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Peinture et écriture dans l'œuvre de Marguerite Duras : un peintre du langage ? / Painting and writing in the work of Marguerite Duras : it's a painter of language?Seddaoui, Fatima 13 September 2011 (has links)
Nous voudrions développer l'idée selon laquelle Marguerite Duras est un peintre du langage. En nous focalisant sur le rapport entre l'écriture et la peinture, nous nous efforcerons de repérer et d'analyser les tableaux évoqués ou inventés et les images façonnées dans les œuvres afin d'éclairer l'intertextualité complexe qui entre au sein des divers réseaux de représentation et partant de toute représentation. Sans prétendre à l'exhaustivité, nous pouvons essayer de donner un aperçu de cette présence de la peinture à l'arrière-plan de la réflexion durassienne. Comment la peinture fait-elle texte ? Et quel est l'enjeu ? Il s'agira aussi d'étudier le rôle et la signification de la peinture dans l'œuvre romanesque afin de comparer le statut de la peinture dans l'œuvre avec celui de la peinture. Une partie de cette étude traitera la peinture comme phénomène sociologique, intellectuelle et historique (les questions esthétiques). De plus, la recherche sera axée sur les liens entre le cinéma et la peinture, l'étude sera développée sur les points suivants : les émissions, et les critiques sur l'auteur afin de tracer un cadre d'ensemble des éléments en rapport avec le sujet. Nous aborderons notamment la présentation du débat théorique et méthodologique sur les rapports entre le cinéma et la peinture. L'œuvre tissera des liens étroits entre l'art visuel et le langage. Une partie analysera les rapports entre le cinéma et la peinture sur un corpus significatif de films à partir de ses débuts jusqu'à son dernier film datant de 1979. Notre étude sera une recherche et une analyse des occurrences de la peinture et leurs significations dans le discours filmique durassien. Le discours sur la peinture se confrontant à plusieurs problèmes. / We would like to develop the idea according to which Marguerite Duras is a painter of the language. By focusing us on the relationship between the writing and painting, we will endeavour to locate and analyze the evoked or invented tables and the images worked in works. In order to clarify the complex intertextuality which enters within the various networks of representation and on the basis of any representation. Without claiming with exhaustiveness, one can try to give an outline of this presence of painting to the background of the reflexion durassienne. How painting made it text ? And which is the stake ? It will also be a question of studying the role and the significance of painting in the novel in order to compare the statute of painting in work with that of painting. Part of this study will treat painting like sociological, intellectual and historical phenomenon (the esthetics question). Moreover, research will be centered on the bonds between the cinema and painting the study will be developed on the following points : emissions, and criticisms on the author in order to trace an overall framework of the elements in connection with the subject. We will approach in particular the presentation of the theoretical and methodological debate on the relationship between the cinema and painting. Work will weave close links between visual art and the language. A part will analyze the relationship between the cinema and painting on a significant film corpus, starting from its beginning to its last film going back to 1979. Our study will be a research and an analysis of the occurrences of painting and their significances in the filmic speech durassien. The speech on painting being confronted with several problems.
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Gender, genre and the (re)invention of life in Charlotte Salomon's Life? or Theatre?Pendergast, Natalie January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Gender, genre and the (re)invention of life in Charlotte Salomon's Life? or Theatre?Pendergast, Natalie January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Impossible Identification : Contemporary Art, Politics and the Palestinians in IsraelStrohm, Kiven 12 1900 (has links)
Quel est le sens donné à l’art par la minorité palestinienne d’Israël dans un contexte où l’État se définit uniquement en termes ethno-nationaux et religieux ? Les écrits sur l’art en contextes coloniaux et postcoloniaux ont tendance à considérer l’art comme une ressource de revendication identitaire face à une situation de domination. Autrement dit, l’art est souvent présenté comme un acte politique de reconnaissance à travers l’affirmation d’une contre-identité. Suite à un travail intensif de terrain ethnographique dans la région, cette recherche démontre que pour les artistes palestiniens en Israël, l’aspect politique de l’art ne vient pas de sa capacité à exprimer des revendications identitaires. À travers l’observation des pratiques et l’analyse des discours des artistes, elle remet en question la relation présumée entre l'art et l'identité. Plus concrètement, elle analyse les pratiques d’un groupe d’artistes issus d’une minorité nationale indigène dont le travail artistique constitue une interruption des régimes spatiotemporels d'identification. L’aspect politique du travail des artistes palestiniens en Israël s’exprime à travers un processus de désidentification, un refus de réduire l’art à des catégories identitaires dominantes. Les œuvres de ces artistes permettent l’expression d’une rupture esthétique, manifestant un « ayant lieu » politique qui se trouve entre l'art et le non-art. Il s’agit d’un espace qui permet la rupture de l’ordre sensible de la société israélienne à travers l’affirmation et la vérification d’une égalité qui existe déjà. / This thesis explores what it means for the Palestinian indigenous minority in Israel to produce art in a setting that has simultaneously controlled their movements and excluded them from full citizenship. It takes on the question of how Palestinian artists face discrimination within a monolithic state structure that defines itself primarily along religious and ethno-national lines. Most writing about art in colonial and postcolonial contexts tends to see art as a resource for asserting repressed ethnic, racial and indigenous identities in the face of ongoing control and domination. Art, in other words, is considered a political act of recognition through the assertion of a counter identity. The central question of this thesis concerns what happens when artists contest the colonial conditions within which they live without having recourse to identity-based claims about equality and rights. Based on intensive ethnographic fieldwork in the region, this research demonstrates that for Palestinian artists the political aspect of art is not related to claims about identity and that the relationship between art and identity is not homologous. Specifically, it explores artistic processes within a context in which spatiotemporal regimes of identification are being disrupted by an indigenous national minority. It establishes that politics in the case of Palestinian artists in Israel is a form of disidentification that is articulated through the figure of the present absentee. The central tropes found within the works of these artists can be seen as disruptive aesthetic acts, a “taking place” of politics that is between art and non-art, and outside of given identities; that is, a scene for the rupture of the “sensible order” of Israeli society through the affirmation and verification of an already existing equality.
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Impossible Identification : Contemporary Art, Politics and the Palestinians in IsraelStrohm, Kiven 12 1900 (has links)
Quel est le sens donné à l’art par la minorité palestinienne d’Israël dans un contexte où l’État se définit uniquement en termes ethno-nationaux et religieux ? Les écrits sur l’art en contextes coloniaux et postcoloniaux ont tendance à considérer l’art comme une ressource de revendication identitaire face à une situation de domination. Autrement dit, l’art est souvent présenté comme un acte politique de reconnaissance à travers l’affirmation d’une contre-identité. Suite à un travail intensif de terrain ethnographique dans la région, cette recherche démontre que pour les artistes palestiniens en Israël, l’aspect politique de l’art ne vient pas de sa capacité à exprimer des revendications identitaires. À travers l’observation des pratiques et l’analyse des discours des artistes, elle remet en question la relation présumée entre l'art et l'identité. Plus concrètement, elle analyse les pratiques d’un groupe d’artistes issus d’une minorité nationale indigène dont le travail artistique constitue une interruption des régimes spatiotemporels d'identification. L’aspect politique du travail des artistes palestiniens en Israël s’exprime à travers un processus de désidentification, un refus de réduire l’art à des catégories identitaires dominantes. Les œuvres de ces artistes permettent l’expression d’une rupture esthétique, manifestant un « ayant lieu » politique qui se trouve entre l'art et le non-art. Il s’agit d’un espace qui permet la rupture de l’ordre sensible de la société israélienne à travers l’affirmation et la vérification d’une égalité qui existe déjà. / This thesis explores what it means for the Palestinian indigenous minority in Israel to produce art in a setting that has simultaneously controlled their movements and excluded them from full citizenship. It takes on the question of how Palestinian artists face discrimination within a monolithic state structure that defines itself primarily along religious and ethno-national lines. Most writing about art in colonial and postcolonial contexts tends to see art as a resource for asserting repressed ethnic, racial and indigenous identities in the face of ongoing control and domination. Art, in other words, is considered a political act of recognition through the assertion of a counter identity. The central question of this thesis concerns what happens when artists contest the colonial conditions within which they live without having recourse to identity-based claims about equality and rights. Based on intensive ethnographic fieldwork in the region, this research demonstrates that for Palestinian artists the political aspect of art is not related to claims about identity and that the relationship between art and identity is not homologous. Specifically, it explores artistic processes within a context in which spatiotemporal regimes of identification are being disrupted by an indigenous national minority. It establishes that politics in the case of Palestinian artists in Israel is a form of disidentification that is articulated through the figure of the present absentee. The central tropes found within the works of these artists can be seen as disruptive aesthetic acts, a “taking place” of politics that is between art and non-art, and outside of given identities; that is, a scene for the rupture of the “sensible order” of Israeli society through the affirmation and verification of an already existing equality.
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De l’intuition à la formalisation de la pensée musicale : retour sur 11 œuvres composées dans le cadre du doctorat = From intuition to formalization of musical thought : a look back at 11 works within a doctoral frameworkJeric, Margareta 11 1900 (has links)
Cette thèse revient sur les onze œuvres musicales ayant jalonné mon parcours compositionnel et marqué le développement de ma pensée de créatrice. J’ai divisé la production de ces sept années de doctorat en trois sections, correspondant à trois phases distinctes de l’évolution de mon langage. Ce parcours est un passage graduel d’une pensée intuitive vers une pensée de plus en plus structurée.
Bailo, String Quartet no.1, et Con fuoco sont les œuvres composées durant la première phase. La deuxième phase a mené à la composition de deux pièces où sont juxtaposées musique instrumentale et musique électroacoustique : le Concerto pour clarinette et bande et Impressions pour basson et bande. Afin d’arrimer ces deux mondes disparates, l’approche intuitive a tranquillement été écartée au profit d’une meilleure organisation des paramètres à travers l’introduction de la formalisation. La troisième phase correspond à une exploration plus rigoureuse de la formalisation par l’entremise de modèles. Quatre modèles sont abordés dans cette thèse; soit le modèle de l’objet sonore, le modèle de la linguistique, le modèle du timbre et le modèle de l’art visuel.
Dans le modèle de l’objet sonore, utilisé dans la pièce Nevaliashka, la formalisation se construit autour d’un jouet duquel j’extrais le plus d’information possible. Utilisé dans les opéras Les bottes jaunes et The Feast of Nemesis, le modèle linguistique aborde la sémantique et phonétique des différentes langues. Le modèle du timbre, que l’on retrouve dans FLAW/LESS et Transition, s’attarde à la corporéité des instruments traditionnels et à leurs potentialités acoustiques. L’écriture instrumentale y est pensée comme une sculpture de timbres et la méthodologie est dérivée de celle généralement utilisée pour la composition de la musique électroacoustique. Enfin, avec le modèle de l’art visuel, mis en valeur dans la pièce Galženjaki, je m’intéresse aux interactions entre art visuel et littérature, de même qu’à la manière de transposer ce dialogue en musique. / This thesis returns to the eleven musical works that marked my compositional journey as well as my development as an artist. I divided the production of these seven years of doctoral studies into three sections, corresponding to three distinct phases of the evolution of my language. This journey is a gradual transition from an intuitive approach to musical writing to a more structured approach.
Bailo, String Quartet no.1, and Con fuoco were composed in the first phase. The second phase led to two pieces in which instrumental music and electroacoustic music were juxtaposed: the Concerto pour clarinette et bande and Impressions for bassoon and tape. In order to bridge the gap between these two distinct worlds, intuition gradually gave way to a better organization of parameters through the introduction of formalization. The third phase corresponds to a more rigorous exploration of formalization through the use of models. Four models are addressed in this thesis; the sound object model, the linguistics model, the timbre model and the visual arts model. In the sound object model, used in the Nevaliashka piece, formalization is built around an object of everyday life from which a maximum of information is extracted and analyzed. Used in the operas Les bottes jaunes and The Feast of Nemesis, the linguistics model incorporates the semantics and phonetics of different languages into the compositional process. The timbre model, found in FLAW/LESS and Transition, focuses on the corporeality of traditional instruments and their acoustic potential. Instrumental writing is thought of as a sculpture of timbres and follows the methodology generally used in electroacoustic music composition. Finally, with the visual arts model, highlighted in the Galženjaki piece, I analyze the interactions between visual arts and literature and attempt to translate this dialogue into music.
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