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Vincula deterrimae condicionis : die rechtliche Stellung der spätantiken Kolonen im Spannungsfeld zwischen Sklaverei und Freiheit /Munzinger, Michael, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Berlin--Freie Universität, 1995. / Bibliogr. p. 145-155.
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Des origines du colonat et de la condition du colon ; De l'organisation municipale dans le Nord et l'Est de la France et spécialement des conflits entre la juridiction municipale et la juridiction seigneuriale : droit romain : droit français /Pauffin, Henry. January 1886 (has links)
Th. doct.--droit--Paris, 1886. / Notes bibliogr. Index.
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Histoire sociale de l'insurrection de 1871 et du procès de ses chefs (Constantine, 1873) / Social history of the insurrection of 1871 and its proceedings (Constantine, 1873)Hachi, Idir 18 March 2017 (has links)
À partir de l’étude du procès des chefs de l’insurrection algérienne de 1871 jugés en 1873 aux assises de Constantine, la présente thèse reconstitue la fresque judiciaire d’un soulèvement que d’aucuns reconnaissent comme la plus grande séquence insurrectionnelle que l’Algérie ait jamais connue au XIXe siècle. L’analyse de la riche documentation exhumée des archives d’Outre-mer d’Aix-en-Provence, de la Bibliothèque Nationale de France (Paris) et des archives du tribunal de Constantine aurait pu permettre de rétablir la société colonisée dans son droit au chapitre de la parole et de renouveler la compréhension du soulèvement de 1871 mais c’était sans compter sur la complexité des enjeux politiques qui ont transformé le procès d’une insurrection en un théâtre où devait se solder le conflit civils-militaires. Le premier grand procès civil d’Algérie allait transformer une insurrection majeure en délits de droit commun justifiant une étonnante physionomie des peines. En abordant les questions relatives aux causes et aux acteurs de l’insurrection, le présent travail s’est investi dans l’analyse de l’histoire sociale des élites algériennes du XIXe siècle et de leurs caractéristiques, à travers leur implication dans le soulèvement et l’interrogation, aux côtés de diverses sources historiques, de matériaux de nature anthropologique. Tandis que les différentes historiographies attribuaient tour à tour à l’élite nobiliaire des djouads ou à celle confrérique de la rahmaniyya la paternité de la révolte, la présente thèse s’est attachée à mettre en évidence la matrice anti coloniste d’une insurrection populaire. / Starting with the study of the 1871 trial of the Algerian insurgency leaders judged in 1873 at the Constantine criminal court, this thesis reconstitutes the judicial saga of an uprising that some recognize as the greatest insurrectionary sequence Algeria ever knew in the nineteenth century.The analysis of the rich documentation exhumed from the Overseas Archives of Aix-en-Provence, the Bibliothèque Nationale de France (Paris) and the archives of the tribunal of Constantine could have reinstated the colonized society’s right to speak and to renew the understanding of the 1871 uprising, but it was without counting the complexity of the political challenges which transformed an insurrection trial into a theater, where the civil-military conflict had to be resolved. The first great civil trial of Algeria was going to transform a major insurrection into common law offenses justifying astonishing forms of sentences.In addressing issues related to the causes and actors of the insurgency, the present work Involved in the analysis of the social history of the nineteenth century Algerian elites and their characteristics, through their involvement in the uprising and the investigative questioning of various historical sources and anthropological materials. While the various historiographies attributed to the djouads’ noble elite or the rahmaniyya confraternity the authorship of the revolt, the present thesis endeavored to highlight the anti-colonist matrix of a popular insurrection.
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Les travailleurs indiens sous contrat à La Réunion (1848 – 1948) : entre le retour programmé et le début des intégrations / Indian workers under contract on Reunion island between their planned return and the beginning of their integration (1848-1948)Ramsamy, Jean-Régis 26 November 2012 (has links)
Ce n'est pas la première fois qu'on aborde la question de l'immigration indienne « réunionnaise » ou l'engagisme. Au niveau de la thèse, précisément en histoire contemporaine, il s'agit du premier exercice à La Réunion. Nous savons beaucoup de choses sur l'engagisme, ses modes de fonctionnement, ses règles, les décrets. Pourtant il reste des zones d'ombre. Pourquoi les engagés indiens dans leur grande majorité, ont-ils souhaité rester dans la colonie à l'issue de leurs contrats ? La réponse est évidente : puisqu'ils avaient des conditions ici plus que raisonnables comparées à celles qu'on leur proposait en Inde. Mais à quelles conditions ? Il est de bon ton d'affirmer que l'engagisme n'était qu'une forme déguisée de l'esclavage. Sur le plan juridique nous sommes en présence de deux systèmes différents. L'un s'appuyait sur le concept de « bien meuble », développé très tôt chez Aristote (la domination totale) et les conséquences qui en découlaient. Dans l'autre configuration, celle de l'engagisme, un contrat de travail était élaboré entre les deux parties. Par le décret de 1889, les fils d'engagés, « anglais » deviendront français. Avant la Première Guerre mondiale, une polémique fut soulevée sur le point de savoir s'il fallait envoyer les fils d'Indiens sur le front. En réalité très peu d'entre eux ont participé à la Grande guerre. Etait-ce une illustration symbolique de la question de l'intégration ? / It is not the first time that the issue of Indian immigration to Reunion or “hiring” -that is to say “engagisme” in French - is dealt with. But it is the first time that a thesis in contemporary history is written about that topic. Many things are known about hiring: how it worked, its rules, its decrees. But other things are still ignored. Why did most Indian indentured laborers decide to stay in the colony at the end of their contracts? The answer is obvious since they had better working conditions on Reunion than in India. But what were these conditions like? It is often asserted that hiring was disguised slavery. From a juridical point of view they are two different systems. Slavery relied on the concept of « personal property », elaborated at an early stage by Aristotle (total domination) and the consequences that followed. Literally, the two systems cannot be compared, thanks to the 1889 decree the sons of “English” indentured laborers became French. Before WW1 a controversy flared up about whether or not Indians' sons should be sent to the front. In fact very few of them went to the war. Is that example symbolic of the issue of integration?
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