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Argumentation et didactique du français langue étrangère pour un public vietnamien / Argumentation and teaching of french as a foreign language for Vietnamese students

Ngo, Thi Thu Ha 30 June 2011 (has links)
Notre recherche a pour objectif d’améliorer la didactique de l’argumentation dans les classes de Français langue étrangère au Vietnam. L’étude s’appuie sur l’hypothèse que les étudiants participent à une culture où l’autorité est très importante et qu’il faut, par conséquent, mettre le problème de la relation des étudiants avec l’autorité à la base de leurs difficultés à entrer dans des discussions argumentatives. Dans cette perspective, parler, manifester son désaccord, traiter un désaccord dans une relation d’autorité et, surtout, dans une société marquée par l’autorité et le consensus n’est pas quelque chose d’évident. De même, savoir utiliser et critiquer l’argument d’autorité dans un échange argumentatif est censé être difficile.Notre travail s’articule sur quatre parties. La première repose sur le principe méthodologique selon lequel travailler l’argumentation en français langue étrangère suppose qu’on travaille aussi, en parallèle, la capacité d’argumenter comme capacité linguistique générale et la capacité d’argumenter dans sa propre langue, le vietnamien. Ensuite, la deuxième partie est consacrée à l’étude du langage argumentatif dans une perspective contrastive français-vietnamien. Nous tenterons de traduire en vietnamien des termes et des expressions qui sont, certes, très élémentaires, mais néanmoins susceptibles de poser à nos étudiants des difficultés de compréhension. La troisième partie s’intéresse à l’autorité et au raisonnement par autorité, qui joue un rôle déterminant dans la façon d’argumenter des Vietnamiens. Nous avons essayé d’expliquer pourquoi les Vietnamiens sont « sages » en interaction tout en rendant compte de la prégnance de la « préférence pour l'accord » en vietnamien, ce qui se manifeste clairement à travers des proverbes et des locutions traditionnelles, et de montrer comment cette tendance s'articule avec une pratique « dialectique » du langage, qui pèse toujours le pour et le contre et qui refuse la polémicité. Nous avons analysé une question actuellement très débattue au Vietnam : l’exploitation de la bauxite. Ce travail a un double objectif : il vise d’une part à illustrer la maîtrise de l’argumentation des Vietnamiens, d’autre part sert de fil de conducteur pour la quatrième partie. Cette dernière, par l’élaboration des unités didactiques portant sur des thèmes d’actualité, notamment la question du clonage, vise à proposer une nouvelle démarche d’enseignement/apprentissage en vue d’une amélioration de la didactique de l’argumentation dans les classes de français langue étrangère au Vietnam, démarche fondée sur l’appropriation des contenus argumentatifs, et remettant en cause la trop fameuse « passivité vietnamienne ». / The aim of this dissertation is to improve the teaching of argumentation in classes of French as a foreign language in Vietnam. The study is based on the assumption that the Vietnamese students are influenced by a particular culture where authority is very important; therefore the difficulties in participating to argumentative discussions are attributed to inhibitions produced by a complex system of authority. In this perspective, expressing and taking on a disagreement in an academic context marked by authority and consensus, is never so simple. Similarly, knowing when and how to use or criticize the argument of authority in an argumentative conversation is supposed to be difficult.This dissertation is structured in four parts. The first is based on the methodological principle that to teach argumentation in French as a foreign language we have to teach the argumentation as a general language as well as the ability to argue in one’s mother tongue, here Vietnamese. The second part is devoted to study the argumentation language in a contrastive perspective French / Vietnamese. We have translated in Vietnamese words and expressions which are, although basic, difficult to understand for our students. The third section focuses on study of authority and reasoning by authority. We tried to explain why the Vietnamese are "soft" in interaction while reflecting the predominance of "preference for agreement" in Vietnamese. We have extensively analyzed a disputed issue on the exploitation of bauxite in Vietnam. This analysis aims both to demonstrate the intensity of the arguments in contemporary Vietnam, and, on the other hand, it lays the foundation for the fourth part of the dissertation. This last part develops teaching units on various topics of current interest (e.g. cloning), is to propose a new approach to teaching argumentation in French as a second language, grounded in the necessary appropriation of argumentative contents and casting doubt on the too famous “Vietnamese passivity”.
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Les plantations d'hévéa en Cochinchine (1897-1940) / The rubber plantations in Cochinchina (1897-1940)

Tran, Xuan Tri 19 January 2018 (has links)
Dès la conquête de la Cochinchine en 1862, l’Administration coloniale et des particuliers français exploitèrent l’agriculture locale et y développèrent l’économie. Ils tentèrent de faire l’essai et d’introduire diverses cultures, en particulier des arbres à caoutchouc. L’année 1897 marqua le début de l’hévéaculture de Cochinchine, lorsqu’on planta avec succès près de deux mille hévéas brasiliensis. La superficie de l’hévéaculture en Cochinchine se développait prodigieusement, allant de cent hectares à la fin du XIXème siècle à près de cent mille hectares au début des années trente, grâce d’une part à des capitaux provenant de la Métropole et, d’autre part à des mesures d’encouragement du Gouvernement colonial. Les plantations d’hévéa attirèrent les travailleurs locaux, surtout en provenance du Tonkin et de l’Annam, à raison d’une dizaine de mille, parfois une vingtaine de mille par an.Parallèlement à l’extension des superficies plantées, la production du caoutchouc de la colonie s’accrut rapidement, allant d’un peu plus d’une tonne en 1908 à plus de soixante mille tonnes en 1939. Les plantations d’hévéa devinrent l’une des cultures les plus importantes de Cochinchine à l’époque coloniale française. Non seulement elles apportèrent la fortune aux planteurs de la colonie, mais elles assurèrent une partie, et depuis 1938, la totalité des besoins de caoutchouc de l’industrie métropolitaine. Les plantations d’hévéa de Cochinchine représentaient un symbole de la colonisation agricole française, mais aussi hélas l’une des pages noires de l’histoire du colonialisme français au Vietnam par l’exploitation brutale des planteurs envers les travailleurs vietnamiens. / As early as the conquest of Cochinchina in 1862, the colonial administration and French individuals exploited the local agriculture and developed the economy there. They tried to experiment and introduce various crops, especially rubber trees. The year of 1897 marked the beginning of the rubber plantation of Cochinchina, when two thousand rubber trees brasiliensis were successfully planted. The area of rubber tree plantation in Cochinchina grew tremendously, ranging from one hundred hectares at the end of the 19th century to nearly one hundred thousand hectares in the early 1930s, because of, on the one hand, the capital invested from the metropolis, and, on the other hand, the measures of encouragement taken by the colonial Government. The rubber plantations attracted local workers, mainly from Tonkin and Annam, at a rate of about 10.000, sometimes 20.000 persons a year. In parallel with the extension of the area of rubber plantation, the colonial rubber production rapidly increased from just over one tonne in 1908 to more than 60.000 tons in 1939.The rubber tree plantation became one of the most important crops of Cochinchina during the French colonial era. Not only they brought fortune to the planters of the colony, but they secured a part, and since 1938, the whole of the rubber demands of the metropolitan industries. The Cochinchina rubber plantations represented a symbol of French agricultural colonization and, unfortunately, one of the black pages of the history of French colonialism in Vietnam by the brutal exploitation of Vietnamese workers by rubber planters.
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« Comme, j’ai jamais été victime de racisme, mais direct. […] C’est comme dans le gris, c’est pas noir ou blanc » : l’expérience socioscolaire des personnes de minorité vietnamienne de deuxième génération au Québec

Chu, Ashley 08 1900 (has links)
Ce mémoire vise à comprendre comment les personnes de minorité vietnamienne de deuxième génération au Québec négocient leur rapport au groupe majoritaire au prisme de leur expérience socioscolaire. Cette recherche part du constat d’un écart entre l’image de la communauté vietnamienne au Québec comme une minorité modèle, c’est-à-dire un groupe minoritaire qui a connu une intégration réussie, et la présence d’une barrière entre le « nous » vietnamien et le « eux » québécois. Je m’intéresse ainsi à saisir ces tensions sous l’angle de rapports majoritaires-minoritaires. Deux concepts principaux ont été mobilisés pour rendre compte de ces négociations : celui de la blanchité et de la racialisation. Les concepts des frontières ethniques et de l’identification ont aussi été retenus dans le but de comprendre comment ces négociations s’articulent au processus d’identification de cette population. Cette recherche qualitative se base sur treize entretiens semi-dirigés et sur une analyse thématique de ceux-ci. Les résultats de la recherche montrent des négociations avec la blanchité et le vécu d’expériences de racialisation dans les interactions avec les acteurs significatifs de la sphère scolaire, tels que les pairs et le personnel enseignant. La blanchité est principalement vécue comme une norme imposée et inatteignable pour les personnes racialisées. Les témoignages des jeunes Vietnamien·ne·s soulignent par ailleurs la racialisation des personnes asiatiques comme étant à la fois des minorités modèles et des éternel·le·s étranger·ère·s. De plus, les récits des participant·e·s mettent en évidence les processus d’exclusion, d’infériorisation et de hiérarchisation auxquels font face les personnes de minorité vietnamienne de deuxième génération au Québec. Ces processus s’articulent également au processus d’identification des participant·e·s et limitent leur choix d’identification. Ces négociations affectent aussi la manière dont les personnes de minorité vietnamienne de deuxième génération appréhendent la culture vietnamienne et la culture québécoise. / This master’s thesis aims to understand how second-generation Vietnamese people in Quebec negotiate their relationship with the majority group through the lens of their socio-educational experience. This research begins with the observation that there is a gap between the image of the Vietnamese community in Quebec as a model minority, that is, a minority group that has successfully integrated, and the presence of a barrier between the Vietnamese “us” and the Quebec “them.” I am interested in understanding these tensions and will be examining them through the lens of majority-minority relations. Two main concepts have been mobilized to examine these negotiations: whiteness and racialization. The concepts of ethnic boundaries and identification were also used in order to understand how these negotiations relate to the identification process of this population. This qualitative research is based on thirteen semi-structured interviews and a thematic analysis of them. The research results show negotiations with whiteness and lived experiences of racialization in the participants’ interactions with key actors in the educational sphere, such as peers and teachers. Whiteness is primarily experienced as an imposed and unattainable norm for racialized individuals. The participants’ stories also highlight the racialization of Asian people as both model minorities and perpetual foreigners. In addition, the participants' narratives bring to light the processes of exclusion, inferiorization and hierarchization faced by second-generation Vietnamese people in Quebec. These processes are also articulated in the participants' identification process and limit their choices of identification. These negotiations also affect the way in which second-generation Vietnamese people view Vietnamese culture and Quebec culture.

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