My dissertation examines how early modern metatheater enabled the Renaissance stage and its original audience to develop a complex and symbiotic relationship. Metatheater--by which I mean a particular mode of theatre, in which actors, playwrights, dramatic characters and/or (in particular) audiences express or share a perception of drama as a fictional and theatrical construct--pervaded Renaissance drama, not by simple happenstance but arising almost inevitably from the complex context within which it functioned. The early modern stage was a particularly conflicted forum, which monarchs and playwrights, town fathers and actors, censors and audiences, impresarios and anti-theatricalists, all strove to influence and control. The use of the metatheatrical mode allowed playwrights and players to better navigate this difficult, sometimes dangerous, space. In particular, the development of Renaissance metatheater derived from (and, simultaneously, affected) the unique nature of its original spectators, who practiced a much more actively engaged participation in the theater than is often recognized. Performers and playwrights regularly used metatheatricality to adapt to the needs and desires of their audience, and to elicit the intellectual and emotional responses they desired. My study utilizes a historically contextualized approach that emphasizes the material conditions under which Renaissance drama arose and functioned. It begins by examining the influence of the surrounding milieu on the Renaissance stage and its spectators, especially its facilitation of the development and use of metatheater. Then, via close readings of four plays--Kyd's The Spanish Tragedy, Shakespeare's Henry V and Antony and Cleopatra, and Beaumont's The Knight of the Burning Pestle--the dissertation indicates how varied and versatile early modern metatheater was, and how it responded to and influenced the nature of its audiences. My study demonstrates the centrality of metatheater to early modern theatrical practice, delineates its pervasive influence on the stage-audience relationship in Renaissance theaters, and underlines the influence of material conditions on the creation and dissemination of Elizabethan and Jacobean drama. / English

Not available / text

Thesis (M.H.S.A.)--University of Michigan, 1984.

Thesis (M.H.S.A.)--University of Michigan, 1984.

Thesis (Ph. D.)--University of Chicago, Dept. of English Language and Literature, June 2002. / Includes bibliographical references. Also available on the Internet.

Thesis (Ph.D.) - University of St Andrews, March 2008.

Deux cent soixante-quinze années se sont écoulées depuis la parution du conte « La Belle et la Bête » (1740), écrit par Mme de Villeneuve, qui a été repris par Mme Leprince de Beaumont en 1756. La notoriété de ce conte ne s’est jamais démentie. Au début du XXIe siècle, quatre auteurs de langue française ont proposé des réécritures de « La Belle et la Bête ». Dans le cadre de cette thèse, nous analysons ce corpus formé de deux romans (Le Roman de la Belle et la Bête de Bernard Simonay et Là où la mer commence de Dominique Demers), une pièce de théâtre (La Belle et la Bête de Laurent Péan) et deux albums pour enfants (Annabel et la Bête de Dominique Demers et Lisebelle & la Bête de Jean-Pierre Kerloc’h). Nous cherchons à montrer comment ces œuvres ont réactualisé l’histoire de « La Belle et la Bête » en développant les trois grands thèmes qui sont au cœur de ce conte : le monstrueux, le merveilleux et l’intrigue amoureuse.

This thesis is an analysis of the comic and tragicomic styles that are evident in plays written by Beaumont and Fletcher.

Le présent travail s'inscrit dans une démarche globale d'aide à la perception du risque généré par les phénomènes de mouvements de terrain. L'approche privilégiée est l'analyse du concept de vulnérabilité, composante fondamentale et peu explorée de l'appréciation du risque. Pour développer ce concept dans le domaine spécifique des phénomènes de mouvements de terrain, il faut d'abord en structurer les différentes composantes de telle façon qu'au moment de l'évaluation du risque et de la prise de décision, il permette une approche quantitative. On mène ensuite une série d'analyses en retour sur des événements récents pour d'une part démontrer l'importance et la diversité des dommages imputables à des mouvements de terrain et d'autre part exploiter l'expérience correspondante pour bâtir une méthodologie d'évaluation de la vulnérabilité. Cette méthodologie est ensuite développée puis illustrée à travers deux applications. Elle repose sur les notions d'éléments exposés et d'intensité des sollicitations apportées par les phénomènes. Elle se structure autour de matrices d'endommagement qui offrent un cadre homogène de quantification de l'interaction entre ces éléments exposés et les phénomènes impliqués. Cette méthodologie a pour objectif de confronter les acteurs de la gestion du risque à des scénarios de ce qui peut les attendre en cas de manifestation de phénomènes pressentis. Elle reste reproductible et son principe peut être transposable à d'autres types de phénomènes naturels.

Thesis (D. Min.)--Erskine Theological Seminary, 2008. / Abstract. Includes bibliographical references (leaves 131-134).