallée, Marie-Hélène. January 2006 (has links) (PDF)
Thèse (Ph. D.)--Université Laval, 2006. / Bibliogr.: f. 289-313. Publié aussi en version électronique dans la Collection Mémoires et thèses électroniques.
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Contraintes psychosociales au travail et consommation de psychotropes /Gaudet, Michel. January 1997 (has links)
Thèse (M.Sc.) -- Université Laval, 1997. / Bibliogr.: f. 51-53. Publ. aussi en version électronique.
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Industriearbeit, Krankheit und Geschlecht : zu den sozialen Kosten der Industrialisierung : Bremer Textilarbeiterinnen 1870-1914 /Ellerkamp, Marlene. January 1900 (has links)
Diss.--Bremen Universität, 1989. Titre de soutenance : Textilarbeiterinnen im Kaiserreich: Krankheit, Lebensweise, soziale Sicherung und Protest in Bremen.
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Les violences sexuelles comme objet d'expertise : le travail judiciaire et psychosocial devant les juridictions québécoisesGicquiaud, Elisa 06 February 2025 (has links)
Les connaissances et les pratiques recueillies par les organismes communautaires qui soutiennent les personnes ayant vécu des violences sexuelles sont de plus en plus intégrées aux activités des juridictions québécoises, malgré leur extériorité apparente vis-à-vis du domaine du droit. L 'inclusion récente des intervenantes psychosociales dans la Loi visant la création d'un tribunal spécialisé en matière de violence sexuelle et de violence conjugale (RLRQ, c. T-15.2) semble signaler une reconnaissance accrue à leur égard. Ce mémoire explore les enjeux de la rencontre entre les intervenantes psychosociales et les professionnel·les du droit réunis autour d'affaires où figurent des allégations de violence sexuelle. Il s'agit d'observer comment les expertises psychosociales et juridiques coexistent, et dans quelle mesure la jonction de ces différentes approches est susceptible de faire évoluer le milieu judiciaire. L'analyse d'entretiens semi-directifs menés auprès de 18 professionnel·les du droit (avocat·es, conseillères juridiques et procureur·es) et 9 intervenantes psychosociales ayant travaillé auprès de personnes ayant vécu des violences sexuelles révèle que la présence de ces dernières permet d'externaliser des tâches liées à l'accompagnement judiciaire qui, autrement, relèveraient de la responsabilité des professionnel·les du droit. L'importance de la relation entre les participant·es et la plaignante est soulignée lors de la collecte des éléments nécessaires à leurs pratiques professionnelles respectives. Lorsque les dossiers judiciaires impliquent des allégations de violence sexuelle, les exigences interactionnelles semblent constituer une charge supplémentaire pour les professionnel·les du droit, au contraire des intervenantes psychosociales. Les juristes ont alors la possibilité de déléguer certaines de ces tâches aux intervenantes psychosociales qui gravitent autour des palais de justice. Cette action permet la reproduction de la hiérarchie qui organise les relations professionnelles au tribunal, d'une part entre celles et ceux qui pratiquent le droit et les autres, mais également entre les groupes d'intervenantes en fonction des services qu'elles peuvent offrir. Si certain·es professionnel·les du droit sont réticent·es à intégrer les pratiques psychosociales, un laissez-faire prévaut dès lors qu'elles sont perçues comme non-menaçantes pour les prévenus et la pratique de la défense. À l'échelle de l'institution judiciaire, l'incorporation des intervenantes se fait par la réaffirmation des frontières professionnelles vis-à-vis du droit. Alors que les règles de droit restent pour la plupart inchangées, le travail des intervenantes psychosociales peut être considéré comme contribuant à renforcer la légitimité de l'institution judiciaire dans le traitement des cas de violence sexuelle. / The knowledge and practices gathered by community organizations supporting people who have experienced sexual violence are increasingly being integrated into the activities of Québec courts, despite their apparent exteriority to the field of law. The recent inclusion of psychosocial workers in the Act to create a court specialized in sexual violence and domestic violence (CQLR c T-15.2) of 2021 suggests the increased recognition they receive. This thesis explores the issues arising from the encounter between psychosocial workers and legal professionals gathered around cases involving allegations of sexual violence. The aim is to observe how psychosocial and legal expertise coexist, and to what extent the contact between these approaches is likely to influence the judicial environment. Analysis of semi-structured interviews with 18 legal professionals (lawyers, legal advisors, and public prosecutors) and 9 psychosocial workers who have worked with people who have experienced sexual violence reveals that the presence of the latter makes it possible to externalize tasks related to legal support, which would otherwise be the responsibility of legal professionals. The importance of the relationship between the participants and the complainant is emphasized when gathering the necessary elements for their own professional practices. When court cases involve allegations of sexual violence, the interactional imperatives seem to be an additional burden for legal professionals, unlike psychosocial workers. Legal professionals are then able to delegate some of these tasks to psychosocial workers who gravitate around courthouses. This action makes it possible to reproduce the hierarchy that organizes professional relations in the courtroom, on the one hand between those who practice law and those who don't, but also between groups of psychosocial workers according to the services they can offer. While some legal professionals are reluctant to integrate psychosocial practices, a laissez-faire attitude prevails as long as they are perceived as non-threatening to defendants and the practice of defense. At the level of the judicial institution, the incorporation of psychosocial workers is achieved by reaffirming professional boundaries towards the law. While the rules of law remain, for the most part, unchanged, the work of psychosocial workers can be seen as helping to reinforce the legitimacy of the judicial institution in dealing with cases of sexual violence.
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Prévalence et facteurs associés aux hépatites B et C chez les travailleuses du sexe de Bamako, MaliMvumbi, Gisele Mukeya 13 December 2023 (has links)
Les hépatites B (VHB) et C (VHC) constituent un problème de santé publique, particulièrement dans les pays à faible ou moyen revenu. Au Mali, Afrique de l'Ouest, peu de données existent sur la prévalence de la co-infection par ces hépatites et le Virus de l'Immunodéficience Humaine (VIH) chez les groupes vulnérables comme les travailleuses du sexe (TS). Cette étude transversale conduite à Bamako (ville principale du Mali), chez 400 TS (200 VIH+ et 200 VIH-) avait pour but de déterminer la prévalence et les facteurs associés à l'antigène HBs d'une part et aux anticorps anti-VHC d'autre part. Un questionnaire a été administré, des prélèvements sanguins et un auto-prélèvement vaginal ont été effectués. Les prévalences ont été présentées selon le statut par rapport au VIH avec un intervalle de confiance (IC) à 95% et la régression logistique multivariée a été utilisée pour les mesures d'association. La prévalence de l'antigène HBs et des anticorps anti-VHC étaient, respectivement, de 6,5% et 4,5 % chez les VIH+ et 8,5 % et 6,0 % chez les VIH-. En analyses multivariées, l'âge au premier rapport sexuel payant (moins de 18 ans) et la présence d'anti-VHC étaient fortement associés au VHB (Rapport de Cote ajusté [RCa]; Intervalle de Confiance à 95% [IC95%] : 3,3; 1,24, 8,63) et 3,7; 1,21, 11,54, respectivement). Seul, l'antigène HBs était associé aux anticorps anti-VHC (RCa; IC95% : 4,1; 1,29, 12,56). La fréquence relativement élevée des hépatites virales B et C chez les TS vivant ou non avec le VIH au Mali nécessiterait un programme de prévention mieux adapté à leur condition de vie et de travail. / Hepatitis B (HBV) and C (HCV) are a public health problem, particularly in low- and middle-income countries. In Mali, West Africa, few data exist on the prevalence of co-infection with these hepatitis and Human Immunodeficiency Virus (HIV) among vulnerable groups such as female sex workers (FSWs). This cross-sectional study conducted in Bamako (main city of Mali), among 400 FSWs (200 HIV+ and 200 HIV-) aimed to determine the prevalence and factors associated with HBs antigen on one hand and HCV antibodies on the other. A questionnaire was administered, blood samples were taken and a vaginal self-sample was collected. Prevalences are presented according to HIV status with 95% Confidence Intervals (CI) and multivariate logistic regression was used for measures of association. The prevalence of HBsAg and HCV antibodies were 6.5% and 4.5% in HIV+ and 8.5% and 6.0% in HIV- women, respectively. In multivariate analyses, age at first sexual intercourse (less than 18 years) and presence of anti-HCV were strongly associated with HBV (adjusted Odds Ratio [aOR]; 95%[CI]: 3.3; 1.24, 8.63 and 3.7; 1.21, 11.54, respectively). Only HBsAg was associated with HCV antibodies (aOR; 95%CI: 4.1; 1.29, 12.56). The relatively high frequency of viral hepatitis B and C among FSWs living with or without HIV in Mali would require a targeted prevention programme.
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Étude de faisabilité du traitement précoce comme méthode de prévention du VIH chez les travailleuses du sexe à Cotonou, au BéninDiallo, Mamadou Aliou 11 April 2024 (has links)
Les travailleuses du sexe (TS) restent fortement affectées par l’infection au VIH et jouent un rôle clé dans sa propagation dans la population générale. Cependant la couverture antirétrovirale chez ces dernières reste toujours faible en Afrique en générale, et de l’Ouest et du centre en particulier. En lien avec les recommandations de l’ONUSIDA qui étendent l’accès au traitement antirétroviral à toute personne séropositive indépendamment de son taux de CD4, nous avons lancé ce projet de démonstration du traitement précoce du VIH comme méthode de prévention afin d’évaluer l’acceptabilité, la faisabilité, et l’utilité d’ajouter cette stratégie au paquet actuel de traitement et de prévention chez les TS au Bénin. Tout en évaluant l’acceptabilité et la faisabilité, nous avons mis l’accent sur la réponse au traitement notamment l’adhérence et la suppression de la charge virale, la restauration des taux de CD4 et l’émergence de résistance au traitement. L’étude a inclus 107 TS qui ont été suivies entre 12 et 24 mois. À la fin du suivi, seules 64 sont restées dans l’étude, donnant un taux de rétention de 59,8%. La restauration des taux de CD4 au-delà de 500 cells/μl a été atteinte chez plus de 70% des participantes, tandis que la moyenne géométrique de la charge virale est passée de 12372 copies/ml au début de l’étude à 105,1 copies/ml (p<0,0001) à 12 mois; 95,1 copies/ml (p<0,0001) à 24 mois et à 187,3 copies/ml à l’ensemble des visites finales (p=0,003). De plus, la charge virale supprimée (<1000 copies/ml) ou indétectable (<40 copies/ml) était fortement associée à l’augmentation du niveau d’adhésion thérapeutique auto-rapportée (p de tendance =0,048 et 0,004 respectivement). Plusieurs participantes ont montré des génotypes de résistance au début de l’étude, cependant aucune de ces dernières ayanteu une visite finale n’a montré de résistance clinique lors de cette dernière visite. Compte tenu de la mobilité de ce groupe, des efforts sur la rétention et l’adhérence au traitement, et une collaboration régionale entre les cliniques ISTs dédiées aux TS pourraient faciliter l’implantation et l’impact positif du traitement précoce comme méthode de prévention dans la sous-région. / Female sex workers (FSW) remain highly affected by HIV and play a critical roleinits spread towards the general population, however, antiretroviral treatment coverage in this group still remains very low in west and central African countries. In line with the UNAIDS recommendations extending antiretroviral treatment to all HIV-infected individuals regardless their CD4 count, we carried out this demonstration project of early HIV treatment as prevention (TasP) aiming to assess the acceptability, feasibility, and utility of adding this strategy to the current prevention and treatment packageamong FSW in Cotonou, Benin. While assessing both acceptability and feasibility, we focused on treatment response including CD4 count restoration, adherence to treatment and viral suppression, and emergence of drug resistance. The study included 107 FSW who were followed between 12 and 24 months. At the end of the follow-up 64 remained in the study giving a retention rate of 59.8%. CD4 count recovery above 500 cells/μl was reached in more than 70% of participants. The geometric mean viral load decreased from 12372 copies/ml at baseline, to 105.1 copies/ml (<.0001) at 12 months; 95.1 copies/ml (p <.0001) at 24 months and 187.3 copies/ml at all final visits (p = 0.003). In addition, both suppressed (<1000 copies/ml) and undetectable (<40 copies/ml) viral loads were strongly associated with increasing levels of adherence to treatment (p for trend =0.048 and 0.004 respectively). Resistance mutations were detected in several participants at baseline, but none of those who had a final visit showed clinical resistance. Given the mobility in this group of population, efforts on retention and adherence to treatment, and regional collaboration between FSW-dedicated clinics could facilitate the implementation and positive impact of early treatment as prevention in this population.
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