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noneLee, Ru-hong 01 July 2008 (has links)
The aim of this study is to understand students¡¦ solutions (to problems related to time, time interval, and time unit conversion) and to analyze their common errors and possible causes. Students¡¦ problem-solving strategies and error types were also categorized and used as a reference for improvement in teaching and a scaffold for supporting students' learning.
Findings in this research were three:
1. Distinction between time and interval. Students were performing better in the concept of interval than in the concept of time. They also performed well in total time consumed and in daily life problems such as clock time. However, problems with longer text description would make it harder for students to do problem solving in the concept of time and interval.
2. Problem-solving types. The problem-solving types ranked by the frequency are: (1) processing larger units first; (2) converting time from high scale to low scale and vice-versa; (3) using fractions; (4) using decimals; and (5) using addition.
3. Error types: The error types presented by students in solving time-related problems include: (1) interference of the decimal; (2) interference between non-decimal time conversion systems; (3) insufficient knowledge about division; (4) unclear concept about high and low scales of time; (5) incorrect calculation; (6) influence of the clock dial structure; (7) incorrect problem-solving strategy; (8) misjudgment of keywords; and (9) ignorance of problem conditions.
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Problematika sebereflexe v románu 20. století / Problems of Self-Reflection in the Novel of 20th Century.KOUDELKOVÁ, Jana January 2011 (has links)
This diploma thesis deals with the problems of the self-reflection in the prose of the 20th century. At first there are described the techniques of the narration, which appeared in the 20th century. Then there are defined the general signs of the self-reflection and the influence of social situation on the increase of the self-reflection. In the next section the work involves the analysis of the novel Život a názory blahorodého pana Tristrama Shandyho. The conception of the self-reflection is defined on this piece. In the last part of the work the self-reflection is showed on Czech prose of the 20th century.
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L'acquisition et la construction de la notion de temps chez les enfants de 5 à 9 ans : perspective développementaleDe Coster, Veerle-Lotta 28 April 2004 (has links)
Cette recherche porte sur l’acquisition et la construction de la notion de temps chez les enfants de 5 à 9 ans, c’est-à-dire ceux qui fréquentent des classes allant de la 3e maternelle à la 3e année primaire. Dans la partie théorique nous analysons les différentes notions constitutives qui caractérisent le temps : l’ordre de succession, la durée, le cycle, l’irréversibilité, l’horizon temporel. Nous nous intéressons également aux notions linguistiques ainsi qu’aux notions associées telles que la causalité, les perspectives diachroniques, la vitesse et la notion d’âge. Nous investiguons ensuite l’état actuel des données concernant la connaissance de la notion de temps chez l’enfant en synthétisant les approches théoriques et expérimentales de Piaget (1946) sur le temps physique et les opérations logico-mathématiques, celle de Fraisse (1967) et Montangero (1988) sur les différents niveaux d’adaptation au temps, celles de Friedman (1991), Nelson (1996), Godard et Labelle (1998) et Tartas (2001) sur l’acquisition du temps conventionnel et la localisation dans le temps. Puisque nos questions de recherche concernent l’évolution de la notion de temps et puisqu’elles s’inscrivent dans le champ d’étude de la psychologie du développement (même s’il y a aussi des liens avec la psychologie cognitive, la linguistique et l’éducation), nous avons confronté les théories de différents développementalistes : Piaget, Vygotski, Wallon, Nelson et Karmiloff-Smith. Même si ces auteurs sont tous des cognitivistes et des constructivistes, leurs conceptions se différencient en ce qui concerne les facteurs étudiés, la définition du « concept », la conception du « moteur du développement », le rôle accordé à l’action, à « l’autre », au milieu ; le statut attribué au langage et à la médiation verbale dans la problématique « cognition-langage ». Afin de respecter une vision globale de l’enfant et de la notion de temps, la partie empirique porte à la fois sur le temps représenté et vécu. Nous avons étudié la maîtrise des systèmes de temps conventionnels, l’orientation et la localisation temporelles, la compréhension des relations temporelles, la notion d’ordre de succession et l’évaluation de durées. Nous nous sommes également penchée sur la définition et la représentation du concept, la notion d’âge, les représentations infantiles de la croissance et du vieillissement, l’attitude affective de l’enfant vis-à-vis son dynamisme évolutif et l’horizon temporel (passé, présent et futur). C’est en analysant les taux de réussite pour chacune des tâches dans un même cadre temporel (journée, jours de la semaine, semaine, mois de l’année, saisons, année, période de vie, vie entière) que nous pouvons dégager des « niveaux d’appropriation » des différentes unités temporelles ainsi que des « profils de compétence » qui différencient les enfants d’années scolaires différentes. Les résultats sont discutés du point de vue des facteurs qui interviennent dans la maîtrise des notions et concepts temporels. Nous étudions plus particulièrement l’impact et le rôle de trois facteurs : l’élargissement du champ conceptuel (« empan cognitif »), la possibilité d’associer les concepts temporels à des expériences vécues ou à des images mentales précises et la médiation verbale (en termes de liens entre langage et pensée).
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Das Bedeutungsfeld der Zeit in Volks- und Kunstmärchen : Eine literarische Vergleichsstudie zum Wandel des angewandten Zeitbegriffs am Grimmschen Märchen „Die Sterntaler“ und H.C. Andersens „Das kleine Mädchen mit den Schwefelhölzern“Völzke, René January 2020 (has links)
Abstract: Das Bedeutungsfeld der Zeit im literarischen Genre der zur Kurz-Epik hinzugehörenden Volksmärchen und Kunstmärchen wird in dieser literaturwissenschaftlichen Untersuchung in den Mittelpunkt gerückt. Ausgegangen vom aristotelischen Zeitbegriff, der Bewegung und Veränderung als unabdingliche Merkmale der Zeit postuliert, wird nach dem Unterschied des den Märchen der Brüder Grimm und H.C. Andersen jeweils zugrunde liegenden Zeitbegriffs der zeitlich aufeinanderfolgenden Autoren gefragt. Daraus ergibt sich eine durch die close reading Methode gestützte Untersuchung, wie sie die Zeit anhand eines Beispiels aus ihren Werken thematisch, stilistisch und narratologisch organisiert haben. Der strukturalistische Literaturtheorieansatz Gérard Genettes hilft dabei die Komposition aus erzählter Welt und Erzählwelt der Märchen zu begreifen und die Zeitorganisation der vorliegenden Werke nach Ordnung, Dauer und Frequenz zu unterscheiden. Der aus dem erkenntnistheoretischen Ansatz Käte Hamburgers entwickelte Begriff des Epischen Präteritums lenkt das Bewusstsein auch auf die zugrunde liegenden Rahmenbedingungen der epischen Fiktion in der Dichtkunst und verhelfen die zeitliche Ansprache an die Leser in die Untersuchung mit einzubinden. In der Untersuchung wird auch der Rhythmus als ein Wechselspiel der Zeit entdeckt und ihn als eine ihr dazugehörende Qualität erkannt und miteinbezogen. Als Beispiele wird das Volksmärchen „Die Sterntaler“ und Andersens „Das kleine Mädchen mit den Schwefelhölzern“ nach einem zwischen Form und Inhalt möglich kongruenten Zeitbegriff untersucht. Ein in dieser literarischen Auseinandersetzung entstehendes Begriffsnetz der sich gegenübergestellten Werke unterstützt die Annahme des kulturgeschichtlichen Wandels der Einstellung zur Zeit bei H.C. Andersen gegenüber der der Brüder Grimm und mag zur Diskussion und fortlaufenden Forschung der Literaturgeschichte im Detail beitragen. / <p>Jag skickar det nu en gång till, hoppas det är rätt och kommer fram</p>
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L'acquisition et la construction de la notion de temps chez les enfants de 5 à 9 ans: perspective développementaleDe Coster, Lotta 28 April 2004 (has links)
Cette recherche porte sur l’acquisition et la construction de la notion de temps chez les enfants de 5 à 9 ans, c’est-à-dire ceux qui fréquentent des classes allant de la 3e maternelle à la 3e année primaire. Dans la partie théorique nous analysons les différentes notions constitutives qui caractérisent le temps :l’ordre de succession, la durée, le cycle, l’irréversibilité, l’horizon temporel. Nous nous intéressons également aux notions linguistiques ainsi qu’aux notions associées telles que la causalité, les perspectives diachroniques, la vitesse et la notion d’âge. Nous investiguons ensuite l’état actuel des données concernant la connaissance de la notion de temps chez l’enfant en synthétisant les approches théoriques et expérimentales de Piaget (1946) sur le temps physique et les opérations logico-mathématiques, celle de Fraisse (1967) et Montangero (1988) sur les différents niveaux d’adaptation au temps, celles de Friedman (1991), Nelson (1996), Godard et Labelle (1998) et Tartas (2001) sur l’acquisition du temps conventionnel et la localisation dans le temps. Puisque nos questions de recherche concernent l’évolution de la notion de temps et puisqu’elles s’inscrivent dans le champ d’étude de la psychologie du développement (même s’il y a aussi des liens avec la psychologie cognitive, la linguistique et l’éducation), nous avons confronté les théories de différents développementalistes :Piaget, Vygotski, Wallon, Nelson et Karmiloff-Smith. Même si ces auteurs sont tous des cognitivistes et des constructivistes, leurs conceptions se différencient en ce qui concerne les facteurs étudiés, la définition du « concept », la conception du « moteur du développement », le rôle accordé à l’action, à « l’autre », au milieu ;le statut attribué au langage et à la médiation verbale dans la problématique « cognition-langage ». Afin de respecter une vision globale de l’enfant et de la notion de temps, la partie empirique porte à la fois sur le temps représenté et vécu. Nous avons étudié la maîtrise des systèmes de temps conventionnels, l’orientation et la localisation temporelles, la compréhension des relations temporelles, la notion d’ordre de succession et l’évaluation de durées. Nous nous sommes également penchée sur la définition et la représentation du concept, la notion d’âge, les représentations infantiles de la croissance et du vieillissement, l’attitude affective de l’enfant vis-à-vis son dynamisme évolutif et l’horizon temporel (passé, présent et futur). C’est en analysant les taux de réussite pour chacune des tâches dans un même cadre temporel (journée, jours de la semaine, semaine, mois de l’année, saisons, année, période de vie, vie entière) que nous pouvons dégager des « niveaux d’appropriation » des différentes unités temporelles ainsi que des « profils de compétence » qui différencient les enfants d’années scolaires différentes. Les résultats sont discutés du point de vue des facteurs qui interviennent dans la maîtrise des notions et concepts temporels. Nous étudions plus particulièrement l’impact et le rôle de trois facteurs :l’élargissement du champ conceptuel (« empan cognitif »), la possibilité d’associer les concepts temporels à des expériences vécues ou à des images mentales précises et la médiation verbale (en termes de liens entre langage et pensée). / Doctorat en sciences psychologiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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