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Effets de la source lumineuse et du système de mordançage sur la force d'adhésion des boîtiers orthodontiques : une étude in vitro

Mar, Ly Thy January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Développement de solutions thermomécaniques répondant au packaging de l’électronique de puissance en environnement aéronautique / Development of thermomechanical solutions for the power electronic packaging in aeronautical environment

Bajolet, Julien 07 January 2015 (has links)
Le domaine aéronautique étant en pleine expansion, il est nécessaire de trouver des solutions pour transporter plus de personnes tout en diminuant la consommation en carburant. L’allègement des aéronefs est un enjeu global, c’est pourquoi, il faut étudier comment diminuer la masse de tous les composants des avions. Les boitiers électroniques doivent faire partie de cette démarche d’allègement global des avions. Les sociétés du groupe SAFRAN et en particulier HISPANO-SUIZA se sont lancées dans un projet d’avion plus électrique et il est donc très important de diminuer la masse d’un boitier électronique. Une étude de boitiers électroniques existants a permis de mettre en évidence les principaux contributeurs de masse. Les bilans de masse ont montré que les éléments de protection et de maintien des composants électroniques représentaient la masse la plus importante pour un boitier. La recherche de solutions innovantes pour diminuer la masse de ces composants a mis en évidence des nouveaux matériaux pour remplacer l’aluminium omniprésent dans les boitiers actuels. Les stratifiés métaux / composites ou Fiber Metal Laminates (FML) sont des stratifiés composés de composites à matrice organique (carbone, fibre de verre, kevlar, …) et de tôles métalliques. Ces nouveaux matériaux composites sont particulièrement intéressants de par leurs propriétés thermomécaniques ainsi que leur conductivité électrique nécessaire au bon fonctionnement des boitiers en cas de passage de courant de foudre. Des simulations d’analyse modale ont validé la pertinence de l’emploi de ces FML pour réaliser les pièces de boitiers. Des modèles analytiques ont été mis en place pour prédire de façon simple et rapide le comportement de stratifiés composites en fonction du nombre de plis, des matériaux et des orientations. L’exploitation de ces modèles a permis de choisir des stratifiés prometteurs en fonction de leurs propriétés thermomécaniques : le Carall (assemblage de carbone et d’aluminium), le Glare (assemblage de fibres de verre) et un stratifié en carbone « classique ». La caractérisation de ces matériaux sous des chargements variés (statiques, dynamiques, en température, …) couplée à des simulations numériques a fourni les propriétés des stratifiés. La modélisation numérique des composites permettra de diminuer le temps et le coût nécessaires à la conception d’un boitier. L’étude et la comparaison des propriétés mesurées au cours des essais expérimentaux a permis de déterminer les applications potentielles des stratifiés métaux/composites dans les boitiers électroniques. Enfin, une étude de vieillissement accéléré en humidité et en température a été réalisée pour étudier l’évolution des propriétés des stratifiés dans le temps / The aeronautic field is growing years after years; this is why it is necessary to find solutions to transport more people and to reduce fuel consumption. The aircraft relief is a global issue, all components of aircraft ha to be lighter. Electronic devices must be a part of this global aircraft relief. The SAFRAN group and Hispano-Suiza in particular have engaged in a more electric aircraft project it is necessary to reduce the mass of an electronic box. A study of existing electronic boxes helped to highlight the main mass contributors. Mass analysis shows that the elements of protection and bearing of electronic components represent the highest global mass percent. The research of innovative solutions to reduce the weight of these components has highlighted new materials to replace the omnipresent aluminium in the current boxes. The composites Fibre Metal Laminates (FML) consist of organic matrix composites plies (carbon, fiberglass, Kevlar ...) and the metal sheet. These new composite materials are particularly interesting because of their thermo-mechanical and electrical conductivity necessary for the proper functioning of the electronic devices in case of lightning current. Modal analysis simulations validated the appropriateness of using these FML to replace aluminium in electronic boxes structure. Analytical models were developed to get a faster and easier the behaviour of composite laminates according to the number of plies, materials and orientations. The study of these analytical models has selected promising laminates according to their thermo mechanical properties: the Carall (assembly of carbon and aluminium), the Glare (assembly of glass fibers and aluminium) and carbon as a "classical" laminates. The characterization of these materials under various solicitations (static, dynamic, temperature ...) coupled with numerical simulations provided the laminates properties. Numerical modelling of composites will reduce the time and cost required to design a box. The study and comparison of measured properties during the experimental trials has identified the potential applications of metal laminates / composites in electronic boxes. Finally, a study of accelerated moisture and temperature aging was conducted to study the evolution properties of laminates in “real” environment
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Comparaison de la perception de la douleur entre le traitement orthodontique avec Invisalign® et le traitement avec fils et boîtiers fixes

Masi, Claire 05 1900 (has links)
Introduction : L’inconfort causé par les appareils orthodontiques peut significativement affecter la coopération des patients dans leur traitement. La douleur, ainsi que la détérioration de la fonction (mastication, élocution) sont reconnus comme les déterminants majeurs de la coopération des patients traités par appareils amovibles. Invisalign® se positionne comme une alternative esthétique aux multiples inconforts observés lors des traitements fixes avec boîtiers. À ce jour, peu d’études ont cherché à comparer la douleur (quantitativement et qualitativement) perçue entre cette technique et celle avec boîtiers fixes sur une longue période. Objectif : L’objectif de la présente étude est d’évaluer la douleur ressentie par les patients qui suivent un traitement orthodontique avec coquilles correctrices Invisalign® et de la comparer avec celle des patients qui suivent un traitement orthodontique conventionnel avec des boîtiers fixes. Matériels et Méthodes: L’étude compte 70 patients (29 garçons, 41 filles), moyenne d’âge de 16 ans [11 à 30]. Les trois sous-groupes sont Invisalign® (n=31), boîtiers Damon (n=19) et boîtiers Speed (n=20). Les groupes avec boîtiers (Damon et Speed) sont les 2 groupes de l’étude menée au sein de la clinique d’Orthodontie de l’Université de Montréal en 2011 qui comparait la perception de la douleur durant le traitement orthodontique entre boîtiers auto-ligaturants passifs et actifs. L’étude a été organisée en 4 phases correspondant à l’insertion des 4 premiers fils pour les groupes avec boîtiers (Phase 1: 0,016" Supercable, Phase 2: 0,016" CuNiTi, Phase 3: 0,016"x0,022" CuNiTi, Phase 4: 0,019"x0,025" CuNiTi) et à l’insertion des coquilles 1, 4, 7 et 10 pour le groupe Invisalign®. À l’aide d’un questionnaire, l’étude évalue pour chaque phase l’ampleur (grâce à une échelle visuelle analogue EVA), la durée et la localisation de la douleur à 6 différents points (T1: immédiatement après l’insertion, T2: 5h après, T3: 24h après, T4: 3 jours après, T5: une semaine après, T6: 2 semaines après). Résultats: À T1Ph3 le pourcentage de patients rapportant de la douleur était plus élevé avec Damon qu’avec Invisalign® (p=0,032) (Damon=55,6% ; Invisalign®=23,3%) mais il n’y avait pas de différence avec le groupe Speed (p=0,114). Les patients avec Invisalign® rapportaient significativement moins d’irritation des tissus mous (muqueuses, gencives) que les patients avec des boîtiers. Pour les résultats des EVA, les différences étaient statistiquement significatives à 2 temps : T3Ph1 (Médiane Invisalign®=33,31, Médiane Speed=49,47; p=0,025) et T3Ph4 (Médiane Invisalign®=13,15, Médiane Damon=27,28; p=0,014). Pour la majorité des patients la douleur ne nécessitait pas la prise de médicament et il n’y avait pas de différence significative entre les groupes sur ce point. La qualité de vie était légèrement affectée lors de la première phase et moindrement pour le groupe Invisalign® que pour les groupes avec boîtiers. Pour les patients Invisalign®, la douleur atteignait son niveau le plus élevé entre 5 et 24 heures après l’insertion de la première coquille, et diminuait en intensité et en durée à chaque phase. Conclusion: La perception de la douleur lors d’un traitement orthodontique avec Invisalign® est inférieure à celle ressentie lors d’un traitement avec des boîtiers fixes. Cette méthode de traitement est donc une thérapie attirante pour les patients désirant un traitement esthétique et relativement confortable. / Introduction : The discomfort caused by the orthodontic appliances can significantly affect patients cooperation during their treatment. Pain and function deterioration (chewing, speech) are recognized as major determinants of patients cooperation treated with removable appliances. Invisalign® is positioned as an aesthetic alternative to the many discomforts observed during treatment with fixed brackets. To date, few studies have compared the pain (quantitatively and qualitatively) between this technique and fixed appliances over a long period. Objective : The objective of this study is to assess the pain experienced in the first six months with Invisalign® treatment and compare it to the pain felt during conventional orthodontic treatment with fixed self-ligating brackets. Methods : The study was comprised of 70 patients (29 males, 41 females), with an age mean of 15.7 (range 11 to 30). The three subgroups are Invisalign® (n = 31), Damon (n = 19) and Speed (n = 20). The two bracket groups, Damon (passive) and Speed (active), were treated in the Orthodontic Clinic at the University of Montreal in 2011, and were compared (active vs. passive self-ligating brackets) for the perception of pain during orthodontic treatment. The study was conducted in four phases corresponding to the insertion of the first 4 wires for groups with brackets (Phase 1: 0.016 " Supercable, Phase 2: 0.016" CuNiTi, Phase 3: 0.016" x 0.022" CuNiTi, and Phase 4: 0.019" x 0.025" CuNiTi) and the insertion of aligners 1, 4, 7 and 10 for the Invisalign group. Using a questionnaire, the study evaluates the pain magnitude for each phase (using a visual analogue scale VAS), the duration, and location of the pain in 6 different time points (T1: immediately after insertion, T2: 5h later, T3: 24h later, T4: 3 days later, T5: 1 week later, T6: 2 weeks later). Results: At T1Ph3 the percentage of patients reporting pain was higher with Damon than with Invisalign® (p = 0.032) (Damon = 55.6%, Invisalign® = 23.3%), but there was no difference with Speed (p = 0.114). Patients with Invisalign® reported significantly less irritation of the soft tissues (mucous membranes, gums) than patients with brackets. For the VAS results, the differences were statistically significant at 2 stages: T3Ph1 (median Invisalign® = 33.31, Median Speed = 49.47, p = 0.025) and T3Ph4 (median Invisalign® = 13.15, median Damon = 27.28, p = 0.014). For most patients, the pain does not require medication and there was no significant difference between the groups in this respect. Quality of life was slightly affected during the first phase and less for the Invisalign® group than for the bracket groups. For Invisalign® patients, pain reached its highest level between 5 and 24 hours after insertion of the first aligner, and decreased in intensity and duration at each phase. Conclusion: The pain perception during orthodontic treatment with Invisalign® is lower than the pain experienced during treatment with fixed brackets. This method of treatment is therefore an attractive therapy for patients wishing for an aesthetic and reasonably comfortable treatment.
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Evaluation de la fiabilité de boîtiers électroniques QFN à base de nanocomposites LCP/SiO2 fonctionnalisées / Evaluation of the reliability of electronic packages QFN-based on nanocomposites LCP / SiO2 functionalized

Chenniki, Walide 15 July 2015 (has links)
Dans le cadre du développement de boîtiers à cavités pour composants électroniques, les polymères à cristaux liquides (LCP) offrent des propriétés intéressantes capables de rivaliser avec les matériaux en céramique : une faible perméabilité aux gaz, une résistance à haute température, une stabilité thermique et une faible constante diélectrique (3,1 à 1 MHz et 2,8 à 10 GHz). Cette nouvelle génération de thermoplastiques permettra de concurrencer les boîtiers métalliques et céramiques à cavité plus coûteux et de s’ouvrir à de nouvelles applications comme l’imagerie médicale par exemple.Dans ce contexte, nous proposons une technique de fonctionnalisation de nanoparticules minérales (via procédé Sol-Gel) et leur incorporation à la matrice polymère afin de modifier ces propriétés mécaniques (Module de Young et CTE) et son anisotropie. La fiabilité de boîtiers est évaluée à l’aide de simulations thermomécaniques. Le but est d’établir un lien entre les propriétés mécaniques des composites à base de LCP et la durée de vie des boîtiers électroniques. Le développement de capots optiques pour ces boîtiers est aussi étudié afin d’obtenir une filtration dans la proche infrarouge pour des applications dans le secteur de la téléphonie mobile. / As part of the development of cavities packages for electronic components, Liquid Crystal Polymers (LCP) offer interesting properties and compete with ceramic materials: low gas permeability, high temperature resistance, thermal stability and low dielectric constant (3.1 to 2.8 for 1 MHz and 10 GHz). This new generation of thermoplastic will compete with classic packages more expensive and open to new applications such as medical imaging for example.In this context, we propose an original approach of mineral nanoparticles functionalization (via sol-gel process) and their incorporation into the polymer matrix to modify the mechanical properties (Young's modulus and CTE) and the anisotropy. Packaging reliability is assessed using thermomechanical simulations. The goal is to establish a link between the mechanical properties of composites based on LCP and the characteristic lifetime of the package. The development of optical covers for these packages is also study to obtain a filter in the near infrared for applications in the mobile phone sector.
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Influence d’un rince-bouche fluoré sur la corrosion galvanique entre un fil NiTi ou un fil CuNiTi et différents boîtiers orthodontiques : incidence sur les propriétés mécaniques des fils

Benguira, David M. 04 1900 (has links)
Objectif : il a été rapporté que l’utilisation d’agents prophylactiques fluorés pouvait favoriser la corrosion galvanique au sein des alliages de titane. L’objectif de la présente étude était d’évaluer l’effet d’un rince-bouche fluoré sur les propriétés mécaniques de fils en nickel-titane (NiTi) et de fils en cuivre-nickel-titane (CuNiTi) lorsque ces derniers sont couplés à des boîtiers de compositions différentes (boîtiers de marques Smartclip, Clarity, et Sprint). Matériels et Méthodes : 90 segments de fils en NiTi et 90 segments de fils en CuNiTi ont été chacun couplés à 2 boîtiers de chaque marque. Chaque assemblage fil-boîtiers a été par la suite incubé pendant 3 heures à 37°C, soit dans une solution de fluore neutre (Fluorinse™ 0,05% NaF), soit dans une solution de salive artificielle (solution contrôle). Suite à l’incubation, les échantillons étaient nettoyés avec de l’eau déshydrogénée, les fils séparés des boîtiers et montés sur un support pour subir un test de pliage en trois points en milieu humide (salive artificielle) à 37°C. Les modules d’élasticité ainsi que les limites conventionnelles d’élasticité en activation et en désactivation ont été mesurés et comparés. Des analyses de Variance (ANOVA) et des comparaisons post-hoc avec la correction de Bonferronni ont été utilisées pour comparer les groupes entre eux (α = 0,05). Résultats : L’utilisation d’un rince-bouche fluoré a produit une réduction du module d’élasticité et de la limite conventionnelle d’élasticité en activation et en désactivation pour les fils en NiTi ; cependant, cet effet a été modulé par le type de boîtier auquel le fil a été couplé. Les propriétés mécaniques de fils en CuNiTi n’ont pas été affectées par le fluor, ou par le type de boîtier utilisé. Conclusions : L’utilisation d’un rince-bouche fluoré modifie les propriétés mécaniques des fils en NiTi seulement. Cet effet est modulé par le boîtier auquel le fil en NiTi est couplé. A la différence des autres études publiées dans la littérature, nos résultats ne nous permettent pas de conclure que la modification des propriétés mécaniques des fils en NiTi entrainerait obligatoirement un allongement de la durée du traitement orthodontique. Mots clés : Fluor, fils nickel-titane, boîtiers orthodontiques, corrosion galvanique, propriétés mécaniques. / Aim: it has been reported that the use of fluoride prophylactic agents can cause galvanic corrosion of the titanium based alloys used in orthodontics. The purpose of the present study was to investigate the effects of a fluoride mouthrinse on the mechanical properties of nickel-titanium (NiTi) and copper–nickel-titanium (CuNiTi) orthodontic archwires that have been coupled with different types of orthodontic brackets (Smartclip, Clarity, and Sprint brackets). Materials and Methods: 90 segments of NiTi and 90 segments of CuNiTi archwires were tested. Every segment was coupled with 2 brackets of each brand. The wire–bracket assembly obtained was incubated, at 37°C for three hours either in a solution of a commercially available mouthwash (Fluorinse™ 0,05% NaF), or in a solution of artificial saliva (control). Following the incubation, the wires were separated from the brackets, rinsed, mounted on a stainless steel support and placed in a waterbath of artificial saliva at 37°C. A 3-point bending test was made to calculate the loading and unloading elastic modulus and yield strength of the wires. Analysis of variance (ANOVA) and post hoc comparisons were made using Bonferronni’s correction to identify the statistically significant differences (α = 0,05). Results: The use of a fluoridated mouthrinse reduced the loading and unloading elastic modulus and yield strength of the NiTi wires. This reduction, however, varies with the type of bracket that was coupled with the wire. The mechanical properties of the CuNiTi wires were not modified by the use of the fluoride rinse or by the type of bracket to which they were coupled. Conclusions : The use of a fluoride mouthrinse alters the mechanical properties of NiTi wires only. This effect varies with the type of bracket that was in contact with the wire. However our results do not allow us to conclude that the alteration of the mechanical properties of the wires would necessarily imply a prolongation of the orthodontic treatment time. Key words: Fluoride, nickel-titanium archwires, galvanic corrosion, mechanical properties,orthodontic brackets.
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Perception de la douleur durant le traitement orthodontique avec boîtiers auto-ligaturants

Labbé, Sandra 06 1900 (has links)
Introduction Cette recherche constitue une étude clinique descriptive, visant à évaluer la douleur durant le traitement orthodontique avec boîtiers auto-ligaturants passifs et actifs. Matériel et méthode L'étude a été effectuée chez 39 patients (18 garçons, 21 filles), âge moyen 14 (entre 11 et 19 ans). Deux types de boîtiers auto-ligaturants ont été utilisés (SPEED n=20 et Damon n=19). Pour évaluer la douleur, un questionnaire a été élaboré par l'équipe de recherche. L’étude comportait 4 phases, c’est-à-dire l’évaluation de la douleur suite à l’insertion des 4 premiers fils orthodontiques du traitement de chaque patient (0.016 Supercable, 016 CuNiTi, 016X022 CuNiTi, 019X025 CuNiTi). Le même questionnaire était utilisé lors de chaque phase et le questionnaire comprenait 6 différents temps (T0: avant l’insertion du fil orthodontique, T1: immédiatement suite à l’insertion du fil, T2: 5h après l’insertion, T3: 24h après l’insertion, T4: 3 jours après l’insertion, T5: une semaine après l’insertion, T6: 4 semaines après l’insertion) suite à l’insertion de chaque fil. L’échelle visuelle analogue (EVA) et la version courte du questionnaire de Saint-Antoine ont été utilisés afin d’évaluer la douleur. Les données des EVA entre les groupes ont été comparées en utilisant le U test Mann-Whitney. Résultats et discussion Pour les deux premiers fils et pour tous les temps étudiés, il n’y avait pas de différence statistiquement significative entre les deux groupes (SPEED et Damon). Cependant, au moment de l’insertion (T0) du troisième fil (016X022 CuNiTi), parmi les patients ayant rapporté de la douleur (SPEED 47.1%, Damon 55.6%), le groupe Damon a rapporté une douleur significativement plus élevée que le groupe SPEED (p=0.018), (EVA moyenne SPEED=14.14±8.55, Damon=33.85±19.64). Trois jours après l’insertion du troisième fil, toujours parmi les patients ayant rapporté de la douleur (SPEED 23.5%, Damon 33.4%), la douleur était significativement plus élevée chez le groupe Damon que chez le groupe SPEED (p=0.008), (EVA moyenne SPEED=8.74±4.87, Damon=25.15±9.69). La plupart des analgésiques ont été pris suite à la pose du premier fil au temps T2 (5h) et T3 (24h). Il n’y avait pas de différence statistiquement significative entre les groupes en ce qui a trait au nombre de patients qui prenaient des analgésiques. La douleur n’a pas affecté le style de vie pour la grande majorité des patients. Les mots descriptifs sensoriels « tiraillement », « étau » et « élancement » et le mot affectif « énervant » étaient le plus souvent utilisés. Conclusion Les patients du groupe Damon ont ressenti significativement plus de douleur que les patients du groupe SPEED à l’insertion du troisième fil et trois jours suite à l’insertion. Plus de patients ont pris des médicaments pour la douleur avec le premier fil et le style de vie n’était pas affecté pour une majorité de patients. « Tiraillement », « étau », « élancement » et « énervant » étaient les mots descriptifs les plus utilisés par les patients pour décrire leur douleur. / Introduction This research is a descriptive clinical study designed to assess pain during orthodontic treatment with self-ligating brackets. Materials and methods This study was comprised of 39 patients (18 male, 21 female), mean age of 14 (range 11 to 19 yo). Two types of self-ligating brackets (SPEED n=20 and Damon n=19) were used. Pain was evaluated with a questionnaire developed by the research team. The study was divided into 4 phases. Pain was evaluated for 4 weeks following the insertion of the first 4 orthodontic wires for each patient (0.016 Supercable, 016 CuNiTi, 016X022 CuNiTi, 019X025 CuNiTi). The same questionnaire was used during each phase and included 6 different time-points following the insertion of each wire (T0: before insertion of orthodontic wire, T1: immediately after the insertion of the wire, T2: 5h after insertion, T3: 24h after insertion, T4: 3 days after insertion, T5: 1 week after insertion, T6: 4 weeks after insertion). The visual analogue scale (VAS) and the short version of Saint-Antoine’s questionnaire were used to evaluate the pain. VAS ratings between groups were compared using the Mann-Whitney U test. Results and Discussion For the first two wires and for all the different time points, there was no statistical difference between both groups (SPEED and Damon). However, at the insertion (T0) of the third wire (016X022 CuNiTi), among patients that reported pain (SPEED 47.1%, Damon 55.6%), Damon caused statistically significantly more pain than SPEED (p=0.018), (VAS mean SPEED=14.14±8.55, Damon=33.85±19.64). Three days after the insertion (T4) of the third wire, among the patients that reported pain (SPEED 23.5%, Damon 33.4%), the pain was statistically significantly higher with Damon than SPEED (p=0.008), (VAS mean SPEED=8.74±4.87, Damon=25.15±9.69). The most frequent use of pain medication occured with the first wire, at time-points T2 (5h) and T3 (24h). There was no statistical difference among the groups in terms of the number of patients taking medication. For the large majority of patients, the pain did not affect their life-style. The most frequently used sensorial words used by the patients to describe their pain were « pulling » (tiraillement), « cramping » (étau), « throbbing» (élancement). The most frequently used affective word was « annoying » (énervant). Conclusion The perception of pain for patients with Damon brackets was significantly higher than for those with the SPEED brackets at the insertion of the third wire and three days after placement of the third wire. More patients took pain médication with the first wire and the majority of patients did not report a change in their quality of life. « Pulling » (tiraillement), « cramping » (étau), « throbbing» (élancement) and « annoying » (énervant) were the words most frequently used by the patients to describe their pain.
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Une évaluation de la dimension de la lumière de boîtiers 0,018" provenant de quatre différents manufacturiers. Existe-t-il un standard dans l’industrie?

Richard, Laurent A. 04 1900 (has links)
Introduction: The objective of this experimental research was to evaluate the slot’s vertical dimension and profile of four different 0.018″ self-ligating brackets and to identify the level of tolerance accepted by manufacturers during the fabrication process. It was then possible to calculate and compare the torque play of those brackets using the measured values and the nominal values. Material and Methods: Twenty-five 0.018″ self-ligating brackets of upper left central incisors from the following manufacturers, Speed® (Strite Industries, Cambridge, Ontario, Canada), InOvationR® (GAC, Bohemia, NY, USA), CarriereLX® (Ortho Organizers, Carlsbad, CA, USA) and SmartClip® (3M Unitek, Monrovia, CA, USA), were evaluated using electron microscopy with 150X images. The height of each bracket was measured at every 100 microns of depth from the lingual wall at five different levels. A Student T test was then used to compare our results with the manufacturer’s stated value of 0.018″. To determine if there was a significant difference between the four manufacturers, analysis of variance (ANOVA) was performed at the significance level of p<0.05. The torque play was then calculated using geometrical formulas. Results: On average, Speed brackets were oversized by 2.7%[MV 0.0185″ (SD:0.002)], InOvationR by 3.7% [MV 0.0187″ (SD:0.002)], CarriereLX by 3.2% [MV 0.0186″ (SD:0.002)] and SmartClipSL by 5.0% [MV 0.0189″ (SD:0.002)]. The height of all brackets was significantly higher than the nominal value of 0.018″ (p<0.001). The slot of SmartClip brackets was significantly larger than those of the other three manufacturers (p<0.001). None of the brackets studied had parallel gingival and occlusal walls; some were convergent and others divergent. These variations can induce a torque play up to 4.5 degrees with a 0.017″x0.025″ wire and 8.0 degrees with a 0.016″x0.022″ wire. Conclusion: All studied brackets were oversized. None of the brackets studied had parallel gingival and occlusal walls and there was no standard between manufacturers for the geometry of their slots. These variations can cause a slight increase of the torque play between the wire and the bracket compared with the nominal value. / Introduction : Cette recherche a été une étude expérimentale conduite en laboratoire visant à évaluer la dimension verticale ainsi que la géométrie de la lumière de différents boîtiers auto-ligaturants populaires de grandeur 0,018″. Par la suite, il a été possible de calculer mathématiquement la perte de torque engendrée par ces variations. Matériel et méthode : Vingt-cinq boîtiers auto-ligaturants d’incisive centrale supérieure gauche de quatre différents manufacturiers, Speed® (Strite Industries, Cambridge, Ontario, Canada), InOvationR® (GAC, Bohemia, NY, USA), CarriereLX® (Ortho Organizers, Carlsbad, CA, USA) et SmartClip SL® (3M Unitek, Monrovia, CA, USA), ont été évalués en utilisant un microscope à balayage électronique à un grossissement de 150X. La hauteur de la lumière a été mesurée à tous les 100 microns de profondeur à cinq différents niveaux, permettant ainsi d’établir sa hauteur moyenne et d’évaluer le parallélisme de ses parois. Le test T de Student a été utilisé pour déterminer si ces valeurs étaient statistiquement significatives comparativement à la valeur de référence de 0,018″. Un test de variance (ANOVA), avec un seuil de signification p<0,05, a été utilisé pour comparer les boîtiers des différents manufacturiers entre eux. La perte de torque a, par la suite, été calculée théoriquement à l’aide de formules géométriques en fonction d’un fil donné. Résultats : En moyenne, la lumière des boîtiers Speed était surdimensionnée de 2,7% [VM : 0,0185″ (DS : 0,002)], InOvationR de 3,7% [VM 0,0187″ (DS : 0,002)], CarriereLX de 3,2% [VM 0,0186″ (DS : 0,002)] et SmartClip SL de 5,0% [VM 0,0189″ (DS : 0,002)]. La hauteur moyenne des quatre types de boîtiers a démontré une différence statistiquement significative par rapport à la valeur de référence de 0,018″ (p<0,001). Il existe également une différence statistiquement significative entre la hauteur moyenne des boîtiers SmartClip et celle des trois autres manufacturiers (p<0,001). Aucun des boîtiers étudiés n’avait les parois gingivales et occlusales parallèles, certaines étaient divergentes, d’autres convergentes. Ces variations peuvent engendrer cliniquement une perte de torque jusqu’à 4,5 degrés avec un fil 0,017″x0,025″ et jusqu’à 8,0 degrés avec un fil 0,016″x0,022″. Conclusion : La lumière de tous les boîtiers étudiés était légèrement surdimensionnée. La géométrie de la lumière variait d’un manufacturier à l’autre, certains boîtiers étaient convergents et d’autres divergents. Ces variations causées par les méthodes de fabrication engendrent une perte de torque supplémentaire par rapport à la valeur nominale.
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Influence d’un rince-bouche fluoré sur la corrosion galvanique entre un fil NiTi ou un fil CuNiTi et différents boîtiers orthodontiques : incidence sur les propriétés mécaniques des fils

Benguira, David M. 04 1900 (has links)
Objectif : il a été rapporté que l’utilisation d’agents prophylactiques fluorés pouvait favoriser la corrosion galvanique au sein des alliages de titane. L’objectif de la présente étude était d’évaluer l’effet d’un rince-bouche fluoré sur les propriétés mécaniques de fils en nickel-titane (NiTi) et de fils en cuivre-nickel-titane (CuNiTi) lorsque ces derniers sont couplés à des boîtiers de compositions différentes (boîtiers de marques Smartclip, Clarity, et Sprint). Matériels et Méthodes : 90 segments de fils en NiTi et 90 segments de fils en CuNiTi ont été chacun couplés à 2 boîtiers de chaque marque. Chaque assemblage fil-boîtiers a été par la suite incubé pendant 3 heures à 37°C, soit dans une solution de fluore neutre (Fluorinse™ 0,05% NaF), soit dans une solution de salive artificielle (solution contrôle). Suite à l’incubation, les échantillons étaient nettoyés avec de l’eau déshydrogénée, les fils séparés des boîtiers et montés sur un support pour subir un test de pliage en trois points en milieu humide (salive artificielle) à 37°C. Les modules d’élasticité ainsi que les limites conventionnelles d’élasticité en activation et en désactivation ont été mesurés et comparés. Des analyses de Variance (ANOVA) et des comparaisons post-hoc avec la correction de Bonferronni ont été utilisées pour comparer les groupes entre eux (α = 0,05). Résultats : L’utilisation d’un rince-bouche fluoré a produit une réduction du module d’élasticité et de la limite conventionnelle d’élasticité en activation et en désactivation pour les fils en NiTi ; cependant, cet effet a été modulé par le type de boîtier auquel le fil a été couplé. Les propriétés mécaniques de fils en CuNiTi n’ont pas été affectées par le fluor, ou par le type de boîtier utilisé. Conclusions : L’utilisation d’un rince-bouche fluoré modifie les propriétés mécaniques des fils en NiTi seulement. Cet effet est modulé par le boîtier auquel le fil en NiTi est couplé. A la différence des autres études publiées dans la littérature, nos résultats ne nous permettent pas de conclure que la modification des propriétés mécaniques des fils en NiTi entrainerait obligatoirement un allongement de la durée du traitement orthodontique. Mots clés : Fluor, fils nickel-titane, boîtiers orthodontiques, corrosion galvanique, propriétés mécaniques. / Aim: it has been reported that the use of fluoride prophylactic agents can cause galvanic corrosion of the titanium based alloys used in orthodontics. The purpose of the present study was to investigate the effects of a fluoride mouthrinse on the mechanical properties of nickel-titanium (NiTi) and copper–nickel-titanium (CuNiTi) orthodontic archwires that have been coupled with different types of orthodontic brackets (Smartclip, Clarity, and Sprint brackets). Materials and Methods: 90 segments of NiTi and 90 segments of CuNiTi archwires were tested. Every segment was coupled with 2 brackets of each brand. The wire–bracket assembly obtained was incubated, at 37°C for three hours either in a solution of a commercially available mouthwash (Fluorinse™ 0,05% NaF), or in a solution of artificial saliva (control). Following the incubation, the wires were separated from the brackets, rinsed, mounted on a stainless steel support and placed in a waterbath of artificial saliva at 37°C. A 3-point bending test was made to calculate the loading and unloading elastic modulus and yield strength of the wires. Analysis of variance (ANOVA) and post hoc comparisons were made using Bonferronni’s correction to identify the statistically significant differences (α = 0,05). Results: The use of a fluoridated mouthrinse reduced the loading and unloading elastic modulus and yield strength of the NiTi wires. This reduction, however, varies with the type of bracket that was coupled with the wire. The mechanical properties of the CuNiTi wires were not modified by the use of the fluoride rinse or by the type of bracket to which they were coupled. Conclusions : The use of a fluoride mouthrinse alters the mechanical properties of NiTi wires only. This effect varies with the type of bracket that was in contact with the wire. However our results do not allow us to conclude that the alteration of the mechanical properties of the wires would necessarily imply a prolongation of the orthodontic treatment time. Key words: Fluoride, nickel-titanium archwires, galvanic corrosion, mechanical properties,orthodontic brackets.
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Une évaluation de la dimension de la lumière de boîtiers 0,018″ provenant de quatre différents manufacturiers. Existe-t-il un standard dans l’industrie?

Richard, Laurent A. 04 1900 (has links)
Introduction: The objective of this experimental research was to evaluate the slot’s vertical dimension and profile of four different 0.018″ self-ligating brackets and to identify the level of tolerance accepted by manufacturers during the fabrication process. It was then possible to calculate and compare the torque play of those brackets using the measured values and the nominal values. Material and Methods: Twenty-five 0.018″ self-ligating brackets of upper left central incisors from the following manufacturers, Speed® (Strite Industries, Cambridge, Ontario, Canada), InOvationR® (GAC, Bohemia, NY, USA), CarriereLX® (Ortho Organizers, Carlsbad, CA, USA) and SmartClip® (3M Unitek, Monrovia, CA, USA), were evaluated using electron microscopy with 150X images. The height of each bracket was measured at every 100 microns of depth from the lingual wall at five different levels. A Student T test was then used to compare our results with the manufacturer’s stated value of 0.018″. To determine if there was a significant difference between the four manufacturers, analysis of variance (ANOVA) was performed at the significance level of p<0.05. The torque play was then calculated using geometrical formulas. Results: On average, Speed brackets were oversized by 2.7%[MV 0.0185″ (SD:0.002)], InOvationR by 3.7% [MV 0.0187″ (SD:0.002)], CarriereLX by 3.2% [MV 0.0186″ (SD:0.002)] and SmartClipSL by 5.0% [MV 0.0189″ (SD:0.002)]. The height of all brackets was significantly higher than the nominal value of 0.018″ (p<0.001). The slot of SmartClip brackets was significantly larger than those of the other three manufacturers (p<0.001). None of the brackets studied had parallel gingival and occlusal walls; some were convergent and others divergent. These variations can induce a torque play up to 4.5 degrees with a 0.017″x0.025″ wire and 8.0 degrees with a 0.016″x0.022″ wire. Conclusion: All studied brackets were oversized. None of the brackets studied had parallel gingival and occlusal walls and there was no standard between manufacturers for the geometry of their slots. These variations can cause a slight increase of the torque play between the wire and the bracket compared with the nominal value. / Introduction : Cette recherche a été une étude expérimentale conduite en laboratoire visant à évaluer la dimension verticale ainsi que la géométrie de la lumière de différents boîtiers auto-ligaturants populaires de grandeur 0,018″. Par la suite, il a été possible de calculer mathématiquement la perte de torque engendrée par ces variations. Matériel et méthode : Vingt-cinq boîtiers auto-ligaturants d’incisive centrale supérieure gauche de quatre différents manufacturiers, Speed® (Strite Industries, Cambridge, Ontario, Canada), InOvationR® (GAC, Bohemia, NY, USA), CarriereLX® (Ortho Organizers, Carlsbad, CA, USA) et SmartClip SL® (3M Unitek, Monrovia, CA, USA), ont été évalués en utilisant un microscope à balayage électronique à un grossissement de 150X. La hauteur de la lumière a été mesurée à tous les 100 microns de profondeur à cinq différents niveaux, permettant ainsi d’établir sa hauteur moyenne et d’évaluer le parallélisme de ses parois. Le test T de Student a été utilisé pour déterminer si ces valeurs étaient statistiquement significatives comparativement à la valeur de référence de 0,018″. Un test de variance (ANOVA), avec un seuil de signification p<0,05, a été utilisé pour comparer les boîtiers des différents manufacturiers entre eux. La perte de torque a, par la suite, été calculée théoriquement à l’aide de formules géométriques en fonction d’un fil donné. Résultats : En moyenne, la lumière des boîtiers Speed était surdimensionnée de 2,7% [VM : 0,0185″ (DS : 0,002)], InOvationR de 3,7% [VM 0,0187″ (DS : 0,002)], CarriereLX de 3,2% [VM 0,0186″ (DS : 0,002)] et SmartClip SL de 5,0% [VM 0,0189″ (DS : 0,002)]. La hauteur moyenne des quatre types de boîtiers a démontré une différence statistiquement significative par rapport à la valeur de référence de 0,018″ (p<0,001). Il existe également une différence statistiquement significative entre la hauteur moyenne des boîtiers SmartClip et celle des trois autres manufacturiers (p<0,001). Aucun des boîtiers étudiés n’avait les parois gingivales et occlusales parallèles, certaines étaient divergentes, d’autres convergentes. Ces variations peuvent engendrer cliniquement une perte de torque jusqu’à 4,5 degrés avec un fil 0,017″x0,025″ et jusqu’à 8,0 degrés avec un fil 0,016″x0,022″. Conclusion : La lumière de tous les boîtiers étudiés était légèrement surdimensionnée. La géométrie de la lumière variait d’un manufacturier à l’autre, certains boîtiers étaient convergents et d’autres divergents. Ces variations causées par les méthodes de fabrication engendrent une perte de torque supplémentaire par rapport à la valeur nominale.
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Perception de la douleur durant le traitement orthodontique avec boîtiers auto-ligaturants

Labbé, Sandra 06 1900 (has links)
Introduction Cette recherche constitue une étude clinique descriptive, visant à évaluer la douleur durant le traitement orthodontique avec boîtiers auto-ligaturants passifs et actifs. Matériel et méthode L'étude a été effectuée chez 39 patients (18 garçons, 21 filles), âge moyen 14 (entre 11 et 19 ans). Deux types de boîtiers auto-ligaturants ont été utilisés (SPEED n=20 et Damon n=19). Pour évaluer la douleur, un questionnaire a été élaboré par l'équipe de recherche. L’étude comportait 4 phases, c’est-à-dire l’évaluation de la douleur suite à l’insertion des 4 premiers fils orthodontiques du traitement de chaque patient (0.016 Supercable, 016 CuNiTi, 016X022 CuNiTi, 019X025 CuNiTi). Le même questionnaire était utilisé lors de chaque phase et le questionnaire comprenait 6 différents temps (T0: avant l’insertion du fil orthodontique, T1: immédiatement suite à l’insertion du fil, T2: 5h après l’insertion, T3: 24h après l’insertion, T4: 3 jours après l’insertion, T5: une semaine après l’insertion, T6: 4 semaines après l’insertion) suite à l’insertion de chaque fil. L’échelle visuelle analogue (EVA) et la version courte du questionnaire de Saint-Antoine ont été utilisés afin d’évaluer la douleur. Les données des EVA entre les groupes ont été comparées en utilisant le U test Mann-Whitney. Résultats et discussion Pour les deux premiers fils et pour tous les temps étudiés, il n’y avait pas de différence statistiquement significative entre les deux groupes (SPEED et Damon). Cependant, au moment de l’insertion (T0) du troisième fil (016X022 CuNiTi), parmi les patients ayant rapporté de la douleur (SPEED 47.1%, Damon 55.6%), le groupe Damon a rapporté une douleur significativement plus élevée que le groupe SPEED (p=0.018), (EVA moyenne SPEED=14.14±8.55, Damon=33.85±19.64). Trois jours après l’insertion du troisième fil, toujours parmi les patients ayant rapporté de la douleur (SPEED 23.5%, Damon 33.4%), la douleur était significativement plus élevée chez le groupe Damon que chez le groupe SPEED (p=0.008), (EVA moyenne SPEED=8.74±4.87, Damon=25.15±9.69). La plupart des analgésiques ont été pris suite à la pose du premier fil au temps T2 (5h) et T3 (24h). Il n’y avait pas de différence statistiquement significative entre les groupes en ce qui a trait au nombre de patients qui prenaient des analgésiques. La douleur n’a pas affecté le style de vie pour la grande majorité des patients. Les mots descriptifs sensoriels « tiraillement », « étau » et « élancement » et le mot affectif « énervant » étaient le plus souvent utilisés. Conclusion Les patients du groupe Damon ont ressenti significativement plus de douleur que les patients du groupe SPEED à l’insertion du troisième fil et trois jours suite à l’insertion. Plus de patients ont pris des médicaments pour la douleur avec le premier fil et le style de vie n’était pas affecté pour une majorité de patients. « Tiraillement », « étau », « élancement » et « énervant » étaient les mots descriptifs les plus utilisés par les patients pour décrire leur douleur. / Introduction This research is a descriptive clinical study designed to assess pain during orthodontic treatment with self-ligating brackets. Materials and methods This study was comprised of 39 patients (18 male, 21 female), mean age of 14 (range 11 to 19 yo). Two types of self-ligating brackets (SPEED n=20 and Damon n=19) were used. Pain was evaluated with a questionnaire developed by the research team. The study was divided into 4 phases. Pain was evaluated for 4 weeks following the insertion of the first 4 orthodontic wires for each patient (0.016 Supercable, 016 CuNiTi, 016X022 CuNiTi, 019X025 CuNiTi). The same questionnaire was used during each phase and included 6 different time-points following the insertion of each wire (T0: before insertion of orthodontic wire, T1: immediately after the insertion of the wire, T2: 5h after insertion, T3: 24h after insertion, T4: 3 days after insertion, T5: 1 week after insertion, T6: 4 weeks after insertion). The visual analogue scale (VAS) and the short version of Saint-Antoine’s questionnaire were used to evaluate the pain. VAS ratings between groups were compared using the Mann-Whitney U test. Results and Discussion For the first two wires and for all the different time points, there was no statistical difference between both groups (SPEED and Damon). However, at the insertion (T0) of the third wire (016X022 CuNiTi), among patients that reported pain (SPEED 47.1%, Damon 55.6%), Damon caused statistically significantly more pain than SPEED (p=0.018), (VAS mean SPEED=14.14±8.55, Damon=33.85±19.64). Three days after the insertion (T4) of the third wire, among the patients that reported pain (SPEED 23.5%, Damon 33.4%), the pain was statistically significantly higher with Damon than SPEED (p=0.008), (VAS mean SPEED=8.74±4.87, Damon=25.15±9.69). The most frequent use of pain medication occured with the first wire, at time-points T2 (5h) and T3 (24h). There was no statistical difference among the groups in terms of the number of patients taking medication. For the large majority of patients, the pain did not affect their life-style. The most frequently used sensorial words used by the patients to describe their pain were « pulling » (tiraillement), « cramping » (étau), « throbbing» (élancement). The most frequently used affective word was « annoying » (énervant). Conclusion The perception of pain for patients with Damon brackets was significantly higher than for those with the SPEED brackets at the insertion of the third wire and three days after placement of the third wire. More patients took pain médication with the first wire and the majority of patients did not report a change in their quality of life. « Pulling » (tiraillement), « cramping » (étau), « throbbing» (élancement) and « annoying » (énervant) were the words most frequently used by the patients to describe their pain.

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