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L'impact de la réglementation et de la privatisation sur l'industrie de l'électricité

Sylvestre, Pierre-Guy January 2009 (has links) (PDF)
Ce mémoire vise à mesurer l'impact de la réglementation et de la privatisation sur l'indutrie de l'électricité dans 19 pays membres de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Un modèle économétrique a été construit à partir de données de panel de 1987 à 2006 et on trouve que la concurrence dans le marché de détail a un effet négatif sur les prix industriel et résidentiel. La séparation légale et comptable du secteur de la génération et de la transmission a quant à elle un effet positif sur le prix résidentiel. On cherche également à établir un lien entre ces résultats et l'industrie de l'électricité au Québec. Suite à une analyse des coûts marginaux de court et de long terme de la production d'électricité, nous trouvons que la tarification devrait être plus élevée en période de pointe, afin d'envoyer un signal cohérent aux consommateurs. En 1980, la majorité des pays membres de l'OCDE avait une industrie de l'électricité dominée par un monopole verticalement intégré. En 1990, le Royaume-Uni entreprenait une vaste opération de libéralisation et de privatisation de son industrie dans le but d'améliorer l'efficacité de celle-ci. Plusieurs autres pays ont par la suite entrepris des réformes similaires. Au Québec, Hydro-Québec Transénergie a été créée en 1997 et la Régie de l'énergie en 1996. Depuis quelques années, un débat public est engagé sur la privatisation d'Hydro-Québec et ce mémoire a comme objectif de mesurer empiriquement l'effet de ces réformes. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Réglementation électricité, Privatisation électricité, Modèle linéaire données de panel, Coût marginal électricité, Tarification électricité, Hydro-Québec.
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Dynamique d'un système hôte-parasitoïde en environnement spatialement hétérogène et lutte biologique Application au puceron Aphis gossypii et au parasitoïde Lysiphlebus testaceipes en serre de melons

Lopes, Christelle 20 June 2007 (has links) (PDF)
Tous les écosystèmes naturels sont indéniablement structurés spatialement et l'hétérogénéité induite affecte divers processus des systèmes écologiques. Dans certains cas, l'influence de l'hétérogénéité spatiale sur les dynamiques de populations reste à préciser. Cette thèse contribue à mieux comprendre, de manière théorique, les effets d'une telle hétérogénéité sur les interactions hôte-parasitoïde. Pour cela, trois approches spatialisées ont été développées et adaptées au puceron ravageur Aphis gossypii et à un de ses parasitoïdes Lysiphlebus testaceipes en serre de melons. L'importance de la structure spatiale a été testée en comparant un modèle non spatialisé à un modèle spatialement explicite. Nos résultats ont montré que considérer l'espace est essentiel pour décrire la distribution hétérogène des populations observée sur le terrain. La manière de considérer la structure spatiale a été testée en comparant le modèle spatialement explicite à une nouvelle approche, implicite, qui décrit le niveau d'infestation des plants par une variable continue correspondant au nombre de plants ayant une certaine densité en ravageurs à un instant donné. Alors que le modèle explicite nécessite autant d'équations qu'il y a de plants dans la serre pour décrire les pucerons sains, notre nouvelle approche utilise seulement une équation aux dérivées partielles. La comparaison entre les deux modèles spatialisés a montré que : (i) les dynamiques hôte-parasitoïde prédites sont similaires dans la plupart des cas ; (ii) les différences observées sont dues à la dispersion locale (considérée seulement dans le modèle explicite), car elle peut avoir un impact important sur les dynamiques de population, mais sans changer les conclusions concernant la protection de la culture. La nouvelle approche implicite a donc généré des prédictions réalistes avec un formalisme plus synthétique que le modèle commun plant par plant. Le modèle implicite a donc été utilisé pour tester différentes stratégies de lutte biologique. Nous avons montré que : (i) les lâchers préventifs sont moins efficaces que les lâchers curatifs, à condition que la détection de l'infestation ne soit pas trop coûteuse ; (ii) les stratégies à lâchers multiples sont toujours plus avantageuses que les stratégies à lâcher unique. Nous montrons que l'efficacité d'une stratégie de lutte biologique dépend de la réponse fonctionnelle des parasitoïdes, de la distribution initiale des ravageurs (qui détermine le processus d'infestation), et des coûts affectés à chaque type de stratégies. Mots clés: hétérogénéité spatiale, modèle hôte-parasitoïde spatialement implicite, dispersion, stratégies de contrôle biologique, coûts de lutte.
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Maîtrise et intégration des coûts dans les projets de conception aéronautiques.

Angeniol, Sandrine 18 December 2006 (has links) (PDF)
Ce travail de thèse s'intéresse à la maîtrise et à l'intégration des coûts dans les projets de conception aéronautiques. L'étude des pratiques Design to Cost (nom de la méthode de maîtrise des coûts utilisée dans certaines entreprises) chez Airbus et Eurocopter (deux entreprises aéronautiques du groupe EADS) nous permet d'identifier trois classes de dysfonctionnements liés à la maîtrise des coûts dans les projets de conception de ces deux entreprises : les dysfonctionnements liés au métier Design to Cost, ceux liés aux contextes projets et ceux liés aux acteurs. Nous proposons de résoudre certains dysfonctionnements liés au métier Design to Cost en intégrant la gestion des connaissances dans le processus de maîtrise des coûts en conception. Les méthodes et outils liés aux méthodes de maîtrise des coûts se classent en trois processus principaux : la gestion des cibles, la gestion des opportunités de réduction des coûts et le suivi / pilotage. Nous expérimentons le processus Design to Cost proposé sur la gestion des opportunités de réduction des coûts. Pour cela nous proposons trois outils. Le premier est une typologie de modifications qui permet de caractériser chaque opportunité de réduction des coûts en fonction des modifications qu'elle induit. Le deuxième est une liste d'inducteurs de coûts qui aide à identifier les paramètres dont la modification influence significativement les coûts. Enfin, le troisième est un modèle dont la mise en œuvre vise à exploiter les opportunités passées : OSIRIS (Optimiser for Saving Idea Reuse and Information Sharing). Les contributions ont été validées via un prototype informatique testé par les acteurs de l'équipe Design to Cost Airbus.
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Coûts de coordination, structures de gouvernance réglementaire et environnement institutionnel : une analyse économique néo-institutionnelle de la mise en œuvre du cadre réglementaire européen des communications électroniques

Loridan-Baudrier, Audrey 03 July 2007 (has links) (PDF)
L'objectif de cette thèse est d'illustrer et de développer le cadre d'analyse des dispositifs de coordination réglementaire des industries de réseau, en fournissant un point de vue original sur la mise en oeuvre de la réforme de la réglementation européenne du secteur des communications électroniques. Le nouveau dispositif de coordination entre les autorités nationales de régulation et la Commission européenne se caractérise par des relations complexes et de longs délais de mise en oeuvre, qui questionnent sa pertinence et son efficacité au regard des caractéristiques du secteur.<br />Cette problématique nous a conduit à mobiliser les concepts de la théorie des coûts de transaction et à adopter une approche contractuelle de la régulation. Notre analyse pointe l'influence de l'environnement institutionnel européen sur le choix des modalités de mise en oeuvre de la régulation des marchés pertinents. Partant d'une analyse comparative des formes possibles de la régulation, nous défendons la thèse que la structure de gouvernance issue de la réforme répond au besoin de garanties face à l'incertitude, au pouvoir discrétionnaire et au risque d'opportunisme dans un contexte incertain. La dispersion des pouvoirs et des compétences apparaît délibérée. Elle sert des intérêts légitimes comme l'équilibre des pouvoirs et la transparence des relations entre les autorités nationales de régulation et de la concurrence, les institutions européennes et les acteurs du marché.
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Étude de la rentabilité de différentes stratégies d'aménagement forestier en forêt boréale du nord de l'Abitibi

Pasturel, Thibault 02 1900 (has links) (PDF)
Au Québec, l'entrée en vigueur du nouveau régime forestier prévue pour avril 2013 va modifier la manière dont la forêt sera aménagée et exploitée. L'introduction du concept d'aménagement écosystémique a pour but de permettre la mise en place de pratiques garantissant à la fois le maintien d'attributs naturels et sociaux de la forêt tout en offrant un rendement suffisant pour les exploitants. Parmi ces pratiques, on compte notamment l'introduction de contraintes à l'échelle des Compartiments d'Organisation Spatiale (COS) et l'intensification de l'usage de la coupe partielle dans le but d'imiter les perturbations naturelles. Cette étude a pour objectif d'évaluer l'effet de la mise en place de stratégies d'aménagement écosystémiques sur le niveau de possibilité forestière ainsi que sur le coût des opérations et sur la valeur des bois à l'échelle d'une Unité d'Aménagement Forestier (UAF). Pour cela, nous avons évalué la rentabilité comparative de différents plans d'aménagement en calculant la Valeur Actualisée Nette (VAN) de deux types de scénarios simulés sur un horizon de 150 ans (30 périodes quinquennales), sur l'UAF 85-51 située au Nord-Ouest de l'Abitibi. Le premier scénario appelé RNI a été réalisé en conformité avec la Règlementation des Normes d'Intervention (RNI) en vigueur jusqu'à mars 2013. L'atteinte des objectifs fixés par cette réglementation a essentiellement été assurée par l'application de contraintes de forêts résiduelles et d'encadrements visuels des coupes à l'échelle des Unités Territoriales de Référence (UTR). Les trois autres scénarios appelés Aménagement Écosystémique (AMEC) ont pris en compte les enjeux du futur régime forestier concernant la répartition spatiale des agglomérations de coupe, le maintien de forêts matures et surannées, la protection d'habitats essentiels pour des espèces menacées ainsi que le maintien de la productivité du territoire. L'intégration de ces enjeux a nécessité l'application de contraintes à une échelle plus fine que celle des UTR, au niveau des Compartiments d'Organisation Spatiale (COS). Par ailleurs, l'analyse de l'effet de l'intensification de la coupe partielle a été introduite au niveau du volume cible de coupe partielle à réaliser par période quinquennale par scénario selon le gradient suivant : RNI doit réaliser 1377 ha de coupe partielle, AMEC01 doit en réaliser 1707 ha, AMEC02 3220 ha et AMEC03 5179 ha (correspondant au niveau maximum possible). Pour estimer les flux monétaires (revenus moins coûts) nécessaires au calcul de rentabilité, nous avons déterminé les coûts potentiels relatifs aux activités d'exploitation forestière (i.e. création et entretien des chemins pendant la récolte, récolte en CPRS, récolte en CP, chargement, transport, camps forestiers, droits de coupe, frais de CAAF et coûts indirects) sur l'ensemble de la période de simulation. Afin de prendre en compte la variation spatiale de ces coûts, ceux-ci ont été définis à l'échelle des COS. Nous avons ensuite déterminé les revenus potentiels en estimant un prix d'achat entrée d'usine par classe de diamètre pour les bois résineux (entre 47,91 et 67,51 $/m3) et un prix unique pour les bois feuillus (40 $/m3). En outre, l'estimation des revenus par classe de diamètre a nécessité d'associer aux données de croissance en volume de nos modèles des données correspondantes d'évolution en diamètre issues des tables de rendement de Pothier et Savard (1998). Une fois paramétrés, les scénarios ont été optimisés à l'aide du logiciel Woodstock (Saucier et Groot, 2008) afin d'estimer la possibilité forestière sur 150 ans et d'en déduire les coûts et revenus d'exploitation correspondants. Les résultats des optimisations ont montrés que le scénario RNI prévoit de récolter 3,1 million de m3 de bois par période quinquennale, soit 8,60 % de plus que le scénario AMEC01, 11 ,94 % de plus que AMEC02 et 16,35 % de plus que AMEC03. Ensuite, les résultats des contraintes introduites au niveau des COS ont montré que les scénarios AMEC permettent de réaliser un gain par rapport au RNI de 19 à 29 % au niveau de la superficie moyenne de forêts matures et surannées et de 3,8 à 5% au niveau de la superficie moyenne de forêts productives de 7 mètres et plus. Puis, les résultats de calculs de coûts d'exploitation ont montrés que ceux-ci sont légèrement plus élevés pour les scénarios AMEC que pour RNI (de 55,37 à 55,57 $/m3 pour les scénarios AMEC contre 55,14 $/m3 pour RNI). Puis, les calculs de rentabilité ont montrés que pour un taux d'actualisation initial fixe entre 2 et 6% dégressif à partir de 30 ans, tous les scénarios sont rentables, la VAN de RNI se situant entre 0,49 et 5,24 $/m3, celle de AMEC01 entre 0,45 et 7,39 $/m3, celle de AMEC02 entre 0,27 et 5,60 $/m3 et celle de AMEC03 entre 0,19 et 3,74 $/m3. Enfin, les résultats de VAN ont permis de constater que AMEC03 présente le niveau maximum de coupe partielle réalisable selon les contraintes du futur régime forestier et, comme RNI, est le seul scénario AMEC à pouvoir intégrer le rendement soutenu pour les trois groupes d'essences principales de l'UAF (SEPM, BOP et PEP). AMEC03 nous est donc apparu comme le scénario de référence par rapport au RNI. Au total, notre étude a démontré que la mise en place d'une stratégie d'aménagement écosytémique par l'introduction de contraintes au niveau des COS a pour conséquences une réduction de la surface disponible à la récolte et donc de la possibilité forestière. Cette baisse peut toutefois être amenuisée en ayant recours à la coupe partielle dont le surcoût reste marginal par rapport à la CPRS et permet à l'approche écosystémique de rester une stratégie rentable. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Aménagement écosystémique, coupe partielle, analyse de rentabilité, modélisation, plans d'aménagement, possibilité forestière.
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Économie politique internationale des négociations climat et prise en compte des coûts d’atténuation et d’adaptation / International Political Economy for Climate Negotiations, Considering the Mitigation and Adaptation Costs

Ilasca, Constantin 27 January 2016 (has links)
Cette thèse traite de la coopération et de la gouvernance climat dans l'ère post Copenhague. Son objectif est de caractériser l'évolution du régime climatique, prenant appui sur les positions de l'Union européenne, la Chine et les États-Unis, qui peuvent être désignés, à la fois en tant que gros émetteurs, économies majeures et grandes puissances. Deux déterminants sont considérés structurants pour cette analyse : les coûts d'atténuation des émissions et les coûts d'adaptation. Le point de départ de notre thèse se trouve dans l'évolution polarisée du régime climatique. Le fait le plus marquant de cette « métamorphose » est le passage, en 2009, de l'approche top-down à une approche bottom-up.Pour ce faire, nous mobilisons un cadre théorique hybride, qui comprend l'Économie politique internationale et l'économie du changement climatique. L'apport combiné de ces deux approches permet d'analyser la politique internationale du climat à travers l'économie de l'environnement et inversement, de renseigner l'incidence que ces relations peuvent avoir sur la logique économique. Nous proposons une approche spécifique de la coopération, basée sur la théorie du « k-groupe » de Duncan Snidal (1985).Dans ce cadre coopératif minilatéral, la thèse que nous soutenons est qu'il est possible d'avoir un k-groupe pour le climat et que celui-ci peut avoir un effet bénéfique sur la mise en place du régime climat. Nous argumentons que ce groupe peut être considéré comme un « club of the relevant » et que, pour former un k-groupe, il est nécessaire que les pays constituent une « coalition of the willing ». Ce qui structure la capacité et la volonté de l'action, ce sont principalement les coûts que cela implique, coûts d'atténuation et d'adaptation. En même temps, l'engagement de ce groupe se base sur le conditionnement. Le dispositif incitatif est constitué par l'idée d'une coopération de plus en plus large, qui atténue le problème du passager clandestin.Les résultats de recherche sont appréciés à la lumière de l'aboutissement de la COP 21. Si le k-groupe fonctionne, c'est que les trois pays décident d'aller de l'avant et acceptent d'endosser des coûts d'atténuation plus importants que les autres pays. Cet engagement collectif déclencherait un mouvement vertueux qui imposerait au régime climat un leadership partagé entre ces trois pays, ouvrant la voie aux autres. Si le k-groupe ne fonctionne pas, c'est parce que nos acteurs considèrent les coûts à court terme trop importants au regard de leurs propres intérêts et au regard du risque du free riding de la part des autres États. Compte tenu de la conjoncture économique dans laquelle se trouvent nos trois acteurs, ce scénario apparait comme étant probable.Enfin, dans notre modèle de l'analyse de la coopération nous privilégions le tandem Europe-Chine. Nous montrons que cette coopération tripartite devrait se construire à partir de ce binôme, du moment où, à la différence des États-Unis, c'est l'Europe qui apparait comme étant plus volontaire. La Chine, l'acteur incontournable du climat, qui risque de subir les conséquences du changement climatique de plein fouet, a plus d'intérêt à se rallier à l'Europe si elle souhaite obtenir un accord qui ne soit pas basé uniquement sur des contributions (nationales) minimales. / Our research focuses on the cooperation and climate governance in the post-Copenhagen era. Its main purpose is to observe and define the evolution of the climate regime, based on the positions of the European Union, China and the United States. These three countries can be considered as big emitters, major economies, as well as great powers. Two main drivers are taken into account in our analysis: mitigation and adaptation costs to climate change. The starting point for our research is to be found in the polarized evolution of the climate regime. The most illustrative aspect of this “metamorphosis” is the shift, in 2009, from the top-down to the bottom-up architecture of the climate regime.Thus, we resort to a hybrid theoretical background, which consists of both international political economy and climate change economy. The joint contribution of the two approaches allows us to analyze international political economy with climate economy as an input, as well as the impact of international relations on the main economic framework of climate change. Our research is based on a specific cooperation model, known as the “k-group” theory, as developed by Duncan Snidal (1985).Within this framework of minilateral cooperation, the thesis that we defend is that it is possible to have a climate k-group which may have a trigger effect in order to obtain an ambitious regime. The starting point for our argument is that this group can be considered as a “club of the relevant”, and that what it needs to achieve in order to constitute a k-group is to establish a “coalition of the willing”. The capacity and the willingness to act are mainly influenced by the costs they have to bear, that is the costs to mitigate their emissions and to adapt to the climate change consequences. Meanwhile, the group's collective commitment depends on other countries' actions. More precisely, the incentive mechanism is built on the idea that cooperation is meant to widen, in order to eventually prevent free riding.Our main results are to be regarded in the light of the COP 21 outcome. If the k-group works, it is because our three countries decide to move forward and accept to bear mitigation costs that are higher than those of other countries'. Their collective commitment should trigger a virtuous dynamic which would impose on climate regime a collective leadership of these three countries, thus leaving the others with no other way than to follow. If the k-group does not work, it is because our three actors consider upfront costs too high with respect to their own interests, as well as to the risk of free riding (if the others do not go along). Given our three actors' economic and political context, this scenario seems likely.Finally, we rather favor in our work the Europe-China tandem. We argue that the k-group should be built on this joint cooperation, since, unlike the United States, Europe appears to be more willing to endorse an ambitious regime, whereas China seems an unavoidable actor. Thus, China, which faces a major impact of climate change, should play along with Europe if it wishes to obtain an agreement that is not solely based on minimal (national) contributions.
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Cooperation in supply chains : alliance formation and profit allocation among independent firms / La coopération dans les chaînes logistiques : formation d'alliances et allocations de profit dans les firmes indépendantes

El Omri, Adel 07 December 2009 (has links)
À l'ère de la mondialisation, l’environnement industriel et économique a subi plusieurs changements majeurs. Les chaînes logistiques sont en train de devenir de plus en plus de complexes réseaux composés de nombreux acteurs qui sont tantôt en concurrence et tantôt coopèrent pour répondre aux incessantes exigences des consommateurs. Dans un tel contexte, les entreprises se sont rapidement rendu compte de la limite du modèle complètement décentralisé où chacune d’entre elles optimise sa propre chaîne logistique indépendamment des autres acteurs. Afin de trouver de nouvelles sources de compétitivité et de faire face à la perpétuelle complexité de l’environnement économique, les entreprises tentent de dépasser la frontière des actions individuelles favorisant les actions coordonnées et centralisées. Désormais, la coopération entre les diverses chaînes logistiques et la formation d’alliances se trouvent au coeur des préoccupations des entreprises. En effet, en mutualisant les moyens logistiques, la coopération permet une meilleure exploitation des ressources et par le biais des actions collectives, elle permet de mieux bénéficier des économies d’échelles conduisant à réduire significativement les coûts et à générer des bénéfices considérables. Toutefois, dans de tels systèmes coopératifs, les acteurs sont indépendants et par ailleurs toujours intéressés en priorité par leurs profits individuels. De ce fait, la coopération soulève deux enjeux essentiels : (1) Quelles sont les alliances qui sont susceptibles de se former ? Et (2), comment partager les bénéfices réalisés sur les différents acteurs coopérants ? Dans cette thèse, nous nous intéressons au phénomène de la coopération dans les chaînes logistiques. Particulièrement, nous posons les précédentes questions dans des chaînes logistiques ou plusieurs firmes peuvent réduire leurs coûts logistiques en optant pour une gestion collective des stocks. Les principaux résultats de cette thèse portent sur l’utilisation des principes de la théorie des jeux coopératifs pour déterminer les alliances les plus profitables ainsi que la portion de profit que chaque firme doit recevoir afin de garder la stabilité des alliances formées. / In the age of outsourcing and globalization, the economic and industrial landscape has seen many radical changes. In such context, supply chains are becoming complex networks of a large number of entities that sometimes compete and sometimes cooperate to fulfill customers’ needs. Standalone supply chains, where each entity makes its decisions so as to maximize its own profits according to its own objectives, often lead to a loss of efficiency and fail to face the complexity of the economic environment they are facing with. Cooperative structures, however, where resources/service facilities are shared and decisions are made to maximize the global profit, prove to be more beneficial and efficient. Consequentially, many companies are fundamentally changing their way of doing business by exceeding the border of standalone and individual actions toward collective actions and cooperative strategies. Therefore, building alliances appears as a successful strategy in modern supply chain networks. In general, cooperation enables a better exploitation of the system’s resources and offers the opportunity to get benefit from large economies of scope, which in turn reduces the total cost/increases the total savings. However, it raises two natural questions that need to be addressed: (1) Which coalitions can be expected to be formed? And, (2) How will the cooperating actors share their total profit? In this Ph.D. dissertation, we tempt to address these questions in retail supply chains where independent retailers coordinate their replenishment from a supplier in order to save on delivery costs. Considering various joint replenishment environments, our principal contribution is to use principles from cooperative game theory to identify the most profitable alliances and to determine the portion of profit that would be allocated to each actor in order to guarantee the stability of the formed alliances.
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Hétérogénéité des formes plurielles : par les coûts de transaction révisée / Heterogeneity of plural forms : a revised transaction cost approach

Schnaider, Paula 22 January 2016 (has links)
Cette thèse est composée de quatre chapitres et analyse une régularité empirique très mal connue et très peu analysée : les « formes organisationnelles plurielles ». Dans le premier chapitre, j’examine les diverses tentatives de théoriser les formes plurielles et comment ce domaine a évolué au fil du temps. Cela me permet d’identifier deux variables qu’on retrouve au cœur des idées exprimées dans ces tentatives pour expliquer l’existence et la stabilité des formes plurielles : la spécificité des actifs ainsi que les facteurs d’incertitude. Néanmoins, ces variables sont restées très mal explorées, ce qui pointe la nécessité de nouvelles contributions théoriques sur ce sujet. Dans le deuxième chapitre, je cherche à comprendre ce qui explique la variété des formes plurielles. Je propose un modèle théorique intégrant la spécificité des actifs et l'incertitude pour pronostiquer l’existence des formes plurielles et non plurielles. Ensuite, je souligne que les formes plurielles sont hétérogènes et je construis des hypothèses mettant en relation différents types d’incertitude avec des formes plurielles différentes. Dans les deux chapitres suivants, le modèle théorique et les hypothèses sont confrontés à des données empiriques qualitatives. Le troisième chapitre confronte le modèle théorique à une étude de cas clinique menée au sein d’une entreprise, l’entreprise Korin (Brésil), qui produit et vend divers produits bios. Enfin dans le chapitre quatre, le modèle théorique et les hypothèses sont confrontés à des données recueillies à partir d’une enquête sur l’approvisionnement en ‘inputs’ auprès de 24 entreprises opérant dans le secteur agricole brésilien. Je trouve dans ces deux articles des concordances fortes à l’appui de mon modèle et des hypothèses que j’en ai dérivées, ce qui ouvre la voie à de nouvelles recherches. / This dissertation is composed of four chapters and addresses an empirical regularity about which very little is known: “plural forms”. In the first chapter, I intend to verify what has been theorized about plural forms and how this field has evolved over time. I identified two variables that underlie most of the theoretical explanations for the existence and stability of plural forms: asset specificity and uncertainty. However, these variables are very seldom explored, which points towards the need for novel contributions. In the second chapter, I am concerned with explaining the variety of plural form manifestations. I built a theoretical model integrating asset specificity and uncertainty to predict plural and non-plural forms. Next, I stressed that plural forms are heterogeneous and built hypotheses relating different types of uncertainty to different types of plural forms. In the next two chapters, I empirically confront my theoretical model and hypotheses with qualitative data. In the third chapter, I confront my model by performing an embedded clinical case study on the Korin company (in Brazil), which produces and commercializes multiple organic products; while in the final chapter, I intend to empirically confront both my theoretical model and my hypotheses and survey the procurement of inputs by 24 companies operating in the Brazilian Agribusiness sector. I find support for my model and for my hypotheses on both of these papers, indicating a path for further analyses.
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Étude numérique d'algorithmes d'affectation d'équilibre de réseaux : modèles statiques à coûts symétriques avec demandes fixes dans l'espace des chemins

Abbes, Naïma January 2006 (has links)
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Régulation des télécommunications et environnement institutionnel : le cas des pays en développement / Regulation of the telecommunications and institutionnal environnement : the case of developing countries

Mint Beddy, Mariem 27 June 2007 (has links)
Les développements récents dans l'organisation du secteur des télécoms, particulièrement en ce qui concerne l'adaptation du cadre réglementaire, soulèvent certaines questions. La première porte sur l'identification d'un mode de régulation permettant d'accompagner le développement de la concurrence, soutenue par les progrès technologiques importants du secteur, et favorisant l'investissement privé. Une seconde question porte sur l'élargissement de la régulation aux pays en développement, marqués par la faiblesse de leur environnement institutionnel. Notre ambition est d'aider à clarifier ces questions qui ne sont pas tranchées sur le plan économique. A travers une analyse, s'appuyant en partie sur la théorie des coûts de transactions, nous arrivons à la conclusion que le mode de régulation qui nous semble le plus adapté au développement des télécoms consiste en une régulation indépendante. La justification de l'intérêt d'une telle régulation aux pays en développement constitue un autre apport de notre travail. Ces orientations sont corroborées, sur le plan empirique, par une analyse qualitative de l'expérience de quelques pays en développement et par une analyse économétrique. Nos résultats, issus de données portant sur 19 pays de l'OCDE durant la période 1992-2001, révèlent la place capitale d'une régulation indépendante pour le développement des télécoms. Les effets de cette indépendance se manifestent plus précisément sur la concurrence, l'investissement, la couverture téléphonique et la tarification / Recent developments in the organisation of telecommunications, especially concerning regulatory frameworks, raise some questions. The first one concerns what regulatory model would be able to sustain competition, favoured by the rapid technological progress, and attract private investment. The second one concerns the implementation of regulation in developing countries, characterized by a weak institutional environment. We intend to clarify this controversy issues. Using a transaction costs framework, we conclude for the need of an independent regulation. We also emphasize the importance of the establishment of such regulation in developing countries. This is corroborated by an empirical research. Beyond a qualitative analysis on the cases of some developing countries, the effectiveness of regulation is analysed through econometric studies. Using a dataset of 19 OCDE countries during 1992-2001, our results reveal the efficiency of an independent regulation to the development of telecommunications. The beneficial impacts of this regulation's model appear on the competition, investment, telephonic penetration and pricing

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