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Évaluation de l'acuité visuelle chez la personne âgée atteinte de troubles de la cognition

Chriqui, Estefania 04 1900 (has links)
Objectif : L'évaluation de l'acuité visuelle (AV) chez la personne âgée atteinte de troubles cognitifs peut être limitée par le manque de collaboration ou les difficultés de communication du patient. Très peu d'études ont examiné l'AV chez les patients atteints de déficits sévères de la cognition. L’objectif de cette étude était d’évaluer l'AV chez la personne âgée vulnérable ayant des troubles cognitifs à l'aide d'échelles variées afin de vérifier leur capacité à répondre à ces échelles. Méthodes: Trois groupes de 30 sujets chacun ont été recrutés. Le premier groupe était constitué de sujets jeunes (Moy.±ET: 24.9±3.5ans) et le second, de sujets âgés (70.0±4.5ans), ne présentant aucun trouble de la cognition ou de la communication. Le troisième groupe, composé de sujets atteints de démence faible à sévère (85.6±6.9ans), a été recruté au sein des unités de soins de longue durée de l’Institut Universitaire de Gériatrie de Montréal. Le test du Mini-Mental State Examination (MMSE) a été réalisé pour chaque sujet afin de déterminer leur niveau cognitif. L’AV de chaque participant a été mesurée à l’aide de six échelles validées (Snellen, cartes de Teller, ETDRS-lettres,-chiffres,-Patty Pics,-E directionnel) et présentées selon un ordre aléatoire. Des tests non paramétriques ont été utilisés afin de comparer les scores d’AV entre les différentes échelles, après une correction de Bonferroni-Holm pour comparaisons multiples. Résultats: Le score moyen au MMSE chez les sujets atteints de démence était de 9.8±7.5, alors qu’il était de 17.8±3.7 et 5.2±4.6 respectivement, chez les sujets atteints de démence faible à modérée (MMSE supérieur ou égal à 13; n=11) et sévère (MMSE inférieur à 13; n=19). Tous les sujets des groupes 1 et 2 ont répondu à chacune des échelles. Une grande majorité de sujets avec démence ont répondu à toutes les échelles (n=19) alors qu’un seul sujet n’a répondu à aucune échelle d’AV. Au sein du groupe 3, les échelles d’AV fournissant les scores les plus faibles ont été les cartes de Teller (20/65) et les Patty Pics (20/62), quelque soit le niveau cognitif du sujet, alors que les meilleurs scores d’AV ont été obtenus avec les échelles de Snellen (20/35) et les lettres ETDRS (20/36). Une grande proportion de sujets avec démence sévère ont répondu aux cartes de Teller (n=18) mais le score d’AV obtenu était le plus faible (20/73). Au sein des trois groupes, l’échelle de lettres-ETDRS était la seule dont les scores d’AV ne différaient pas de ceux obtenus avec l’échelle de Snellen traditionnelle. Conclusions: L’acuité visuelle peut être mesurée chez la personne âgée atteinte de troubles cognitifs ou de la communication. Nos résultats indiquent que les échelles les plus universelles, utilisant des lettres comme optotypes, peuvent être utilisées avec de bons résultats chez les personnes âgées atteintes de démence sévère. Nos résultats suggèrent de plus que la mesure d’acuité visuelle doit être tentée chez toutes les personnes, peu importe leur niveau cognitif. / Purpose: The evaluation of visual acuity (VA) in cognitively impaired older individuals may be limited by a reduced ability to cooperate or communicate. To date, no study has been performed to guide the clinician as to which VA chart to use in older individuals with moderate to severe dementia. This is important knowing that dementia affects more than 30% of seniors above 85 yrs of age, many of whom will be affected by the most severe stages of the disease. The objective of this research was to assess VA in older institutionalized individuals with moderate to severe dementia, using various acuity charts, and to verify their ability to respond to each of these charts. Methods: Three groups of 30 subjects each were recruited. The first group consisted of young subjects (Avg ± SD: 24.9 ± 3.5 yrs) and the second one, older subjects (70.0 ± 4.5 yrs) with no history of cognitive or communication disorders. The third group (85.6 ± 6.9 yrs) included subjects with mild to severe dementia residing in long-term care units. The Mini Mental-State Examination (MMSE) was performed for each institutionalized subject to verify their cognitive level. The VA of each participant was measured using six validated VA charts (Snellen, Teller cards, ETDRS-letters, -numbers, -Patty Pics, -Tumbling E's) presented in random order. Non parametric tests were used to compare VA scores obtained between the various charts, after Bonferroni-Holm corrections for multiple comparisons Results: The average MMSE scores of subjects with dementia was 9.8 ± 7.5, while it was 17.8 ± 3.7 and 5.2 ± 4.6, for those with mild to moderate (MMSE ≥ 13; n=11) and severe (MMSE < 13; n= 19) dementia. All subjects in groups 1 and 2 responded to each of the charts. A large proportion of subjects with dementia responded to all charts (n= 19) while only one did not respond to any chart. In group 3, VA charts with the lowest scores were the Teller cards (20/65) and Patty Pics (20/62), regardless of the level of dementia, while the best VA scores were obtained with the Snellen (20/35) and ETDRS-letter (20/36) charts. More subjects with severe dementia responded to the Teller cards (n= 18) but the VA obtained was the lowest (20/73). Across all groups, the ETDRS-letter chart was the only one whose scores did not differ from those obtained with the standard Snellen chart. Time to read the letter charts was faster than for the other optotypes. Conclusions: Visual acuity can be measured, and should at least be attempted, in older cognitively impaired individuals having a reduced ability to communicate. Our results indicate that the most universal scales, using letters as optotypes, can be used with good results in people with more severe dementia. Testing requires, however, more time and encouragement in individuals with more severe cognitive deficits in order to obtain and maintain their collaboration.
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Effets chroniques des pesticides sur le système nerveux central : données épidémiologiques en milieu agricole / Chronic central nervous system effects of pesticides : epidemiological data in farmers

Blanc-Lapierre, Audrey 20 November 2012 (has links)
Compte-tenu de l’importance des populations exposées, les effets à long terme des pesticides sont un enjeu de santé publique majeur. Leur étude pose néanmoins des problèmes méthodologiques complexes. Notre objectif était de contribuer à la connaissance des effets chroniques des pesticides sur le système nerveux central en explorant par une approche épidémiologique innovante le rôle des insecticides organophosphorés dans l’apparition de troubles cognitifs. Nous avons développé et utilisé deux outils de mesure de l’exposition (une matrice culture-exposition : PESTIMAT, et des algorithmes basés sur des études de terrain : PESTEXPO) afin d’estimer l’exposition à 34 insecticides organophosphorés utilisés en vigne, en considérant pour chaque individu l’ensemble des tâches viticoles exposant aux pesticides (préparation, application, nettoyage, réentrée) réalisées au cours de sa vie. Ces outils ont été appliqués dans le cadre du premier suivi (2001-2003) de la cohorte PHYTONER constituée en 1997 par l’inclusion de 925 affiliés à la Mutualité Sociale Agricole de Gironde. L’exposition aux organophosphorés définie par des index cumulés à l’aide de nos deux outils était associée à une baisse des performances cognitives, de manière plus marquée pour les tests explorant la mémoire de travail visuelle et la vitesse de traitement de l’information. Les niveaux de risque variaient en fonction des organophosphorés et étaient plus marqués pour le mévinphos. Cette thèse a confirmé le risque de troubles cognitifs chez les utilisateurs professionnels de pesticides et pose la question d’une évolution ultérieure vers une démence. Elle a également démontré la faisabilité et la pertinence d’une approche s’attachant à établir des scores d’exposition à des matières actives pesticides spécifiques pour en analyser les effets de santé. / Given the number of exposed persons, long term effects of pesticides are a foremost Public Health concern. However their study raises complex methodological issues. Our objective was to contribute to the knowledge of the pesticide chronic effects on the central nervous system by exploring the role of organophosphate insecticides in occurence of cognitive disorders by an innovative epidemiological approach. Two exposure assessment tools were developed (a crop exposure matrix: PESTIMAT and algorithms based on field studies: PESTEXPO) to estimate the lifetime cumulated exposure to 34 organophosphate insecticides used in vineyards, taking into account pesticide exposure during tasks (mixing, spraying, cleaning, re-entry) performed by wine-growers. These tools were used in the framework of the first follow-up (2001-2003) of the PHYTONER cohort, initiated in 1997 by the enrollment of 925 workers affiliated to the farmer health insurance system in Gironde, France. Cumulative organophosphate exposure defined by an index using the two tools was associated with poor cognitive performances, particularly for tests exploring the visual working memory and the processing speed. Risk level varied depending on the organophosphate, and was more pronounced for mevinphos. This thesis supports the hypothesis that cognitive impairment may be associated with pesticide occupational use and raises the question of a further evolution towards dementia. It also demonstrated the feasibility and the relevance of an approach based on chemical specific exposure scores to analyze health effects.
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Les déterminants de la récupération chez des patients traumatisés crâniens / The recovery factors in patients with traumatic brain injuries

Castor, Naomie 08 December 2017 (has links)
Les pathologies neurologiques sont souvent considérées comme les plus graves et provoquent régulièrement des perturbations cognitives jugées irréversibles. Cependant, certaines affections comme le traumatisme cranio-cérébral et l’accident vasculaire cérébral disposent d’un potentiel de récupération. Ces deux pathologies restent distinctes sur l’étiologie et la population affectée mais sont communes au niveau de la prise en charge et des séquelles existantes. Les différentes recherches effectuées sur la récupération des troubles phasiques et la mise en évidence de facteurs pronostics dans les perturbations langagières, nous ont conduits à effectuer une recherche longitudinale sur les variables de la récupération dans les traumatismes cranio-cérébraux. Compte tenu du potentiel de récupération des accidents vasculaires cérébraux, nous avons effectué une recherche comparative entre les deux pathologies. L’analyse des liens entre les états dépressifs, les états anxieux, l’estime de soi, le coping, la résilience, les performances cognitives, les soins dispensés et l’anosognosie nous a permis d’appréhender les facteurs de récupération présents dans les deux affections. Les résultats de cette étude révèlent des performances cognitives similaires entre les sujets cérébro-lésés ainsi que la possibilité d’une récupération pour chacune des pathologiques. Nos résultats ont également montré une récupération identique, indiquant ainsi que quelle que soit la pathologie, nos sujets récupèrent de la même manière. / Neurological pathologies are frequently considered as serious and generate cognitive disabilities irreversible. However some diseases as traumatic brain injury and stroke have a recovery potential. These pathologies are different concerning etiology and people who are suffer but similar about medical care and sequelae. The different researches related to the recovery of language disorders and prognostic variables exposure, led us to realize a longitudinal study on recovery variables on traumatic brain injury. Considering the potential recovery of stroke, we have effected a comparative research between both pathologies. Correlational analyses between depression, anxiety, self-esteem, resilience, coping, abilities cognitive, medical care and anosognosia have exposed the determinants of recovery in traumatic brain injury and stroke. The results of this study show identical cognitive performances between patients and also a recovery for both disease. Recovery was similar for patients, which means regardless pathologies, patients recover in same way.
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Imagerie par résonance magnétique spectroscopique et exploration neurochimique de régions cérébrales d'individus atteints d'un trouble léger de la cognition.

Drolet, Valérie 12 1900 (has links)
Introduction : Les individus présentant des troubles cognitifs légers ou Mild Cognitive Impairment (MCI) sont plus à risque de développer une maladie d’Alzheimer (MA) que le reste de la population âgée. Objectif : Cette étude repose sur le recours à un devis de type étude de cas multiples dont l’objectif est de contribuer à l’identification d’indices biologiques en quantifiant, à l’aide de la résonance magnétique spectroscopique (MRS), des changements métaboliques précoces chez les individus avec MCI, susceptibles d’évoluer vers la MA. Méthodologie : Huit individus MCI sont comparés à huit individus âgés normaux. Chaque participant est soumis à un examen MRS. Résultats : Parmi les huit participants MCI recrutés, l’un d’entre eux présente désormais un profil cognitif concordant avec une MA. L’analyse spectrale des métabolites de cet individu montre des ratios de glutamate plus élevés au niveau du cortex préfrontal gauche et de la régioncingulaire postérieure gauche. Bien qu’une diminution de NAA/Cr soit fréquemment observée chez la population MCI en voie d’évoluer vers la démence, les résultats obtenus ne démontrent rien en ce sens. Discussion/Conclusion : Le rôle du glutamate dans les processus neurodégénératifs est encore mal établi. L’augmentation de glutamate observée est contraire à la diminution habituellement observée au cours de la MA. Ces résultats sont toutefois explicables par l’existence possible d’excitotoxicité précoce chez les MCI en voie de d’évoluervers la démence. Cela pourrait aussi illustrer des mécanismes de compensation présents avant qu’un déclin cognitif ne soit objectivable. / Background: Mild cognitive impairment (MCI) characterizes individuals who present some cognitive impairment without criteria for dementia. Known as a highly plausible transitional stage between normal aging and Alzheimer’s disease (AD), the majority of individuals with MCI will eventually evolve to AD. Objective: The general aim of this multiple-cases study is to explore the contribution of magnetic resonance spectroscopy (MRS) to the neurochemical identification individuals with MCI in the process of evolving toward an AD. Methodology: Eight individuals were compared to eight age and education matched-controls. For each participant, MRS measures for XX neurometabolites were taken from the left prefrontal and left posterior cingulate gyrus. Results: Among all the MCI participants, one of them converted to AD during the time of the study. The spectral analysis of this participant showed higher glutamate/glutamine ratios in both regions. Although a reduction of Naa/Cr is often/generally observed among the MCI population moving/headed toward dementia, the obtained/experimental results show/demonstrate nothing in this sense. Discussion/Conclusion: The role of glutamate in pathological processes is not well-known. These results suggest the probable existence of excitotoxicity mechanisms in MCI subjects who will convert to AD, a mechanism that could express the presence of some compensatory processes. While reporting the challenge of MRS measures in this population, this study provide indications of its potential for the early detection of AD in a MCI population.
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Évaluation de l'acuité visuelle chez la personne âgée atteinte de troubles de la cognition

Chriqui, Estefania 04 1900 (has links)
Objectif : L'évaluation de l'acuité visuelle (AV) chez la personne âgée atteinte de troubles cognitifs peut être limitée par le manque de collaboration ou les difficultés de communication du patient. Très peu d'études ont examiné l'AV chez les patients atteints de déficits sévères de la cognition. L’objectif de cette étude était d’évaluer l'AV chez la personne âgée vulnérable ayant des troubles cognitifs à l'aide d'échelles variées afin de vérifier leur capacité à répondre à ces échelles. Méthodes: Trois groupes de 30 sujets chacun ont été recrutés. Le premier groupe était constitué de sujets jeunes (Moy.±ET: 24.9±3.5ans) et le second, de sujets âgés (70.0±4.5ans), ne présentant aucun trouble de la cognition ou de la communication. Le troisième groupe, composé de sujets atteints de démence faible à sévère (85.6±6.9ans), a été recruté au sein des unités de soins de longue durée de l’Institut Universitaire de Gériatrie de Montréal. Le test du Mini-Mental State Examination (MMSE) a été réalisé pour chaque sujet afin de déterminer leur niveau cognitif. L’AV de chaque participant a été mesurée à l’aide de six échelles validées (Snellen, cartes de Teller, ETDRS-lettres,-chiffres,-Patty Pics,-E directionnel) et présentées selon un ordre aléatoire. Des tests non paramétriques ont été utilisés afin de comparer les scores d’AV entre les différentes échelles, après une correction de Bonferroni-Holm pour comparaisons multiples. Résultats: Le score moyen au MMSE chez les sujets atteints de démence était de 9.8±7.5, alors qu’il était de 17.8±3.7 et 5.2±4.6 respectivement, chez les sujets atteints de démence faible à modérée (MMSE supérieur ou égal à 13; n=11) et sévère (MMSE inférieur à 13; n=19). Tous les sujets des groupes 1 et 2 ont répondu à chacune des échelles. Une grande majorité de sujets avec démence ont répondu à toutes les échelles (n=19) alors qu’un seul sujet n’a répondu à aucune échelle d’AV. Au sein du groupe 3, les échelles d’AV fournissant les scores les plus faibles ont été les cartes de Teller (20/65) et les Patty Pics (20/62), quelque soit le niveau cognitif du sujet, alors que les meilleurs scores d’AV ont été obtenus avec les échelles de Snellen (20/35) et les lettres ETDRS (20/36). Une grande proportion de sujets avec démence sévère ont répondu aux cartes de Teller (n=18) mais le score d’AV obtenu était le plus faible (20/73). Au sein des trois groupes, l’échelle de lettres-ETDRS était la seule dont les scores d’AV ne différaient pas de ceux obtenus avec l’échelle de Snellen traditionnelle. Conclusions: L’acuité visuelle peut être mesurée chez la personne âgée atteinte de troubles cognitifs ou de la communication. Nos résultats indiquent que les échelles les plus universelles, utilisant des lettres comme optotypes, peuvent être utilisées avec de bons résultats chez les personnes âgées atteintes de démence sévère. Nos résultats suggèrent de plus que la mesure d’acuité visuelle doit être tentée chez toutes les personnes, peu importe leur niveau cognitif. / Purpose: The evaluation of visual acuity (VA) in cognitively impaired older individuals may be limited by a reduced ability to cooperate or communicate. To date, no study has been performed to guide the clinician as to which VA chart to use in older individuals with moderate to severe dementia. This is important knowing that dementia affects more than 30% of seniors above 85 yrs of age, many of whom will be affected by the most severe stages of the disease. The objective of this research was to assess VA in older institutionalized individuals with moderate to severe dementia, using various acuity charts, and to verify their ability to respond to each of these charts. Methods: Three groups of 30 subjects each were recruited. The first group consisted of young subjects (Avg ± SD: 24.9 ± 3.5 yrs) and the second one, older subjects (70.0 ± 4.5 yrs) with no history of cognitive or communication disorders. The third group (85.6 ± 6.9 yrs) included subjects with mild to severe dementia residing in long-term care units. The Mini Mental-State Examination (MMSE) was performed for each institutionalized subject to verify their cognitive level. The VA of each participant was measured using six validated VA charts (Snellen, Teller cards, ETDRS-letters, -numbers, -Patty Pics, -Tumbling E's) presented in random order. Non parametric tests were used to compare VA scores obtained between the various charts, after Bonferroni-Holm corrections for multiple comparisons Results: The average MMSE scores of subjects with dementia was 9.8 ± 7.5, while it was 17.8 ± 3.7 and 5.2 ± 4.6, for those with mild to moderate (MMSE ≥ 13; n=11) and severe (MMSE < 13; n= 19) dementia. All subjects in groups 1 and 2 responded to each of the charts. A large proportion of subjects with dementia responded to all charts (n= 19) while only one did not respond to any chart. In group 3, VA charts with the lowest scores were the Teller cards (20/65) and Patty Pics (20/62), regardless of the level of dementia, while the best VA scores were obtained with the Snellen (20/35) and ETDRS-letter (20/36) charts. More subjects with severe dementia responded to the Teller cards (n= 18) but the VA obtained was the lowest (20/73). Across all groups, the ETDRS-letter chart was the only one whose scores did not differ from those obtained with the standard Snellen chart. Time to read the letter charts was faster than for the other optotypes. Conclusions: Visual acuity can be measured, and should at least be attempted, in older cognitively impaired individuals having a reduced ability to communicate. Our results indicate that the most universal scales, using letters as optotypes, can be used with good results in people with more severe dementia. Testing requires, however, more time and encouragement in individuals with more severe cognitive deficits in order to obtain and maintain their collaboration.
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Détection et reconnaissance des actions simples réalisées par le résident pour l'assistance cognitive

Camier, Thomas Romain January 2013 (has links)
Dans un premier temps, nous avons exploré la reconnaissance des signatures électromagnétiques des familles d'appareils électriques à l'aide d'un apprentissage supervisé et d'une validation croisée. Les résultats obtenus sont peu fiables. L'exactitude de la classification est de 54.5±26.1% pour les familles d'appareils électriques domestiques testés: la bouilloire, la cuisinière (le four traditionnel et les plaques de cuisson), la hotte de la cuisine, la ventilation de la salle de bain, le fer à repasser, le grille-pain, les luminaires de l'ensemble réfrigérateur-congélateur et les luminaires des lampes. Néanmoins, à partir d'un apprentissage non supervisé, les signatures électromagnétiques permettent tout de même de différencier les appareils selon leur type de charge, résistive ou inductive. Dans un second temps, nous avons cherché du côté des profils de puissance. Les fronts détectés sur le profil de puissance peuvent permettre d'identifier l'allumage et l'arrêt des appareils électriques. Par la suite, à l'aide d'un apprentissage supervisé, les différentiels des fronts de puissance sont associés à un appareil électrique. Le système à été validé lors de la réalisation d'un repas au cours duquel une personne à utiliser l'une des plaques de cuisson, le four traditionnel, la ventilation de la salle de bain, le four à micro-ondes et une machine à expresso. Initialement, le taux de vraie reconnaissance est de seulement 58.2%, le taux de non reconnaissance est de 26.5% et le taux de fausse reconnaissance est de 15.3%. En effet, certains appareils ont des consommations électriques similaires. De plus, plusieurs appareils peuvent fonctionner simultanément. Dans un troisième temps, des règles d'inférences statiques et dynamiques ont été mises en place pour améliorer la reconnaissance des appareils électriques. Par exemple: sur quelle(s) ligne(s) électriques(s) un appareil est branché. Le taux de vraie reconnaissance obtenu passe alors à 95.5%, le taux de non reconnaissance passe à 0.3%. Le système de reconnaissance est limité aux appareils électriques ayant une consommation de puissance supérieure à 70 Watts en raison du bruit électrique présent sur l'une des lignes électriques. Malgré les corrections apportées par les règles d'inférence, certains appareils sont difficilement différenciables. Par exemple: le four traditionnel dans la cuisine et le fer à repasser dans la chambre restent très difficiles à reconnaître. Dans un quatrième temps, nous avons cherché à encore améliorer le taux de vraie reconnaissance en incorporant des informations contextuelles non liées au réseau électrique. L'information apportée par les événements sonores permet de localiser spatialement le résident afin de lever certaines ambiguïtés sur la reconnaissance des appareils. Nous avons développé un système de détection et de localisation des événements sonores basé sur la mise en évidence des transitoires du signal sonore. La localisation de la personne à partir de l'environnement sonore à été validé lors de la réalisation des routines du matin par une personne: se lever, s'habiller, faire sa toilette, préparer et manger un petit déjeuner et enfin s'apprêter pour sortir. La fusion des données sonores et électriques n'a pas été implémentée dans le cadre de cette thèse, mais nos travaux montrent qu'il est possible d'obtenir les données sonores et électriques nécessaires pour ce faire. Finalement, des expérimentations intégrant des assistants cognitifs ont été réalisées avec dix personnes non affectées cognitivement. Le scénario consiste à préparer un pâté chinois, prendre un médicament et faire le repassage. Une application d'aide à la cuisine «SemAssist» et une autre de rappel d'activités «Ap@lz» ont aussi été utilisées au cours de l'expérimentation. Ces expérimentations ont permis d'évaluer en conditions réelles le système de supervision de l'environnement électrique basé sur le profil de puissance. Le taux de vraie reconnaissance est de 87.2±5.0%, le taux de non reconnaissance est de 10.5±4.1% et le taux de fausse reconnaissance est de 2.3±2.7%.
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Atteintes amygdaliennes et troubles émotionnels dans la maladie d'Alzheimer : apport de nouvelles pistes pour le diagnostic

Klein koerkamp, Yanica 01 October 2013 (has links) (PDF)
Le diagnostic de la maladie d'" Alzheimer " (MA) repose essentiellement sur des tests neuropsychologiques, démontrant d'importants déficits mnésiques en lien avec l'atrophie de l'hippocampe. Parallèlement à cela, l'existence d'une atteinte précoce de l'amygdale a très récemment été proposée dans une série d'études, suggérant que cette structure pourrait être un marqueur neuro-anatomique de l'entrée dans la maladie. Les études ayant évalué les répercussions émotionnelles de ces atteintes amygdaliennes n'ont néanmoins pas permis d'aboutir à l'identification d'un profil convergent de déficits. L'objectif de cette thèse a donc été de démontrer l'existence d'une atteinte de l'amygdale à un stade précoce de la MA entrainant des modifications des traitements émotionnels. Dans une première étude en neuroimagerie structurelle, nous avons montré des arguments robustes quant à l'existence d'atteintes anatomiques de l'amygdale chez des patients légèrement atteints par la maladie. L'amplitude de cette atrophie s'est avérée être un indicateur particulièrement sensible du niveau général d'atteintes cognitives mesurées chez nos patients. Dans les études suivantes, nous nous sommes intéressés aux répercussions de cette atteinte sur des activités cognitives sous-tendues plus directement par le fonctionnement de cette structure : les traitements émotionnels. Par l'élaboration d'une méta-analyse, nous avons pu identifier un déficit précoce de la reconnaissance des émotions. Nous avons de plus démontré que les troubles cognitifs des patients expliquaient en partie le déficit émotionnel, sans toutefois l'expliquer dans sa totalité. Enfin, une série d'études comportementales et en neuroimagerie fonctionnelle, a permis de confirmer que les atteintes anatomiques s'accompagnaient bien d'un dysfonctionnement de l'amygdale entrainant des déficits émotionnels, en particulier dans les mécanismes à l'origine de l'extraction spontanée de la saillance émotionnelle. L'ensemble de nos données convergent vers l'idée que l'atteinte amygdalienne et les altérations des mécanismes émotionnels seraient une piste prometteuse afin de préciser le diagnostic actuel de la MA.
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Imagerie par résonance magnétique spectroscopique et exploration neurochimique de régions cérébrales d'individus atteints d'un trouble léger de la cognition

Drolet, Valérie 12 1900 (has links)
No description available.
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La lévodopa est-elle néfaste pour la cognition dans la maladie de Parkinson? : étude pilote

Sid-Otmane, Lamia 11 1900 (has links)
Introduction et objectifs : Alors que l'effet moteur de la lévodopa (L-dopa) dans la maladie de Parkinson (MP) est clair et établi, son effet sur la cognition demeure incertain. Les troubles cognitifs ont un impact important sur la qualité de vie et les études évaluant l'effet cognitif de ce médicament donnent des résultats encore divergents. L’objectif primaire de cette étude pilote est d’observer l’impact des doses cliniques de lévodopa sur la cognition. Un second objectif sera d'établir une courbe dose-réponse pour observer les différences potentielles. Méthodes : Cinq patients avec MP ont été évalués à l’aide de 2 tests cognitifs (CPT-II et Stroop) et 2 tests moteurs (Finger Tapping et UPDRS-III) en OFF (sevrage minimal de 12 heures) et en ON avec des doses croissantes de lévodopa (commençant à 50mg avec une augmentation de dose de 50mg par visite) jusqu’à l'observation d'une performance cognitive optimale ou d'effets secondaires. Une administration répétée des tests cognitifs a été faite à la première visite pour limiter l’effet d’apprentissage. Résultats : Le temps de réaction (RT) mesuré en millisecondes au CPT-II a augmenté (médiane 3.03%) après la prise de médicament alors que les erreurs ont légèrement diminué (médiane -9.92%). Au Stroop, l’effet d’interférence évalué selon les changements au temps d’inhibition mesuré en secondes était légèrement moindre sans changement dans les erreurs. Avec les doses prescrites, le RT a augmenté de 3,50% et le nombre d’erreurs est resté stable alors que les doses inférieures ont eu une moindre augmentation du RT tout en diminuant les erreurs. Dans le Stroop, les doses faibles ont amélioré le temps de près de 19% alors que les doses prescrites ont quant à elles diminué les erreurs. Malgré une certaine variabilité, la courbe dose-réponse indique que les erreurs diminuaient aux doses faibles et fortes dans le CPT-II alors que le RT augmentait généralement, ce qui pourrait indiquer un style de performance plus prudent. L’effet de la lévodopa sur l’interférence dans le Stroop variait légèrement sans tendances fixes mis à part le bénéfice observé par les doses faibles. Une importante variabilité a été observée dans les évaluations motrices entre les sujets ainsi qu'au sein du même sujet. Conclusion : Ces résultats indiquent qu’en général, le médicament ne semble pas avoir d’effet néfaste important sur l’attention et les fonctions exécutives évaluées auprès de ce groupe de patients parkinsoniens. L'effet cognitif des doses plus faibles semble leur être bénéfique et meilleur que les doses cliniquement prescrites. La relation dose-réponse démontre un effet cognitif variable de la lévodopa entre les doses, n'indiquant toutefois pas de tendances claires. / Background and objectives: While levodopa’s effect on motor symptoms in Parkinson’s disease (PD) has been largely characterized, its cognitive effect still remains without definite conclusion. Since cognitive impairment is an important feature of PD that impacts patients’ quality of life, it is important to establish levodopa’s effect on cognitive functions. Multiple studies regarding this subject remained without specific consensus. The main goal pursued in this study is to observe the effect of clinical doses of levodopa on attention and executive functions. A dose-response curve is also made with the escalating doses evaluated. Methods: Five PD patients were investigated OFF (minimal withdrawal of 12 hours) and ON levodopa (starting dose of 50mg escalating by 50mg per visit) with 2 cognitive (CPT-II and Stroop) and 2 motor (finger tapping and UPDRS-III) tests until reaching an optimal cognitive performance or showing signs of side effects. Practice sessions of the cognitive tests were done at the first visit. Results: While reaction time (RT) in milliseconds increased (median 3.03%), errors slightly decreased (median -9.92%) after medication intake in the CPT-II. Errors however did not change in the Stroop while time evaluated in seconds decreased. The CPT-II showed slowing at the prescribed doses of levodopa (3.5%) while lower doses improved errors with less increase of the RT. These small doses also improved the performance in the Stroop test with a 19% reduction in time while the prescribed doses improved errors instead. The dose-response curve indicates a reduction of errors in the CPT-II for low and high doses while time usually increased, showing a more cautious style. Besides the beneficial effect of low doses, the dose-response curve for the Stroop test did not show any specific tendencies in levodopa’s effect on interference. An important variability was observed in motor evaluations between and within subjects. Conclusion: These results indicate that levodopa does not seem to have an important deleterious effect on attention and executive functions evaluated in this group of parkinsonian patients and that low doses seem to even be beneficial and better than the ones usually taken by the patients. The dose-response curve showed that the cognitive effect of levodopa for these patients varies between the different doses without being clear on the tendencies.
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La collaboration dans l’équipe de soins quant à la gestion de la douleur chronique chez la personne âgée atteinte de troubles cognitifs en centre d’hébergement

Paquette, Angélique 08 1900 (has links)
No description available.

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