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State responsibility to prevent development-induced displacements – implementing article 10 of the Kampala ConventionRomola, Adeola January 2012 (has links)
No abstract available. / Dissertation (LLM)--University of Pretoria, 2012. / gm2014 / Centre for Human Rights / unrestricted
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Freedom of artistic expression under Article 10 of the European Convention on Human RightsLowe, James Joseph Greaves January 2017 (has links)
Under the auspices of Article 10 of the European Convention on Human Rights the right to freedom of expression is said to be held by everyone and to include the freedom to hold opinions and to receive and impart information and ideas without interference by public authority, subject to the limitation clauses outlined in Article 10(2). Whilst the text of Article 10 therefore makes no explicit reference to specifically artistic expression, the European Court of Human Rights has, in its interpretation of ‘information and ideas’, nevertheless accepted that artistic expression does indeed fall within the ambit of Article 10’s protection of freedom of expression. However, despite the Court recognising artistic expression as a form of expression within the framework of Article 10, conclusions reached in the early case law concerning the issue of controversial artworks would appear to suggest the judicial creation of an implicit hierarchy of expression under which artistic expression is seen to enjoy a relatively low level of protection. Given the non-differentiated articulation of the right to freedom of expression enounced in the text of Article 10, the creation of such a hierarchy of expression is therefore a cause for doctrinal concern. In seeking to assess this misnomer the thesis’ analysis of the treatment of artistic expression under Article 10 of the European Convention on Human Rights may be distilled in to two component parts. Firstly, a theoretical basis will be established from which artistic expression may be located within the context of the discourse pertaining to freedom of expression more generally. Having confirmed that, whilst of a distinctive, sui generis nature, artistic expression may indeed constitute ‘expression’ for the purposes of freedom of expression doctrine the second part of the thesis will examine the particular question of artistic expression’s treatment under Article 10 of the European Convention on Human Rights.
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La liberté d'expression dans le réseau mondial de communication : propositions pour une théorie générale du droit d'accès à l'espace public privatisé / Freedom of Expression in the international communication network : proposals for a general theory of the right of access to privatised public spacesDocquir, Pierre-François 09 January 2009 (has links)
1. La présente thèse de doctorat démontre la nécessité de la consécration jurisprudentielle ou législative d’un droit subjectif d’accès à l’espace public privatisé. Cette expression désigne l’appropriation privée des infrastructures de communication qui permettent l’échange et la discussion des informations et des idées sans lesquels la démocratie serait impossible. L’étude montre que le droit fondamental à la liberté d’expression, instrument juridique de la circulation des informations et des opinions, constitue le cadre légal d’une théorie générale du droit d’accès à l’espace public privatisé : il contient en germe le principe d’une prérogative individuelle d’utiliser les moyens de communication de masse pour contribuer aux débats d’intérêt public et permet d’en préciser les modalités concrètes.
2. Avant d’exposer le plan et la méthode de la démonstration, j’aimerais évoquer l’intuition qui a été à l’origine de ce travail. Des mouvements de contestation de l’omniprésence de la publicité commerciale dans l’espace public organisent parfois des opérations de barbouillage des affiches publicitaires. En octobre 2003, des militants ont mené une véritable campagne contre les immenses placards présents dans les stations du métro parisien. Le débat que voulaient porter ces activistes possède un caractère sérieux et concerne une dimension importante du vivre ensemble. Pour une partie de l’opinion, dont les militants antipub forment la minorité agissante , la surconsommation, l’envahissement de la publicité commerciale et les thèmes liés (surconsommation, domination de la pensée marchande) constituent des enjeux politiques majeurs. Cependant, le moyen d’expression choisi par les « antipub » se heurtait à des règles de droit. En avril 2004, le tribunal de grande instance de Paris a condamné neuf d’entre eux à payer à la Régie autonome des transports parisiens (RATP) des dommages-intérêt allant de 400 à 2000 € . Mais à défaut d’avoir les moyens financiers pour louer des espaces publicitaires où afficher leurs convictions, de quelle autre possibilité disposaient-ils pour faire émerger leurs opinions dans un espace public (l’objet même de leur message) où, à part des panneaux de circulation routière, on ne trouve guère d’autre forme de communication que la publicité commerciale ? Intuitivement, il me semblait que leur revendication avait, en ce qui concerne le mode d’expression choisi, sa part de justesse. Pour animer et nourrir un débat d’intérêt général avec efficacité, ces militants devaient, me semble-t-il, avoir le droit d’utiliser l’espace public.
3. Pour explorer et vérifier cette intuition, il était nécessaire de procéder à une analyse de la notion d’espace public en démocratie. La pensée de J. HABERMAS offre le cadre le plus fécond et le plus convaincant pour comprendre la relation entre le projet politique moderne et l’existence d’une société civile qui débat des affaires de la cité. Sur les pas de ce grand penseur, le premier chapitre de la thèse s’attache à montrer que l’espace public, enceinte de discussion du politique par la société civile, est le principe premier de la démocratisation du monde. Ce travail de philosophie politique démontre que le projet d’une société démocratique réclame d’être en permanence irrigué par les débats qui se mènent au sein de la sphère publique.
4. Il fallait ensuite, et c’est l’objet du second chapitre, prolonger cet acquis théorique par une enquête visant à identifier les structures qui, concrètement, permettent la discussion des questions politiques. Cette étape révèle que l’espace public comporte deux dimensions : l’espace public géographique (les rues, les places, les parcs publics) d’une part, l’espace public médiatique de l’autre. La caractéristique majeure de ce dernier réside dans l’existence d’un réseau mondial de communication interactif et ouvert à l’expression individuelle : c’est dans ce contexte contemporain qu’il fallait identifier les différents acteurs de la mise en débat des affaires de la cité. L’analyse a conduit au constat de l’appropriation privée de la plus grande partie des structures d’information et de discussion.
5. La première partie de la thèse se conclut ainsi par le constat que l’espace public est privatisé. Elle a puisé dans les ressources de la philosophie et de la sociologie afin d’identifier un chantier du droit, c’est-à-dire un thème où la pratique interpelle vivement l’ordre juridique et commande une analyse à nouveaux frais des réponses apportées par le droit.
6. La logique de la démonstration imposait d’en consacrer la deuxième partie à une étude approfondie du droit de la liberté d’expression. En effet, cette liberté fondamentale forme l’instrument juridique de la circulation des informations et des idées : elle garantit l’existence et le fonctionnement d’une structure de discussion des affaires publiques.
7. La liberté d’expression est un droit que ses utilisations extrêmement variées ont rendu complexe. Dans la mesure où sa proclamation textuelle dans le marbre d’une Constitution ou d’un traité international demeure insuffisante à permettre à elle seule une analyse du droit de parler librement, le recours à une analyse philosophique s’est imposé. Celle-ci révèle que la résolution d’un cas en matière de liberté d’expression se traduit inévitablement par ce qu’on peut appeler une distribution de coûts et d’avantages. Cet arbitrage qui produit des victimes et des vainqueurs exige d’être justifié. Les trois théories classiques que sont la recherche de la vérité, le service de la démocratie et l’autonomie individuelle apparaissent comme les trois registres d’argumentation qui permettent d’analyser et résoudre un problème de liberté d’expression. Le premier chapitre de la seconde partie montre la nécessité de penser ensemble ces trois registres dans le cadre d’une théorie écologique de la liberté d’expression : celle-ci désigne une analyse contextuelle des problèmes (la circulation d’un message doit être étudiée en relation avec l’environnement où il produit ses effets) et un principe de précaution (contre toute menace d’un appauvrissement de l’écosystème de la communication humaine, ce principe réclame un niveau élevé de protection des discours et messages les plus variés).
8. Le second chapitre de la deuxième partie consiste alors en une étude de droit comparé de la liberté d’expression. Les systèmes juridiques du droit de la Convention européenne des droits de l’homme et du droit constitutionnel américain ont été retenus parce qu’ils s’offrent mutuellement, dans le cadre d’un dialogue décalé, une figure de l’altérité au sein du monde occidental . Confrontées à des problèmes similaires, les deux hautes juridictions que sont la Cour européenne des droits de l’homme et la Cour suprême des Etats-Unis d’Amérique ne les résolvent pas toujours de manière identique. Le réseau mondial de communication force pourtant leur confrontation. Il était dès lors pertinent de procéder à une analyse plus globale que les oppositions que l’on pointe généralement de façon isolée.
9. Pour mener à bien l’exercice de comparaison, il fallait disposer d’une méthode permettant la confrontation des solutions produites dans deux systèmes juridiques différents. Le travail s’est organisé autour d’une grille d’analyse qui peut être appliquée à tout litige en matière de liberté d’expression indépendamment de son système d’origine. Quatre variables ont été utilisées, qui sont présentes dans tout différend en ce domaine : l’auteur (1) d’un message (2) diffusé par un canal (3) et faisant l’objet d’une réaction (4). Les variations de ces quatre facteurs permettent d’expliquer, dans les deux systèmes juridiques, le niveau de protection de la liberté d’expression. Ils offraient ainsi un support efficace à la comparaison. L’analyse de droit comparé révèle qu’une ambition transversale réunit, en dépit de certaines divergences, les droits américain et européen de la liberté d’expression : une société démocratique requiert un débat public vigoureux, ce qui explique qu’un message qualifié de contribution à une controverse d’intérêt général mérite le plus haut degré de protection.
10. Il est alors devenu possible, puisque l’on connaissait le contexte de la démocratie contemporaine et le fonctionnement de la liberté d’expression, de consacrer la troisième partie de la thèse à l’étude du droit d’accès à l’espace public privatisé.
11. Le premier chapitre décrit une théorie générale du droit d’accès en rapportant les enseignements puisés dans l’étude du droit de la liberté d’expression au contexte contemporain d’une sphère publique dont les structures sont aux mains d’acteurs privés. L’analyse démontre qu’il est nécessaire que toute personne qui entend contribuer à un débat d’intérêt général dispose d’un droit individuel d’accès à l’espace public privatisé, lorsqu’il n’existe pas d’autre canal de communication également efficace. Elle montre également que ce droit d’accès à la propriété d’autrui est à la source d’un important surcroît de démocratie sans représenter un coût excessif pour les propriétaires des espaces publics privatisés. L’étude montre enfin que le droit constitutionnel américain pourrait accueillir une intervention législative consacrant une prérogative individuelle de participation aux débats publics, tandis que le droit européen de la liberté d’expression n’est pas loin d’avoir effectivement consacré le droit d’accès à l’espace public privatisé, présent en creux et disponible pour une mobilisation efficace à l’occasion d’un procès.
12. Dans le second chapitre de la troisième partie, mouvement final de la thèse, il fallait, pour mener à son terme une analyse qui s’est donné une visée pragmatique, déduire de la théorie générale les formes concrètes d’un droit d’accès aux différents espaces publics privatisés. Puisqu’Internet offre un support technologique idéal à la mise en pratique du droit d’accès à l’espace public privatisé, le travail devait s’inscrire dans la perspective d’une utilisation effective du potentiel de démocratisation du réseau mondial de communication. Il prend la forme de deux propositions destinées à nourrir la pratique du droit. Cherchant à sécuriser juridiquement les meilleures pratiques des acteurs du web, la première proposition décrit les modalités d’exercice du droit d’accès aux espaces publics privatisés. La seconde proposition prend acte de ce que le droit d’accès contraint des acteurs de la société de l’information à héberger des contenus sur lesquels ils n’exercent pas de maîtrise éditoriale : dans la prolongation des mécanismes légaux existants, elle précise les conditions procédurales d’une exonération, au profit des propriétaires des espaces publics privatisés, de la responsabilité liée aux contenus produits par les titulaires du droit d’accès.
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The situation of freedom of expression - Turkey and the European UnionKanakanian, Arminé January 2007 (has links)
<p>Abstract</p><p>This study will shed light on the meaning of article 301 of the Turkish Penal Code and its</p><p>inconformity with fundamental principles of the European Union and fundamental human</p><p>rights. The trial of Nobel Prize winner, Mr Orhan Pamuk and the killing of Mr Hrant Dink in</p><p>January 2007 have both put focus on the notorious article 301 of the Turkish Penal Code.</p><p>The purpose of the study is to answer the main question; In what way does article 301 of the</p><p>Turkish Penal Code infringe the freedom of expression outlined in article 10 of the European</p><p>Convention on Human Rights and what should the European Union do about it?</p><p>The conclusion is that article 301 of the Turkish Penal Code infringes the right to freedom of</p><p>expression stated in article 10 of the European Convention on Human Rights. It does</p><p>undermine the essence of the right by invoking a wide range of self-censorship, by its</p><p>ambiguous language and by the way it is applied. The restrictions are interpreted broadly and</p><p>leave nothing but an arbitrary article left to apply for the courts. The European Union holds</p><p>the power to influence Turkey and can therefore enforce an abolition of article 301 of the</p><p>Turkish Penal Code. Time will tell if Turkey will fully safeguard freedom of expression as it</p><p>is stated in article 10 of the European Convention of Human Rights and in the praxis of the</p><p>European Court of Human rights and the European Court of Justice.</p>
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The situation of freedom of expression - Turkey and the European UnionKanakanian, Arminé January 2007 (has links)
Abstract This study will shed light on the meaning of article 301 of the Turkish Penal Code and its inconformity with fundamental principles of the European Union and fundamental human rights. The trial of Nobel Prize winner, Mr Orhan Pamuk and the killing of Mr Hrant Dink in January 2007 have both put focus on the notorious article 301 of the Turkish Penal Code. The purpose of the study is to answer the main question; In what way does article 301 of the Turkish Penal Code infringe the freedom of expression outlined in article 10 of the European Convention on Human Rights and what should the European Union do about it? The conclusion is that article 301 of the Turkish Penal Code infringes the right to freedom of expression stated in article 10 of the European Convention on Human Rights. It does undermine the essence of the right by invoking a wide range of self-censorship, by its ambiguous language and by the way it is applied. The restrictions are interpreted broadly and leave nothing but an arbitrary article left to apply for the courts. The European Union holds the power to influence Turkey and can therefore enforce an abolition of article 301 of the Turkish Penal Code. Time will tell if Turkey will fully safeguard freedom of expression as it is stated in article 10 of the European Convention of Human Rights and in the praxis of the European Court of Human rights and the European Court of Justice.
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Manifesting religious belief : a matter of religious freedom, religious discrimination, or freedom of expression?Maher, Julie January 2014 (has links)
This thesis asks how manifestation of religious belief by religious individuals can best be protected in English law. It is particularly concerned with the protection available to religious individuals in the public sphere. This thesis assesses the current state of protection under religious freedom and religious discrimination models, before considering the potential for increasing protection by reconceptualising the right to manifest religious belief as an aspect of freedom of expression. This thesis asks whether the practical and conceptual limitations of a religious freedom model, and Article 9 of the European Convention on Human Rights (ECHR) in particular, can be overcome by reliance on alternative modes of protection, namely religious discrimination protections in domestic, Convention, and EU law, or through litigating religious manifestation claims as freedom of expression cases under Article 10 of the ECHR. The difficulty of communicating the harm in being denied the ability to manifest religious beliefs publicly is a key limitation of both religious freedom and religious discrimination models. Similarly, this thesis highlights the difficulty in assessing what weight should be attributed to such religious harm within a proportionality exercise balancing the rights of religious individuals with the rights and interests of other parties. The analysis in this thesis draws primarily upon the sources of law which shape domestic English law in this area, namely the ECHR and European Union law. However, this thesis also considers foreign precedent and case law from the United States in particular. This thesis contends that no one model can address the range of cases where manifestation of religious beliefs arise, and that litigants should be able to draw from religious freedom, religious discrimination, and freedom of expression protections depending on the nature of their case.
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Les faits justificatifs de la diffamation / The special justifications of defamationHahn de Bykhovetz, Bérénice 16 November 2018 (has links)
Les faits justificatifs de la diffamation témoignent de la difficile conciliation entre le droit à la protection de l’honneur et le droit à l’information. Le domaine de l’exception de vérité (art. 35 de la loi du 29 juillet 1881), délimité par trois exceptions en 1944, fut rapidement critiqué, en ce qu’il ne permettait pas la justification des imputations les plus utiles à la société. En outre, la sévérité des conditions de fond et de forme de la preuve de la vérité fit le plus souvent obstacle à la relaxe. En réaction, la jurisprudence créa le fait justificatif de la bonne foi, fondé sur quatre critères accessibles (but légitime, sérieux de l’enquête, prudence et mesure dans l’expression, défaut d’animosité personnelle et favorisant un droit du public à l’information de qualité. À la fin du XXème siècle, ce système fut profondément mis en cause, comme étant contraire à la jurisprudence de la CEDH relative à l’article 10 CESDH, laquelle impose une protection accrue des propos d’intérêt général ou politiques. En conséquence, le Conseil constitutionnel supprima deux des trois limites à l’exception de vérité, qui n’est plus interdite que dans domaine de la vie privée. Ce nouvel arbitrage entre les deux valeurs en conflit n’apparaît pas satisfaisant, d’autant que la preuve de la vérité est toujours entravée par des conditions drastiques. En 2008, la Cour de cassation intégra de manière radicale les critères strasbourgeois à sa jurisprudence sur la bonne foi. Elle se dirige aujourd’hui vers une formule plus équilibrée, fondée sur l’application proportionnelle des quatre critères traditionnels corrigés à la lumière des principes de la CEDH. Cependant, elle applique également les critères strasbourgeois à d’autres infractions attentatoires à la liberté d’expression, qui ne bénéficient pas de la structure d’accueil des faits justificatifs de la diffamation. Pour ces cas, au lieu de l’adoption du contrôle de proportionnalité envisagée, la création d’un fait justificatif générique fondé sur l’article 10 de la CESDH est proposée, plus respectueuse de la logique pénale. / The special justifications applicable to defamation bare witness to the difficult conciliation between the right to protect ones honor and the public’s right to information. The area of the defence of truth (art. 35 of the 29 July 1881), delineated by three exceptions in 1944, was rapidly critiqued, preventing the justification of some of the most socially useful imputations. Furthermore, the defence of truth was subjected to highly rigourous formal and substantial requirements that often prevented ones acquittal on the basis of that demonstration. In reaction, the case-law created another special justification for defamation, based on good faith, and founded on four accessible criterias (legitimate aim of the information, serious verification, moderation of tone and caution in the choice of words, lack of personal animosity) that favorise the public’s right to quality information. At the end of the 20th century, this system was profoundly questioned, as being against the case-law of the CEDH, that requires a stronger protection of freedom of speech (article 10 CESDH) in connexion with debates of general interest or political discussions. Consequently, the Constitutional council repealed two of the three limits within the defence of truth, which is now only forbidden in the area of ones private life. This new arbitration between the two conflicting values doesn’t seem satisfying, especially since the defence of truth is still impeded by drastic conditions. In 2008, the Court of cassation integrated in a radical manner the CEDH criterias to its case-law on good faith. The case-law today steers towards a more balanced formula, founded on a proportional application of the four traditional criterias corrected in the light of the principes of the CEDH. However, the Court of cassation equally applies the CEDH criterias to other detrimental offences towards the freedom of expression, that do not benefit from the structural support of the special justifications of defamation. For those offences, instead of adopting the envisioned control of proportionality, it is proposed to create a generic justification, founded on the article 10 of the CESDH, that would be more consistent with the logic of criminal law.
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La liberté d'expression dans le réseau mondial de communication: propositions pour une théorie générale du droit d'accès à l'espace public privatisé / Freedom of expression in the international communication network: proposals for a general theory of the right of access to privatised public spacesDocquir, Pierre-François 09 January 2009 (has links)
1.\ / Doctorat en droit / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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