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Étude archéologique de la production artisanale au site Huacas de Moche, côte nord du Pérou

Bernier, Hélène January 2005 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Conquête et formation d'une culture originale à Oaxaca (Mexique), à travers l'architecture publique et l'art sculptural des XVIe et XVIIe siècles

Aubut-Robitaille, Éléonore January 2003 (has links)
No description available.
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Les diadèmes dans l’Antiquité grecque, typologie, fabrication et fonction (IXe-IVe s. av. J.-C.) / Diadems in classical Antiquity, typology, manufacture and function (9th-4th century BC)

Marcin, Dimitri 06 November 2015 (has links)
Les diadèmes, dans l’Antiquité grecque, sont des bijoux essentiellement mis au jour dans des ensembles funéraires du monde méditerranéen grec ou sous influence grecque. Ils sont confectionnés à partir de divers matériaux, précieux ou non, l’or étant majoritairement représenté. Nous avons établi un catalogue recensant la quasi-majorité des diadèmes en matériaux précieux datés entre le IXe siècle et le IVe siècle avant J.-C. Le corpus s’appuie sur plusieurs champs de recherche : technologique, iconographique, typologique, bibliographique, graphique et archéologique. L’emploi de la macrophotographie, technique d’observation récemment développée pour comprendre les étapes de fabrication des bijoux anciens, a permis de définir la conception des structures et éléments des bijoux, de mettre en évidence le type de soudure utilisé et d’identifier différentes séries de diadèmes, liées à un atelier ou à une matrice commune. Cette démarche, associée à la confrontation des contextes archéologiques dont sont issus les exemplaires du corpus, ainsi qu’à une analyse iconographique, a mis en évidence les différentes fonctions prêtées aux diadèmes durant cette période, et a souligné, dans certains cas, l’appartenance sociale et culturelle des porteurs. / Diadems, in classical Antiquity, are usually discovered in funerary sites from the Greek Mediterranean world or under Greek influence. They are made from various materials, precious or not, gold is mainly represented. We have established a catalogue making an inventory of a great number of diadems made of precious metal, dated between 9th-4th century BC. The corpus is based on several research areas: technological, iconographic, typological, bibliographic, graphic and archaeological. The use of macro photography, a method of observation recently developed to understand the stages of manufacture of antique jewellery, helped to define the design of the structures and the items of the jewels, to emphasize the type of solder used and to identify different series of diadems, linked to a workshop or a common matrix. This approach, combined with the confrontation of archaeological contexts of the diadems of the corpus, as well as an iconographic analysis, highlighted the various functions of the diadems during this period, and pointed out, in some cases, the social and cultural background of the holders.
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Pratiques halieutiques à la station 4 de la Pointe-du-Buisson (BhFl-1) au Sylvicole Moyen tardif (920-940 AD)

Courtemanche, Michelle January 2003 (has links)
No description available.
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Pour une approche archéologique de la "classe moyenne" égyptienne, de la fin de la Deuxième Période Intermédiaire à la fin de la XVIIIe dynastie

Vermeulen, Thomas 29 April 2017 (has links)
La culture matérielle de l’Égypte ancienne est exceptionnellement riche et nous fournit de précieuses informations sur la société qui les a produites. Toutefois, les différents domaines couverts par cette documentation sont inégalement détaillés. En effet, la nature première des sources n’est pas désintéressée mais sert des objectifs administratifs, économiques, juridiques, religieux, ou encore idéologiques. De plus, les individus capables de lire et écrire sont peu nombreux et sont, pour la plupart, issus des couches aisées de la société. Aussi, les médias utilisés (la littérature, les représentations figurées, la sculpture, l’architecture, l’urbanisme, ) ont pour objectif premier de véhiculer les idéaux de l’élite et de légitimer l’ordre social en place .Par conséquent, l’image qu’elle projette de la société, en particulier sur la hiérarchisation sociale, tend à être excessivement simplifiée et uniformisée.Au cours des dernières décennies, de nombreuses études ont été réalisées portant sur les différents groupes socio-professionnels qui apparaissent régulièrement dans la documentation égyptienne (des groupes de main-d’œuvre spécialisée, les artisans, les marchands, les prêtres, les scribes, etc.) .Cependant, appréhender en détail les conditions de vie de ces groupes et la place exacte qu’ils occupent dans la hiérarchie sociale reste un exercice délicat. Il n’est donc guère étonnant de relever qu’il existe encore relativement peu d’études détaillées portant sur la structure sociale de la société égyptienne .Dans cette discipline en plein développement, il est régulièrement fait mention des couches intermédiaires de la société sous l’appellation de « classe moyenne » égyptienne. Cette classe sociale rassemble des individus qui n’appartiennent ni à l’élite dirigeante, ni à la masse paysanne. Ils proviennent de milieux divers, allant des petits fonctionnaires occupant les échelons inférieurs de l’administration, de la prêtrise ou de l’armée, à un ensemble hétérogène d’individus de statut modeste mais jouissant d’une aisance économique relative. On y trouve notamment des artisans, des propriétaires agricoles, des marchands, ou encore de simples citadins. Ils disposent de moyens économiques suffisants pour leur permettre d’investir dans les espaces de commémoration et funéraires. Ces individus manquent de pouvoir politique et dépendent de l’état, ou des membres de l’élite, dont ils sont clients et pour lesquels ils doivent travailler .L’usage du terme « classe moyenne » est employé régulièrement par les historiens des sociétés anciennes. Pourtant, son emploi est rarement contextualisé et son interprétation est, dès lors, laissée à la seule appréciation du lecteur. Il s’agit pourtant d’une démarche préalable et indispensable car le terme « classe moyenne » revêt une notion idéologique importante, en lien avec les sociétés européennes modernes et contemporaines. Jusqu’à présent, relativement peu d’études exhaustives ont été consacrées à la « classe moyenne » égyptienne et ses contours ne sont que vaguement définis. L’emploi de ce terme semble être une solution idéale pour qualifier des individus dont la place exacte dans la hiérarchie sociale n’est pas connue, mais qui peut raisonnablement être considérée comme intermédiaire.J. Richards est l’une des rares égyptologues à s’être consacrée pleinement à l’étude de cette classe sociale. Toutefois, son champ de recherche s’est limité à la période de la fin du Moyen Empire (1939-1760 av. J.-C.). Elle a développé une approche archéologique de la « classe moyenne » tout en prenant en compte les données textuelles, iconographiques et l’analyse des établissements urbains. Cette approche très intéressante, que nous détaillerons au fur et à mesure de cette dissertation doctorale, est à la base de notre propre réflexion, orientée sur la période du Nouvel Empire (1570-1070 av. J.-C.). En effet, on dispose pour cette période d’une riche documentation archéologique et textuelle qui n’a pas encore fait l’objet d’une telle approche globale. Étant donné la longue durée de cette période de l’histoire égyptienne, nous avons centré notre recherche sur la XVIIIe dynastie (1570-1293 av. J.-C.). Cette période a fourni un bon nombre de cimetières publiés sur l’ensemble du territoire égyptien et constitue une période relativement homogène en ce qui concerne les pratiques funéraires, exception faite de l’épisode amarnien (1353-1320 av. J.-C.). Notre objectif est de faire une mise au point de la définition de la « classe moyenne » égyptienne et de tenter d’y apporter de nouveaux éléments grâce à l’étude des sources du Nouvel Empire. Nous adopterons une démarche archéologique en prenant en considération les vestiges funéraires de plusieurs nécropoles que nous avons sélectionnées. La forme généralement simple des tombes de la population égyptienne ne permet pas la conservation de vestiges architecturaux importants comme des installations cultuelles en surface. Dès lors, nous concentrerons principalement nos propos sur l’analyse du mobilier funéraire des tombes. En prenant en compte ce que l’on sait et ce que l’on est en droit d’attendre d’une « classe moyenne » égyptienne, nous tenterons de déterminer si des assemblages funéraires particuliers sont caractéristiques de la « classe moyenne » égyptienne.Le plan de la thèse s’organise en six chapitres. Afin d’en faciliter la lecture, un second volume contient l’ensemble des images auxquelles le texte renvoie. Le lecteur trouvera également un DVD contenant le corpus de tombes informatisé au format du logiciel SPSS, ainsi que les fichiers au format PDF reprenant les résultats détaillés des diverses analyses descriptives réalisées. Nous y avons également joint une copie numérique des deux volumes de la thèse et une copie JPEG des plans de la plupart des cimetières ou tombes abordées.Le premier chapitre exposera les caractéristiques de la « classe moyenne » égyptienne. Après une courte présentation de la structure de la société pharaonique, nous discuterons de la définition de la « classe moyenne » et de la pertinence de chercher un équivalent de cette classe sociale dans les sociétés anciennes. En effet, cette volonté de regrouper les individus en différentes classes partageant un mode de vie et des intérêts communs s’inscrit dans la tradition sociologique et historique des Temps Modernes. On peut toutefois s’interroger si cette grille d’analyse des sociétés modernes et contemporaines peut être adaptée à l’étude de la société égyptienne. Pour étayer notre argumentation, nous proposons une étude comparative en exposant brièvement les recherches sur la « classe moyenne » de plusieurs historiens spécialistes des sociétés du Mexique ancien et du Haut-Empire romain. Nous examinerons ensuite les principales sources égyptiennes qui ont permis d’affirmer l’existence d’un groupe similaire dans la société pharaonique. Une première partie consiste en un examen des sources du Moyen Empire. En effet, on considère traditionnellement que c’est au cours de cette période qu’émerge la « classe moyenne » égyptienne. Les sources datant de cette époque occupent dès lors une place importante dans la définition de la « classe moyenne » égyptienne. La seconde partie est consacrée à un examen détaillé de deux grands corpus documentaires du Nouvel Empire :le village de Deir el-Médineh et la ville d’el-Amarna.Les caractéristiques de la « classe moyenne » ainsi identifiées, nous prolongerons la recherche dans le deuxième chapitre en se concentrant sur les aspects funéraires. L’objectif est de développer un raisonnement théorique sur ce qui caractérise les assemblages funéraires de la « classe moyenne » et de proposer une méthode d’analyse du corpus de tombes. En premier lieu, nous aborderons les diverses significations que peuvent revêtir la tombe en Égypte ancienne et les informations potentielles qu’elle peut nous transmettre sur les défunts. Ensuite, nous présenterons plusieurs études traitant de l’analyse des vestiges funéraires qui ont influencé notre réflexion et notre méthodologie. Nous attirerons également l’attention sur les limites de la documentation archéologique employée ainsi que sur divers aspects qu’il est nécessaire de considérer dans l’analyse de l’assemblage funéraire. Enfin, en prenant en compte les divers éléments soulignés au cours de ce chapitre, nous exposerons notre méthodologie en matière d’analyse des tombes.Le troisième chapitre sera consacré à la présentation des nécropoles que nous avons sélectionnées dans le cadre de cette étude. Dans la mesure du possible, nous avons choisi des nécropoles réparties sur l’ensemble de la Vallée du Nil, liées à des établissements de nature différente :centres urbains, centres provinciaux et établissements ruraux. Au total, ce sont huit nécropoles pouvant comprendre plusieurs cimetières qui ont été retenues. En fonction de la qualité des registres de tombes fournis pour ces différents cimetières, un corpus informatisé reprenant 1161 tombes a été créé à l’aide du logiciel d’analyse statistique SPSS. Ce chapitre sera également l’occasion de présenter au lecteur les principales caractéristiques des tombes rencontrées dans les cimetières et d’attirer l’attention sur des tombes particulières. Une analyse de l’organisation spatiale des différents cimetières au sein des nécropoles sera également proposée en fonction des informations disponibles.L’analyse détaillée du mobilier funéraire sera répartie, pour plus de facilité, dans les quatrième et cinquième chapitres. Le chapitre 4 présente les caractéristiques des tombes prises en compte pour la création de la base de données SPSS. La majorité d’entre elles se compose des objets meublant la tombe, répartis en différentes catégories. Chacune d’elle fait l’objet d’une courte présentation qui n’a pas pour vocation d’être exhaustive, mais de présenter au lecteur les principales caractéristiques des objets prises en compte lors de l’analyse et l’interprétation des résultats. Celles-ci seront présentées en détail dans le chapitre 5. Plusieurs types d’assemblages funéraires correspondant aux observations seront alors proposés.En guise de conclusion, le sixième chapitre sera consacré à une synthèse générale reprenant les différentes caractéristiques de la « classe moyenne » égyptienne qui ont été mises en avant tout au long de cette dissertation doctorale. En analysant l’ensemble de ces éléments, plusieurs types d’assemblages funéraires correspondant à la « classe moyenne » seront alors proposés. / Doctorat en Histoire, histoire de l'art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La "micro-archéologie": méthode et applications sur des sites de Wallonie et de la Région bruxelloise

Laurent, Christine January 2001 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le vase à anse-goulot en étrier en Amérique précolombienne :un cas d'étude des transmissions et contacts interculturels et de la diversité des processus technologiques

Wauters, Valentine 09 January 2019 (has links) (PDF)
Depuis l’arrivée de l’homme sur le continent américain, les civilisations précolombiennes sont entrées en contact avec d’autres sociétés, pour certaines voisines, et pour d’autres, plus lointaines. Ce travail vise à étudier les liens, les phénomènes de contacts et les modes de transmissions entre les différentes cultures préhispaniques. Cette problématique est abordée, non pas d’une manière générale mais, au travers de la forme céramique du vase à anse-goulot en étrier. Pourquoi ce vase ?Ayant été produit sur une grande partie du continent durant plus de trois millénaires, il constitue de ce fait une caractéristique essentielle de la culture matérielle de ces civilisations, et plus particulièrement de celles de l’Amérique du Sud. Peu d’éléments permettent d’observer ces phénomènes à grande échelle et notamment entre les deux grandes zones culturelles de l’Amérique du Sud et centrale. Le vase à anse-goulot en étrier est pourtant l’un de ces éléments qui a traversé le temps et l’espace. Pour appréhender cette vaste problématique dans son ensemble trois facteurs sont analysés :la géographie, la chronologie et la technologie.Les deux premiers points sont traités conjointement. L’objectif est de dresser l’inventaire exhaustif des cultures précolombiennes ayant produit cette forme céramique si originale, ainsi que de répertorier ses caractéristiques morphologiques. Ces données rassemblées permettent de mieux comprendre les divers degrés de relations et de liens qui unissaient ces cultures. Ceci afin de reconstituer la diffusion de ce récipient que ce soit au niveau micro ou macro régional tout au long de l’époque préhispanique, depuis les premiers exemplaires d’Amazonie équatorienne jusqu’à ceux produits sous l’empire Inca au Pérou. Le troisième point concerne la technologie. Elle est étudiée au travers de la notion de « chaîne opératoire ». Les recherches se concentrent sur l’étape de la construction même de la forme :le façonnage et sur l’étude des macrotraces de la surface interne. Au total, soixante-trois vases à anse-goulot (dont quarante-neuf spécifiquement pour cette étude) ont été analysé via l’archéométrie et ses techniques issues de l’imagerie médicale (CT scan et radiographie à rayons X) et l’observation à l’œil nu. Ces récipients appartiennent principalement aux cultures de la côte Nord péruvienne. Les données rassemblées permettent de comparer les divers processus de fabrication, d’observer les constances et divergences et d’en apprendre davantage sur la transmission de cette forme et de son savoir-faire technique. / Since man’s arrival on the American continent, pre-Columbian civilizations came in contact with other societies, whether neighbors or distant ones. This work aims to study the links, the contact phenomena and the transmission models between the pre-Hispanic cultures. This matter is tackled not in a general way but through the ceramic shape of the stirrup spout bottle. Why this vessel ?Because it was produced over a large portion of the American continent for more than three millennia. It is therefore an essential feature of the material culture of these civilizations, especially for those of South America. Few elements make it possible to observe these phenomena on a large scale and particularly between the two major cultural zones of South and Central America. The stirrup spout bottle is yet one of those elements that has crossed time and space.Three factors are analyzed to fully comprehend this vast topic: the geography, the chronology and the technology.The first two factors are addressed together. The method consists in drawing up an exhaustive inventory of pre-Columbian cultures that produced this unique ceramic shape as well as to list its morphological characteristics. These data allow to better understand the degrees of relationship uniting these cultures. This will enable to map its diffusion at micro or macro regional level throughout the pre-Hispanic era, from the first copies found in Ecuadorian Amazon to the ones produced under the Inca Empire in Peru.The third factor addresses the technology. It is approached through the notion of "operational chain". The research focuses on the construction stages of the bottle with an emphasis on the analysis of the macro-traces found on its inner surface. The study is based on a sample of sixty three stirrup spout bottles of which forty-nine were specifically analyzed for the purpose of this thesis via archaeometry and its medical imaging techniques (CT scan and X-ray radiography) as well as with the naked eye observations. The analyzed bottles mainly belong to the cultures of the Peruvian North Coast. The collected data enables to compare the manufacturing processes, identify convergences and divergences, and better understand the transmission and the technical know-how of this unique form. / Doctorat en Histoire, histoire de l'art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Idéologie du sacrifice humain à travers l'iconographie maya classique

Martel, Valérie January 1999 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Petit exercice de comparaison sur le thème du mobilier en Gaule du Nord du Xe au XIIIe siècle : confrontation de sources écrites et archéologiques

Tremblay, Lara 25 April 2018 (has links)
L'état de la réflexion fondamentale concernant l'association des sources écrites et archéologiques en ce qui a trait à l'étude de la civilisation matérielle n'en est guère encore qu'à ses prémices. C'est dans cette optique que le présent mémoire entend se consacrer à une confrontation de ces deux types de sources sur le thème du mobilier en Gaule du Nord du X au XIIIe siècle et ce, grâce à la mise en parallèle de deux corpus documentaires, l'un composé de onze sources narratives et l'autre, de neuf catalogues archéologiques et de trois revues. Afin d'extraire les informations contenues dans les vingt-trois sources analysées et de rendre possible la comparaison, un système d'enregistrement fondé sur l'usage des objets, classifiant les occurrences en dix-sept catégories distinctes, a été créé. Les résultats obtenus suite à cet enregistrement font ressortir la nécessité de définir avec plus de précision les natures propres de l'écrit et de l'artefact, lesquels constituent deux systèmes de traces du passé à la fois différents et complémentaires, tout en corroborant les bénéfices de leur combinaison. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Les quais de l'estuaire du Saint-Laurent, 1870-1930 : une étude en archéologie historique

Simard, Frédéric 03 1900 (has links)
On trouve sur les côtes de l’estuaire du Saint-Laurent des vestiges de quai dont la ressemblance mutuelle suggère leur contemporanéité. Les vestiges de ces «quais du gouvernement » relatent une importante conjoncture (1870-1930) caractérisée par l'intégration des localités côtières dans une économie interrégionale. Le quai, autrefois lieu d'interface entre la ruralité et le cabotage, devient pour l'archéologue une occasion de retracer les éléments entrant dans sa conception et sa réalisation. L’observation des éléments architecturaux permet de distinguer les traits architecturaux associés aux quais du gouvernement parmi l’ensemble des techniques de construction déjà employées dans l’estuaire au XIXe siècle. / In the St. Lawrence estuary, there are many ancient wharves whose mutual resemblance of their remains suggests they are contemporaneous. The remains of the “government wharves” relate an important conjecture (1870-1930) formed by the integration of the coastal localities in an interregional economic network. The wharf, formerly an interface between the rural land and the estuarial cabotage, presents an opportunity for the archaeologist to recognize the architectural character of the conception and the realization of the wharves. The examination of their frame construction allows us to distinguish the architectural character of the government wharves among the techniques already employed in the estuary in the 19th century.

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