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La contestation du régime agricole québécois par le syndicalisme « citoyen » de l'union paysanne

Silvestro, Marco January 2009 (has links) (PDF)
Cette thèse de sociologie porte sur le syndicalisme agricole québécois. A partir de l'exemple de l'Union paysanne, un syndicat contestataire qui fait appel à un cadre d'action collective « altermondialiste », elle montre comment s'organise la contestation du régime agroalimentaire québécois. L'Union paysanne a mis de l'avant un « syndicalisme agricole citoyen » rassemblant plusieurs catégories sociales de personnes pour lutter contre le régime agroalimentaire restrictif. Cette recherche s'inscrit dans la sociologie de l'action collective, des mouvements sociaux et de la politique contestataire. L'auteur développe un modèle d'analyse lier les aspects structuraux (le cadre institutionnel, la structure des opportunités politiques) et les aspects culturels de l'action collective (discours politique, identités collectives, engagement des personnes) afin de comprendre la co-évolution entre les institutions et les mouvements sociaux, l'interdépendance entre les déterminants structurels et les possibilités endogènes d'action collective. La seconde partie offre une étude de cas de l'Union paysanne entre 2001 et 2007. Elle commence par détailler la structure de la relation sociale dans l'agroalimentaire, montrant que les agriculteurs et les agricultrices sont le maillon dominé de la chaîne et qu'ils et elles vivent une crise généralisée. L'agriculture québécoise est qualifiée comme engagée sur la voie de l'industrialisation et de la mondialisation et que dans ce processus elle est largement déterminée par des intérêts qui lui sont étrangers. La thèse montre ensuite comment la contestation émerge, à partir des luttes pour l'agriculture biologique des années 1970 jusqu'aux luttes « citoyennes » contre l'expansion de l'industrie porcine des années 1990-2000, en passant par la contestation du syndicat agricole majoritaire par des membres mécontent-es dans les années 1980-1990. Ces luttes rurales et agraires constituent le terreau à partir duquel l'Union paysanne entend fédérer les mécontentes et les mécontents autour de l'appel à « une agriculture à dimension humaine ». La thèse démontre que le syndicat cherche à faire tomber les barrières du régime agroalimentaire en innovant, c'est-à-dire en acceptant dans ses rangs les agriculteurs, les agricultrices, mais aussi toute autre personne qui entend défendre le caractère multifonctionnel et local de l'agriculture, ce qui rompt avec le syndicalisme professionnel. Sont ensuite décrites quatre campagnes politiques du syndicat qui montrent sur quel registre et à l'aide de quelles ressources il agit. Au départ une logique de syndicalisme de mouvement social l'animait, mais il a évolué vers un syndicalisme professionnel pour enfin devenir un groupe de pression professionnalisé. L'analyse de la cohabitation des diverses identités (agriculteur, paysan, consommateur, « citoyen », etc.) montre que cette diversité a accentué les problèmes internes de l'organisation, provoquant à terme la démobilisation de ses membres. La thèse conclut que l'action collective innovante de l'Union paysanne révèle des tensions dans la mobilisation sociale « altermondialiste » et pose des défis relatifs à l'ancrage territorial, à la discussion interidentitaire et quant à l'engagement des personnes. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Sociologie des mouvements sociaux, Sociologie rurale, Syndicalisme agricole, Québec, Mondialisation, Altermondialisme.
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Construire une alternative à l’agriculture industrielle : Les organisations paysannes et la souveraineté alimentaire au Québec et à Oaxaca

Leveille, Lise-Anne 23 August 2013 (has links)
Le régime agroalimentaire dominant, qualifié de corporatif, marchand et industriel, est le produit de la mondialisation néolibérale. Les tenants de ce libéralisme soutiennent qu’il n’existe pas d’alternative viable. Pourtant, en agriculture, les mouvements paysans proposent des alternatives plus justes et écologiques. En partant de ce point, la thèse répond aux questions suivantes : quelle est l’importance de ces mouvements dans la défiance au modèle dominant? Comment les organisations paysannes du Nord et du Sud s’approprient-elles et adaptent-elles l’idée de souveraineté alimentaire? Et comment tentent-elles de mettre en pratique les principes qui y sont associés? La thèse se construit autour de deux études de cas, l’Union paysanne au Québec et l’UNOSJO à Oaxaca, pour démontrer que les organisations paysannes du Nord et du Sud ont adopté et se sont approprié le concept de souveraineté alimentaire afin de promouvoir, de mettre en œuvre et de consolider des régimes agroalimentaires alternatifs plus écologiques et plus justes. Ces alternatives se construisent sur le respect des pratiques ancestrales et la construction d’une identité collective au sein des organisations. L’approche polanyienne permet de comprendre le contre-mouvement créé par les organisations paysannes s'opposant aux conséquences néfastes du modèle dominant qui met leur qualité de vie et leur survie en danger. L’approche de Gibson-Graham permet de saisir comment les organisations paysannes proposent des modèles alternatifs qui intègrent l’activité agricole au sein d’une économie plurielle, c’est-à-dire une économie qui intègrent les aspects culturels, politiques et écologiques.
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Construire une alternative à l’agriculture industrielle : Les organisations paysannes et la souveraineté alimentaire au Québec et à Oaxaca

Leveille, Lise-Anne January 2013 (has links)
Le régime agroalimentaire dominant, qualifié de corporatif, marchand et industriel, est le produit de la mondialisation néolibérale. Les tenants de ce libéralisme soutiennent qu’il n’existe pas d’alternative viable. Pourtant, en agriculture, les mouvements paysans proposent des alternatives plus justes et écologiques. En partant de ce point, la thèse répond aux questions suivantes : quelle est l’importance de ces mouvements dans la défiance au modèle dominant? Comment les organisations paysannes du Nord et du Sud s’approprient-elles et adaptent-elles l’idée de souveraineté alimentaire? Et comment tentent-elles de mettre en pratique les principes qui y sont associés? La thèse se construit autour de deux études de cas, l’Union paysanne au Québec et l’UNOSJO à Oaxaca, pour démontrer que les organisations paysannes du Nord et du Sud ont adopté et se sont approprié le concept de souveraineté alimentaire afin de promouvoir, de mettre en œuvre et de consolider des régimes agroalimentaires alternatifs plus écologiques et plus justes. Ces alternatives se construisent sur le respect des pratiques ancestrales et la construction d’une identité collective au sein des organisations. L’approche polanyienne permet de comprendre le contre-mouvement créé par les organisations paysannes s'opposant aux conséquences néfastes du modèle dominant qui met leur qualité de vie et leur survie en danger. L’approche de Gibson-Graham permet de saisir comment les organisations paysannes proposent des modèles alternatifs qui intègrent l’activité agricole au sein d’une économie plurielle, c’est-à-dire une économie qui intègrent les aspects culturels, politiques et écologiques.
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Ancrage de l'idéologie de l'Union des producteurs agricoles et de l'utopie de l'Union paysanne dans des significations imaginaires sociales

Dupont, Patrice 03 1900 (has links)
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La configuration des pouvoirs en milieu agricole et la démocratie

Migneault, Paul-Émile 10 1900 (has links) (PDF)
Le présent mémoire de maîtrise tente d'illustrer certaines influences sur la prise de décision en démocratie, et ce, par le biais de la situation du syndicalisme agricole. La prise de décision en matière de politique peut être comprise comme une compétition entre des coalitions d'individus partageant des croyances concernant une politique publique. La compréhension d'une situation est d'ailleurs modifiée lorsque les acteurs découvrent un changement dans les paramètres définissant cette situation. Afin de rendre compte de cela, le modèle des Coalitions de cause développé par P.A. Sabatier sera dans un premier temps présenté et illustré par la question de la situation du syndicalisme agricole au Québec. Le secteur agricole connait en effet des tensions au niveau de la représentation de ses membres et de la reconnaissance offerte par le gouvernement du Québec. Afin de rendre compte des problèmes propres au secteur agraire, le cas de la production porcine sera par la suite présenté. Les enjeux environnementaux y sont très présents et la domination des gros joueurs, les mégas-porcheries, semble favoriser le statu quo. Pour finir, des pistes de solution seront amenées avec l'objectif d'améliorer la participation des personnes intéressées aux enjeux en démocratie. Plus encore, considérant que l'information aide les individus à se coaliser, il sera question de l'utilisation du Web. ______________________________________________________________________________

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