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Longshan sous la loupe : étude de variabilité de céramiques domestiques dans la vallée de la rivière Yiluo, Henan, Chine

Houle, Jean-Luc January 2002 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La maison A du site d'Argilos, un exemple de l'architecture domestique en Grèce antique

Poulin, Ariane January 2001 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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L'architecture religieuse en contexte :Le cas de la province romaine d'Epire ancienne durant la période protobyzantine (Ve-VIIe siècle)

Noussis, Maria 21 April 2021 (has links) (PDF)
L’architecture religieuse dans la province d’Epire ancienne durant la période protobyzantine (Ve – VIIe siècles), une région couvrant le nord-ouest de la Grèce et le sud de l’Albanie actuelles, était jusqu’à présent restée largement méconnue. L'objectif de cette thèse de doctorat était, en premier lieu, de dresser un catalogue des vestiges se rapportant à l'architecture religieuse sur l'ensemble de la province, qu'il s'agisse de constructions bien documentées, de vestiges inédits ou d'éléments de décor architectural. Dans un premier volet, l'étude des plans des différents édifices a permis de déterminer des caractéristiques architecturales propres à l’Epire, mais aussi de distinguer des variations en fonction du contexte dans lequel chaque édifice prend place. Dans un second temps, les sites ont été envisagés sous l'angle topographique, en examinant les basiliques dans leur contexte restreint et en analysant la position qu’elles occupent au sein des cités ainsi que leur relation avec les constructions préexistantes. Nous nous sommes ensuite intéressé aux contextes non-urbains, qui jusqu’à présent n’avaient que très peu intéressé les chercheurs. Leur examen attentif a montré que les emplacements pourvus d’églises peuvent manifester différentes catégories de sites. Parmi eux, certains sont sans doute des étapes routières le long des axes figurés sur la Table de Peutinger dont nous avons précisé le tracé. Une deuxième catégorie englobe les basiliques situées dans ou à proximité de forteresses, souvent construites à l’époque hellénistique et réoccupées durant l’Antiquité Tardive. Certaines sont destinées à l’armée alors que d’autres constituent des lieux de refuge. Un troisième groupe englobe les sanctuaires péri-urbains, des lieux de pèlerinage vraisemblablement gérés par des communautés monastiques. Enfin, des fouilles récentes ont permis de mettre au jour de nouveaux sites côtiers qui deviennent de véritables villes mais qui n’ont vraisemblablement pas de statut civique. Grâce à ces recherches, nous avons pu observer les modes de diffusion du christianisme dans cette région située entre les deux centres d’influence que sont Rome et Constantinople. Notre étude des édifices religieux a montré que l’opposition binaire entre villes et campagnes ne peut être reçue et qu’il y a plusieurs formes et manifestations du christianisme au sein de la province. / Doctorat en Histoire, histoire de l'art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La collection historique du site Royarnois (CgEq-19), Cap Tourmente

Corriveau, Isabelle 03 1900 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l’Université de Montréal / Ce mémoire propose l'étude de la collection archéologique de tradition européenne française du site Royarnois. Notre recherche vise la datation de cette collection pour l'inscrire dans la trame historique du Québec, à partir principalement des vestiges céramiques et de la distribution spatiale de l'ensemble de la collection. Pour atteindre cet objectif, nous devons cerner le contexte biogéographique et les événements historiques qui ont marqué révolution de la colonisation française au Québec, plus particulièrement de la région du Cap Tourmente. De même, nous précisons l'historique de recherche du site. L'observation des caractéristiques physiques de la céramique a permis de constater que nous étions en mesure d'associer peu de nos céramiques aux groupes identifiés dans d'autres collections. Les quelques céramiques que nous avons pu ainsi associer sont datées des XVIIe et XVIIIe siècles. L'analyse de la distribution spatiale de la collection et l'analyse comparative inter-site nous ont fournis peu d'indice temporel. Cependant, elles nous fournissent des informations intéressantes à propos de l'utilisation de l'espace et des activités exercées sur le site. Nous pouvons conclure que l’occupation européenne du site ne semble pas se limiter au début du XVIIe siècle, mais se poursuivre au siècle suivant sans permettre un découpage temporel précis de l'occupation. De plus, l'assemblage témoigne de différentes activités qui ont eu lieu à l'écart de l'habitation principale. Il nous est possible de proposer la présence d'une aire de transformation de la viande et deux autres aires utilisées comme dépotoirs.
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Automatisation de la gestion et de la manipulation des données issues d'un chantier de fouilles archéologiques depuis leur enregistrement jusqu'à leur interrogation

Rhazi, Aicha 13 April 2018 (has links)
La fouille archéologique est un processus technique visant à recueillir toutes les informations pertinentes sur les manifestations présentes dans un site archéologique; Le processus de la fouille d’un site archéologique peut être décrit par les étapes suivantes : - Explorer le site pour repérer les vestiges; - Récolter et enregistrer les objets trouvés; - Agréger et interpréter les objets pour reconstruire le site; - Analyser ces objets par des requêtes prédéfinies par les archéologues et diffuser les résultats. Les démarches de la fouille nécessitent le développement d’un système informatique qui aide l’archéologue à structurer les données dans une base de données et qui facilite, par la suite, l’interrogation de ces données pendant l’étape d’analyse et d’interrogation, qui peut être considérée comme l’étape la plus importante dans le processus de fouille archéologique. L’objectif de ce mémoire est la réalisation du système NESTOR. C’est un logiciel qui permet aux archéologues d’enregistrer, d’une manière conviviale, toutes les données que les fouilleurs peuvent recueillir sur un chantier de fouilles. Il permet aussi de modifier ces données, une fois enregistrées, afin de tenir compte de l’évolution des travaux sur le terrain, ou tout simplement de les consulter en cours de fouille pour s’assurer de leur adéquation avec la réalité du chantier et de la complétude de l’enregistrement. NESTOR, offre aussi aux archéologues la possibilité de regrouper et d’agréger les données archéologiques. Ce processus est modifiable et réversible. Enfin, les archéologues/fouilleurs pourront interroger la base de données par l’entremise des requêtes préprogrammées dans le système. / An archaeological excavation is a technical process aiming to collect all relevant information related to every entity or fact that appears on an archeological site. The excavation process of an archeological site can be described according to the following stages: - To explore the site in order to locate the uncovered remains ; - To collect and record excavated objects; - To assemble and interpret these objects in order to reconstruct the site; - To analyze these objects following predefined queries by archaeologists, and to disseminate the results. The steps of an excavation require the development of a computing system which could help field archaeologists to structure their data in a data base and to explore their data by meaningful queries during the analytical stage, the latter being considered as the main one in the process of excavation. Our project aims to develop such a computing system; we named it NESTOR. It is a database system that helps archaeologists to store every collected data from an excavated site in a user-friendly way. It also allows updating data, once recorded, in order to take into account the evolution of related works on site, or to check them in the course of the excavation in order to make sure of their adequacy with the reality of the excavation site and the completeness of the stored data. NESTOR also makes it possible for archaeologist’s to collect and incorporate archaeological data in the database. This process is modifiable and reversible. Lastly, archaeologists are able to query the database using some predefined queries offered by the NESTOR system.
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Le bâtiment E d'Argilos : étude sur le foyer grec

Turcotte, Jean-François January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Variabilité lithique et mobilité dans le Méganticois : étude des cherts

Letendre, Myriam January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Caractérisations géochimique et pétrographique : les matériaux lithiques du site archéologique Cartier-Roberval, Cap-Rouge, Québec

Duval, Isabelle January 2009 (has links) (PDF)
En 1541-1543, Jacques Cartier et Le Sieur de Roberval ont exploré le Nord-Est Américain. Leurs expéditions avaient comme but premier d'établir une colonie française, mais aussi de découvrir des sources de métaux précieux. Les textes historiques relatant ces événements sont fragmentaires notamment concernant les différents lieux d'approvisionnement en matériaux. La redécouverte en 2005 du site historique Cartier-Roberval et le lancement du programme de fouilles archéologiques par la Commission de la Capitale Nationale du Québec, ouvrent la voie à l'obtention de renseignements inédits qui témoignent de la période de contact. Le site Cartier-Roberval est situé à Cap-Rouge dans la région de Québec à la limite du domaine géologique allochtone des Appaiaches. Les matériaux lithiques retrouvés lors de la première campagne de fouilles archéologiques en 2007 font l'objet, dans cette présente étude, de caractérisations géochimiques et pétrographiques afin de cerner leur provenance. Le repérage des sources de matériaux lithiques utilisées au 16e siècle permet ainsi d'augmenter notre compréhension du mode de vie passée. Au total, 124 échantillons archéologiques et géologiques, de grès, de schistes, de pyrites, de cristaux de quartz et de cherts, ont été analysés. La provenance des échantillons archéologiques a été déterminée en les comparant à des échantillons de sources géologiques similaires prélevées sur te terrain dans la région de Québec. Le contexte géologique et le mode de formation de chacune des trente-six sources étudiées ont été examinés. La comparaison s'est d'abord effectuée, à partir des données géochimiques, à l'aide de diagrammes et de statistiques muitivariables. Ces données géochimiques sont obtenues au moyen de l'analyse par activation neutronique instrumentale. Ensuite, la comparaison s'est fait à l'aide de regroupements en fiches descriptives selon les résultats d'identification macroscopique et pétrographique. Les analyses de cette étude ont permis d'associer les pierres de construction en grès des structures du 16e siècle, à un affleurement de grès de la Formation de Sainte-Foy, situé au nord-est du site. D'autres matériaux utilisés dans la construction, des shales, proviennent du socle rocheux du site même. Par ailleurs, c'est sur la pointe ouest de l'anse de la rivière du Cap Rouge que d'importante quantité de nodules de pyrites de fer a été remarquée. Les cristaux de quartz, selon les résultats, proviennent des alentours du site, dans les failles présentes à travers Ees shales de la falaise ouest du cap Rouge. Quant aux artefacts en pierres taillées, les résultats supposent que deux sources de cherts auraient été utilisées au 16e siècle sur ie site Cartier-Robervai : celle de la Côte de la Montagne et une autre indéterminée dans i'Oiistostrome de la rivière Etchemin. Des sources et des lieux précis d'extraction de matières premières lithiques utilisées au 16e siècle ont été ciblés. Les résultats obtenus laissent entrevoir que les occupants du site Cartier- Roberval ont exploité des matériaux lithiques à proximité de leur lieu d'établissement. Même si les objets retrouvés sur le site archéologique reflètent un mode de vie européen, ces immigrants du 16e siècle ont su se familiariser avec leur environnement local immédiat. Ils ont exploité un affleurement de grès, non loin de leur site, qui a fourni la majorité de leurs pierres de construction. L'Anse du Cap Rouge, riche en quartz et en pyrites, alimentait l'exploitation minière et procurait localement ce qu'ils croyaient être des pierres précieuses. Les artefacts en chert contrastent quelque peu avec les autres matières premières utilisées sur le site : Ses lieux de leur provenance sont beaucoup plus éloignés. Cette différence dans la stratégie d'acquisition est le témoin de relations avec les Amérindiens.
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Goddesses in Celtic Religion : cult and mythology : a comparative study of ancient Ireland, Britain and Gaul / Les divinités féminines de la religion celtique : culte et mythologie : une étude comparée de l’Irlande ancienne, de la Grande-Bretagne et de la Gaule

Beck, Noémie 04 December 2009 (has links)
This work consists of a comparative study of the female deities venerated by the Celts of Gaul, Ancient Britain and Ancient Ireland from the 8th c. BC to around 400 AD. The Celts had the peculiarity of transmitting their culture, religious beliefs and myths exclusively by oral means, from one generation to another. The available data relating to Celtic goddesses are thus all indirect and of a different nature and period according to the country concerned. They fall into three categories: contemporary Classical texts, which mainly pertain to Gaul and are very rare; the vernacular literature of early medieval Ireland, which was written down by Christian monks from the 7th c. AD; and archaeology from Gaul and Britain, which is very fragmentary and consists of places of devotion, dating from pre-Roman, Gallo-Roman and Romano-British times, votive epigraphy and iconography, dating from after the Roman conquest. Which goddesses did the Celts believe in? Did the Celts from Ireland, Britain and Gaul venerate similar goddesses? What were their nature and functions? How were they worshipped and by whom? Were they hierarchically organized within a pantheon? This thesis thus attempts, by gathering, comparing and analysing the various linguistic, literary, epigraphic and iconographical data from Gaul, Ancient Britain and Ireland, to establish connections and similarities, and thereby reconstruct a common pattern of Celtic beliefs as they relate to female deities. This research consists of five chapters: the mother-goddesses (Matres and Matronae); the goddesses purveying fertility and embodying the land and the natural elements (animals, trees, forests and mountains); the territorial- and war-goddesses; the river-goddesses (rivers, fountains and hot springs); and the goddesses personifying ritual intoxication. / Ce travail consiste en une étude comparée des divinités féminines vénérées par les Celtes de l’Irlande ancienne, de la Grande-Bretagne et de la Gaule du 8ème siècle avant J.-C. à environ 400 après J.-C. Les Celtes avaient la particularité de transmettre leur culture, croyances et mythes par voie orale, de génération en génération. Les sources qui nous permettent d’étudier les divinités et croyances des Celtes sont donc toutes indirectes et de nature, d’origine et de période différentes. Elles se regroupent autour de trois catégories : les textes classiques contemporains, qui ne concernent que la Gaule et sont très peu nombreux ; la littérature vernaculaire de l’Irlande haut-médiévale, qui fut mise par écrit à partir du 7ème siècle après J.-C. par des moines chrétiens ; et l’archéologie gauloise et britannique, qui est très fragmentaire et étudie les lieux de cultes préromains, gallo-romains et romano-britanniques, l’épigraphie votive et l’iconographie, datant d’après l’invasion romaine. Quelles déesses les Celtes honoraient-ils ? Les Celtes d’Irlande, de Grande-Bretagne et de Gaule vénéraient-ils des déesses similaires ? Quelles étaient la nature et les fonctions de ces divinités ? Comment étaient-elles vénérées et par qui ? S’organisaient-elles hiérarchiquement dans un panthéon ? L’analyse et la comparaison des données linguistiques, littéraires, épigraphiques et iconographiques de l’Irlande, de la Grande-Bretagne et de la Gaule permettent d’établir des connexions et des similitudes, et de reconstruire ainsi une somme de croyances religieuses communes. Ce travail s’articule autour de cinq chapitres : les Déesses-Mères (Matres et Matronae) ; les déesses pourvoyeuses de richesses, personnifiant la terre et les éléments naturels (animaux, arbres, forêts, montagnes) ; les déesses du territoire et de la guerre ; les déesses des eaux (rivières, fontaines et sources d’eau chaude) ; et les déesses incarnant l’ivresse rituelle.
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Caractérisations géochimique et pétrographique : les matériaux lithiques du site archéologique Cartier-Roberval, Cap-Rouge, Québec

Duval, Isabelle January 2009 (has links) (PDF)
En 1541-1543, Jacques Cartier et Le Sieur de Roberval ont exploré le Nord-Est Américain. Leurs expéditions avaient comme but premier d'établir une colonie française, mais aussi de découvrir des sources de métaux précieux. Les textes historiques relatant ces événements sont fragmentaires notamment concernant les différents lieux d'approvisionnement en matériaux. La redécouverte en 2005 du site historique Cartier-Roberval et le lancement du programme de fouilles archéologiques par la Commission de la Capitale Nationale du Québec, ouvrent la voie à l'obtention de renseignements inédits qui témoignent de la période de contact. Le site Cartier-Roberval est situé à Cap-Rouge dans la région de Québec à la limite du domaine géologique allochtone des Appaiaches. Les matériaux lithiques retrouvés lors de la première campagne de fouilles archéologiques en 2007 font l'objet, dans cette présente étude, de caractérisations géochimiques et pétrographiques afin de cerner leur provenance. Le repérage des sources de matériaux lithiques utilisées au 16e siècle permet ainsi d'augmenter notre compréhension du mode de vie passée. Au total, 124 échantillons archéologiques et géologiques, de grès, de schistes, de pyrites, de cristaux de quartz et de cherts, ont été analysés. La provenance des échantillons archéologiques a été déterminée en les comparant à des échantillons de sources géologiques similaires prélevées sur te terrain dans la région de Québec. Le contexte géologique et le mode de formation de chacune des trente-six sources étudiées ont été examinés. La comparaison s'est d'abord effectuée, à partir des données géochimiques, à l'aide de diagrammes et de statistiques muitivariables. Ces données géochimiques sont obtenues au moyen de l'analyse par activation neutronique instrumentale. Ensuite, la comparaison s'est fait à l'aide de regroupements en fiches descriptives selon les résultats d'identification macroscopique et pétrographique. Les analyses de cette étude ont permis d'associer les pierres de construction en grès des structures du 16e siècle, à un affleurement de grès de la Formation de Sainte-Foy, situé au nord-est du site. D'autres matériaux utilisés dans la construction, des shales, proviennent du socle rocheux du site même. Par ailleurs, c'est sur la pointe ouest de l'anse de la rivière du Cap Rouge que d'importante quantité de nodules de pyrites de fer a été remarquée. Les cristaux de quartz, selon les résultats, proviennent des alentours du site, dans les failles présentes à travers Ees shales de la falaise ouest du cap Rouge. Quant aux artefacts en pierres taillées, les résultats supposent que deux sources de cherts auraient été utilisées au 16e siècle sur ie site Cartier-Robervai : celle de la Côte de la Montagne et une autre indéterminée dans i'Oiistostrome de la rivière Etchemin. Des sources et des lieux précis d'extraction de matières premières lithiques utilisées au 16e siècle ont été ciblés. Les résultats obtenus laissent entrevoir que les occupants du site Cartier- Roberval ont exploité des matériaux lithiques à proximité de leur lieu d'établissement. Même si les objets retrouvés sur le site archéologique reflètent un mode de vie européen, ces immigrants du 16e siècle ont su se familiariser avec leur environnement local immédiat. Ils ont exploité un affleurement de grès, non loin de leur site, qui a fourni la majorité de leurs pierres de construction. L'Anse du Cap Rouge, riche en quartz et en pyrites, alimentait l'exploitation minière et procurait localement ce qu'ils croyaient être des pierres précieuses. Les artefacts en chert contrastent quelque peu avec les autres matières premières utilisées sur le site : Ses lieux de leur provenance sont beaucoup plus éloignés. Cette différence dans la stratégie d'acquisition est le témoin de relations avec les Amérindiens.

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