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Projet de vigie rehaussée de l'hépatite B au Québec

Porgo, Teegwendé Valérie 20 April 2018 (has links)
En 2005, le comité sur l’immunisation du Québec recommandait de passer du programme de vaccination contre l’hépatite B (HB) des préadolescents à celui des nourrissons lorsqu’un vaccin hexavalent serait disponible. Pour déterminer l’impact d’un tel changement, un bilan épidémiologique de l’HB a été réalisé à partir des cas déclarés au fichier des maladies à déclarations obligatoires. De 2005 à 2009, une vaccination des nourrissons aurait potentiellement pu prévenir 0,0335 (IC 95%: 0.0334-0.0336) cas aigus par 100 000 personnes-années chez les moins de 20 ans. De 2010 à 2013, aucun cas aigu n’a été rapporté dans ce groupe d’âge. Le programme de vaccination actuel des préadolescents est hautement efficace. En 2014, changer ce programme pour une vaccination des nourrissons avec un vaccin hexavalent n’apporterait pas de bénéfice épidémiologique mais permettrait d’augmenter la couverture vaccinale de 8-12%. / In 2005, the Quebec immunization committee recommended to replace the hepatitis B (HB) school-based immunization program by an infant program when an hexavalent vaccine would become available. To estimate the potential impact of such a program change, we summarized the HB epidemiology based on reported cases retrieved from the provincial registry of notifiable diseases. Between 2005 and 2009, 0.0335 (95% CI: 0.0334-0.0336) acute case per 100,000 person-years reported in 0-19 year-olds could have potentially been prevented by an infant immunization program. Between 2010 and 2013, no acute cases were reported in this age group. The current vaccination program is highly effective. In 2014, changing for an infant vaccination program using the hexavalent vaccine can hardly bring additional epidemiological benefit but may increase the vaccine coverage rate by 8-12%.
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Production d'anticorps monoclonaux pour le dépistage de l'antigène HBsAg associé au virus de l'hépatite B

Boulet, André 08 February 2019 (has links)
Des anticorps monoclonaux, dirigés contre l'antigène de surface du virus de l'hépatite B (HBsAg) ont été obtenus par fusion de lymphocytes de souris immunisées avec de l'antigène purifié par chromatographie d'affinité et des cellules de myélome de souris (Sp2/0) maintenues en culture exponentielle. Le dépistage des clones sécréteurs a été effectué par RIA en phase liquide. Pour chaque fusion, nous avons obtenu entre 10 et 20% de clones sécréteurs. La sélection a été effectuée d'après le titre de l'anticorps sécrété dans le surnageant de culture. Les hydrides intéressants ont été clonés par dilution limite. Parmi le souches obtenues, deux ont été sélectionnées comme composantes d'une trousse de dépistage. Ces anticorps sont dirigés contre le déterminant commun "a" de l'HBsAg. Le seuil de sensibilité de cette trousse, indépendamment du sous- type ("ad" et "ay") est de 0.06 ng./ml de sérum. Tous les échantillons trouvés positifs lors de 1'utilisation de réactifs commerciaux l'ont été aussi avec cette trousse. Par contre, nous avons trouvé parmi 1114 donneurs de sang un faux positif dû à la présence d'anticorps anti-immunoglobulines de souris. Cette reaction a pu être neutralisée par addition d'immunoglobulines de souris a l'anticorps révélateur. Des essais complémentaires sur les échantillons du "College of American Pathologist", démontrent que la trousse, mise au point avec des anticorps monoclonaux, est supérieure à celles utilisées dans les laboratoires inscrits à ce service. / Montréal Trigonix inc. 2018
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Etude de l'effet de l'interaction entre la nucléoporine 153 et la capside du virus de l'hépatite B

Foss, Michael 18 December 2009 (has links)
Environ 350 millions de personnes dans le monde sont infectées par le virus de l’hépatite B (VHB), dont un million meurent chaque année des conséquences d’une infection VHB chronique. Cette chronicité implique la capacité du VHB de moduler l’apoptose. Dans le cadre du projet présent, l’influence de la capside du VHB sur l’apoptose au niveau du clivage de la Nucléoporine153 (Nup153) par la caspase 3 et l’influence de la protéine core en général sur l’apoptose ont été analysées. Pour répondre à l’effet de la capside sur le clivage de la Nup153 par la caspase 3, des systèmes analytiques in vitro et in vivo ont pu être mis en place. Après avoir purifié la GST-Nup153, l’impact de la capside du VHB sur son clivage a été analysé. Il a été constaté que la capside du VHB n’avait pas d’influence sur le clivage de la Nup153. Ce résultat a été confirmé par le système in vivo qui consistait en des cellules HeLa perméabilisées par la digitonine dans lesquelles la Nup153 a été également clivée en présence ou absence de la capside du VHB. Pour accrocher la capside à la Nup153, des essais de transport ont été réalisés avant le clivage par la caspase 3 recombinante. Dans la deuxième partie, l’influence de la protéine core du VHB sur l’apoptose induite par le récepteur Fas a été étudiée. Des cellules HepG2 ont été transfectées soit avec un vecteur codant pour la construction GFP-core, soit avec le vecteur de contrôle codant pour la GFP sans fusion. Après induction de l’apoptose par le ligand IgFasL, l’apoptose a été mesurée soit par l’analyse de l’activité de la caspase 3, soit par réduction du signal GFP. Les cellules contenant la GFP-core démontraient un taux apoptotique fortement réduit, comparées aux cellules transfectées avec la GFP, indiquant une fonction anti-apoptotique de la protéine core du VHB. / Around 350 million people worlwide are infected with the hepatitis B virus (HBV) and one million of people per year die because of the consequences of a chronic HBV-infection. The capacity of the HBV to become chronic suggests that this virus is capable to modulate the apoptosis. In the context of the present project, the influence of the HBV-capsid on the cleavage of the Nucleoporin153 (Nup153) by the caspase 3 and the influence of the HBV-core protein on the apoptosis in general have been investigated. In order to address the effect of the capsid on the cleavage of the Nup153 by the caspase 3, in vitro and an in vivo analytical systems have been developed. After the purification of the GST-Nup153, the impact of the HBV-capsid on his cleavage has been analyzed. It has been observed, that the HBV-capsid has no effect on the cleavage of the Nup153. This result has been confirmed by the in vivo system which has been represented by digitonin-permeabilized HeLa cells, in which the Nup153 has also been cleaved in presence or absence of the HBV-capsid. In order to attach the capsids on the Nup153, nuclear transport assays have been realized before the cleavage with the recombinant caspase 3. In the second part, the influence of the hepatitis core protein on the Fas induced apoptosis has been investigated. HepG2 cells have been transfected either with a vector coding for the construction GFP-core or with a control vector coding for the GFP-protein without any fusion. After induction of apoptosis by the ligand IgFasL, the apoptosis has been measured by the analysis of the caspase 3 activity and by the decreasing of the GFP signal. Cells containing GFP-core showed a strong decreasing regarding the amount of apoptosis compared to the cells transfected with GFP. This result suggests an anti-apoptotic function of the core protein of the HBV.
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Nouveau rôle oncogénique pour les virus de l’hépatite B et C : l’altération des événements d’épissage alternatif

Tremblay, Marie-Pier January 2016 (has links)
Le carcinome hépatocellulaire figure parmi les cancers les plus meurtriers et, encore en 2015, les infections aux virus de l'hépatite B et C sont en tête de lice des principales causes d'apparition de cancer du foie. En effet, 80% des cas de carcinomes hépatocellulaires sont attribuables à une infection virale par un de ces deux agents pathogènes. D'un point de vue épidémiologique, le carcinome hépatocellulaire n'est pas celui qui frappe le plus d'individus en Amérique du Nord. En effet, seulement une personne sur 264 sera affectée par ce cancer. Toutefois, il est important de l'étudier en raison de son faible taux de survie, ce qui le classe en cinquième place des cancers les plus meurtriers. Dernièrement, les recherches font mention des modifications dans l'épissage alternatif comme mécanisme d’apparition de plusieurs types de cancer, notamment les cancers du sein, de l'ovaire et de la prostate. C'est pour cette raison que nous avons investigué l'implication des virus de l'hépatite B et C dans l'épissage alternatif de gènes cellulaires, afin de mettre à jour un nouveau mécanisme de carcinogénèse utilisé par les oncovirus pour transformer leurs cellules hôtes. L'étude présentée dans ce mémoire rapporte des changements dans l'épissage alternatif de plusieurs gènes cellulaires, lorsque l’on évalue les patrons d’épissage alternatif des transcrits provenant d’analyse de séquençage d’ARN à haut débit de tumeurs du foie comparativement à des tissus hépatiques sains. Ces analyses ont permis de déterminer certains changements attribuables à la présence de chacun des deux virus hépatotropiques au niveau de l’épissage alternatif, et d’identifier certains changements qui pourraient impliquer la transformation du tissu sain en tissu cancéreux. Il serait intéressant de faire une validation des effets directs d’une protéine virale du virus de l’hépatite B, la protéine trans-activatrice HBx, et de vérifier si la présence de HBx en cellule serait responsable de changements au niveau de l’épissage alternatif de gènes impliqués dans le processus carcinogénique.
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Caractérisation de produits d'immunothérapie ciblant l’infection chronique par le virus de l’hépatite B / Characterization of adenovirus based Hepatitis B immunotherapeutic products and assessment of their ability to induce an immune response in mouse models

Boukhebza, Houda 04 February 2014 (has links)
L'infection chronique par le virus de l'hépatite B (VHB) touche 400 millions de personnes dans le monde et conduit à 1 million de décès par an des suites de complications hépatiques. Les traitements actuels permettent de freiner la progression de la maladie mais ne guérissent les patients que dans de très rares cas (3-5%). Le besoin médical pour de nouvelles thérapies est fort et les approches de type immunothérapie semblent aujourd'hui prometteuses dans cette pathologie où des corrélats immunitaires de résolution sont établis. Le but de cette thèse a été l'étude approfondie de candidats d'immunothérapie basés sur un vecteur adénovirus de sérotype 5 humain non réplicatif codant pour plusieurs antigènes du VHB. Des études in vitro et dans un modèle murin, ont montré la capacité : 1/ des antigènes du VHB codés par certains candidats a formé des VLP (microscopie électronique) 2/ des candidats à induire un recrutement de cellules immunitaires sur le site d'injection après administration par voie sous-cutanée. Des études in vivo utilisant un candidat prototype ont visé à caractériser les réponses immunitaires induites et à étudier l'impact de schémas d'immunisation atypiques, tels que ceux qui pourraient être utilisés en clinique. Elles ont montré la capacité du prototype, qu'il soit injecté une ou de multiples fois, à induire des réponses T CD8+ spécifiques du VHB, fortes, multispécifiques et maintenues dans le temps dans des modèles murins naïfs ou tolérants pour le VHB. Les administrations multiples n'ont pas conduit à une augmentation de la proportion de cellules T spécifiques du VHB exprimant des molécules d'inhibition, de type PD1 / Chronic infection with hepatitis B virus (HBV) affects 400 million people worldwide and leads to 1 million of deaths per year as a result of liver complications. Current treatments can slow the progression of the disease but cure patients in very rare cases (3-5%). The medical need for new therapies is obvious, strong and immunotherapy approaches appear promising in this disease, where immune correlates of resolution are established. The aim of this thesis was a comprehensive study of immunotherapeutic candidates, based on a non-replicating human adenovirus serotype 5 vector, encoding several antigens of HBV. Studies in vitro and in a mouse model, showed the ability of: 1 / HBV antigens encoded by some candidates to form VLPs (electron microscopy) 2 / candidates to induce recruitment of immune cells at the injection site after subcutaneous administration. In vivo studies using a prototype candidate aimed at characterizing the induced immune responses and to study the impact of atypical immunization schedules, which could be clinically used. They demonstrated the ability of the prototype, injected once or multiple times, to induce strong, multispecific and sustained over time HBV specific CD8 + T cells, in naive or tolerant to HBV mouse models. Multiple administrations do not increase the proportion of HBV specific T cells expressing inhibitory molecules, such as PD1
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Suivi prospectif d’une cohorte de femmes enceintes chroniquement infectées par le virus de l’hépatite B (VHB) et de leurs enfants en RDP Laos / Perinatal hepatitis B virus transmission in Lao PDR : a prospective cohort study

Latthaphasavang, Vatthanaphone 19 December 2018 (has links)
Contexte : Environ 257 millions de personnes dans le monde sont infectées de manière chronique par le virus de l'hépatite B (VHB). La transmission mère-enfant représente la majorité des nouveaux porteurs chroniques du VHB, en particulier en Asie. Le VHB peut être transmis in utero, lors de l'accouchement ou pendant la petite enfance voire plus tard. Environ 80 à 90% des nourrissons infectés à la naissance développent une infection chronique par le VHB avec le risque élevé de développer de graves complications, notamment une fibrose du foie, une cirrhose, un carcinome hépatocellulaire jusqu’à un décès lié au foie à l’âge adulte. Nous avons évalué la proportion des enfants immunisés avec succès dans deux grands hôpitaux de Vientiane, en République démocratique populaire lao, où l’immunoglobuline HB (HBIg) n’est pas disponible. Méthodes : Nous avons étudié une cohorte prospective de femmes enceintes infectées par le VHB et de leurs enfants jusqu'à six mois après la naissance de janvier 2015 à mars 2017. Tous les nourrissons ont reçu le vaccin anti-HB à la naissance et six, 10 et 14 semaines après la naissance. Le statut d’infection par le VHB chez l’enfant a été évalué à l’âge de 6 mois. Le séquençage du gène de surface du VHB a été effectué chez des couples mère-enfant infectés. Résultats : Sur 153 mères ayant été dépistées positives pour l'antigène de surface HB (AgHBs), 60 (39%) avaient l'antigène HBe (AgHBe) positif. Les femmes enceintes ayant AgHBe-positif étaient plus jeunes que les femmes ayant d’AgHBe négatif ((âge médian 26 versus 28 ans; p = 0,02). et avaient une charge virale du VHB significativement plus élevée à l'accouchement (médiane 8,0 versus 4,0 log10 UI / mL, p <0,001). Au total, 141 nouveau-nés, dont une paire de jumeaux, sont nés pendant l'étude. Parmi les 112 nouveau-nés pour lesquels l’information concernant le délai entre la naissance et l’heure d’administration du vaccin contre le VHB était disponible, 110 (98%) ont reçu le vaccin dans les 24 heures suivant la naissance. Le délai médian entre la naissance et l'administration du vaccin était de 6 heures (EI 3 à 13), avec 95 (72%) dans les 12 heures suivant la naissance. Un nouveau-né a reçu le vaccin 26 heures après la naissance car le vaccin n'était pas disponible dans la salle d'accouchement et un autre nouveau-né a reçu le vaccin 3 jours après la naissance car, en raison d'une détresse respiratoire sévère à la naissance, le vaccin a été considéré comme contre-indiqué. Parmi les 120 enfants évalués à l'âge de 6 mois, 5 (4%) étaient positifs pour AgHBs et présentaient une charge virale détectable pour le VHB par réaction en chaîne avec une polymérase. Tous sont nés de mères ayant l’AgHBe positif et une charge virale> 8,5 log10 UI / mL. Cependant, seulement quatre enfants (3,3%, IC à 95%, 0,5% à 7,0%) avaient une souche virale étroitement apparentée à celle de leur mère. Des mutations du gène de surface du VHB (G145G/R, G145G/A, M133T, M133I) ont été détectées chez 4 des 5 enfants infectés. Le taux d'anticorps anti-HBs était supérieur à 10 UI / L chez 105 nourrissons (88%) à l'âge de 6 mois. Conclusions : La transmission de la mère à l'enfant s'est produite moins souvent que ce que nous avions prévu en absence de l'utilisation de HBIg. L’ajout d’une prophylaxie par HBIg et / ou antivirale maternelle aurait pu prévenir certaines de ces infections. L'observation du taux d'anticorps anti-HBs non satisfait chez 9% des enfants non infectés à 6 mois souligne la nécessité d'améliorer les procédures d'immunisation universelles / Background: An estimated 257 million people are chronically infected with the hepatitis B virus (HBV) worldwide. Mother-to-child transmission accounts for the majority of new chronic HBV carriers, especially in Asia. HBV can be transmitted in utero, during delivery or during infancy and later. About 80–90% of infants infected at birth will develop a chronic HBV infection, and will have a high risk of developing serious complications including liver fibrosis, cirrhosis, hepatocellular carcinoma (HCC) and liver-related death during adult age. We aimed at assessing the percentage of infants successfully immunized in two major hospitals in Vientiane, Lao People's Democratic Republic (Lao PDR) where HB immune globulin (HBIg) is not available. Methods: We studied a prospective cohort of chronically HBV infected pregnant women and their infants until 6 months post-partum from January 2015 to March 2017. All infants received the HB vaccine at birth and 6, 10 and 14 weeks thereafter, and their HBV status was assessed at 6 months of age. HBV surface gene sequencing was performed in infected mother-infant pairs.Results: Of 153 mothers with HB surface antigen (HBsAg), 60 (39%) had detectable serum HBe antigen (HBeAg). HBeAg positive pregnant women were younger than those negative (median age 26 versus 28 years; p=0.02) and had a significantly higher HBV viral load at delivery (median 8.0 versus 4.0 log10 IU/mL, p <0.001). A total of 141 infants including a pair of twins were included in the study and information at the time of vaccine administration after birth was available for 112 newborns. Of these, 110 (98%) received the HepB-BD within 24 hours after birth. One newborn received the vaccine 26 hours after birth because the vaccine was not available at the delivery room, and another newborn 3 days after birth due to fetal distress, which was erroneously considered to be a vaccine contra-indication. Among the 120 infants assessed at 6 months of age, 5 (4%) were positive for HBsAg and had a detectable HBV viral load by polymerase chain reaction. All were born to mothers with HBeAg and a viral load >8.5 log10 IU/mL. However, only four (3.3%, 95% CI 0.5% to 7.0 %) had a virus strain closely related to their mother’s strain. HBV surface gene mutations were detected in 4 of the 5 infected infants (G145G/R, G145G/A, M133T, M133I). Anti-HBs antibody level was above 10 IU/L in 105 (88%) infants at 6 months of age. Conclusions: Mother-to-child transmission occurred less frequently than expected without the use of HBIg. Adding HBIg and/or maternal antiviral prophylaxis may have prevented some of these infections. The observation of unsatisfactory levels of anti-HBs antibodies in 9% of the uninfected infants at 6 months highlights the need for improvement of the universal immunization procedures
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Identification of PLK1 as a proviral factor for the hepatitis B virus replication : A possible target for antiviral and anticancerous drug development / Développement et utilisation d'ARN interférents dirigés contre PLK1 dans le cadre d'une infection chronique par le virus de l'hépatite B

Foca, Adrien 14 December 2018 (has links)
Dans les régions de fortes endémicités, 70-80% des carcinomes hépatocellulaires sont induits par le VHB. Bien qu’un vaccin prophylactique très efficace existe, il n’est d’aucune utilité pour les 250 millions de personnes chroniquement infectées. Les traitements actuels pour contrôler l'infection chronique par le VHB montrent des limites et le besoin de nouvelles thérapies se fait ressentir. La Polo-like kinase-1 (PLK1), qui joue un rôle essentiel dans la mitose et est surexprimée dans de nombreux cancers, représente une cible prometteuse. Outre son rôle lors de la division cellulaire, PLK1 est impliquée dans la régulation de l'expression des gènes en interphase. Il a été montré que la protéine X du VHB (HBx) active PLK1 dans des modèles de cellules murines. Cependant, il restait à déterminer si PLK1 jouait un rôle au niveau de la réplication du VHB dans des hépatocytes quiescents. Des études récentes ont mis en évidence un lien positif entre l'activation de PLK1 et la réplication du VHB. Le but de ce projet de thèse a été d'étudier le(s) mécanisme(s) par le(s)quel(s) PLK1 jouait un rôle positif sur la réplication virale, avec pour objectif futur d'explorer l’inhibition de PLK1 comme cible antivirale. L'interaction entre PLK1 et la réplication du VHB a d'abord été décrite à l'aide du modèle HepAD38. Dans ce contexte, l'ADN viral est intégré dans le génome hôte, sous le contrôle d'un système d'expression Tet-off. La transcription de l'ARN prégénomique (pgRNA), à la base de la réplication virale, est initiée par la suppression de tétracycline. Dans ce contexte, l'augmentation de l'expression de PLK1 est corrélée avec la régulation négative de deux protéines; SUZ12 et ZNF198, faisant partie de complexes de remodelage de la chromatine. L'inhibition de PLK1 bloque la réplication du VHB, en agissant au niveau de la transcription virale. D'autre part, dans les modèles de réplication du VHB qui miment au mieux une infection, comprenant les hépatocytes primaires humains (PHH) et les cellules non transformées/différenciées HepaRG (dHepaRG), où le VHB se réplique dans des cellules quiescentes, nous avons mis en évidence que: 1) L'inhibition pharmacologique de PLK1 bloque la réplication virale, semblablement en perturbant l’encapsidation du pgRNA via une interaction avec la protéine core du VHB (HBc). 2) Un knocking-down de PLK1 en utilisant des ARN interférents délivrés par nanoparticules lipidiques résulte en une forte baisse de la production de pgRNA et dans la sécrétion des antigènes HBeAg/HBsAg, sans impact sur la viabilité cellulaire. Ce projet a donc permis la preuve de concept que PLK1 pouvait être une cible thérapeutique afin de controler la réplication du VHB. De plus, grâce à la technologie de délivrance par nanoparticules lipidiques d’ARN interférents, nous avons pu cibler spécifiquement les hépatocytes, augmentant de ce fait la spécificité et l’efficacité de nos traitements. Un travail sur la compréhension précise des méchanismes cellulaires impliqués permettra de mieux cerner cette interaction hôte/virus afin de poursuivre le développement de stratégies antivirales innovantes portant sur l’inhibition de PLK1. De manière significative, l'inhibition de PLK1 est non toxique pour les cellules quiescentes par rapport à des cellules cancéreuses à fort taux réplicatif, ce qui fait de PLK1 une cible thérapeutique attrayante. Des inhibiteurs spécifiques sont déjà en essais cliniques pour certains cancers (e.g., Volasertib pour le traitement de la leucémie myéloïde aiguë) et pourraient servir de thérapie bimodale dans le cadre de patients infectés par le VHB, en inhibant la réplication virale, ainsi qu’en prévenant l'émergence de cellules néoplasiques. L'inhibition de la PLK1 est une approche antivirale innovante, qui, en combinaison avec les thérapies actuelles de type IFN-α ou analogues nucléotidiques offre de grandes promesses pour endiguer l'infection chronique par le VHB mais également prévenir les événements carcinogéniques / In highly HBV endemic regions, 70-80% of hepatocellular carcinoma cases are attributable to this virus. Despite the existence of an HBV vaccine, the World Health Organization estimates 240 million individuals are chronically infected with HBV worldwide. Current antiviral treatments to control chronic HBV infections, and consequently reduce the incidence of liver cancer, are ineffective. New and effective therapies are needed not only for fighting the virus but also to prevent HCC emergence or progression. The polo-like-kinase 1 (PLK1), which plays pivotal roles in mitosis and is over-expressed in many human cancers, represents a promising druggable target in oncology. Beside its role during cell division, PLK1 is also thought to be involved in gene expression regulation during interphase. It was shown that the X protein (HBx) could activate PLK1 in murine cell transformation models. Yet it remained to be determined whether PLK1 could also play a role for HBV replication in non-dividing hepatocytes. Our, and collaborators, recent studies have identified a positive link between PLK1 activation and HBV replication. The goal of this thesis project was to investigate the mechanism(s) by which PLK1 exerts a positive effect on HBV replication, with the future goal of exploring PLK1 as an antiviral target. The interplay between PLK1 and HBV replication was firstly described using the HepAD38 cellular model of HBV replication. In this context, the HBV DNA is stably integrated into the host genome, under control of a Tet-off expression system. Transcription of HBV pregenomic RNA (pgRNA), the template of viral replication, is initiated by tetracycline removal. It has been shown that in HBV-replicating HepAD38 cells, increased PLK1 expression correlates with down-regulation of two proteins that are components of chromatin modifying complexes; SUZ12 protein of the PRC2 complex, and ZNF198 of the LSD1-CoREST-HDAC1 complex. PLK1 inhibition was described to inhibit HBV replication by reducing viral transcription. How PLK1 regulates HBV transcription remains unknown. On the other hand, in HBV replication models that resemble physiologic HBV infection, comprised of Primary Human Hepatocytes (PHH) and non-transformed/differentiated HepaRG cells (dHepaRG), where HBV replicates in non-transformed and non-dividing cells, thus enabling the study of the inter-phasic role of PLK1, irrespective of its well-established cell division implication, we have demonstrated that: 1) A pharmacological inhibition of PLK1 suppressed HBV replication by a different mechanism, likely targeting the packaging of pgRNA by the HBV core antigen (HBc). 2) Knocking-down PLK1 using siRNA delivered by lipid nanoparticles (LNP siPLK1) results in a strong drop of HBV DNAs, RNAs and HBe/HBsAg secretion without affecting the cell viability. This thesis project brought the proof of concept that PLK1 could be a drug target in HBV infection. Furthermore, the use of LNP allowed us to improve the delivery of siPLK1 to hepatocytes. Significantly, PLK1 inhibition is not toxic to quiescent cells in comparison to fast growing cancer cells, rendering PLK1 an attractive therapy target. High level of viremia in chronic HBV patients is a risk factor for progression to liver cancer. PLK1 specific inhibitors are already in clinical trials for other types of cancer (e.g., acute myeloid leukaemia) and could serve as bimodal therapy in HBV infected patients, by inhibiting virus replication as well as preventing emergence and spreading of neoplastic cells. This project was part of a full-working group of experts and thus, has beneficiated of a strong support. The proximity of the oncology-specialized hospital, the Centre Léon Bérard provided us with fresh hepatic biopsy [etc...]
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De la détection de l'ADNccc par de nouvelles technologies à la preuve de concept de sa dégradation à visée thérapeutique dans des modèles d'infection par le virus de l'hépatite B / From the detection of cccDNA by new technologies to the proof concept of its therapeutic degradation in models of infection with the hepatitis B virus

Inchauspe, Aurore 19 October 2018 (has links)
L'infection par le virus de l'hépatite B est un problème de santé publique avec 250 millions de porteurs chroniques et cela malgré l'existence d'un vaccin préventif. Les traitements actuellement utilisés sont les analogues de nucléos(t)ide et/ou l'interféron a. Bien qu'ils permettent une diminution de la charge virale, ils ne permettent pas d'éradiquer la maladie du fait de la persistance de l'ADNccc, le minichromosome de l'hépatite B. Cet ADN sert de matrice à la transcription virale, et la présence d'une seule copie permet la réactivation de l'infection. En prenant en compte la longue demi-vie des hépatocytes et de la stabilité de l'ADNccc dans leur noyau, un modèle mathématique suggère que de nombreuses années de traitement seraient nécessaires pour éliminer complètement cet ADN du foie des patients infectés chroniquement. Les techniques utilisées en routine pour la quantification de l'ADNccc ne sont pas assez sensibles pour pouvoir détecter des faibles concentrations de cet ADN, notamment dans des biopsies de patients infectés chroniquement et traités à long terme. Il est nécessaire de développer de nouvelles stratégies permettant de cibler directement l'ADNccc afin d'éliminer le virus. Ainsi les travaux de cette thèse reposent sur le développement d'une nouvelle technologie : la Droplet Digital PCR (ddPCR) pour permettre la quantification de l'ADNccc dans les biopsies de patient. Cette technique permet un gain de 2 log au niveau de la sensibilité par rapport à la qPCR, technique utilisée actuellement en routine. Elle nous a ainsi permis de constater la présence de cet ADN chez des patients traités à long terme par des analogues de nucléos(t)ides et même en présence d'interféron. La présence d'ARNpg et les expériences de ChIP ont également confirmé que l'ADNccc était encore transcriptionnellement actif. Ces résultats confirment d'autant plus la nécessité d'élaborer de nouvelles thérapeutiques pour permettre l'inactivation voire l'élimination de l'ADNccc. L'une des stratégies envisagées est le système CRISPR/Cas 9. Ainsi le dernier axe de cette thèse a été de développer ce système dans des modèles d'infection du virus de l'hépatite B. Pour vérifier l'efficacité de ce système sur le VHB, nous avons testé 8 ARN guide différents incorporer via des ribonucléoprotéines dans des cellules HepG2-NTCP. Les résultats préliminaires ont ainsi démontré que ce système pouvait réduire le pool d'ADNccc dans ces cellules et ouvre des perspectives intéressantes pour le développement de nouveaux traitements / Hepatitis B virus {HBV) is a major health problem with 250 million chronic carriers, despite the existence of a preventive vaccine. Currently the treatments used are nucleos{t)ide analogues and / or interferon a. Although they efficiently reach a decrease of the viral load, they do not allow the eradication the disease due to the persistence of the cccDNA, the minichromosome of the hepatitis B. This DNA serves as a template for the viral transcription and only a single copy suffice for the infection rebound. However, the techniques used routinely for the quantification of the cccDNA are not sensitive enough to be able to detect low concentrations of this DNA, in particular in biopsies of patients chronically infected and long term treated. ln addition, it is necessary to develop new strategies to target the cccDNA in order to clear the infection. Thus, my thesis work is based on the development of a new technology: the Droplet Digital PCR {ddPCR) to allow the quantification of cccDNA in patient biopsies. This technique allows a gain of 2 log in sensitivity compared to the qPCR technique currently used in routine. lt allowed us to see the presence of this DNA in long-term treated patients even in the presence of interferon. The presence of pgRNA and ChlP experiments also confirmed that the cccDNA was still transcriptionally active.These results confirm the requirement to develop new therapeutics to allow the inactivation or even the elimination of the cccDNA. One of the strategies envisaged is the CRlSPR / Case 9 system. Thus, the following part of this thesis was to develop this system in hepatitis B virus infection models. To reduce off-target effect we tested 8 different guide RNAs incorporated via ribonucleoproteins into HepG2- NTCP cells. Preliminary results have shown that this system can reduce the pool of cccDNA in these cells and open up the possibilities to test this model on PHH and opens interesting perspectives for the development of new treatments
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Analyse du mécanisme d'entrée du virus de l'hépatite B : Identification d'un nouveau déterminant de l'infectivité

Lepère - Douard, Charlotte 02 December 2009 (has links) (PDF)
Le virus de l'hépatite B (VHB) est un agent pathogène humain, très contagieux, responsable de pathologies hépatiques telles que la cirrhose ou le carcinome hépatocellulaire. A l'heure actuelle, on estime que 2 milliards de personnes ont été infectées par ce virus dans le monde, parmi lesquelles on recense 350 millions de porteurs chroniques. Malgré l'existence d'un vaccin efficace, le nombre de personnes atteintes par la maladie reste élevé. Pour ces dernières, des traitements puissants existent consistant en l'utilisation d'interférons, efficaces dans 30 à 40% des cas, ou d'antiviraux dont l'inconvénient majeur est la sélection de virus résistants au traitement. Le mécanisme d'entrée du VHB dans les hépatocytes est encore inconnu. Dans ce contexte, l'objectif de ma thèse a été d'étudier ce mécanisme afin, notamment, de contribuer au développement de nouvelles thérapeutiques empêchant l'entrée virale. Une des approches utilisées pour étudier le processus d'entrée d'un virus consiste à étudier l'implication de ses protéines de surface dans ce phénomène. Ainsi, nous avons recherché la présence de motifs indispensables au processus d'infection dans ces protéines. Pour cela, nous y avons introduit des mutations puis nous avons analysé leur impact sur la capacité des virus à infecter des cellules saines. Cette stratégie nous a permis d'identifier, au sein de la grande protéine de surface du VHB, un nouveau déterminant de l'infectivité possiblement impliqué dans un processus de fusion permettant à l'enveloppe lipoprotéique virale de fusionner avec une membrane cellulaire afin qu'elle libère sa nucléocapside, contenant l'ADN viral, dans le cytoplasme de la cellule infectée.
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Identification d'espèces moléculaires de lysophosphatidylcholine présentant des activités adjuvantes en vue d'un développement clinique

Bach, Guillaume 22 October 2009 (has links) (PDF)
La découverte d'adjuvants de vaccination est en pleine expansion dans un contexte règlementaire de plus en plus strict. L'objectif de ce travail de thèse a été de proposer un adjuvant hautement caractérisé de la famille de la lysophosphatidylcholine (LPC) pour un développement clinique. Il avait été précédemment montré que la LPC d'oeuf de poule présentait des propriétés adjuvantes in vitro et in Vivo. Cependant, il s'agit d'un mélange hétérogène d'espèces moléculaires de LPC peu exploitable en clinique. Nous avons donc cherché à 1/ cribler in vitro 5 différentes espèces moléculaires de LPC ayant des activités adjuvantes, et 2/ évaluer chez la souris l'aptitude des molécules sélectionnées à induire des réponses humorales et cellulaires.Deux candidats, les LPC C16 :0 et C18 :0, induisent in vitro la maturation de cellules dendritiques humaines caractérisée par l'augmentation de l'expression des marqueurs de surface, la production de chimiokines pro-Th1 et l'engagement vers un profil Th1 de lymphocytes T CD4+. Chez la souris, l'injection i. v. des candidats induit une réponse inflammatoire transitoire et modérée au profil Th2 (IL-5, IL-6). De plus, ces espèces induisen une réponse humorale spécifique contre 3 antigènes viraux après injection s. c. ou i. m. (NS3du VHC, HBsAg du VHB et gp120 du VIH), proche de celle obtenue avec l'alun et à des doses faibles supposées non toxiques. Dans ces modèles, en revanche, les LPC individuelles ne semblent pas induire de réponses cellulaires spécifiques.L'ensemble de ces résultats ouvre d'intéressantes perspectives pour l'utilisation des LPC C16 :0 et C18 :0 en tant qu'adjuvants de vaccination de réponses immunitaires humorales.

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