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La pensée en exil : François Fejtö, Emil Cioran, Czeslaw Milosz, et Sándor Márai / The exiled mind : Emil Cioran, François Fejtö, Czeslaw Milosz, Sándor Márai

Balazs, Adam 17 November 2016 (has links)
L’exil, au XXe siècle, devient une véritable condition humaine. Il ne s’agit plus d’une peine réservée à certaines personnalités comme par le passé. Pourtant, l’état de l’art sur le sujet a tendance à omettre cette nouveauté et à confondre exil et émigration, cette dernière étant non pas condition, mais trajet, parcours, cheminement que l’on peut suivre sur une carte. La géographie demeure ainsi la métaphore d’une condition dont l’essence échappe en conséquence à l’analyse. C’est à travers les expériences respectives de quatre hommes de lettres d’Europe de l’Est que nous cherchons à contribuer à la recherche contemporaine sur l’exil. Exil et émigration vont souvent de pair. Les deux concepts étant distincts, ils forment un couple conceptuel. Il s’agit, à l’aide de ce couple conceptuel exil-émigration, de travailler les articulations entre géographie et condition et de dégager la pertinence contemporaine des expériences du XXe siècle : en quoi les expériences spécifiques à l’Europe de l’Est, dont la nostalgie de l’Europe centrale qui caractérise nos quatre hommes de lettres, permettent-elles de mieux comprendre nos questionnements actuels les plus urgents ? / Exile, in the twentieth century, becomes a genuine human condition. It is not a punishment reserved to well-known individuals. Nonetheless, bibliography tends to omit this novelty and confounds exile with emigration. Emigration is not a condition, but a route, a journey, a movement one can follow on the map. Thus geography remains the main metaphor of a condition, and the very essence of exile continues to be evasive within research on the topic. It is by thinking through the respective experiences of four East European intellectuals that I propose to contribute to current research. Exile and emigration often go together. The two concepts being distinct, they form a couple of concepts. My aim is to use this couple, exile-emigration, to analyse connections between geography and condition and to shed light on the contemporary relevance of past experiences: these experiences, peculiar to Eastern Europe, nostalgic about Central Europe – nostalgy that the four intellectuals actually share – allow us to specify in a more accurate way our more than contemporary questionings.
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Diversité, biogéographie, écologie et conservation des Rubioideae-Rubiaceae en Afrique centrale, Burundi, R.D.Congo, Rwanda / Diversity, biogeography, ecology and conservation of Rubioideae-Rubiaceae in Central Africa, Burundi, D.R.Congo, Rwanda

Niyongabo, Ferdinand 27 April 2012 (has links)
Cette étude est une contribution à la connaissance de la biodiversité, la distribution géographique et la conservation des Rubioideae (Rubiaceae) d’Afrique centrale (Burundi,R.D.Congo et Rwanda). Le travail est basé sur l’analyse critique des riches collections conservées dans les grands herbaria de Belgique et du Burundi (plus de 10.000 échantillons). Une check-list critique des Rubioideae d’Afrique centrale a été établie; 291 taxons ont été inventoriés et une carte de distribution géographique a été tracée pour chacun, après géoréférencement de toutes<p>les récoltes. Des taxons nouveaux pour le territoire étudié ont été découverts, révélant le caractère incomplet de la ‘World check-list of Rubiaceae’. Des taxons nouveaux pour la science ont été mis en évidence. Une espèce nouvelle (avec deux variétés) a été décrite. Les analyses de distribution ont utilisé deux niveaux de résolution: le système d’information géographique (SIG) pour la production des cartes de la distribution des espèces et le système de maillage pour calculer la densité et l’effort d’échantillonnage. La richesse floristique apparente est fortement biaisée par l’intensité d’échantillonnage. Après correction de ces biais, la diversité reste inégalement répartie.<p>Des régions de plus haute diversité peuvent être expliquées à la fois par des processus déterministes (régions à haute diversité ’habitats), et, probablement aussi par des contingences historiques (refuges). Elles correspondent à des zones de spéciation active ou de moindre extinction. De plus, cette diversité varie selon les phytochories considérées.<p>La distribution des taxons a été utilisée pour tenter de redéfinir sur une base objective des subdivisions phytogéographiques du territoire étudié. L’approche basée sur la similarité floristique et la distribution potentielle a démontré le rôle déterminant des taxons indicateurs et des variables environnementales<p>dans l’établissement d’un système cohérent de phytochories pour l’Afrique centrale. Un nouveau<p>système de trois territoires floristiques défini sur base des Rubioideae est comparativement proche de celui de White (1979, 1983) mais ne comprend pas des zones de transition.<p>Enfin, la caractérisation de l’état de conservation des Rubioideae de la zone d’étude, sur base de la méthodologie de l’UICN, a porté sur cinquante-six taxons (sub-)endémiques d’Afrique centrale. L’évaluation paramétrique a été largement utilisée. Elle est basée sur la détermination de la zone d’occupation (AOO) et de la zone d’occurrence (EOO). La proportion des Rubioideae menacés et coïncide avec celles des autres groupes déjà évalués. Cette analyse a démontré qu’il existe une corrélation entre les taxons menacés et les zones de forte concentration humaine.<p><p><p>This study is a contribution to the knowledge of biodiversity, geographic distribution and conservation of Rubioideae (Rubiaceae), a group of flowering plants in Central Africa (D.R.Congo, Rwanda, Burundi). The work is based on the critical evaluation of the rich herbarium collections conserved in Belgium and Burundi (> 10,000 specimens). A critical check-list of Rubioideae in Central Africa has been produced, comprising 291 taxa. A distribution map has been obtained for each of them. A number of taxa are new to the area, highlighting the gaps of knowledge in the ‘World check-list of Rubiaceae’. Species new to science have been detected, one of which has been formally described (with two varieties) in this study. The analysis of distribution patterns has been performed at two levels of resolution. Grid-maps have been used to analyse patterns of species diversity. Floristic richness appears strongly correlated with<p>sampling effort. After correction for sampling effort, species diversity remains heterogeneous.<p>Regions of higher diversity correspond either to areas of more active speciation, in relation to a high diversity of habitats, or to forest refuges where extinction rates have been lower. Additionally, this diversity varies between the different phytochoria recognized. The distribution of species has been used in an attempt to redefine phytochoria based only on floristic criteria. Floristic similarity, and potential distribution (based on climatic parameters), has shown that phytochoria can be effectively defined and characterized by the method of indicator taxa. Three major<p>phytochoria show a reasonably match with phytochoria previously proposed by White (1979, 1983), but White’s transition zones are not highlighted. Finally, distribution data have been used to critically evaluate the conservation status of 56 taxa, using the methodology and criteria of IUCN. The area of occupancy (AOO) and extent of occurrence (EOO) were calculated and used as main criteria to evaluate the species. A relatively high proportion of taxa appear to be threatened, especially in relation to urbanization and deforestation in the most<p>highly populated parts of the study area. / Doctorat en Sciences / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Diversité, endémisme, géographie et conservation des Fabaceae de l'Afrique Centrale / Diversity, endemism, geography and conservation of Fabaceae of Central Africa

Ndayishimiye, Joel 21 October 2011 (has links)
La connaissance de la distribution spatiale des espèces et leurs déterminants constituent les principaux thèmes de la biogéographie et de l’écologie. Cette thèse a été réalisée sur les Fabaceae de l’Afrique Centrale :Burundi, République Démocratique du Congo et Rwanda. Composées de trois sous-familles (Caesalpinioideae, Faboideae et Mimosoideae), les Fabaceae sont présentes dans tous les biomes terrestres du monde. La présente étude a pour objectif d’évaluer et localiser la diversité spécifique, déterminer les zones de conservation des Fabaceae, identifier leur modèle de distribution spatiale et examiner l’impact potentiel de la déforestation sur les espèces indicatrices de cette famille. Les facteurs environnementaux déterminant la distribution des espèces endémiques de Fabaceae, les zones favorables à leur présence et l’évaluation de leur état de conservation ont également été analysés. L’étude a consisté à vérifier et à digitaliser tous les échantillons d’herbiers des Fabaceae conservés au Jardin Botanique National de Belgique et à l’Université Libre de Bruxelles. Les Systèmes d’Information Géographique ont été largement utilisés. Les analyses spatiales ont montré une distribution non uniforme de la diversité spécifique des Fabaceae. Les zones où la diversité spécifique coïncide avec celle des espèces endémiques ont été suggérées comme prioritaires pour la conservation. L’analyse de groupement appliquée sur le jeu de données des Mimosoideae a mis en évidence trois régions floristiques majeures. Ces trois régions correspondent aux régions phytogéographiques définies par White (1979, 1983). L’étude des Caesalpinioideae a confirmé l’existence d’espèces indicatrices de territoires phytogéographiques de Ndjele (1988). L’étude de cas réalisée au Katanga (R.D. Congo) a montré que la déforestation constitue une menace potentielle pour ces espèces, les plus vulnérables étant inféodées aux habitats forestiers. La distribution potentielle des espèces endémiques de Fabaceae (Caesalpinioideae) a montré une convergence entre les cartes de la distribution actuelle et celles issues de la distribution potentielle. Des sites où les espèces n’ont jamais été signalées ont été identifiés. La distribution potentielle a démontré le rôle des déterminants environnementaux dans la distribution des espèces endémiques. Cette étude a également prouvé que d’importantes proportions des zones de diversité des espèces endémiques ne sont pas couvertes par la conservation actuelle de l’Afrique Centrale. Cette thèse confirme que l’Afrique Centrale est une zone importante de conservation de la biodiversité. L’étude devrait être poursuivie en étendant la distribution potentielle aux Fabaceae non endémiques afin de définir leurs aires de distributions, critère indispensable pour évaluer le degré de vulnérabilité d’une espèce. La création de nouvelles aires protégées renforcerait le système actuel de conservation dans cette région./Knowledge of the spatial distribution of species and its determinants constitutes a principal theme in biogeography and ecology. This dissertation focused on the Fabaceae family of Central Africa: Burundi, the Democratic Republic of the Congo and Rwanda. Composed of three subfamilies (Caesalpinioideae, Faboideae and Mimosoideae), Fabaceae species are present in all terrestrial biomes of the world. The current study aimed to assess and locate Fabaceae species diversity, to determine potential conservation zones, to identify the spatial distribution pattern and to examine the potential impact of deforestation on some indicator species of this family. The environmental factors driving the distribution of endemic Fabaceae have been identified, as well as the potential areas of occurrence; their conservation status in the region has also been studied. The current study has verified and digitized all the herbarium samples kept at the National Botanical Garden of Belgium and the Université Libre de Bruxelles regarding the Fabaceae family. Geographic Information Systems have been used frequently. Spatial analysis showed an uneven distribution of Fabaceae species diversity. The zones where species richness depends on endemic species diversity are suggested to have priority for conservation. A cluster analysis applied to the dataset of Mimosoideae has highlighted three major floristic regions. These three regions correspond to existing phytogeographical regions defined by White (1979, 1983). A study on Caesalpinioideae species of Central Africa has confirmed the existence of indicator species of phytogeographic territories of Ndjele (1988). A case study conducted in Katanga (D.R Congo) showed that deforestation constitutes a potential threat for these species, the most vulnerable being those strictly confined to forest habitats. The potential distribution of endemic Fabaceae (Caesalpinioideae) showed a clear convergence between the current distribution maps and the potential distibutions. Sites where those species had not been reported before have been identified. The potential distribution enabled to identify the importance of the different environmental factors for each endemic species’ distribution. This study also showed that large regions characterized by important endemic species diversity are not covered by current zones of conservation in Central Africa. This dissertation confirms Central Africa as an important zone for biodiversity conservation. The current research should be completed by the potential distribution of non endemic Fabaceae species of Central Africa, an important criterion to evaluate their degree of vulnerability. Creation of new protected areas would reinforce the current status of conservation in the region. / Doctorat en Sciences / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Analyse des structures spatiales des données de distribution phytogéographique des Acanthaceae en Afrique centrale / Analysis of the spatial structures of the data of phytogeographic distribution of the Acanthaceae in central Africa

Koffi, Kouao Jean 04 July 2008 (has links)
Les données phytogéographiques reflètent la variabilité spatiale de la diversité des espèces et constituent donc un outil important dans le développement des politiques de conservation. Afin de stimuler et de valoriser le concept des systèmes phytogéographiques, cette étude dont le thème est «Analyse des structures spatiales des données de distribution phytogéographique des Acanthaceae en Afrique centrale» s’est donnée pour but (1) d’analyser la distribution spatiale de la famille des Acanthaceae en Afrique Centrale (R.D. Congo, Rwanda, Burundi) ;(2) de comparer cette distribution avec les théories phytogéographiques de Robyns (1948), White (1979, 1986) et Ndjele (1988); (3) d’utiliser les modèles de distribution spatiale comme support (outil) pour évaluer l'impact humain sur le paysage et la diversité; (4) d’identifier les espèces indicatrices potentielles des territoires phytogéographiques; (5) de mettre en évidence le phénomène de vicariance; et (6) de quantifier l’impact de la fragmentation du paysage forestier en Afrique centrale. Dans cette étude, deux niveaux de résolution spatiale ont été considérés: les systèmes phytogéographiques et les systèmes de maillage. Un système d’information géographique a été utilisé pour réaliser des cartes de distribution spatiale de chaque espèce. Le choix des Acanthaceae de l’herbier du Jardin Botanique National de Belgique (BR), a été dicté par le faite qu’elle a subit une révision systématique et par le nombre important de ses échantillons. L’aspect floristique a révélé 9181 échantillons, récoltés de 1888 à 2001 par environ 427 collecteurs en R.D. Congo, au Rwanda et au Burundi représentant 48 genres, 310 espèces et 6362 localités. La carte de distribution spatiale de l’ensemble des échantillons a mis en évidence les niveaux de prospection. Certains territoires phytogéographiques ont été plus explorés que d’autres. Les entités phytogéographiques les plus explorées et donc les plus diversifiées sont le centre régional d’endémisme Afromontagnard, incluant la Mosaïque régional du lac Victoria, et le centre régional d’endémisme Zambézien. Les cartes de distribution de chaque espèce mettent en évidence les patrons de distribution spatiale. Certaines espèces ont une large distribution alors que d’autres sont inféodées à certaines zones spécifiques. Ces dernières, qualifiées « d’espèces uniques » ou « espèces caractéristiques » peuvent être utilisées comme des bio-indicateurs pour stimuler et valoriser le concept de systèmes phytogéographiques dans la politique de la conservation. En utilisant uniquement la famille des Acanthaceae, il a été montré que l’impact de la fragmentation du paysage forestier est très important. Les espèces inféodées à une région phytogéographique sont des espèces vulnérables. Elles peuvent disparaître si leur biotope est détruit. La distribution potentielle, basées sur les localités de récolte et les variables environnementales, ont été réalisées afin de mieux déterminer les niches écologiques des espèces et les cas de vicariance. Deux types de vicariance ont été mis en évidence à travers les systèmes phytogéographiques de Robyns (1948) et de White (1979, 1986), au niveau générique et spécifique: la vicariance écologique et la vicariance géographique. La vicariance écologique s’applique aux espèces ou sous-espèces récoltées dans les mêmes territoires phytogéographiques tandis que la vicariance géographique concerne les espèces ou sous-espèces récoltées dans des territoires phytogéographiques séparés. L’analyse des cas de vicariance a mis en relief les zones de spéciation. L'analyse de classification hiérarchique a montré que les Acanthaceae suivent mieux le système phytogéographique de White (1979, 1986) que ceux proposés par Robyns (1948) et Ndjele (1988). Pour mieux valoriser cette approche, cette méthodologie doit être appliquée à d’autres familles largement récoltée en R.D. Congo, au Rwanda et au Burundi comme la famille des Rubiaceae, des Mimosoideae, afin de (1) synchroniser toutes les bases de données pour mieux mettre en évidence le degré d’exploration, les espèces à amplitude écologique restreinte (espèces uniques) et (2) de permettre d’identifier des zones prioritaires pour la conservation. <p><p><p>Phytogeographic data reflect the spatial variability of plant diversity and constitute consequently a potential tool for conservation policy development. In order to stimulate and valorise the concept of phytogeographic systems, this dissertation entitled “Analysis of the spatial pattern of phytogeographic data of Acanthaceae in Central Africa” aims (1) to analyse the spatial distribution of the Acanthaceae family in Central Africa (Democratic Republic of the Congo, Rwanda, Burundi); (2) to compare this distribution with the known phytogeographic theories of Robyns (1948), White (1979, 1986) and Ndjele (1988); (3) to use the spatial distribution models as a tool for evaluating the human impact on landscapes and diversity; (4) to identify potential indicator species of the phytogeographic territories; (5) to evidence the phenomenon of vicariance; and (6) to quantify the impact of the fragmentation of forested landscapes in central Africa. In this study, two levels of spatial resolution have been considered: the phytogeographic systems themselves and a system of grid cells. A geographic information system has been used to draw maps of the spatial distribution of every species. The choice to analyse the Acanthaceae family of the herbarium of the National Botanical Garden of Belgium (BR) has been justified by the systematic revision of this collection and by its huge number of samples. The data set contained 9181 samples, collected between 1888 and 2001 by about 427 collectors in the Democratic Republic of the Congo, Rwanda and Burundi ;the samples represented 48 genera, 310 species and 6362 geographic positions. The maps showing the spatial distribution of all samples pooled evidenced the different levels of exploration of the study area. Certain phytogeographic territories have been explored more intensely than others. The mostly explored zones, consequently also denoted as the most diverse ones, were the Afromontane regional centre of endemism, including the regional mosaic of Lake Victoria, and the Zambezian regional center of endemism. Species distribution maps evidenced the spatial patterns of species presence. Certain species showed an overall distribution while others were clearly bound to particular territories. The latter species, denoted as “unique species” or “characteristic species” could be used as bio-indicators to stimulate and valorise the concept of the phytogeographic systems in the framework of conservation policy development. By means of the Acanthaceae family, it has been shown that the impact of forest fragmentation will be considerable; species bound to a specific phytogeographic zone are assumed vulnerable; they will disappear when their biotopes are destroyed. The potential distribution of the species, based on the geographic position of the samples and on environmental data, have been generated in order to describe more precisely the ecological niches of the species involved and to detect cases of vicariance. Two types of vicariance have been found using the phytogeographic territories of Robyns (1948) and White (1979, 1986) at the genus and the species levels: ecological vicariance and geographic vicariance; the former type involves species or subspecies observed in the same phytogeographic region while the latter type involves species and subspecies not found in the same territory. This analysis enabled us to identify zones of speciation. A cluster analyses showed that the spatial distribution of the Acanthaceae data corresponded more closely to the phytogeographic system of White (1979, 1986), than to those proposed by Robyns (1948) or Ndjele (1988). In order to valorise our approach, the current methodology should also be applied to other families widely collected in the Democratic Republic of the Congo, Rwanda and Burundi, such as the Rubiaceae or Mimosoideae families, this (1) to synchronise all data bases for a more profound understanding of the degree of exploration and of the existence of species with a limited ecological amplitude (unique species), and (2) to enable the identification of zones that should be prioritised for conservation. <p> / Doctorat en Sciences / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Estimating the aboveground biomass of central African tropical forests at the tree, canopy and region level

Bastin, Jean-François 24 October 2014 (has links)
Human pressure on forest resources increased significantly during the past decades through land use and land use change, especially in the tropics where forest clearing is a major source of CO2 release in the atmosphere. Consequently, forests are the focus of international environmental policies and discussions aiming to reduce emissions from deforestation and forest degradation (i.e. REDD+). The capacity of participating countries to regularly provide accurate forests C stocks measurements at a national scale thus represents an important challenge to address. In dense forests, generally only the above ground biomass (AGB) is measured as it accounts for more than 50% of total C stocks. However, important gaps remain at each scale of measurement, i.e. from felled tree to regional mapping, with the resulting errors propagation through these different scales being probably the most concerning issue.<p><p>In the present work, we propose to address these issues by using a multi-scale approach in order to improve our global understanding of AGB variations in dense tropical forests of Central Africa. In particular, we studied (i) forest AGB prediction from remote-sensing textural analysis, (ii) the potential role of largest trees as predictor of the entire forest-stand AGB and (iii) intra- and inter-individual radial variation of wood specific gravity (WSG, i.e. oven-dry mass divided by its green volume) and its potential consequences on the estimation of the AGB of the tree. <p>First, we analyzed the potential use of textural analysis to predict AGB distribution based on very high spatial resolution satellite scenes. In particular, we used the Fast Fourier Transform Ordination (FOTO) method to predict AGB from heterogeneous forest stands of the Democratic Republic of the Congo (DRC). Here, based on 26 ground plots of 1-ha gathered from the field, plus a successful combination of Geoeye and Quickbird contrasted scenes, we were able to predict and to map AGB with a robust model (R² = 0.85; RMSE = 15%) based on textural gradients. <p>Secondly, the research of AGB indicators was focused on the dissection of the role played by largest trees. Here we found largest trees not only hold large share of forest carbon stock but they contain the print of most of forest-stand structure and diversity. Using a large dataset from western Cameroon to eastern DRC, we developed a non-linear model to predict forest carbon stock from the measurement of only a few large trees. We found the AGB of the 5 % largest stems allow to predict the AGB of the entire forest-stand yielding an R² of 0.87 at a regional scale. Focusing on largest trees species composition, we also showed only 5 % of species account for 50 % of total AGB.<p>In the end, we investigated inter- and intra-individual WSG variations. Despite recognized inter- and intra-specific variations along the radial axis, their ecological determinants and their consequences on trees aboveground biomass assessments remain understudied in tropical regions. To our knowledge, it has never been investigated in Africa. Using a 3-D X-Ray scanner, we studied the radial WSG variation of 14 canopy species of DRC tropical forests. Wood specific gravity variance along the radial profile was dominated by differences between species intercepts (~76%), followed by the differences between their slope (~11%) and between individual cores intercept (~10%). Residual variance was minimal (~3%). Interestingly, no differences were found in the comparison of mean WSG observed on the entire core and the mean WSG at 1-cm under the bark (intercept ~0; coefficient = 1.03). In addition, local values of WSG are strongly correlated with mean value in the global data base at species level. <p><p>I deeply believe these results favor the development of promising tools to map and to estimate accurately the AGB of tropical forest-stands. The information provided by largest trees on the entire forest-stand is particularly interesting both for developing new sampling strategies for carbon stocks monitoring and to characterize tropical forest-stand structure. In particular, our results should provide the opportunity to decrease current sampling cost while decreasing its main related uncertainties, and might also favor an increase of the current sampling coverage. <p> / Doctorat en Sciences agronomiques et ingénierie biologique / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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The influence of soil factors and anthropogenic disturbances on tree species assemblages in central African forests / Influence des facteurs édaphiques et des perturbations anthropiques sur l'assemblage des espèces d'arbres dans les forêts tropicales d'Afrique centrale.

Vleminckx, Jason 29 April 2015 (has links)
La diversité végétale exceptionnelle des forêts tropicales a toujours suscité une part d’incompréhension chez les scientifiques qui tentent de comprendre les processus à l’origine de cette diversité, ainsi que les mécanismes expliquant les changements spatiaux de composition spécifique. Une des clés de ce dernier mystère résiderait dans l’influence de la différentiation des niches écologiques, mais aussi de la dispersion limitée des graines et d’événements stochastiques (purement aléatoires et non prévisibles). La niche d’une espèce contraint celle-ci à s’établir dans un habitat présentant des gammes de conditions bien délimitées en termes de propriétés du sol (disponibilité en nutriments et toxicité de certains éléments) et d’intensité lumineuse. Par exemple, certaines espèces sont plus tolérantes à l’ombrage (espèces « sciaphiles ») que d’autres qui ne peuvent s’établir que dans des trouées forestières offrant suffisamment de lumière (espèces « héliophiles »). En Afrique centrale, les communautés d’arbres sont aujourd’hui en grande partie composées de ces espèces dites « héliophiles », alors que les ouvertures forestières naturelles sont rares. Il est fortement suspecté que la dominance de ces espèces soient la conséquence de trouées générées par l’homme qui, jusqu’au début de la période coloniale (vers 1900), occupait de vastes surfaces de forêt où il pratiquait l’agriculture sur brûlis. Cependant, peu d’études ont jusqu’à présent déterminé dans quelle mesure ces pratiques agricoles ont influencé la composition spécifique des forêts à l’échelle régionale comme à l’échelle locale.<p>L’objectif du présent travail est de faire la lumière sur l’impact de ces perturbations humaines mais aussi plus généralement sur l’influence relative de la niche écologique des espèces d’arbres par rapport à d’autres facteurs (dispersion limitée et facteurs stochastiques) sur leur distribution spatiale. Pour cela nous avons utilisé des données botaniques et environnementales provenant d’inventaires réalisés dans une forêt tropicale située en République Démocratique du Congo (quatre transects parallèles mesurant chacun 500 à 600 m de long), ainsi que des données similaires complémentées d’inventaires anthracologiques (estimation de la quantité de charbons de bois dans le sol, utilisée comme indicateur de feux passés d’origine anthropique) récoltées dans trois régions du sud du Cameroun (208 parcelles de 0,2 ha chacune). <p>Les données récoltées nous ont permis de mettre en évidence un impact significatif des propriétés physico-chimiques du sol sur la composition en espèces d’arbres. Plus précisément, nous avons pu constater une différence floristique marquée entre deux habitats très contrastés (sol sableux vs. sol argileux, Rép. Dém. Du Congo), et cela à une échelle spatiale locale (< 1 km²) où l’on pensait que de l’influence des facteurs stochastiques et de dispersion limitée étaient prépondérante. Mes analyses ont également démontré que cette différence était plus marquée pour les arbres de la canopée que pour les arbres des strates inférieures (« sous-canopée »), ce qui est sans doute lié au fait que de nombreux individus de la sous-canopée sont composés de juvéniles régénérant la canopée, parmi lesquels de nombreux arbres subissent une exclusion compétitive en cours (brouillant ainsi les signaux d’association espèce-habitat). <p>À une échelle spatiale beaucoup plus large cette fois (de 5 à 100 km, inventaires du Sud Cameroun), nous avons démontré que la diversité floristique était également influencée de manière significative par l’hétérogénéité spatiale de propriétés abiotiques du sol, notamment par les concentrations en (i) certains nutriments essentiels pouvant présenter des valeurs potentiellement limitantes (K, Mg, Ca et P) ainsi qu’en en (ii) élements pouvant être présents en quantités toxiques (Al et Mn). Cependant, alors que le signal environmental a été clairement détecté à l’échelle communautaire, seule les abondances d’une minorité d’espèces (< 15%) ont répondu significativement à la variation des conditions de sol. En outre, le nombre de réponses significatives a augmenté avec l’échelle d’observation ainsi qu’avec le degré d’hétérogénéité environnementale et/ou floristique. Pour mettre en évidence cet effet du sol, nous avons introduit une nouvelle approche permettant de tester la fraction d’une analyse de partition de variance correspondant à la part de variation floristique expliquée par l’effet de conditions édaphiques spatialement structurées (co-variation entre effets spatiaux et édaphiques), en combinant l’analyse de partition de variance avec des vecteurs propres de Moran (« Moran’s eigenvector maps ») et des translations toroïdales. Bien que cette méthode nous ait permis de déterminer si la fraction en question était significative, nous avons également mis en doute son interprétation habituelle suggérant que cette fraction représente une structure floristique directement induite par des structures spatiales de conditions de sol. Grâce à des simulations de populations végétales liées à des propriétés environnementales, nous avons mis en évidence que la valeur de la fraction étudiée ne semble finalement pas influencée par le degré de structuration spatiale des conditions environnementales, remettant donc en question l’utilité de l’analyse de partition de variance pour inférer des effets de processus écologiques sous-jacents sur la distribution spatiale des espèces d’arbres.<p>Enfin, les données floristiques et anthracologiques du Sud Cameroun ne nous ont pas permis de démontrer statistiquement l’hypothèse que les perturbations humaines passées sont en partie responsables de la dominance actuelle des espèces héliophiles. L’absence de corrélation significative entre l’abondance relative de ces espèces et la quantité de charbons de bois dans le sol peut s’expliquer par le fait que la majorité de ces charbons (60%) étaient trop vieux (1500 à 3000 ans) pour refléter des perturbations ayant influencé la diversité végétale présente. <p>Les conclusions générales de ma thèse de doctorat soutiennent que la niche écologique des espèces d’arbres des forêts tropicales africaines contribue de manière significative à déterminer leur assemblage dans l’espace, mais aussi que ces effets de niche dépendent fortement du contexte environnemental étudié ainsi que de l’échelle spatiale d’observation. Ce travail lève donc en partie un voile sur l’écologie des écosystèmes forestiers d’Afrique centrale qui restent largement méconnus par rapport à ceux d’Asie du Sud-Est et des régions néotropicales.<p> / Doctorat en sciences, Spécialisation biologie végétale / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Polycyclic evolution of the Eastern Central-Asia orogenic belt : microtectonic analysis, geochronology and tectonics in central Inner Mongolia / Evolution polycyclique de la partie orientale de la ceinture orogénique d'Asie Centrale : analyse microtectonique, géochronologie et tectonique dans le centre de la Mongolie Intérieure, Chine

Shi, Guanzhong 29 September 2013 (has links)
Il est débattue sur le temps closural finale de l'océan paléo-asiatique et la position. Certains géologues ont préconisé la suture "Solonker" marque la zone closural finale du Permien , tandis que d'autres insistent sur le fait Paléozoïque milieu. Nos trois domaines d'étude, le Hongqi , le Ondor Somme et le Mandula ont essentiel et important de résoudre ces controverses. Les unités litho-tectonique reconnus dans le domaine Hongqi-Ondor Sum sont le mélange Belt de Hongqi-Ondor Sum, la Belt de l'arc Bainaimiao, craton du Nord de Chine et les roches sédimentaires post-orogéniques. Le mélange Belt de Hongqi-Ondor Sum connu déformation ductile en deux phases et une phase de la déformation ductile-fragile. D1 est responsable de la S1 foliation, linéation minérale L1, et intrafolial pli F1. Les critères cinématiques indiquent un sens cisaillement de top-to-the-NW. D2 est caractérisée par divers taille de plis asymétriques avec axe presque NE correspondant à la poussée NW cisaillement. D3 formé le cadre régional dans le Hongqi et les zones Ondor Sum. La zone Mandula contient les sédiments olistostrome, les sédiments turbiditiques et roches volcanosédimentaires. Grains de zircons détritiques dans des échantillons sédimentaires indiquent la zone d'étude Mandula reçu des matériaux d'arc Bainaimiao et matières contemporaines de l'éruption volcanique du Permien. Les sédiments et les roches volcaniques dans la région Mandula soumettent un NW-SE ou près de N-S du raccourcissement. Les données géologiques indiquent qu'une subduction et collsion dans Paléozoïque inférieur, et rifting et fermeture rift dans Palezoic supérieur. Les fragments ophiolitiques "Solonker" sont en effet olistostrome. Composants ophiolitiques typiques ne sont pas observés dans la région Mandula. / It is hotly debated about the final closural time and position of the Paleo-Asian Ocean. Some geologists advocated the “Solonker” suture marks the final closural zone in Permian, whereas others insist in middle Paleozoic. Our three study areas, the Hongqi, the Ondor Sum and the Mandula is essential and important to solve those controversies. The litho-tectonic units recognized in the Hongqi-Ondor Sum area include the Hongqi-Ondor Sum mélange belt, the Bainaimiao arc belt, North China Craton and post-orogenic unconformably sedimentary rocks. The Hongqi-Ondor Sum mélange belt experienced two phase ductile deformation and one phase ductile-brittle deformation. D1 is responsible for the regional greenschist foliation S1, elongated mineral lineation L1, and intrafolial fold F1. The kinematic criteria indicates a top-to-the-NW shearing sense. D2 is characterized by various sized of unsymmetrical folds with nearly NE axis corresponding to the NW thrust shearing. D3 formed the regional framework in the Hongqi and the Ondor Sum areas. The Mandula area contains olistostrome sediments, turbiditic sediments and volcano-sedimentary rocks. Detrital zircon grains in sedimentary samples argue the Mandula study area received the southern Bainaimiao arc materials and coeval Permian volcanic erupting materials nearby. The sediments and volcanic rocks in Mandula area subject a nearly NW-SE or N-S compressional shortening. The geological data support that an Early Paleozoic subduction and collsioan, Late Palezoic rifting and rift closure model. The so called “Solonker” ophiolitic fragments indeed are olistostrome. Typical ophiolite components are not observed in the Mandula area.
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Reconnaissance des minorités nationales et reconfiguration démocratique : les cas de l'Espagne et de l'Europe centrale et orientale

Morar, Cristina 11 April 2018 (has links)
Ce mémoire s'intéresse à la question de la reconnaissance symbolique et politique des minorités culturelles et nationales en Europe centrale et orientale et étudie la possibilité d'aborder cette question à partir du cadre conceptuel du théoricien canadien Will Kymlicka, et notamment de son modèle d'un droit spécifique pour les minorités culturelles. Nous donnons suite à l'échange théorique auquel s'emploient divers théoriciens est-européens et Will Kymlicka, dans l'ouvrage collectif Can libéral pluralisme be exported?, à propos de la pertinence de ses thèses dans le contexte des processus de démocratisation des pays est-européens. Plus particulièrement, à partir d'une étude de l'expérience espagnole de démocratisation et d'aménagement du pluralisme national, nous poursuivons la discussion qu'a entamée ce collectif autour de la possibilité de traiter simultanément les questions de la démocratisation des institutions et des droits démocratiques, d'un part et de la reconnaissance des droits différenciés aux minorités, d'autre part.
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La politique étrangère roumaine, 1990 - 2006. Acteurs, processus et résultats

Ivan, Ruxandra 17 April 2007 (has links)
Cette thèse se propose de répondre à la question suivante: quels sont les facteurs qui influencent les décisions stratégiques de la politique étrangère roumaine? Il y a trois séries de facteurs qui ont été considérées. La première concerne les facteurs liées aux héritages historiques, qui sont examinés sous le double aspect des évènements concrets et des mentalités. La deuxième série de facteurs se réfère aux influences internes sur la prise des décisions: architecture institutionnelle et légale, partage des compétences, relations informelles entre les détenteurs des fonctions relevantes pour la politique étrangère roumaine, partis politiques et opinion publique. Finalement, la troisième série de variables concerne les facteurs externes au système politique. Deux dimensions sont ici examinées: une dimension géopolitique, qui vise la distribution de la puissance, et une dimension institutionnelle, qui détermine le poids des organisations internationales et régionales dans la prise des décisions.
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Essai sur l'Union Monétaire Européenne.

Labondance, Fabien 07 December 2011 (has links) (PDF)
Afin de répondre au questionnement général de cette thèse qui traite de la viabilité de l'union monétaire européenne, ce travail est divisé en trois parties. Dans la première, nous analysons notre objet d'étude à un niveau méta. Nous montrons ainsi que l'architecture institutionnelle de la zone euro est axée sur la stabilité monétaire sans proposer formellement des mécanismes d'ajustement aux chocs. La deuxième partie s'intéresse à la question de la synchronisation des économies européennes par l'intermédiaire de deux essais. Nous montrons que d'importantes hétérogénéités demeurent. La troisième partie analyse des questions relatives à la transmission de la politique monétaire. Cela se réalise avec deux essais qui montrent d'une part que la transmission de la politique monétaire dans la zone euro a été fortement perturbée par la crise des subprimes et, d'autre part, que l'influence de la BCE sur les actions des marchés européens est faible. Cette thèse insiste par conséquent sur le caractère incomplet du processus d'intégration économique et monétaire européen et sur sa nécessaire réforme.

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