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Métabolisme des rétinoïdes et facteurs d’influence dans l’obésité, la résistance à l’insuline et le diabète de type 2 : études chez l’animal et chez l’hommeSima, Aurelia 05 1900 (has links)
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Effets d’une supplémentation en glutamine chez des nageurs de haut niveaude Macar-Culée, Alexia 01 1900 (has links)
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Positionnement optimal de l'activité physique pour profiter de l'effet anorexigèneAlbert, Marie-Hélène 08 1900 (has links)
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Analyse d’implantation d’un programme de jardinage éducatif en services de garde à la petite enfance : perceptions des intervenantes du milieuPotvin Lavoie, Amélie 05 1900 (has links)
La saine alimentation dès le plus jeune âge est essentielle dans la prévention de l’obésité. Pour y arriver, les mesures de promotion doivent être présentes dans tous les milieux fréquentés par l’enfant, incluant le service de garde (SG). C’est d’ailleurs l’un des buts de l’organisme Croquarium avec son programme Un trésor dans mon jardin (UTJ). Objectif. Analyser les perceptions d’intervenantes du milieu de la petite enfance concernant l’implantation et l’impact du programme UTJ sur l’environnement alimentaire des enfants qui y sont exposés. Méthode. Les perceptions des intervenantes en SG et de Croquarium ont été recueillies par le biais d’entretiens semi-dirigés. L’analyse qualitative des données est basée sur une adaptation de la théorie écologique du développement humain de Bronfenbrenner. Résultats. Au total, quatorze entrevues ont été menées. Les répondantes ont perçu des changements dans plusieurs sphères de l’environnement alimentaire, soit dans les activités réalisées avec les enfants et leurs comportements face à l’alimentation, mais aussi au niveau des relations avec les parents. De plus, il semble que les principales barrières à la pérennité d’UTJ soient le manque de temps, une implication déficiente des intervenantes en SG et des ressources financières insuffisantes. Conclusion. Cette étude a permis de mieux comprendre comment est implanté UTJ en SG. Entre autres, il semble que l’arrivée d’UTJ ait modifié positivement l’environnement alimentaire des enfants participants. Toutefois, les données recueillies suggèrent que pour assurer la pérennité du programme en SG, l’implication de tous les acteurs du milieu est nécessaire. / Healthy eating starting during early childhood is essential for obesity prevention. To be successful, its promotion must be done everywhere children evolve, including in child-care settings. This is one of the goals pursued by the organization Croquarium with their program Un trésor dans mon jardin (a treasure in my garden) (UTJ). Objective. To analyse child care providers’ and Croquarium team members’ perceptions of the implementation and impact of UTJ on the food environment of children exposed to this project. Methods. Respondents’ perceptions were obtained by semi-structured interviews. Qualitative analysis of the data was based on an adaptation of Bronfenbrenner’s Ecological Social Theory. Results. In the end, fourteen interviews were conducted. Respondents perceived changes in many areas, like in the type of activities realized with children and their behaviours around food, but also in the communications with parents. Furthermore, it seems that the major obstacles of UTJ’s continuity is the lack of time, the lack of involvement from child-care providers and insufficient financial resources. Conclusion. This study gives us a better understanding of how UTJ is implemented in child-care settings. Also, it appears that UTJ has a positive influence on the food environment of participating children. However, data suggest that the involvement of every stakeholder is needed.
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Communications et Informations sur l'alimentation et la nutrition dites bénéfiques pour la santé : les influences sur les savoirs et pratiques corporelles d'adultes vivant en France contemporaine / Environmental health, communications and informations on food and nutrition called beneficial for health : the influences on the knowledge and the physical practices of adults living in contempory FranceMathias, Virginie 01 February 2010 (has links)
Notre enquête relève les discours sur « l’alimentation saine » en Francecontemporaine. Qu’ils émanent de groupes médicaux, scientifiques, politiques oud’institutions gouvernementales ou non ou encore de la population, ils sontpolysémiques. Ils se construisent au fur et à mesure du temps et génèrent unenorme sociale qui s’appuie sur des thèmes récurrents comme l’équilibre ou ladiversité alimentaire.L’idée de l’alimentation saine est soutenue par des mythes comme la jeunesseéternelle, le surhomme, l’harmonie sociale et la pureté.Avec ces moteurs de choix, les sujets se créent une pluralité d’identitésdiététiques. Des modèles « alimentaires sains » se déclinent en rapport avec larégion d’habitation, le statut corporel, la religion, le sexe, l’âge et les imagessociales des aliments. L’identité alimentaire, processus de différenciation et desimilitude évolue et amène l’être à la renonciation de lui-même pour aller à larencontre de l’autre, de son univers alimentaire, afin de devenir « soi-mêmecomme un autre ».Nous dessinons des portraits de mangeurs mis au régime par leur société et qui,dans l’interaction sociale, ressentent un appétit pour leur santé. Poursuivant, nousillustrons les messages sur « l’alimentation saine » avec des réinterprétationscollectives et également individuelles. Les personnes vont prêter attention auxinformations et communications sur l’alimentation et la nutrition, dites bénéfiquespour la santé à partir du moment où ces messages s’inscrivent dans leur trame devie. Manger signe une intention corporelle de l’être. L’alimentation fabrique uncorps sexué « sain ». Cependant dans l’alimentation contemporaine se dégagentdes aspects négatifs : les risques alimentaires. Aujourd’hui, naissent des peursalimentaires voire des maladies nutritionnelles chez l’homme « normal ».L’alimentation saine peut-être un levier pour la manipulation des sujets et révèledes logiques d’acteurs. Les outils biomédicaux servent alors une esthétiquecorporelle dominante et médicalisent un corps humain « idéalisé ». La santé estelleune apparence de beauté esthétique ? / Our survey studies the speeches on “healthy diet” in contemporary France.Whether they come from medical, scientific, political groups or from governmentalor not institutions, or from the population, they are polysemous.They build themselves in time and produce a social standard which relies onrecurring topics such as balance or the food variety.The idea of a healthy diet is supported by such myths as eternal youth, superman,social harmony and purity.With these choices, the subjects build up for themselves a plurality of dietaryidentities. Healthy food models are in connection with the region of residence, thephysical status, the religion, the sex, the age and the social images of food.The food identity, process of differentiation and resemblance evolves and bringspeople to the renunciation of themselves to go and meet the other one, his or herfood universe and become “one equal to the other one".We draw eaters' portraits put on a diet by their society and who feel an appetite fortheir health in social interaction. Then, we illustrate messages on “the healthydiet” with collective and also individual reinterpretations. People are going to payattention to the information and the communications on food and the nutrition saidbeneficial for health from the moment these messages fit their way of life.Eating is a sign of the physical intention of the human being. Food makes a"healthy" sexual body. However in the contemporary world food releases negativeaspects: the food risks. Nowadays, arise from food fears even nutritional diseasesat the "normal" man.A healthy diet is a control lever for the manipulation of the subjects and revealactors' logics. Biomedical tools serve then a dominant physical aesthetics andprovide an "idealized" human body along with “medical care”. Is health anappearance of aesthetic beauty?
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Intervention nutritionnelle visant à stabiliser l’anticoagulothérapie à la warfarine sodiqueChahine, Suzanne 12 1900 (has links)
L’apport en vitamine K a été identifié comme un facteur influençant la stabilité de l’anticoagulothérapie à long terme. Des études cliniques ont montré que les patients recevant un supplément de vitamine K (100 à 150 μg/jour) bénéficiaient d’une amélioration de la stabilité de l’anticoagulothérapie. Dans le but de vérifier si un effet bénéfique similaire peut être obtenu grâce à une augmentation de l’apport de vitamine K à partir de la diète, un essai contrôlé randomisé de 24 semaines a été mené. Les patients randomisés dans le groupe d’intervention ont participé à des ateliers proposant des recommandations nutritionnelles afin d’augmenter leur apport en vitamine K d’au moins 150 μg/jour. Les patients du groupe contrôle ont participé à des ateliers distincts recommandant une alimentation équilibrée. La stabilité de l’anticoagulothérapie a été définie par le pourcentage de temps passé dans la fenêtre thérapeutique (TTR≥70%) entre les semaines 4 et 24. L’analyse basée sur l’intention de traitement a montré que le pourcentage des participants qui répondaient aux critères de stabilité à l’anticoagulation étaient 44,4% et 27,3% pour le groupe d’intervention et le groupe contrôle, respectivement (p=0,22). L’analyse conforme au protocole a accentué la différence entre les groupes intervention et contrôle (52,2% et 27,3%, respectivement (p=0,088)). Les deux analyses ont montré que l’apport moyen de vitamine K calculé entre les semaines 6 et 24 était supérieur dans le groupe d’intervention par rapport au groupe contrôle (p=0,001). Cette étude tend à appuyer l’hypothèse selon laquelle un apport quotidien élevé de vitamine K améliore la stabilité de l’anticoagulothérapie. / Vitamin K intake has emerged as an important factor in influencing the stability of long-term anticoagulation therapy. Clinical trials have shown that patients receiving a vitamin K supplement (100 - 150 μg/d) present improvements in the stability of their anticoagulant therapy. Thus, a 24-week randomized controlled trial was conducted to verify whether similar beneficial effects could be achieved by increasing daily vitamin K intake through the diet. Patients randomly assigned to the intervention group attended workshops that provided dietary counsel to increase their vitamin K intake by ≥ 150 μg/day. Patients in the control group participated in distinct workshops providing general advice on a balanced diet. The stability of anticoagulation therapy was defined as the percentage of time spent in the therapeutic range (TTR ≥ 70%) during weeks 4 through 24 of the experimental period. Intention to treat analysis showed that the percentage of participants who benefited from an improvement in the stability of anticoagulation therapy was greater in the intervention group than the control group (44.4% vs 27.3% respectively; p=0.22). Per protocol analysis accentuated the difference between groups i.e. 52.2% vs 27.3% in intervention and control group respectively (p=0.088). Both analyses showed that the mean vitamin K intake calculated during weeks 6 through 24 was higher in the intervention than in the control group (p=0.001). The study tends to support the hypothesis that a high daily vitamin K intake improves the anticoagulation stability of warfarin-treated patients.
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Comparaison des effets d’une diète faible en lipides et d’une diète faible en glucides sur le profil cardiométabolique chez des sujets atteints de chylomicronémie multifactorielle : étude croisée randomiséeFantino, Manon 02 1900 (has links)
Le syndrome de chylomicronémie multifactorielle (MCS) est une maladie complexe au cours de laquelle les valeurs de triglycérides (TG) dépassent 10 mmol/L. Le MCS se manifeste à l'âge adulte et a une prévalence d’environ 1 adulte sur 600 au Québec. Deux conditions doivent être réunies pour développer cette maladie : une composante génétique (oligogénique ou polygénique) ainsi que la présence de facteurs de risque reliés au style de vie (une alimentation riche en gras et en sucres raffinés, une consommation excessive d'alcool, un diabète non contrôlé ou l'obésité). Le MCS est une condition de santé grave, puisqu’il augmente considérablement le risque de pancréatites aigües et peut doubler le risque de maladies cardiovasculaires. Actuellement, il n’y a pas d’étude d’intervention nutritionnelle, réalisée dans cette population, qui permette de connaitre l’approche nutritionnelle la plus bénéfique. Ce mémoire présente les résultats d’une étude croisée randomisée dont l’objectif était d’évaluer l’impact d’une diète faible en lipides et d’une diète faible en glucides sur le profil lipidique à jeun et postprandial chez des patients atteints de MCS en fonction de la présence d’un variant rare à l’état hétérozygote du gène de la lipoprotéine lipase (LPL). Les résultats de cette étude suggèrent qu’une diète faible en lipides permettrait une diminution plus importante des TG chez les sujets porteurs d’un variant rare à l’état hétérozygote de la LPL et pourrait ultimement contribuer à réduire le risque de pancréatite aigüe sur le long terme. / Multifactorial chylomicronemia syndrome (MCS) is a complex disease in which triglyceride (TG) values exceed 10 mmol/L. MCS occurs in adulthood and has a prevalence of approximately 1 in 600 adults in Quebec. Two conditions must be met to develop this disease: a genetic component (oligogenic or polygenic) as well as the presence of lifestyle risk factors (a diet high in fat and refined sugars, excessive alcohol consumption, uncontrolled diabetes or obesity). MCS is a serious health condition, as it significantly increases the risk of acute pancreatitis and can double the risk of cardiovascular disease. Currently, there are no nutritional intervention studies conducted in this population to determine the most beneficial nutritional approach. This thesis presents the results of a randomized crossover study whose objective was to evaluate the impact of a low-fat diet and a low-carbohydrate diet on the fasting and postprandial lipid profile in patients with SCD according to the presence of a rare heterozygous lipoprotein lipase (LPL) gene variant. The results of this study suggest that a low-fat diet would result in a greater reduction in TGs in subjects with a rare heterozygous variant of LPL and may ultimately help reduce the risk of acute pancreatitis in the long term.
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Effets de l'activité physique sur l'appétit, l'ingestion alimentaire, l'olfaction et la gustationJosaphat, Kapria-Jad 03 1900 (has links)
Introduction : La suralimentation, le manque d’exercice et la sédentarité représentent des causes modifiables et importantes dans le développement de l’obésité et des troubles de santé qui y sont associés. Il est connu qu’en plus d’avoir des effets bénéfiques pour le métabolisme, l’exercice permet d’augmenter la dépense énergétique et aide au maintien de la balance énergétique. Des études récentes ont révélé que l’exercice pourrait également causer une diminution de l’ingestion calorique, ce qui mènerait à un meilleur contrôle de la balance énergétique et pourrait avoir des effets bénéfiques pour la santé et ce, même lorsque pratiqué à faible intensité. Les objectifs de cette thèse sont d’explorer les effets de paramètres de l’exercice sous-étudiés en contrôle pondéral en 1) documentant l’impact de tâches de faible à très faible intensité (i.e. postes de travail actifs) chez les personnes en surplus pondéral et sur l’ingestion alimentaire et 2) en déterminant comment les facteurs chimiosensoriels liés au contrôle de l’appétit sont affectés par la pratique d’exercice par rapport au repos et en réponse à divers positionnements de la séance d’exercice dans le temps (timing).
Méthodes et résultats : Pour répondre au premier objectif de recherche, une revue systématique a été effectuée afin de documenter l’impact de l’usage des postes de travail actifs chez les personnes en surplus pondéral (article 1). Dix-neuf études ont été inclues, dont 12 portant sur les postes de travail debout, 9 sur les postes avec tapis-roulant, 3 sur les postes avec ergocycle et un sur un poste avec marcheur. Les résultats indiquent que ces postes de travail sont efficaces pour l’augmentation de la dépense énergétique et la réduction de la sédentarité au travail. Une étude expérimentale a été menée afin de déterminer quel est l’impact d’un poste de travail debout, comparé à un poste conventionnel assis, sur l’ingestion alimentaire. Trente-six hommes et femmes ont été assignés de façon randomisée à un poste de travail debout ou un poste assis (article 2). Ils ont pris part à des tâches cognitives pendant environ 1 h 30 min sur le poste de travail attitré et une collation ad libitum leur était ensuite servie. Les résultats indiquent qu’il n’y a pas de différence significative dans l’ingestion alimentaire entre les participants qui ont pris part à la condition assise (427,8 ± 301,8 kcal) et ceux qui étaient debout (461,2 ± 272,8 kcal; p = 0,472). Pour répondre au second objectif, nous avons tout d’abord observé quel était l’effet de l’exercice de haute intensité sur les perceptions chimiosensorielles liées à l’ingestion alimentaire (article 3). Quatorze hommes ont pris part à deux visites dans un ordre aléatoire consistant en A) une longue pause sédentaire et B) une courte pause sédentaire suivie d’une séance d’exercice (course à pied à 70 % du VO2 max). À leur arrivée (8 : 30), ainsi qu’immédiatement avant le diner (11:40), ils étaient soumis à des tests olfactifs et gustatifs. Puis, un buffet ad libitum leur était servi à midi. Les résultats n’ont révélé aucune différence significative dans l’ingestion alimentaire entre la condition sédentaire et la condition exercice (p=0,888). Ces résultats concordent avec l’absence de différence dans les perceptions olfactives et gustatives entre les conditions (tous les p >0,05). Le concept de timing est relativement nouveau au domaine de l’activité physique et plus particulièrement pour le contrôle de la balance énergétique. L’objectif du dernier projet (article 4) était d’observer si le positionnement de l’exercice dans le temps représente un paramètre d’intérêt pouvant optimiser l’effet coupe-faim via les perceptions chimiosensorielles. Dans un protocole similaire à l’article 3, douze hommes ont été soumis à deux conditions dans un ordre aléatoire : A) une séance d’exercice (30 min à 70% du VO2 max) suivie d’une pause sédentaire (90 minutes) ou B) la pause sédentaire suivie de la séance d’exercice. Ils prenaient part à des tests olfactifs et gustatifs à leur arrivée ainsi qu’avant le diner ad libitum. Les résultats indiquent que le positionnement de la séance d’exercice n’a eu aucun impact sur les perceptions olfactives (tous les p >0,05) et gustatives (tous les p >0,05), ainsi que sur l’ingestion alimentaire totale (p=0,459).
Conclusion : Nos travaux sont les premiers à montrer qu’en situation aigüe l’utilisation d’un poste de travail debout n’augmente pas la consommation alimentaire lors d’un repas subséquent. De plus, l’exercice d’intensité élevée n’a pas suscité de compensation alimentaire au repas subséquent, et ce peu importe le positionnement de la séance. Par ailleurs, contrairement aux hypothèses émises, l’exercice seul ou le positionnement de la séance n’ont pas modifié les perceptions olfactives et gustatives. / Introduction: Overeating, sedentary behaviour and physical inactivity are modifiable and important causes in the development of obesity and related health disorders. It is known that in addition to having beneficial effects on metabolism, exercise increases energy expenditure and helps to maintain the energy balance. Recent studies have shown that exercise may also cause a decrease in caloric intake, leading to better control of the energy balance and may have beneficial health effects, even when practised at low intensity. The objectives of this thesis are to explore the effects of under-studied exercise parameters in weight control by 1) documenting the impact of low to very low intensity tasks (i.e., active workstations) in individuals with excess body weight and on food intake and 2) determining how chemosensory factors related to appetite control are affected by exercise practice relative to rest and in response to various timings of the exercise session.
Methods and results: To address the first research objective, a systematic review was conducted to document the impact of the use of active workstations in individuals with excess body weight (article 1). Nineteen studies were included, of which 12 involved standing workstations, 9 involved treadmill workstations, 3 involved a cycle device, and one involved a stepping device. The results indicate that these workstations are effective in increasing work-hour energy expenditure and reducing sedentary behaviour. An experimental study was conducted to determine the impact of a standing workstation, compared to a conventional sitting workstation, on dietary intake. Thirty-six men and women were randomly assigned to a standing or seated workstation (article 2). They took part in cognitive tasks for about 1h30min on the assigned workstation and were then served an ad libitum snack. The results of the study indicate that there is no significant difference in dietary intake between participants who took part in the sitting condition (427.8 ± 301.8 kcal) and those who were standing (461.2 ± 272.8 kcal; p=0.472). To meet the second objective, we first observed the effect of high-intensity exercise on chemosensory perceptions related to food intake (article 3). Fourteen men took part in random order in two visits consisting of A) a long sedentary break and B) a short sedentary break followed by an exercise session (running at 70% of VO2 max). Upon arrival (8:30), as well as immediately before dinner (11:40), they were subjected to olfactory and taste tests. Then, an ad libitum buffet was served to them at noon. The results showed no significant difference in dietary intake between sedentary and exercise conditions (p=0.888). These results are consistent with the lack of difference in olfactory and gustatory perceptions between conditions (all p >0.05). The concept of timing is relatively new to the field of physical activity and more particularly to the control of the energy balance. The objective of the last project (article 4) was to observe whether the timing of exercise represents a parameter of interest that can optimize the appetite-suppressing effect via chemosensory perceptions. In a protocol similar to article 3, twelve men were subjected in random order to two conditions: A) an exercise session (30 min at 70% of VO2 max) followed by a sedentary break (90 minutes) or B) the sedentary break followed by the exercise session. They took part in olfactory and taste tests upon arrival (8:30 AM) and before the ad libitum dinner (11:40 AM). The results indicate that the timing of the exercise had no impact on olfactory (all p >0.05) and gustatory (all p >0.05) perceptions, or total dietary intake (p=0.459).
Conclusion: In conclusion, our work is the first to show that in acute situations the use of a standing workstation does not increase food consumption during a subsequent meal. Moreover, the high-intensity exercise did not result in acute food compensation at the subsequent meal, regardless of the timing of the session. Contrary to the hypotheses put forward, the exercise alone or the timing of the session did not modify olfactory and gustatory perceptions.
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Supplémentation en vitamine D chez des enfants ayant l’anémie falciforme : une étude pilote randomisée contrôléeGrégoire-Pelchat, Pascale 06 1900 (has links)
Introduction : La majorité des enfants ayant l’anémie falciforme (AF) sont déficients en vitamine D. Cette déficience causerait ou exacerberait possiblement les complications de l’AF telles que les crises de douleur et les complications osseuses. Nous avons récemment publié que près de 70% des enfants suivis à notre clinique d’AF étaient déficients en vitamine D (<50 nmol/L), que ceux-ci avaient de faibles apports alimentaires en vitamine D et prenaient peu de suppléments. Cliniquement, les enfants déficients en vitamine D avaient un moins bon profil hématologique que les enfants suffisants en vitamine D. Ces résultats nous ont amené à proposer une intervention pour résoudre ces problèmes.
Objectifs : Primaires : Évaluer la faisabilité, l’acceptabilité et la sécurité d’un bolus oral de 300 000 UI de vitamine D3, chez les enfants ayant l’AF, combiné à une supplémentation quotidienne de 1 000 UI de vitamine D3 pour 3 mois. Secondaires : Évaluer le changement des taux sériques de 25(OH)D après 3 mois ainsi que les impacts cliniques d’une telle supplémentation.
Méthode : Des enfants avec AF (5 à 17 ans, tous les génotypes) ont été randomisés à un bolus oral de vitamine D3 (300 000 UI) ou à un placebo. Tous les enfants ont également reçu une prescription pour des comprimés de 1 000 UI vitamine D3 à prendre quotidiennement. La 25(OH)D sérique a été mesurée au début de l’étude et 3 mois post-bolus (efficacité de l’intervention). Les autres paramètres mesurés lors de l’étude étaient le ratio calcium/créatinine urinaire et le calcium sérique (sécurité), la douleur musculosquelettique, la qualité de vie, l’hématologie et les marqueurs osseux (paramètres cliniques exploratoires).
Résultats : Trente-huit enfants ont participé à l’étude (âge moyen de 10,1 +/- 3,6 ans; 63% HbSS, 29% HbSC et 8% S/β thal+) : 18 ont reçu le bolus de vitamine D et 20 le placebo. Au début de l’étude, les niveaux moyens de 25(OH)D étaient de 75 +/- 27 nmol/L et 50% des enfants étaient insuffisants en vitamine D (<75 nmol/L). Chez les enfants ayant pris le bolus, les taux de 25(OH)D se sont élevés à 94 nmol/L après 3 mois et le taux d’insuffisance en vitamine D est descendu à 17%, alors que pour le placebo, les taux de 25(OH)D post 3 mois étaient de 74 +/- 19 nmol/L et le taux d’insuffisance en vitamine D était de 45% (p=0,001). Aucun épisode d’hypercalcémie, d’hypercalciurie ou d’hypervitaminose D (>250 nmol/L) n’a eu lieu durant l’étude, mais les enfants du groupe bolus ont expérimenté plus de symptômes gastro-intestinaux dans le premier mois suivant l’ingestion du bolus, comparativement au groupe placebo. Le décompte de réticulocytes était plus faible à la fin de l’étude pour les enfants du groupe bolus. Aucun autre effet clinique de l’intervention n’a été observé.
Conclusion : L’utilisation d’un bolus de vitamine D à haute dose combiné à une supplémentation quotidienne en vitamine D chez des enfants ayant l’AF était plus efficace à élever les taux de 25(OH)D à des taux supérieurs à 75 nmol/L que la supplémentation quotidienne seule. Des études multicentriques à plus grande échelle et de plus longue durée sont nécessaires afin d’évaluer les effets cliniques d’une telle supplémentation. / Background: Most children with sickle cell disease (SCD) are vitamin D deficient. This deficiency could possibly cause or exacerbate SCD complications such as pain crisis and bone complications. We previously showed that nearly 70% of children followed in our SCD Clinic were vitamin D deficient (<50 nmol/L) with low vitamin intake and poor use of supplements. Clinically, worse hematological profile was seen in vitamin D-deficient children compared to vitamin D-sufficient children. This study was designed to overcome these issues.
Objectives: Primary objectives were to assess feasibility, acceptability, and safety of a single oral bolus of 300,000 IU of vitamin D3 combined to daily 1,000 IU vitamin D3 for 3 months in children with SCD. Secondary objectives were to asses the mean change in serum 25(OH)D from baseline to 3 months post-bolus and its clinical impact.
Procedure: A randomized controlled trial was carried out in children with SCD (5-17 years, all genotypes). Children were randomized to a single bolus of vitamin D3 (300,000 IU) or placebo and also received prescription for daily 1,000 IU vitamin D3. Serum 25OHD (efficacity outcome) was measured at baseline and 3 months post-bolus. Other outcomes measured were urinary calcium/creatinine ratio and serum calcium (safety), musculoskeletal pain, quality of life as well as hematology and bone markers (exploratory outcomes).
Results: Thirty-eight children were randomized to received the vitamin D bolus (n=18) or the placebo (n=20) (mean age 10.1 +/- 3.6 years; 63% HbSS, 29% HbSC and 8% S/β thal+). At baseline, 50% of the children were vitamin D insufficient (<75 nmol/L) and mean serum 25(OH)D levels were 75 +/- 27 nmol/L. In the vitamin D bolus group, insufficiency dropped to 17% post 3 months and mean 25(OH)D levels raised to 94 nmol/L. In children who took the placebo, rates of vitamin D insufficiency were 45% and mean 25(OH)D levels were 74 +/-19 nmol/L post 3 months (p=0.001). The vitamin D bolus caused no hypercalcemia, hypercalciuria nor hypervitaminosis D (>250 nmol/L). However compared to the placebo group, more children in the bolus group experienced gastro-intestinal symptoms within the first month following the vitamin D bolus. As for the hematology parameters, only a slight difference in reticulocytes counts was observed with lower reticulocytes count the end of the study in children from the bolus group. No other clinical effects of the intervention were observed.
Conclusions: High-dose vitamin D bolus combined to daily supplementation in children with SCD is more efficient than daily supplementation alone to raise 25(OH)D levels ≥75 nmol/L. Large-scale multicenter studies of longer duration are needed to assess whether this intervention can improve clinical outcomes of children with SCD.
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Pratiques alimentaires et gestion du diabète chez les diabétiques suivis au Centre national hospitalier et universitaire et à la Banque d’insuline de Cotonou au BéninHoungla, Medesse Florence Nicole 03 1900 (has links)
Le diabète est en progression au Bénin et sa prévalence est passée de 2,9% en 2008 à 12,4% en 2015. Or, il existe peu de données sur les facteurs favorisant ou aggravant la gestion de cette maladie. Cette recherche vise à évaluer les pratiques alimentaires des diabétiques et leur prise en charge nutritionnelle au Bénin. Une étude transversale auprès de 252 diabétiques âgés de 18 ans et plus suivis au Centre National Hospitalier Universitaire (CNHU) et à la banque d’insuline de Cotonou a été réalisée. Des rappels de 24h, des questionnaires et des mesures d’hémoglobine glyquée ont été colligés auprès des diabétiques et des entrevues ont été réalisées auprès de 18 professionnels de santé. Des analyse statistiques ont permis de rechercher les associations entre les pratiques alimentaires et la gestion du diabète et une grille d’analyse a permis de qualifier leur prise en charge nutritionnelle. Dans l’ensemble, les individus suivis au CNHU gèrent mieux leur diabète que ceux de la banque d’insuline. Il existe une différence significative dans la gestion du diabète selon l’âge et la profession. Les pratiques alimentaires sont surtout basées sur la cuisine maison mais les plats cuisinés souffrent de diversité. Peu de diabétiques ont une bonne gestion de leur diabète et ceux-ci reçoivent une prise en charge nutritionnelle déficiente variant d’un centre de diabétologie à l’autre. Il est important de mieux étudier les pratiques alimentaires des diabétiques, de standardiser la prise en charge nutritionnelle et de recruter des nutritionnistes dans les services de diabétologie au Bénin. / Diabetes is on the rise in Benin and its prevalence increased from 2.9% in 2008 to 12.4% in 2015. There is little information on the factors promoting or aggravating diabetes management. This research aims to evaluate the dietary practices of diabetics and their nutritional management by health professionals in Benin. We conducted a cross-sectional study of 252 diabetics aged 18 years and older followed at the Centre National Hospitalier Universitaire (CNHU) and the Cotonou insulin bank. Questionnaires, 24-hour recalls and glycated hemoglobin measurements were collected among the diabetics. Semi-directed interviews were also conducted with 18 health professionals. Statistical analyses were used to test for associations between dietary practices and diabetes management, and an analytical grid was used to qualify their nutritional management by health professionals. Overall, individuals monitored at the CNHU managed their diabetes better than those at the insulin bank. There is a significant difference in diabetes management by age and occupation. Dietary practices are mainly based on home-cooking, but dishes suffer from diversity. Few diabetics have good management of their diabetes and they receive poor nutritional management that varies from one diabetes centre to another. This study highlights the need to better study the dietary practices of diabetics, to standardize nutritional care and to recruit nutritionists in the diabetes services in Benin.
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