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Entre concept et mise en oeuvre : le désarmement nucléaire à la croisée des chemins

Laz, Karim-André 01 1900 (has links) (PDF)
Le présent mémoire de recherche s'interroge sur les caractéristiques et les fondements de l'échec relatif du désarmement nucléaire au cours des trente-cinq dernières années. En évaluant à la fois les parallèles existant entre le concept de désarmement nucléaire et les études critiques de la sécurité et ceux entre la mise en œuvre du désarmement et la pensée réaliste en relation internationale, cette analyse en arrive à la conclusion que la vision traditionnelle de la sécurité que semblent partager les acteurs impliqués dans le processus de maîtrise des armements et de désarmement nucléaire, limite leurs capacités et leur volonté d'abolir ce type d'armement. En d'autres termes, la vision critique de la sécurité possédant des fondements théoriques similaires au concept de désarmement nucléaire n'est pas partagée par les puissances nucléaires, ce qui explique que la mise en œuvre du désarmement nucléaire tel qu'envisagée par la théorie nous semble impossible. Ainsi, l'opérationnalisation des processus de maîtrise des armements et de désarmement nucléaire, sous la tutelle des puissances nucléaires, s'apparente davantage à une forme de réduction opportuniste sacralisant le soi-disant « intérêt national » de l'État participant, qu'à une réelle volonté de se défaire de ce type d'armement. Divisé en deux parties, ce mémoire explore les fondements théoriques du concept de désarmement nucléaire ainsi que les fondements pratiques de la mise en œuvre des processus de maîtrise des armements et de désarmement nucléaire. Chacune de ces deux parties, subdivisées en trois brefs chapitres explorant concept et mise en œuvre de façon historique et théorique, s'apparente à une analyse comparée de deux théories majeures en relations internationales, soit les études critiques de la sécurité et le réalisme. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Désarmement nucléaire, armement nucléaire, sécurité, théories des relations internationales, études critiques de la sécurité.
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La construction de la menace et la sécuritisation en Corée du Nord : effets sur la politique étrangère

Hardy-Chartrand, Benoit 02 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire propose une analyse approfondie de la sécuritisation en tant qu'instrument politique mis en œuvre par le régime de Kim Jong-Il en Corée du Nord. Nous visons à démontrer la façon dont le régime tente de présenter le monde extérieur, particulièrement les États-Unis, comme une menace immédiate à sa survie afin de justifier les mesures politiques qui s'en suivent, notamment la militarisation extrême et le développement de l'arme nucléaire. En établissant un lien entre la propagande, qui constitue une partie intégrante de l'acte de langage et de la sécuritisation, et les actions posées par Pyongyang, nous cherchons à démontrer que la représentation d'une Corée du Nord menacée existentiellement pousse le régime à adopter une politique étrangère qui contribue à l'hostilité et la tension dans la région. Nous partons de l'hypothèse que les efforts marqués du gouvernement pour dépeindre les États-Unis comme une menace à la survie nationale conditionnent forcément la teneur des relations que Pyongyang entretient avec Washington. L'analyse concomitante des déclarations, articles, et autres documents émanant de la Corée du Nord et des actions nord-coréennes permet d'observer un lien entre la teneur de la propagande et les actes « provocateurs » posés par Pyongyang. La recherche tend à démontrer également que la sécuritisation n'est non pas une réaction inévitable et automatique face à un danger perçu, mais qu'elle est mise en œuvre de façon préméditée par le régime nord-coréen. La sécuritisation, vue ici comme un processus politique à long terme, constitue un outil politique de contrôle et de survie pour le régime nord-coréen. Alors que la politique américaine face à la menace posée par Pyongyang a fait l'objet de nombreuses analyses, la littérature actuelle comporte peu de travaux sur la perception de la menace externe du point de vue nord-coréen. Ce mémoire vise à combler en partie cette lacune. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Corée du Nord, sécuritisation, programme nucléaire, propagande, politique étrangère
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Les velléités nucléaires nord-coréennes dans la ligne de mire des Etats-Unis : une explication décisionnelle des crises de 1994 et 2002

Lévesque, Étienne January 2007 (has links) (PDF)
La relation entre les États-Unis et la Corée du Nord depuis la fin de la guerre froide a été particulièrement mouvementée. Bien que les administrations Clinton et W. Bush soient souvent présentées comme étant différentes à plusieurs égards, leur politique étrangère envers la Corée du Nord comporte trois similitudes significatives qui portent à réflexion : (1) la production de matière fissile semble être la principale préoccupation des décideurs américains, (2) la Maison-Blanche privilégie l'option diplomatique pour résoudre ses nombreux litiges avec Pyongyang, (3) les États-Unis se montrent coopératifs lors des négociations avec la Corée du Nord et parviennent à conclure deux accords majeurs qui cherchent à apaiser les tensions dans la péninsule coréenne. L'objectif de notre mémoire sera d'expliquer ces trois similitudes de la politique étrangère des administrations Clinton et W. Bush à travers les crises nucléaires de 1994 et de 2002, deux épisodes emblématiques des rapports américano-nord-coréens entre 1993 et 2007. Afin d'orienter notre analyse, nous mettrons à contribution les pistes interprétatives offertes par les approches perceptuelles et organisationnelles. D'abord, nous verrons que la représentation des ambitions nucléaires nord-coréennes comme une menace à la sécurité nationale américaine par les décideurs des deux administrations est attribuable à leur vision stéréotypée du régime nord-coréen. Ensuite, il sera démontré que la volonté de compromis des États-Unis pour résoudre la crise par la diplomatie se trouve fortement influencée par les stratégies psychologiques de l'élite décisionnelle. Enfin, la capacité de réorganisation et d'adaptation du processus décisionnel agit de façon prépondérante sur l'attitude flexible et indulgente de la délégation américaine lors des négociations. Dans un premier temps, nous présenterons un historique détaillé des deux crises nucléaires afin de tracer l'évolution du litige et d'identifier les principaux acteurs impliqués. Dans un second temps, les facteurs perceptuel et organisationnel permettront d'expliquer les trois continuités du comportement américain portées à l'étude. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : États-Unis, Corée du Nord, Politique étrangère américaine, Crise nucléaire, Non-prolifération, Diplomatie, Perception de la menace, Processus décisionnel, Administration Clinton, Administration W. Bush, Kim II Sung, Kim Jong-il.
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La réaffirmation des armes nucléaires dans le monde : quand la culture pose un dilemme

Desnoyers, Marc January 2009 (has links) (PDF)
Le présent mémoire, intitulé « La réaffirmation de l'importance des armes nucléaires dans le monde: quand la culture pose un dilemme », analyse la stratégie nucléaire américaine et son évolution au courant des deux mandats du président George W. Bush. La thèse qui y est défendue est celle en vertu de laquelle, pendant cette période, les armes nucléaires ont réaffirmé leur importance non seulement aux États-Unis, mais dans le système international en général. Comme pistes explicatives, nous proposons deux concepts: le dilemme de la sécurité et la culture stratégique nucléaire américaine. À ce titre, nous affirmons qu'un dilemme de sécurité, notamment en raison de la prolifération nucléaire vers des États hostiles aux États-Unis comme la Corée du Nord et l'Iran et des attentats terroristes du 11 septembre, a été interprété par le gouvernement américain d'une façon qui a exacerbé certains traits caractéristiques de la culture stratégique nucléaire américaine. La résultante, soit des modifications importantes de la posture nucléaire américaine dont la plus importante est certainement le déploiement d'un bouclier antimissile, a par la suite alimenté un dilemme de sécurité chez d'autres acteurs du système international, en particulier la Russie et la Chine. Conséquemment, ces pays ont eux aussi opté pour une réaffirmation de l'importance de leurs arsenaux nucléaires respectifs dans leur politique étrangère, engendrant à nouveau un cercle vicieux de prolifération et de course aux armements nucléaires, particulièrement au Moyen-Orient et en Extrême-Orient. Sans faire reposer tout le blâme de cette réaffirmation internationale de l'importance des armes nucléaires sur les seules épaules du gouvernement américain, nous sommes toutefois arrivés à la conclusion que ce dernier, un peu via sa branche législative et beaucoup via sa branche exécutive, en avait été le protagoniste principal. Nous en avons donc compris que certains traits de la culture stratégique nucléaire américaine, exacerbés par la prolifération et le terrorisme, avaient enclenché un processus de dilemme de la sécurité pour d'autres États. Comme quoi la culture a posé un dilemme qui a mené à une réaffirmation de l'importance des armes nucléaires aux États-Unis en particulier et dans le monde en général.
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The DPRK in China's post-cold war foreign policy - a neoclassical realist analysis

Huard, Christine 04 1900 (has links)
Avec l’échec des négociations entre les États-Unis et la Corée du Nord, menées depuis le début des années 1990, sur la question du nucléaire, le problème est devenu graduellement l’affaire des pays voisins, tous soucieux de l’avenir de la région du sud-est asiatique. Présentée comme le seul allié de la Corée du Nord, la China a été invitée à participer à des négociations à trois, à quatre (1997-1998), et à six (2003-2007), dans l’espoir de faire entendre raison au régime isolé, mais jusqu’à maintenant, aucune des tentatives n’est parvenue à satisfaire chacun des membres à la table. Alors que la tension monte et que la politique américaine se fait de moins en moins flexible, la Chine quant à elle, continue d’encourager le retour des négociations à six (Six-Party Talks) dans l’optique de dénucléariser la péninsule coréenne, tout en travaillant à maintenir ses liens avec la Corée du Nord. Le fil conducteur de cette présente recherche est d’abord d’essayer de comprendre pourquoi la Chine continue de soutenir la Corée du Nord, fournissant dons alimentaires et financiers. L’idée est donc d’analyser, selon les principes du réalisme néoclassique, la politique étrangère de la Chine. L’hypothèse principale de cette théorie renvoie à l’idée que la distribution du pouvoir dans le système international influence la politique étrangère des États, mais que des variables au niveau de l’état et/ou de l’individu interviennent dans la formulation et l’application de celle-ci. Il est proposé ici que le lien entre l’unipolarité du système international et la politique nord-coréenne de la Chine, est façonné par des variables intermédiaires telles que : a) la perception des leaders de la distribution du pouvoir et de leur place dans le système international; b) l’idéologie du régime politique, et; c) le type d’unité responsable de la prise de décision en politique étrangère. L’analyse de chacune des variables permettra de faire la lumière sur les intérêts politiques et économiques de la Chine dans l’entretien de cette relation avec la Corée du Nord. / Since the bilateral negotiations between the United States and the Democratic People’s Republic of Korea (DPRK) on the denuclearization of the Korean peninsula failed to produce any effective outcome in the 1990s, China was brought to the table and agreed to play its part as a mediator in the Four Party Talks (1997-1998) between both Koreas and the United States, as well as in the Six-Party Talks (2003-2007), with the addition of Russia and Japan as negotiators. While the American policies toward the DPRK have taken a tough and inflexible turn with former President George W. Bush declaring, at the end of January 2002, that North Korea, Iran, and Iraq “constitute an axis of evil arming to threaten the peace of the world”, China’s DPRK policy, however, reflects long-lasting terms of friendship and collaboration between the two countries. With concerns mounting over the aggressive policies of the North Korean regime and its determination to keep its nuclear arsenal, the question is: why does China insist on preserving its good ties with its neighbour, even when those policies are said to hinder its political and economical interests? To address this question, the theoretical framework of neoclassical realism will be tested within a three-level – systemic, state, and individual level – analysis, with consideration of the propositions that the relative distribution of power shapes China’s North Korea policy, and intervening variables at the state and individual levels are filtering the systemic pressures and thus, shaping decisions related to North Korea. These variables include: a) leadership’s perception of power; b) regime type and ideology, and; c) type of foreign policy decision-making unit. This in-depth analysis will then provide grounds in defining China’s core interests in backing up the secluded regime.
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The DPRK in China's post-cold war foreign policy - a neoclassical realist analysis

Huard, Christine 04 1900 (has links)
Avec l’échec des négociations entre les États-Unis et la Corée du Nord, menées depuis le début des années 1990, sur la question du nucléaire, le problème est devenu graduellement l’affaire des pays voisins, tous soucieux de l’avenir de la région du sud-est asiatique. Présentée comme le seul allié de la Corée du Nord, la China a été invitée à participer à des négociations à trois, à quatre (1997-1998), et à six (2003-2007), dans l’espoir de faire entendre raison au régime isolé, mais jusqu’à maintenant, aucune des tentatives n’est parvenue à satisfaire chacun des membres à la table. Alors que la tension monte et que la politique américaine se fait de moins en moins flexible, la Chine quant à elle, continue d’encourager le retour des négociations à six (Six-Party Talks) dans l’optique de dénucléariser la péninsule coréenne, tout en travaillant à maintenir ses liens avec la Corée du Nord. Le fil conducteur de cette présente recherche est d’abord d’essayer de comprendre pourquoi la Chine continue de soutenir la Corée du Nord, fournissant dons alimentaires et financiers. L’idée est donc d’analyser, selon les principes du réalisme néoclassique, la politique étrangère de la Chine. L’hypothèse principale de cette théorie renvoie à l’idée que la distribution du pouvoir dans le système international influence la politique étrangère des États, mais que des variables au niveau de l’état et/ou de l’individu interviennent dans la formulation et l’application de celle-ci. Il est proposé ici que le lien entre l’unipolarité du système international et la politique nord-coréenne de la Chine, est façonné par des variables intermédiaires telles que : a) la perception des leaders de la distribution du pouvoir et de leur place dans le système international; b) l’idéologie du régime politique, et; c) le type d’unité responsable de la prise de décision en politique étrangère. L’analyse de chacune des variables permettra de faire la lumière sur les intérêts politiques et économiques de la Chine dans l’entretien de cette relation avec la Corée du Nord. / Since the bilateral negotiations between the United States and the Democratic People’s Republic of Korea (DPRK) on the denuclearization of the Korean peninsula failed to produce any effective outcome in the 1990s, China was brought to the table and agreed to play its part as a mediator in the Four Party Talks (1997-1998) between both Koreas and the United States, as well as in the Six-Party Talks (2003-2007), with the addition of Russia and Japan as negotiators. While the American policies toward the DPRK have taken a tough and inflexible turn with former President George W. Bush declaring, at the end of January 2002, that North Korea, Iran, and Iraq “constitute an axis of evil arming to threaten the peace of the world”, China’s DPRK policy, however, reflects long-lasting terms of friendship and collaboration between the two countries. With concerns mounting over the aggressive policies of the North Korean regime and its determination to keep its nuclear arsenal, the question is: why does China insist on preserving its good ties with its neighbour, even when those policies are said to hinder its political and economical interests? To address this question, the theoretical framework of neoclassical realism will be tested within a three-level – systemic, state, and individual level – analysis, with consideration of the propositions that the relative distribution of power shapes China’s North Korea policy, and intervening variables at the state and individual levels are filtering the systemic pressures and thus, shaping decisions related to North Korea. These variables include: a) leadership’s perception of power; b) regime type and ideology, and; c) type of foreign policy decision-making unit. This in-depth analysis will then provide grounds in defining China’s core interests in backing up the secluded regime.
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La non-prolifération et le désarmement des armes nucléaires en droit international et le mécanisme de retrait des traités internationaux

Gueorguiev, Irina 07 1900 (has links)
L’arme nucléaire, arme de destruction massive par excellence, est unique en son genre par son potentiel de destruction inédit et par le caractère indiscriminé de ses frappes. Véritable menace pour l’humanité, ce type d’arme se doit d’être encadré par un régime conventionnel international de non-prolifération et de désarmement des armes nucléaires fort et complet. Dans les faits, celui-ci comporte des lacunes. Ce mémoire s’intéresse au mécanisme de retrait de ce régime conventionnel international. Plus particulièrement, nous proposons une analyse de la procédure de dénonciation retrouvée dans le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires de 1968 (TNP), pièce maîtresse du régime, et dans le Traité New Start de 2010, seul traité en vigueur entre les deux superpuissances nucléaires, les États-Unis et la Russie. L’étude du retrait de la Corée du Nord du TNP en 2003 ainsi que des enseignements du régime général de droit international introduit par la Convention de Vienne sur le droit des traités de 1969 viennent approfondir l’examen. On dévoile un mécanisme de retrait somme toute peu contraignant reposant largement sur le pouvoir arbitraire de l’État partie, malgré la menace importante pour la paix et pour la sécurité internationales engendrée par une telle décision. Jumelée à des mesures de suivi quasi inexistantes pour donner suite au retrait d’un État du TNP, cette situation laisse la communauté internationale face à une situation hautement dangereuse. À la lumière du mécanisme de retrait retrouvé dans l’Union européenne et tel qu’illustré par le récent cas du Brexit, ce mémoire propose de possibles pistes de solution pour renforcer le mécanisme de retrait du cadre juridique international de non-prolifération et de désarmement des armes nucléaires. / Nuclear weapons, the apex of weapons of mass destruction, are unique in the facet that they have an unprecedented potential for destruction, as well as in the fact that nuclear strikes are indiscriminate. This type of weapon, which represents a real threat to humanity, must be regulated by a strong and complete international conventional regimen of non-proliferation and nuclear disarmament. Nonetheless, the latter suffers from deficiencies. This master’s thesis focuses on the withdrawal mechanism found in this international legal field. The spotlight is more specifically directed on its cornerstone treaty, the Treaty on the Non-Proliferation of Nuclear Weapons of 1968 (NPT), and on the New Start Treaty of 2010, the only agreement which regulates the nuclear stockpiles of the nuclear superpowers, Russia and the United States of America. The analysis is enhanced by the study of the 2003 North-Korean withdrawal from the NPT and of the principles introduced by the Vienna Convention on the Law of Treaties of 1969. A rather soft withdrawal mechanism, which relies largely on the discretion of the State party, is revealed, despite the threat to international peace and security a decision to withdraw represents. This deficiency, paired with inexistent follow-up measures, leaves the international community facing a highly dangerous situation. The examination of the more substantiated withdrawal mechanism found in the European Union’s body of law, as illustrated by the Brexit, allows us to suggest possible solutions to strengthen the NPT withdrawal mechanism as well as potential follow-up measures to be implemented following the withdrawal of a State party.

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