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Interpreting the Fathers : a literary-structural comparison of parallel narratives in Avot de Rabbi Natan, versions A and BPolzer, Natalie Catherine January 1991 (has links)
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L’identité romaine dans le discours impérial byzantin selon les œuvres et compilations de Constantin VII Porphyrogénète (913-959)St-Pierre, Louis-Patrick January 2017 (has links)
L’Empire « byzantin » figure parmi les États médiévaux les plus méconnus en dehors de la sphère académique, bien que cette dénomination soit paradoxalement anachronique, voire fautive. Celui que nous qualifions ainsi est en fait la continuité de l’Empire romain d’Orient durant le Moyen Âge. Cette affirmation peut paraître contre-intuitive d’un point de vue contemporain, puisque le caractère romain fait pour nous référence à l’Antiquité, à la langue latine et à l’Occident. À l’inverse, les Byzantins étaient orientaux et s’exprimaient en grec. Comment alors concevoir que ces derniers se soient dit Romains ? Pour ce faire, il est nécessaire de laisser de côté la polarisation entre Latin et Grec, entre Antiquité et Moyen Âge, et de se demander non pas si les Byzantins ont eu raison de se qualifier comme Rhômaioi (terme grec pour « romain »), mais qu’a pu signifier pour eux une telle appartenance ? Ce questionnement, qui figure au centre de ce mémoire, peut en partie trouver réponse en explorant le discours de l’une des principales instances ayant manifesté la préoccupation de maintenir l’identité romaine en Orient, à savoir les autorités impériales de Constantinople. En tant que personnage officiel, érudit, patron de nombreux lettrés et compilateur prolifique, l’empereur Constantin VII (913-959) agit comme auteur représentatif. Ses compilations De Ceremoniis (Le Livre des Cérémonies), De Administrando (De L’Administration de l’Empire) et De Thematibus (Le Livre des Thèmes) laissent en effet paraître des éléments sous-jacents à la construction de la romanité orientale et médiévale. Celle-ci se conceptualise tout d’abord à l’aide de la langue grecque, que l’on voit à l’époque comme la langue « romaine », et par le rattachement à un État que l’on place en continuité directe avec l’Empire de la Rome antique. À cela s’ajoute d’autres marqueurs (coutumes, religion, valeurs sociales) que l’on associe au fait romain et qui permettent de concevoir une certaine distinction face à des groupes étrangers.
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Le traitement de la délinquance des mineurs en droit algérien : étude à la lumière du droit français / The treatment of Juvenile delinquency in Algerian law : study in the light of the French lawKhellaf, Kheira 14 December 2015 (has links)
La délinquance des mineurs existe depuis toujours et pour y faire face, les sociétés répriment et enferment depuis toujours. Des enfants ont purgé leur peine tour à tour dans des prisons, des bagnes, des maisons de correction…Aujourd’hui encore la délinquance des mineurs reste une inquiétude majeure de la société et du législateur qui s’interrogent toujours sur les moyens d’y répondre autrement, humainement et efficacement.Le fait que le mineur est un individu en cours de construction implique que les actes de délinquance qu’il commet ne peuvent être réduits à l’expression de sa seule volonté, mais sont aussi la résultante d’un environnement défaillant. Ce mineur, plus vulnérable qu’un adulte, bénéficie à ce titre d’un traitement procédural plus protecteur, de juridictions spécialisées et de peines moins lourdes que celles infligées aux majeurs.Des actions éducatives et répressives sont combinées grâce à des partenariats et collaborations entre l’institution judiciaire et les acteurs sociaux concernés par les mineurs. En effet, en Algérie, en France ou ailleurs, le traitement de la délinquance appelle l’implication de l’ensemble de la société en vue d’établir un « vivre-ensemble » sur le long terme. / Juvenile delinquency exists for a long time and to face it, societies repress and lock for a long time. Children served their sentence alternately in prisons, penal colonies, reformatories… Today still the juvenile delinquency stays a major worry of the societies and the legislator who always wonder about the means to answer it otherwise, humanely and effectively.The fact that the minor is an individual under construction implies that the acts of delinquency which he commits cannot be reduced to the expression of its only will, but are also the resultant of a failing environment. This minor, more vulnerable than an adult, benefits as such from a more protective procedural treatment, from specialized jurisdictions and from punishments less heavy than those were imposed to the adults.Educational and repressive actions are combined grace to partnerships and collaborations between the judicial institution and the social players concerned by the minors. Indeed, in Algeria, in France or somewhere else, the treatment of the crime calls the implication of the whole society to establish a "living together" on the long term.
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Étude d'un lapidaire alphabétique du XVe siècle en prose, d'après le manuscrit Paris, Bibliothèque nationale de France, fonds français, 2007.Jolin, Audray 04 1900 (has links)
En raison de l’hétérogénéité et de l’extravagance de leur contenu, les lapidaires ont souvent été délaissés et restent, encore à ce jour, très peu considérés dans les études sur la littérature médiévale. Le nombre important de manuscrits répertoriés attestent pourtant de leur grande popularité et de la place qu’occupaient les pierres précieuses dans la société et la littérature médiévales.
Le lapidaire anonyme tanscrit par le manuscrit Paris, BnF, fonds français, 2007, un lapidaire en prose daté du XVe siècle, n’est à ce jour abordé que dans une seule étude, celle de Barbara Geromel, qui s’est intéressée surtout à un autre témoin (le Turin, Biblioteca Reale, Varia 110) dont le contenu – même s’il est incomplet – correspond en tout point à celui du manuscrit de Paris. Ce lapidaire en prose s’inscrit dans une histoire longue et riche, celle des pierres précieuses depuis l’Antiquité, mais s’en démarque également par son organisation complexe de la matière, puisqu’il adopte de manière partielle et imparfaite le paradigme alphabétique, jusqu’alors très peu employé dans les encyclopédies dû aux tensions qu’il incarnait vis-à-vis l’ordre théologique.
Témoin matériel d’une sphère plus considérable encore – celle de l’encyclopédisme médiéval –, ce lapidaire participe à la compilation du savoir de jadis et invite à une étude plus approfondie, à la fois de la matière qu’il recèle, de ses sources, issues d’une quantité importante de traditions manuscrites, et de son classement alphabétique. / Regarding the heterogeneity and extravagant nature of their content, the lapidaries have too often been put aside from studies concerning medieval literature, and, still to this day, only a few of them have been studied by scholars. However, the very high number of known manuscripts of such texts does tell us a lot about the popularity and the role played by precious gems within medieval society and litterature.
The prose lapidary copied in ms Paris, BnF, fonds français, 2007, a prosaic lapidary dated from the XVth century, has yet only been mentioned once, in a study by Barbara Geromel, who was mostly interested by another manuscript – albeit incomplete – of the same text : ms Turin, Biblioteca Reale, Varia 110. The content remaining in this manuscript corresponds precisely to the one found within the Paris manuscript. This manuscript written in prose represents one single step in a long and rich history (the tradition of describing precious stones dating back to the Antiquity). Nervertheless, it also differs from this tradition by its complex inner organisation of the subject, since it puts to use to this effect an imperfect and incomplete alphabetical paradigm as a mean of classification, an unpopular paradigm at the time, as it embodied elements difficult to correlate with the theological order.
This lapidary, a material witness of an even larger intelectual context – the world of mediaeval encyclopedism –, participates to the compilation of knowledge from older times, and calls for deeper studies of its general content, sources (themselves coming from varied manuscript traditions) and usage of an alphabetical classification.
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