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Le clown cinématographique, des origines à Jerry Lewis et Pierre Etaix /Crépin, Odile. January 2005 (has links)
Thèse de doctorat--Esthétiques, science et technologie des arts ; option : cinéma et audiovisuel--Paris VIII, 2005. / Bibliogr. p. 367-404.
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Les recueils français de nouvelles du XVIe siècle, laboratoires des romans comiques / French tales from sixteenth century, laboratories of "romans comiques"Boutet, Anne 04 March 2017 (has links)
Les nouvelles du XVIe siècle sont souvent lues comme de simples passe-temps, loin derrière les livres de Rabelais. Pourtant, cette littérature labile est dotée d’une « grande variété de formes narratives qui témoignent de [s]a souplesse et de [s]a plasticité […], laboratoire des expériences romanesques à venir » (D. Souiller, La nouvelle en Europe de Boccace à Sade). Il est ainsi difficile de conférer une identité générique à ces textes. En l'absence d’arts poétiques contemporains, la critique propose des définitions discutables. Trop restrictives ou partiales, elles aboutissent à un compromis : donner des caractéristiques majeures (brièveté, moralité, bon tour, bon mot, « réalisme », etc.), sans nettement distinguer le genre de formes narratives voisines (discours bigarrés, histoires tragiques). Pourtant, une autre piste est possible : adopter le point de vue des auteurs de romans comiques pour profiter d'une pratique d'écriture nourrie des conteurs de la Renaissance et d'une réception littéraire plus proche de celle des lecteurs du XVIe siècle, soit affiner les analyses modernes pour aspirer à établir la première liste de critères génériques fiables et opératoires. / Read short stories from XVIth french century, it’s like reading fancy stories or recreations, far away from Rabelais’books. However, this unsettled literature has a « grande variété de formes narratives qui témoignent de [s]a souplesse et de [s]a plasticité […], laboratoire des expériences romanesques à venir » (D. Souiller, La nouvelle en Europe de Boccace à Sade). It’s difficult, indeed, to give a set generic identity at these texts. Without contemporary arts of poetry, modern critics suggest debatable definitions. Too restrictive or partial, those definitions end up at a compromise : to give main characteristics (brevity, moral, good trick, good word, « realism », etc.) without make a clear distinction with close narrative forms (« discours bigarrés », « histoires tagiques »). Yet, there is another path : take the point of view of « romans comiques »’ authors in order to take advantage of a writing fed from Renaissance’s storytellers and of a reading closer with XVIth century’s readers, that is to say refine modern studies in order to draw up the first list of reliable and operating generic criteria.
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Le corps dans les histoires comiques au XVIIe siècle / The Body in XVIIth century Comic NovelsToublet, Cécile 12 December 2015 (has links)
Les histoires comiques forment, de 1612 à la fin du siècle, un genre narratif divertissant qui, bien que traversé par des influences diverses, trouve sa cohésion dans de nets partis pris esthétiques : une écriture naturelle, une attention portée aux réalités, une apparente vérité des lieux, des situations et des personnages, ainsi que la présence d’une thématique sérieuse sous une fantaisie de façade. La redécouverte de ces oeuvres par la critique moderne a permis de souligner le rôle qu’elles ont joué dans l’évolution du roman au XVIIe siècle, après plusieurs siècles d’oubli ou de dénigrement. Assurément, avant toute analyse, les histoires comiques marquent surtout l’esprit par leur bouffonnerie : leurs auteurs n’écartent aucun ressort facétieux, si grossier soit-il, pour provoquer le rire. C’est, en effet, sur la mise en scène grotesque du corps que repose le plaisir franc et simple de ces oeuvres : visages difformes, anatomies disproportionnées, gesticulations, chutes, maladies, coups, chairs blessées ou sensuelles tissent le matériau narratif. Notre thèse propose de sonder cette présence ostentatoire du corps humain et de démontrer qu’elle est au centre de la fabrique du genre deshistoires comiques. En sus de cette exploration, notre étude cherche à affiner l’interprétation du divertissement corporel en prenant en compte son contexte culturel et anthropologique. Il s’agit de comprendre comment, au-delà de son rôle poétique et générique, le corps devient signifiant pour les auteurs du la narration comique du XVIIe siècle. / From 1612 to the end of the century, comic novels constitute a entertaining narrative genrewhich, despite many diverse influences, finds its cohesion in firm aesthetic choices : a natural writing, an attention to reality, an outward truthfulness of places, situations and characters, as well as serious themes under the apparent farce. When the modern critique rediscovered those works, it underlined their crucial part in XVIIth century novel’s evolution, after a long period of oblivion or denigration. Indeed, previous to any analysis, comic novels strike mostly by their buffoonery : their writers don’t hesitate to use triviality and vulgarity to create laughter.Surely, the simple and franc pleasure of reading comic novels is based on the grotesque staging of the body : deformed faces, disproportionate anatomies, gesticulations, falls, illnesses, punches, armed or sensual fleshes forge the narrative material. Our thesis proposes to investigate the ostentatious presence of the human body and to demonstrate that it is at the heart of the construction of the comic novel as a genre. In addition to this exploration, our study seeks to sharpen the interpretation of the corporeal entertainment by taking into account its cultural and anthropological context. The aim is to understand how, beyond its poetical andgeneric part, the body becomes meaningful to the authors of XVIIth century comic narration.
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L'adaptation des pièces comiques du théâtre français au cinéma / The adaptation of French comic plays to the cinemaShi, Yeting 19 June 2015 (has links)
Chaque année en France, les films adaptés des œuvres littéraires forment une partie importante des sorties cinématographiques, parmi lesquelles nous remarquons souvent les films adaptés des pièces de théâtre comiques. En effet, dès sa naissance, le cinéma est lié étroitement au théâtre, surtout aux pièces comiques. Les cinéastes ont puisé leurs inspirations aussi bien dans les pièces classiques (L’Avare, La Fausse Suivante, Cyrano de Bergerac, etc.) que les pièces modernes (La Cage aux folles, Le Dîner de cons, Le Prénom, etc.), en passant par les vaudevilles (Un Chapeau de paille d’Italie, Un Fil à la patte, etc.), les café-théâtre (les pièces du Splendid) et les pièces de Sacha Guitry et de Marcel Pagnol qui ont vécu la prospérité du théâtre filmé. Le théâtre et le cinéma, tous deux arts de spectacle, partagent énormément de points communs et gardent également de nombreuses différences. Ils se mélangent, s’influencent et se critiquent. Les spectateurs regardent la représentation théâtrale avec une vision « cinématisée » sans en avoir conscience. À l’inverse, nous déployons la théâtralité dans chaque séquence de film. Dans le cadre comique, quelle est donc la relation entre le cinéma et le théâtre ? Les ressorts du comique de théâtre sont-ils les mêmes au cinéma? Quels effets donnent-ils ? L’étude de l’adaptation des pièces comiques de théâtre au cinéma dans la période définie par notre corpus nous permet de voir les principes du travail de l’adaptation et de saisir le changement de la relation entre le théâtre et le cinéma au fil du temps. Ce changement nous laisse entrevoir la procédure de maturation d’un jeune art — le cinéma. Les valeurs esthétiques que nous avons dégagées dans ce travail nous aideront à comprendre d’une façon profonde les arts de spectacle, tandis que la valeur sociale du film adapté nous fera réaliser la nécessité de ce travail d’adaptation. / Every year in France, plenty of new movies are adapted from literary works, among them, we can often notice the films adapted from comic plays. Indeed, since its invention, the cinema is closely related to the theater, especially to the comic plays. The filmmakers try to find their inspiration in classic plays (The Miser, La Fausse suivante, Cyrano de Bergerac, etc.) as well as modern plays (La Cage aux Folles, Dinner of Fools, The First Name, etc.) but also in vaudeville (Un chapeau de paille d’Italie, Love on the Rack, etc.), in dinner theater (the plays of the Splendid) and in the plays of Sacha Guitry and Marcel Pagnol, who experienced the boom period of « théâtre filmé ». As two performing arts, theater and cinema share a lot of common points but have also many differences. They influence each other. The audience, unconsciously, watches the theatrical performance with a « cinématisée » vision. Conversely, we deploy theatricality in each sequence of the film. In the comic plays, what is the relationship between cinema and theater? Are the comic elements of theater the same as those in cinema? What effects do they give? The study of the adaptation of comic plays to the cinema in the period defined by our corpus lets us see the principles of adaptation and know the change in the relationship between theater and cinema. This change shows us the maturing process of a young art —the art of cinema. The aesthetic values that we have reveald in this work will help us understand the performing arts in a deep way, and the social value of an adapted film will let us realize the need of this adaptation.
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"Marin & Fils" (scénario) : Suivi de "Le concept de gag et son utilisation dans le scénario comique" (Essai)Guimond, Guylain 23 April 2018 (has links)
Les deux parties de ce mémoire, bien qu’ayant des objectifs différents, ont tout de même un point central commun, le gag. Marin & fils est une comédie qui vise à raconter une histoire, la plus intéressante possible, tout en faisant rire. C’est pourquoi le scénario comporte plusieurs gags. L’essai, pour sa part, a pour but de définir le concept de gag et de mesurer son utilisation dans le scénario comique. Le scénario de Marin & fils peut se résumer comme suit : un jeune diplômé universitaire rêvant de mettre à profit ses connaissances pour restructurer le commerce en déclin de son père, mais déçu par le refus de ce dernier, accepte l’offre d’association que lui présente un concurrent. S’ensuit une véritable guerre ouverte entre le père et le fils dont le point culminant sera un concours pour déterminer le meilleur constructeur de chalutier. L’essai, quant à lui, se présente en deux sections. La première vise à bien identifier le gag comme phénomène distinct dans le discours filmique et à en examiner les modèles et les mécanismes à l’époque du cinéma muet. La deuxième a pour objectif de vérifier, à l’aide de plusieurs exemples et grâce aux mécanismes analysés dans la première partie, si le gag est encore présent aujourd’hui et si sa conception est toujours la même.
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Systèmes de signification dans le cinéma classique hollywoodien: l'exemple de la comédie sophistiquéeSterckx, Laurent S.S. January 1996 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Aristophane et l’épopée : Formes et fonctions des parodies, citations et imitations épiques dans les comédies d’Aristophane / Aristophanes and the epic poetry : Forms and functions of the parodies, quotations and imitations of the epics in the comedies of AristophanesMiller-Dorangeon, Emeline 07 July 2016 (has links)
Ce travail décrit les différentes formes que prennent les emprunts à l'épopée dans les comédies d'Aristophane afin de définir le rapport construit par la comédie entre les deux genres littéraires, entre dérision comique et hommage littéraire, ruptures et continuités idéologiques, filiations et innovations poétiques. / This study tries to describe the various forms of Aristophanic borrowing to epic poetry, in order to define the relationship between the two genres: mockery or homage to the poet, ideological break or continuity, poetic filiation or innovation?
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Nerval fantaisiste / Nerval fantaisisteKekus, Filip 18 December 2015 (has links)
La postérité a considéré de manière privilégiée l’œuvre de Gérard de Nerval comme celle d’un poète sinon fou, du moins irrémédiablement mélancolique, en faisant peu de cas de son inspiration fantaisiste. Bien que parfois évoquée, cette facette de l’œuvre n’a à ce jour jamais fait l’objet d’une synthèse d’envergure. C’est à cette lacune quelque peu surprenante que notre étude ambitionne de répondre. Remettre à l’honneur la fantaisie de l’auteur des « Chimères » et d’Aurélia ne revient nullement à nier la folie nervalienne, mais plutôt à penser cette dernière en relation avec une fantaisie investie des aspirations romantiques les plus hautes, à remettre en question des traditions de lecture qui ont conclu à un isolement de l’œuvre au détriment d’une volonté de lucidité sans cesse réaffirmée par l’écrivain. Interroger la fantaisie nervalienne, c’est interroger les enjeux esthétiques, socio-politiques et éthiques d’une œuvre empreinte d’un enjouement fantasque qui s’est toujours voulue en prise directe sur l’actualité et soucieuse de refonder une communication littéraire alors en crise. / The works of Gérard de Nerval have mainly been regarded as the output of an irremediably melancholic, if not insane poet. However strongly established by his contemporaries, his fanciful inspiration, though occasionally mentioned, has never been subjected to thorough investigation. The ambition of this study is to rectify this rather intriguing omission. Delving into the fancy of the author of « Les Chimères » and of Aurélia, rather than denying Nerval’s madness, consists in assessing its connection with a fancy expressive of the highest romantic aspirations, as well as challenging customary interpretations that concluded in the isolation of an author’s writings, in spite of his own repeated assertions of lucidity. Probing Nerval’s fancy amounts to questioning the aesthetic, socio-political and ethical stakes of works imbued with whimsical cheerfulness, always bent on facing reality and eager to re-establish a literary communication that was then going through a critical period.
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Studi sulle intersezioni tra Cinismo antico e commedia greca e latinaIzzo, Donatella 18 December 2019 (has links)
My thesis is intended to analyse the interactions between Greek and Roman Comedy and Cynicism. My study, that considers all the complex issues related to the sources of Cynicism, is developed using a double perspective. On the one hand, I examine the formal debts that Cynical tradition has contracted towards Comedy and the different functions of the geloion in the communicative forms used by Cynics. In this perspective, I also analyse the passages where the ancient sources put into relation Cynics with Comedy or with a specific comedian and the passages in which the attribution fluctuates between comedians and Cynics. On the other hand, I study the representation of Cynics in Comedy. Therefore, the significant part of my research is committed to the collection and to the comments of the comic verses where there is a reference to Cynics or where scholars have suspected an allusion to them. In this analyse, I devote a special attention to the comparison between the representation of Cynics in Comedy and these in other sources. From this analysis we can infer that there are not many differences about elements used to the representation, but rather a risemantisation and a different connotation of same elements. / Mon travail de thèse se propose d’analyser les interactions entre Comédie grecque et latine et Cynisme. Mon étude, qui prend en compte toutes les problematiques complexes liées aux sources du Cynisme, se developpe selon deux directions. D’un côté, j’étudie les dettes formelles que la tradition cynique a envers la comédie et les différentes fonctions du geloion dans les formes communicatives adoptées par les Cyniques. Dans cette première perspective, j’analyse aussi les passages où les sources anciennes associent les Cyniques à la Comédie ou à un comique en particulier et les passages pour lesquels l’attribution oscille entre comiques et Cyniques. De l’autre, j’étudie la manière dont les Cyniques sont représentés par les comédiens. La partie la plus consistante de la thèse est donc dédiée au receuil et au commentaire ponctuel des vers comiques dans lesquels figure une référence explicite aux Cyniques ou dans lesquels les chercheurs ont soupçonné une allusion.
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La poétique du rire dans Le Roman comique de ScarronBellemare, Alex 08 1900 (has links)
Cette étude se fixe un triple objectif. Il s’agira d’abord de décrire les représentations textuelles du rire dans Le Roman comique de Scarron, en établissant d’une part les conditions de possibilité du comique et, d’autre part, en montrant la dette qu’a contractée le genre de l’histoire comique du XVIIe siècle auprès de la poétique de la comédie classique. Nous préciserons ensuite la nature et le sens à donner aux stratégies dramaturgiques mises en œuvre par Scarron pour rendre compte de l’humanité comique, tantôt disqualifiée, toujours remise en question. Nous mettrons enfin en évidence l’originalité de la structure du roman de Scarron qui accueille contradictoirement des esthétiques ennemies. Expérience de l’insubordination et affirmation d’une conscience critique, le rire de Scarron, en même temps qu’il brouille les hiérarchies culturelles, littéraires et idéologiques de l’âge classique, induit une rhétorique de la lecture comique et délivre une vision sceptique du monde. Innervée par ce rire protéiforme et ambivalent, notre étude propose donc une interprétation globale du roman scarronien à partir de l’analyse détaillée de sa poétique. / The following study has three main goals. We will first describe the textual representations of laughter in Scarron’s Le Roman comique, establishing on the one hand the conditions of possibility of the comic and by showing, on the other hand, the debt that the seventeenth century’s comic novels have contracted towards the poetics of the comedy. We will then identify the nature and meaning of the dramaturgical strategies used by Scarron to represent his comical characters, sometimes disqualified but always questionned. Finally, we will highlight the originality of Scarron’s novel structure that hosts contradictory aesthetics. While it blurs the frontiers of cultural, literary and ideological hierarchies, Scarron’s laughter, an experience of insubordination and an affirmation of a critical consciousness, induces a certain way of reading comedy and delivers a skeptical view of classical age’s world. Animated by this protean and ambivalent laughter, our study proposes a global interpretation of Scarron’s novel based on a detailed analysis of his poetics.
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