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Les Batthyany une famille de magnats au service des Habsbourg dans la seconde moitie du XVIIIe siecle / Batthyany, a magnate family in the service of the Habsburgs in the second half of the eighteenth centuryBiro, Doina 08 December 2012 (has links)
La thèse porte sur la famille Batthyány, qui a joué un important rôle au XVIIIe siècle à la Cour de Vienne, à la Diète, dans l’Armée et dans l’Eglise, par ses représentants : le palatin Louis –Ernest (1696-1765), le cardinal primat Joseph (1727-1799), l’évêque de Transylvanie Ignace (1741-1798) et par Charles Joseph (1697-1772), feld-maréchal de l’Armée autrichienne, tous, conseillers de Charles VI, de Marie-Thérèse et de Joseph II. La monographie familiale étudie les élites et analyse les mécanismes de fonctionnement de la politique de la Maison d’Autriche des Habsbourg. La thèse est structurée sur trois niveaux : la Cour de Vienne, le Royaume de Hongrie et la Transylvanie et développée dans quatre chapitres : I. Les Batthyány une famille des magnats ; II. Dominer ; III. Dominer et servir : les Batthyány, le Royaume de Saint Etienne et la Maison d’Autriche ; IV. Servir : les Batthyány et la dynastie des Habsbourg. La principale conclusion : les Batthyány appartienne aux élites européennes par les alliances, les faits et les acquis dans des multiples domaines. / The thesis treats the Batthyány family’s role in the eighteenth century and its’ involvement in Vienna’s Court, Diet, Army and Church structures, through its’ representatives: palatine Louis-Ernest (1696-1765), cardinal Joseph (1727-1799) primate of the Catholic Church, Ignace (1741-1798), Transylvania bishop and Charles-Joseph (1797-1772), field-marshal of the Austrian army. In addition, all have been advisors to Charles VI, Maria Theresa, and Joseph II. The family’s monography studies the existent elites and analyses the political mechanisms inside the Austrian Habsburg Court. The thesis revolves around three axes: the Vienna Court, the Hungarian Kingdom and Transylvania, developed into four chapters: “I. Batthyány, a magnates family„; “II. Domination„; “III. Dominating and serving: Batthyány, Kingdom of Saint Stephen and the House of Austria„; “IV. Serving- Batthyány and the Habsburg dynasty„. The main conclusion: the Batthyánys belong to European elites through their alliances and their involvement in various domains.
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Chlodoueci Aduentus : foi et politique en GauleValente, Sylvie 20 December 2012 (has links)
Alors qu’à la fin du Ve siècle s’effaçait le pouvoir impérial de Rome sur l’ensemble de ses territoires occidentaux, le pouvoir en Gaule se retrouva entre les mains de deux groupes de dirigeants : il y avait, d’une part, les évêques, issus pour la plupart de la classe aristocratique gallo-romaine, qui s’étaient donné comme mission de maintenir la romanité et la foi catholique vivantes dans les cités dont ils étaient les véritables chefs, et, d’autre part, les rois d’origine germanique qui occupaient différents royaumes, taillés à même les territoires cédés par Rome quelques décennies auparavant. Supporté par l’épiscopat, le règne de Clovis, roi d’origine franque et fondateur de la première dynastie catholique en Gaule, s’imposa à ce moment critique de l’histoire gallo-romaine. Malheureusement, les sources écrites qui décrivent l’avènement et la postérité du règne sont rares. Ce travail s’attachera à présenter les lettres qui établirent les fondements du royaume franc ainsi que la première œuvre qui, plusieurs années après la mort de Clovis, fit état de sa carrière afin de constater dans quelle mesure et dans quelles circonstances les évêques qui les écrivirent purent influencer la foi et la politique du roi franc.
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Ces messieurs de Saint-Savin, l'abbaye royale de Saint-Savin de 1769 à 1790, Vienne, France /Debiais, Frédéric. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Histoire moderne--Poitiers, 2002. / Bibliogr. p. 487-509. Index. Résumé en français et en anglais.
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Chlodoueci Aduentus : foi et politique en GauleValente, Sylvie 20 December 2012 (has links)
Alors qu’à la fin du Ve siècle s’effaçait le pouvoir impérial de Rome sur l’ensemble de ses territoires occidentaux, le pouvoir en Gaule se retrouva entre les mains de deux groupes de dirigeants : il y avait, d’une part, les évêques, issus pour la plupart de la classe aristocratique gallo-romaine, qui s’étaient donné comme mission de maintenir la romanité et la foi catholique vivantes dans les cités dont ils étaient les véritables chefs, et, d’autre part, les rois d’origine germanique qui occupaient différents royaumes, taillés à même les territoires cédés par Rome quelques décennies auparavant. Supporté par l’épiscopat, le règne de Clovis, roi d’origine franque et fondateur de la première dynastie catholique en Gaule, s’imposa à ce moment critique de l’histoire gallo-romaine. Malheureusement, les sources écrites qui décrivent l’avènement et la postérité du règne sont rares. Ce travail s’attachera à présenter les lettres qui établirent les fondements du royaume franc ainsi que la première œuvre qui, plusieurs années après la mort de Clovis, fit état de sa carrière afin de constater dans quelle mesure et dans quelles circonstances les évêques qui les écrivirent purent influencer la foi et la politique du roi franc.
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L’école viennoise de contrebasse : genèse et réceptionGravel, Christian 01 1900 (has links)
Cette recherche met en parallèle les cultures germanophone et francophone par l’entremise de l’histoire de la contrebasse. La problématique consiste à expliquer l’absence de littérature en français sur l’école viennoise de contrebasse, qui s’est développée dans la seconde moitié du XVIIIe siècle et qui a eu une certaine incidence sur le développement de cet instrument.
La première section propose une biographie des principaux représentants de cette école, tous contrebassistes virtuoses actifs à Vienne autour de 1750. Suivent un tour d’horizon des œuvres pour contrebasse concertante du classicisme viennois, puis un rappel historique sur le déclin de cette école.
Dans la deuxième section, un parallèle est tracé entre l’avancée du violoncelle et le recul de la contrebasse au XIXe siècle. Suivent une présentation des instruments les plus appréciés de cette époque, à savoir le piano, le cor français et le violoncelle, puis une comparaison entre l’évolution de la contrebasse en France et dans les pays germanophones au XIXe siècle.
Finalement, la troisième section est consacrée à la renaissance de l’école viennoise de contrebasse, amorcée au milieu du XXe siècle. Pour observer le déploiement de cette évolution dans les cultures française, germanophone et anglo-saxonne, cette section comporte un examen des œuvres publiées par les maisons d’édition spécialisées en musique ainsi que de celles enregistrées par les contrebassistes. / This research draws a parallel between the German and the French cultures through the history of the double bass. The problematic consists in explaining the absence of literature in French about the Viennese school of bass playing, which developed in the second half of the 18th century and had a certain impact on the development of this instrument.
The first section proposes a biography of the main representatives of this school, which where all virtuosos double bassists in Vienna around 1750. This is followed by an overview of works for solos double bass of the First Viennese School, and a brief history of the decline of this school.
In the second section a parallel is drawn between the progress of the violoncello and the decline of the double bass in the 19th century. This is followed by a presentation of the most appreciated instruments of this era, i.e. the piano, the French horn and the violoncello, and a comparison between the evolution of the double bass in France and in the German speaking countries in the 19th century.
Finally, the third section is dedicated to the renaissance of the Viennese school of bass playing, which was initiated half way through the 20th century. To look closer to this evolution in the French, German and Anglo-Saxon cultures, this section also includes a review of works published by music publishers and those recorded by double bassists. / Diese Forschung will zwei Kulturen, die deutschsprachige und die französische, in Verbindung mit der Geschichte des Kontrabasses bringen. Die Fragestellung besteht darin, das Versäumnis der französischen Literatur über die Wiener Kontrabassschule zu erklären, eine Schule die sich in der zweiten Hälfte des 18. Jahrhunderts entwickelt und die eine Wirkung auf die Entwicklung dieses Instrumentes gehabt hat.
Im ersten Abschnitt wird eine kurze Biographie der Hauptvertreter dieser Schule vorgeschlagen, die alle Kontrabassvirtuose und um 1750 in Wien tätig waren. Es folgt ein Überblick der Werke der Wiener Klassik für konzertanten Kontrabass, dann ein historischer Exkurs über den Niedergang dieser Schule.
Im zweiten Abschnitt wird eine Parallele zwischen dem Vorsprung des Violoncellos und dem Rückgang des Kontrebasses im 19. Jahrhundert gezogen. In diesem Abschnitt werden desweiteren die bevorzugten Instrumente dieser Epoche, nämlich das Klavier, das Horn und das Violoncello diskutiert, und die Entwicklung des Kontrabasses in Frankreich und im deutschsprachigen Raum im 19. Jahrhundert verglichen.
Schließlich widmet sich der dritte Abschnitt der Renaissance der Wiener Kontrabassschule, die in der Mitte des 20. Jahrhunderts begann. Um eine richtige Betrachtung der Entfaltung dieser Entwicklung in den französischen, deutschsprachigen und angelsächsischen Kulturen zu ermöglichen, findet sich in diesem Abschnitt ebenfalls eine Untersuchung der Werke, die von den Musikverlagen veröffentlicht wurden wie auch derjenigen, die von den Kontrabassisten aufgenommenen wurden.
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Der Abbatiat Ademars von Saint-Martial de Limoges (1063-1114) : ein Beitrag zur Geschichte des cluniacensischen Klösterverbandes : Bestandteil des Quellenwerkes "Societas et fraternitas /Sohn, Andreas. January 1989 (has links)
Diss.--Philosophische Fakultät--Westfälische Wilhelms-Universität Münster, 1988.
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Construire une relation pacifiée. Les ministres de France à Bruxelles dans la seconde moitié du XVIIIe siècle. Pratiques et réseauxSpeeckaert, Jean-Charles 01 July 2017 (has links)
Des relations entre la France et les Pays-Bas méridionaux, l’histoire a surtout gardé le souvenir des affrontements et de la soif de conquête. Le renversement des alliances de 1756 met fin à ce voisinage conflictuel. Cette alliance inédite amène Louis XV et Marie-Thérèse d’Autriche à pacifier leurs rapports. L’objectif de cette thèse est d’examiner comment la mise en place et le maintien de cette paix se concrétisent entre la France et les Pays-Bas, qui dépendent de Vienne depuis le traité d’Utrecht (1713). Ce sont près de deux générations des populations de ces pays qui vivent une rare période de paix. La première partie du travail porte sur la signification diplomatique et politique de l’envoi de ministres à Bruxelles - au cœur d’un territoire qui n’est pas souverain. En analysant les formes de la représentation diplomatique et la mission de ces envoyés, c’est la question des provinces belgiques comme lieu et enjeu des relations internationales qui est posée. La seconde partie s’intéresse aux hommes et aux femmes au cœur de ces relations, aux ressources qu’ils mettent en œuvre, c’est-à-dire leurs pratiques et les réseaux qu’ils forment. Dans le contexte de relations transfrontalières, l’accent est mis sur l’intervention de personnes variées, parfois éloignées des cercles et des lieux de pouvoir. / Doctorat en Histoire, histoire de l'art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Chlodoueci Aduentus : foi et politique en GauleValente, Sylvie January 2012 (has links)
Alors qu’à la fin du Ve siècle s’effaçait le pouvoir impérial de Rome sur l’ensemble de ses territoires occidentaux, le pouvoir en Gaule se retrouva entre les mains de deux groupes de dirigeants : il y avait, d’une part, les évêques, issus pour la plupart de la classe aristocratique gallo-romaine, qui s’étaient donné comme mission de maintenir la romanité et la foi catholique vivantes dans les cités dont ils étaient les véritables chefs, et, d’autre part, les rois d’origine germanique qui occupaient différents royaumes, taillés à même les territoires cédés par Rome quelques décennies auparavant. Supporté par l’épiscopat, le règne de Clovis, roi d’origine franque et fondateur de la première dynastie catholique en Gaule, s’imposa à ce moment critique de l’histoire gallo-romaine. Malheureusement, les sources écrites qui décrivent l’avènement et la postérité du règne sont rares. Ce travail s’attachera à présenter les lettres qui établirent les fondements du royaume franc ainsi que la première œuvre qui, plusieurs années après la mort de Clovis, fit état de sa carrière afin de constater dans quelle mesure et dans quelles circonstances les évêques qui les écrivirent purent influencer la foi et la politique du roi franc.
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Franz Liszt's Early Weimar Period Piano WaltzesYin, Wei-Ting January 2017 (has links)
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Les derniers grands feux (?) d'une maison comtoise et bourguignonne : Guillaume de Vienne, seigneur de Saint-Georges et de Sainte-Croix, 1362-1437 / The last big lights (?) of one house of burgundy (duchy and county) : Guillaume de Vienne, sire of Saint-Georges and Sainte-Croix, 1362-1437Pelot, Gérard 14 December 2012 (has links)
Le personnage s'inscrit dans l'histoire de la seconde Maison de Vienne (depuis le milieu du XIIIe siècle), issue des comteséponymes, peu étudiée. Les diverses branches furent animées par quelques personnagesprestigieux, comme Jean de Vienne, amiral de France. Trois faits : la mort de l'amiral(Nicopolis, 1396), le fabuleux héritage de son frère Huguenin, et une robuste santé, permirentà Guillaume de s'affirmer comme "chef " de la Maison de Vienne. Il se distingua par unservice multiforme (militaire, diplomatique, de conseil) auprès des ducs de BourgognePhilippe le Hardi, Jean sans Peur et Philippe le Bon, de 1379 à sa mort, et par une gestionavisée de son immense patrimoine terrien, dans le Duché (presque toute la Bresselouhannaise ; Arc-en-Barrois ; sans doute le premier revenu domanial duchois), et dans leComté, auquel il faut ajouter deux hôtels, à Dijon et à Paris. Olivier de La Marche propagea larenommée de Guillaume de Vienne "le Grand" et "le Sage". Ses deux épouses successives lefirent entrer dans des familles prestigieuses : Thoire-Villars (alliée aux comtes de Genève) etles Dauphins d'Auvergne. Sur les champs de bataille et comme diplomate, le "sire de SaintGeorge" connut la gloire et la célébrité : de l'Ecosse à Mahdia (en l'actuelle Tunisie), de laNormandie à Milan, il s'affirma comme un haut cadre de l'Etat bourguignon en gestation.Comblé d'honneurs par les Ducs ( ordre de l'Arbre d'or en 1403, premier nommé chevalier del'ordre de la Toison d'or en 1430), recevant la plus forte pension ( 3000 francs/an), intime deces souverains, il fut aussi un membre actif du Grand conseil royal et gouverneur des deuxBourgognes ; il s'illustra à la croisade (Mahdia, 1390), au service de l'Eglise (familier deClément VII ; chef de l'ambassade bourguignonne au concile de Constance (1415) ;bienfaiteur de Colette de Corbie pour la fondation de plusieurs couvents) et fut le dernierBourguignon auquel s'adressa Jean sans Peur sur le pont de Montereau (1419). Sa secondeépouse lui donna un fils, lui aussi prénommé Guillaume, et seigneur de Saint-Georges et deSainte-Croix à la mort de son père – ce qui a posé problème à plus d'un historien. Cepersonnage, pourvu d'une solide formation, militaire mais aussi intellectuelle (envoyé en"Allemagne" pour y apprendre la langue), connut une foudroyante ascension, du vivant de sonpère, au service de Jean sans Peur puis de Philippe le Bon. Non moins foudroyante fut, dès1440, la dilapidation du patrimoine mobilier et immobilier du "sire de Saint-George" par lenouveau Guillaume de Vienne et son fils Jean, lesquels menèrent, semble-t-il, une viedissolue, et tombèrent dans les rets de multiples profiteurs, au premier chef les "légistes etgens de finances". Marguerite de Vienne, une soeur de Jean, fut bien près d'épouser le comted'Eu, beau-frère de Philippe le Bon. Elle s'unit à Rodolphe de Hochberg, issu d'une puissantefamille de Forêt Noire, et devenu comte de Neuchâtel en succession de son cousin Jean,comte de Fribourg et maréchal de Bourgogne. Marguerite et Rodolphe unirent leurs efforts etparvinrent à reconstituer une bonne partie du patrimoine seigneurial de "Guillaume de Viennele Grand", qu'ils transmirent à leur fils Philippe, célèbre par ses états de service auprès deCharles le Téméraire puis de Louis XI. La fille de Philippe, Jeanne de Hochberg, par sonmariage apporta l'héritage à la famille d'Orléans-Longueville. D'autres branches "Vienne"s'éteignirent, mais une semblable étude permettrait de sortir de l'ombre des personnages decette Maison, comme Guillaume de Vienne, seigneur de Montby et de Montbis (décédé en1471), les Vienne seigneurs de Listenois (Bourbonnais), sans oublier Girard (mort en 1545),seigneur de Commarin, fondateur de la chapelle de Vienne en la Sainte-Chapelle de Dijon. / The character fits into the history of the Second House Vienna (since the mid-thirteenth century), from the countseponymous little studied. The various branches were animated by some famous characterslike Jean de Vienne, admiral of France. Three facts: the death of Admiral (Nicopolis, 1396),the fabulous legacy of his brother Huguenin, and robust health, allowed William to assertitself as "leader" of the House of Vienna. He distinguished himself by service multiforme(military, diplomatic, counseling) from the Dukes of Burgundy, Philip the Bold, John theFearless and Philip the Good, from 1379 to his death, and by careful management of hisimmense estates with the Duchy (almost all Bresse louhannaise; Arc-en-Barrois, probably thefirst Income duchois lands), and the county, which must be added two hotels in Dijon andParis. Olivier de la Marche spread the fame of Guillaume de Vienne "Grand" and "wisdom."His two successive wives brought him into prestigious families: Thoire-Villars (allied to theCounts of Geneva) and Dolphins Auvergne. On the battlefield and as a diplomat, the "lord ofSaint George" achieved fame and stardom: from Scotland to Mahdia (in present-day Tunisia),from Normandy to Milan, he established himself as a high part of the Burgundian State ingestation. Loaded with honors by the Dukes (order of the Golden Tree in 1403, the firstknight of the Order of the Golden Fleece in 1430), receiving the highest pension (3000 francs/ year), intimate the sovereign, he was also an active member of the Grand Council of Royaland Governor of the two Burgundies, he distinguished himself in the Crusades (Mahdia,1390), in the service of the Church (familiar Clement VII head of the embassy Burgundy theCouncil of Constance (1415), benefactor of Colette of Corbie to the founding of severalmonasteries) and was the last Bourguignon which John the Fearless spoke on the bridge ofMontereau (1419). His second wife bore him a son, also named William, and lord of Saint-Georges and St. Croix in the death of his father - which was a problem in more than onehistorian. This character provided a solid background, but also military intellectual (sent in"Germany" to learn the language), had a startling rise in the lifetime of his father, in theservice of John the Fearless and Philip the Good. No less startling was from 1440, thesquandering of movable and immovable property of the "Comte de Saint-George" the newGuillaume de Vienne and his son John, who led, it seems, a dissolute life, and fell into thesnares of multiple riders, primarily the "forensic people and finances." Vienna Marguerite,sister of John, was very close to marrying the Count of Eu, brother of Philip the Good. Shejoins Rudolph Hochberg, from a powerful family in the Black Forest, and became Count ofNeuchâtel in succession to his cousin John, Count of Burgundy and Marshal of Fribourg.Marguerite and Rudolf joined forces and managed to rebuild much of the stately heritage"Guillaume Grand Vienna", they transmitted to their son Philippe, famous for his service toCharles the Bold and Louis XI. Philippe's daughter, Jeanne de Hochberg, by his marriagebrought the family legacy of Orleans-Longueville. Other branches "Vienna" went out, butsuch a study would emerge from the shadows of the characters in this House, as Guillaume deVienne, lord of Montby and Montbis (d. 1471), the Vienna lords Listenois (Bourbonnais),without forgetting Girard (d. 1545), lord of Commarin, founder of the Vienna Chapel of theSainte-Chapelle in Dijon
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