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Contribution à la valorisation du conte africain issu de la tradition orale pour son inscription dans les patrimoines culturels nationaux exemple de la Côte d'Ivoire /

Beney, François Gontard, Marc January 2007 (has links)
Thèse de doctorat : Littérature française : Rennes 2 : 2007. / Bibliogr. p. 572-574. Index.
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La formulation du panafricanisme dans la pratique conventionnelle et constitutionnelle en Afrique

Nomo Mvilongo, Sylvain 10 1900 (has links) (PDF)
Les recherches menées dans le cadre de ce mémoire étudient le Panafricanisme dans la pratique des OIA et du droit constitutionnel en Afrique. Plus précisément, en adoptant une approche positiviste et pluridisciplinaire, notre réflexion questionne essentiellement les instruments juridiques pertinents des OIA et de la législation des États africains. De manière complémentaire donc, nous soutenons notre propos avec le support de tout ce qui nous été rendu accessible par la doctrine. Et cette dernière enseigne que le Panafricanisme, conçu et théorisé à l'extérieur du continent par les descendants Africains, a pour fondement idéologique, l'unité politique et socioéconomique des États et des peuples africains. C'est dans cet esprit qu'a été créée l'OUA le 25 mai 1963 à Addis-Abeba. L'OUA fut fondée pour renforcer l'unité et la solidarité des pays africains et ce, à travers la coordination et l'harmonisation des politiques de ses États membres. La Charte de l'OUA, compromis les approches inter-étatiste et intégrationniste, consacre la première expression juridique du Panafricanisme dans la pratique des OIA. Il s'agit de la coopération interétatique. En ce sens, l'OUA a mis un accent particulier sur la coopération entre ses États membres notamment en matière économique ce qui a donné lieu à l'adoption du Traité d'Abuja instituant la Communauté économique africaine en 1991. Si les thèses inter-étatistes sont toujours majoritaires au sein des OIA, le Traité d'Abuja est un plaidoyer en faveur de l'approfondissement et du renforcement progressifs de la coopération entre les États africains. On voit ainsi graduellement émerger une vision plus intégrationniste de l'unité africaine. Cette nouvelle vision est d'ailleurs confirmée lors de la création de l'Union africaine en 2000 pour remplacer l'OUA, jugée inopérante face aux défis de l'Afrique postcoloniale. L'UA qui opère une redynamisation à la fois philosophique, institutionnelle et juridique du Panafricanisme, a pour mission de réaliser l'intégration politique et socioéconomique en accélérant la mise en place de la CEA. Dès lors l'intégration régionale, confirmée dans l'Acte constitutif de l'UA, apparaît comme la seconde expression juridique du Panafricanisme dans la pratique des OIA. L'UA traduit ainsi la pratique constitutionnelle de plusieurs de ses États membres qui s'engagent à promouvoir l'intégration régionale dans le but de réaliser l'unité de l'Afrique. En effet, le droit constitutionnel de la majorité des pays africains exprime un attachement à l'objectif de l'unité africaine soit par une déclaration dans le préambule de la constitution ou par un article. L'étude de la pratique juridique de l'unité africaine dans le droit constitutionnel révèle également que plusieurs d'entre eux sont disposés à transférer partiellement ou totalement leur souveraineté dans le but de réaliser l'unité africaine. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Panafricanisme, unité africaine, intégration, droit constitutionnel
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L'Apartheid et la poésie engagée sud-africaine de langue anglaise.

Alvarez-Pereyre, Jacques. January 1981 (has links)
Th.--Lett.--Grenoble 3, 1977. / Index.
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África imaginada : história intelectual, pan-africanismo, nação e unidade africana na “Présence Africaine” (1947-1966) / L'Afrique imaginée : histoire intellectuelle, pan-africanisme, nation et unité africaine d'après « Présence Africaine » (1947-1966) / Imaging Africa : Intellectual history, pan-africanism, nation and African unity in “Présence Africaine” (1947-1966)

Reis, Raissa Brescia dos 05 November 2018 (has links)
À l’heure de la (re)construction d’Afrique, Présence Africaine a occupé un lieu au-delà de la rencontre et du débat intellectuels. À partir de la fondation de la Société Africaine de Culture (SAC), en 1956, et l’adoption du langage des Relations Internationales, cette organisation a joué le rôle de promotrice de discours et de pratiques politiques. Ce travail s’inscrit à la perspective de l’Histoire Intellectuelle et des éditions, ainsi comme de l’Histoire Politique, et pense la singularité de la source périodique comme lieu privilégié pour analyser la formation des réseaux intellectuels autour desquels s’est configuré le groupe Africain francophone en France dans les années cinquante et soixante. C’est, alors, à partir des publications de Présence Africaine, ainsi comme de la correspondance produite par son travail de mobilisation et création culturelles, qu’on pense sa liaison et son intervention dans les courants de la pensée politique ouest-africaine au moment considéré. La question faite pour toute une génération d’intellectuels et politiciens était : quelles possibilités pour l’avenir d’Afrique ? Plus que des sujets isolés, ces hommes agissaient au nom d’une collectivité qu’ils fondaient directement ou indirectement. Par ailleurs, Présence Africaine encourageaient de nouveaux espaces d’activités des Africains et a pris sur elle la responsabilité d’une « revendication publique ». Pourtant, les termes de cette revendication, l’engagement national ou le choix fédératif, les notions pan-africanistes et les intérêts des nouveaux états indépendants, n’étaient pas toujours claire. À l’intérieur d’une telle scène, la revue Présence Africaine utilise de différents mécanismes et manipule son origine pan-africaniste, tout en créant des stratégies de transit et d’intervention qu’autorisent et renforcent son lieu au centre des politiques culturelles en Afrique d’Ouest à la fin des années 1950 et dans la décennie 1960. / This thesis focuses on the study of the journal Présence Africaine from its creation in 1947 until the second half of the 1960s. The ruptures and internal permanences of the journal, as well as its insertion in a political, social and cultural West African context of transformation, are thought through the analysis of articles, editorials and correspondence exchanged in the period. The years selected for this research, the post-World War II scenario, were marked by many changes. This is the context in which Présence Africaine was constructed, in consonance with the West African intelligentsia of French expression and the establishment of legitimized intellectual discourses, practices and activities denominated as "African". In this scenario, the imbricated relation between intellectual and political elites was increasingly evident. In those years, the magazine's initial program of insertion of Black cultures in modernity, criticized as excluding and eurocentric, is enriched and gained new dimensions, strengthened by the creation of Société Africaine de Culture in 1956, which insert the cultural production directly into the games of force and disputes over the future of Africa. At this situation, the appropriation of the language and practices of International Relations and the creation and naming of the said Third World, for which the Bandung Conference in 1955 emerged as an important mark, were central to the paths and negotiations that the magazine and institution traced. As a periodical thought as a vehicle and a point of mobilization for cultural and political action, Présence Africaine is a rich source to understanding, in its complexity, the currents of West African political thought that circulated during the critical moment of 1950s and 1960s. Accordingly, the proposals for the future of the continent, between autonomy, independence and African unity, the revue’s adherence to projects for national construction and, at the same time, its insertion in international solidarity movements such as Pan-Africanism, can be traced and mapped as central debates within the publication. These topics became decisive for the construction of a narrative on Présence Africaine and on a whole generation of French-speaking West African intellectuals and politicians. / Esta tese tem como perspectiva central o estudo da revista Présence Africaine a partir de sua criação, em 1947, até a segunda metade da década de 1960. Rupturas e permanências internas ao periódico, assim como sua inserção em um contexto político, social, cultural e intelectual oeste-africano em transformação, são pensadas por meio da análise de artigos, editoriais e correspondências trocadas no período. Os anos selecionados para a pesquisa, no pós-Segunda Guerra Mundial, foram marcados por muitas mudanças. É nesse cenário que a Présence Africaine se constrói, em consonância com a intelectualidade oeste-africana de expressão francesa e o estabelecimento de discursos e de práticas legitimadas enquanto atividades intelectuais nomeadas como “africanas” nas quais a imbricada relação entre elite intelectual e política se torna cada vez mais evidente. Nesses anos, o programa inicial da revista, de inserção das culturas negras na modernidade, criticada como excludente e eurocêntrica, é enriquecido e ganha novas dimensões. Essa reconfiguração foi fortalecida pela criação da Société Africaine de Culture, em 1956, que inseriu a Présence Africaine diretamente nos jogos de força e nas disputas em torno do futuro para a África. Nessa conjuntura, a apropriação da linguagem e das práticas das Relações Internacionais e a criação e nomeação do dito Terceiro Mundo, sendo a Conferência de Bandung, em 1955, um importante marco, foram centrais para os caminhos e negociações que a revista e instituição traçou. Enquanto um periódico pensado como veículo e ponto de mobilização e de ação cultural e política, a Présence Africaine é uma rica fonte para entender, em sua complexidade, as correntes do pensamento político oeste-africano que circulavam durante o momento crítico das décadas de 1950 e 1960. Dessa forma, propostas para o futuro do continente, entre autonomia, independência e unidade africana, sua adesão a projetos para a construção nacional e, ao mesmo tempo, sua inserção em movimentos de solidariedade internacional, como o pan-africanismo e o terceiro-mundismo, podem ser temáticas rastreadas e mapeadas como debates centrais no interior da publicação. Esses tópicos se tornam decisivos para a construção de uma narrativa sobre a Présence Africaine e toda uma geração de intelectuais e políticos oeste-africanos de expressão francesa.
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Discours postcolonial et traduction de la littérature africaine subsaharienne après les années soixante : rémanences colonialistes

Kamgang, Emmanuel 29 November 2012 (has links)
La traduction postcoloniale de la littérature africaine europhone ne saurait s’inscrire dans le contexte colonial à proprement parler, où la traduction pouvait directement servir les intérêts de la colonisation. Les années 60 marquent la transition entre le discours du roman colonial, dimension essentielle du discours hégémonique occidental sur l’espace colonial africain, et celui du roman africain moderne. Si ce changement de perspective se reflète sur la traduction, celle de la littérature africaine reste le fait d’instances énonciatrices majoritairement occidentales. Or, le discours occidental sur l’altérité africaine s’étant constitué en un savoir qui subsiste à ce jour sous une forme ou une autre (rémanences), on peut s’interroger sur le positionnement d’une traduction occidentale de la littérature africaine postcoloniale par rapport à ce savoir dont la crise a présidé à l’éclosion de cette littérature anticoloniale qu’elle se propose de promouvoir. Autrement dit, la traduction occidentale de la littérature africaine postcoloniale est-elle à l’abri des représentations coloniales qui ont au fils des années voire des siècles façonné le regard de l’Occident sur l’Afrique? Pour aborder cette question, la traduction est posée ici, au-delà des considérations d’ordre linguistique et culturel – notamment l’hybridation de la langue d’écriture par les valeurs culturelles africaines – en termes de rapport à l’altérité. Dans une approche descriptive, les traductions française, anglaises et allemandes d’œuvres africaines représentatives de la postcolonialité ont été respectivement examinées dans une perspective comparative. Plus que de juger un acte de promotion de la littérature africaine au sein du canon universel, il faut d’abord voir ici l’occasion de revisiter le cadre théorique d’une traduction de soi, par opposition à une traduction de l’autre, la littérature africaine postcoloniale se définissant elle-même comme une écriture de soi, non pas en termes d’opposition binaire, mais bien dans une perspective hybride. Car, au-delà de sa dimension politique, la littérature africaine europhone assume la double identité propre à la postcolonialité.
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La décolonisation au Mali et au Sénégal, 1958-1962 : essai d'explication d'une évolution politique contrastée

Dagenais, Dominic January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Introduction à la littérature négro-africaine de langue française

Kesteloot, Lilyan January 1960 (has links) (PDF)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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« My Narrative is just published » : publication, circulation et réception des récits d'esclaves africains-américains, 1825-1861 / “My Narrative is just published” : the Publication, Circulation, and Reception of Antebellum Slave Narratives

Roy, Michaël 20 November 2015 (has links)
Cette thèse entreprend l’étude du corpus des récits d’esclaves africains-américains publiés entre 1825 et 1861 au prisme de l’histoire du livre et de l’édition. À partir de recherches sur archives, elle met au jour les modes de publication, de circulation et de réception de récits emblématiques – ceux de Frederick Douglass, William Wells Brown, ou encore Harriet Jacobs – et de récits moins connus. Partant, elle remet en cause certaines idées reçues sur ces récits de la période antebellum, dont la critique considère généralement qu’ils furent publiés grâce à l’aide des sociétés antiesclavagistes, qu’ils rencontrèrent un succès considérable auprès de la classe moyenne blanche du Nord et furent tirés à des milliers d’exemplaires, et qu’ils constituèrent rapidement un genre à part dans la production littéraire de l’époque. Il s’agit dans ce travail de montrer la diversité des dispositifs éditoriaux au sein desquels les récits d’esclaves virent le jour, en même temps que de s’interroger sur le rapport des Africains-Américains au livre et à l’imprimé et sur leurs pratiques en matière de publication, à un moment où l’industrie éditoriale est encore en cours d’émergence et où les acteurs du livre ne publient guère d’ouvrages ayant trait à l’abolitionnisme (au moins jusqu’à la parution d’Uncle Tom’s Cabin de Harriet Beecher Stowe en 1852). En réinscrivant les récits d’esclaves dans le réseau de pratiques et de discours qui ont permis leur essor, et en les considérant dans leur dimension matérielle, cette thèse entend montrer la nature hétérogène et fluide d’un objet littéraire souvent perçu par la critique comme formant un tout cohérent et strictement codifié. / This dissertation is at the crossroads of two distinct disciplinary fields : African American studies and the history of the book. More specifically, it examines the publication, circulation, and reception of antebellum slave narratives—the narratives of Frederick Douglass, William Wells Brown, and Harriet Jacobs, as well as a number of lesser-known works. The story of the slave narrative is well rehearsed : narratives of ex-slaves, critics say, were usually written in collaboration with white abolitionists, with antislavery societies subsidizing publication ; they met with considerable success, going through multiple editions and selling in the tens of thousands ; they were largely directed toward a northern white audience ; and they soon emerged as a distinct genre in antebellum America. None of these statements is fundamentally untrue. The overall picture they paint of antebellum slave narratives is, however, a distorted one. Slave narratives were produced through a variety of authorial economies. Investigating these economies allows to shed new light not only on the slave narrative as a genre, but also on African Americans’ print practices at a time when the publishing industry was still emerging and when book people were reluctant to publish and distribute antislavery literature—at least before Harriet Beecher Stowe’s Uncle Tom’s Cabin came out in 1852. Acknowledging the heterogeneous and fluid nature of what is often perceived as a homogeneous and strictly codified genre gives us a better sense of how slave narratives might have been variously received and consumed in the decades preceding the Civil War.
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Discours postcolonial et traduction de la littérature africaine subsaharienne après les années soixante : rémanences colonialistes

Kamgang, Emmanuel 29 November 2012 (has links)
La traduction postcoloniale de la littérature africaine europhone ne saurait s’inscrire dans le contexte colonial à proprement parler, où la traduction pouvait directement servir les intérêts de la colonisation. Les années 60 marquent la transition entre le discours du roman colonial, dimension essentielle du discours hégémonique occidental sur l’espace colonial africain, et celui du roman africain moderne. Si ce changement de perspective se reflète sur la traduction, celle de la littérature africaine reste le fait d’instances énonciatrices majoritairement occidentales. Or, le discours occidental sur l’altérité africaine s’étant constitué en un savoir qui subsiste à ce jour sous une forme ou une autre (rémanences), on peut s’interroger sur le positionnement d’une traduction occidentale de la littérature africaine postcoloniale par rapport à ce savoir dont la crise a présidé à l’éclosion de cette littérature anticoloniale qu’elle se propose de promouvoir. Autrement dit, la traduction occidentale de la littérature africaine postcoloniale est-elle à l’abri des représentations coloniales qui ont au fils des années voire des siècles façonné le regard de l’Occident sur l’Afrique? Pour aborder cette question, la traduction est posée ici, au-delà des considérations d’ordre linguistique et culturel – notamment l’hybridation de la langue d’écriture par les valeurs culturelles africaines – en termes de rapport à l’altérité. Dans une approche descriptive, les traductions française, anglaises et allemandes d’œuvres africaines représentatives de la postcolonialité ont été respectivement examinées dans une perspective comparative. Plus que de juger un acte de promotion de la littérature africaine au sein du canon universel, il faut d’abord voir ici l’occasion de revisiter le cadre théorique d’une traduction de soi, par opposition à une traduction de l’autre, la littérature africaine postcoloniale se définissant elle-même comme une écriture de soi, non pas en termes d’opposition binaire, mais bien dans une perspective hybride. Car, au-delà de sa dimension politique, la littérature africaine europhone assume la double identité propre à la postcolonialité.
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Les écrivains noirs de langue française : naissance d'une littérature /

Kesteloot, Lilyan. January 1983 (has links)
Thèse de doctorat--Philologie romane--Bruxelles. / Bibliogr. p. 331-340.

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