• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 4
  • 1
  • Tagged with
  • 5
  • 5
  • 3
  • 3
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Impact de la monoparentalité et de la pauvreté combinées sur l'évolution des familles bénéficiant d'une intervention brève intensive de crise

Breault, Eve-Marie January 2012 (has links)
L'objectif de la présente étude vise à documenter l'évolution de familles confrontées à la monoparentalité et la pauvreté suite à une intervention brève et intensive de crise. Pour atteindre cet objectif, nous avons procédé à la comparaison de l'évolution de deux sous-groupes de familles soit des familles monoparentales bénéficiant d'un revenu familial annuel faible (moins de $40,000/année) (familles défavorisées) (n=10) et des familles biparentales bénéficiant d'un revenu familial annuel plus favorable (plus de $40,000/année) (familles favorisées) (n=50). Les caractéristiques des familles ont été évaluées à 2 reprises, soit après la deuxième semaine suivant le début du suivi et 12 mois plus tard. Les questionnaires qui ont été retenus dans la présente étude visaient à évaluer différentes dimensions du fonctionnement familial notamment la résolution de problème, la communication, les rôles, l'investissement affectif, l'expression affective, le contrôle des comportements et le fonctionnement familial général ( Family Assessment Device de Epstein et al. , 1983) et certaines caractéristiques des pratiques éducatives des parents soit l'engagement parental, les comportements parentaux positifs, la supervision parentale et la discipline inconsistante (Alabama Parenting Questionnaire de Shelton et al ., 1995). Les premières analyses comparatives ont permis de constater que globalement, du point de vue des adolescents, l'ensemble des familles ont connu en moyenne une évolution positive sur la plupart des dimensions évaluées concernant le fonctionnement familial sauf en ce qui concerne l'investissement affectif et le contrôle des comportements. De même, les adolescents rapportent que les pratiques éducatives ont évolué positivement sur les plans de l'engagement des parents et des pratiques parentales positives. De plus, selon le point de vue des parents répondants, il apparaît que les familles ont connu une évolution positive sur l'ensemble des dimensions mesurées concernant le fonctionnement de la famille. En outre, il ressort que les familles ne connaissent pas d'évolution significative suite à l'intervention sur la presque totalité des dimensions mesurées concernant les pratiques éducatives sauf en ce qui concerne la discipline inconsistante. D'autres analyses comparatives concernant l'évolution des familles défavorisées comparativement aux familles favorisées suite à l'intervention ont permis de constater que les familles défavorisées connaissent une évolution positive plus importante sur les plans de la distribution des rôles, de l'investissement affectif, du contrôle des comportements et de la discipline inconsistante selon le point de vue des parents répondants. Par ailleurs, on note, selon le point de vue des adolescents, une évolution négative plus importante des familles défavorisées sur les plans du contrôle des comportements comparativement aux familles favorisées.
2

Situation résidentielle, scolarisation et mortalité des enfants selon la légitimité de leur naissance : une analyse du Cameroun, de la Centrafrique et de la République Démocratique du Congo

Emina, Be-Ofuriyua Jacques 22 March 2005 (has links)
Depuis la première conférence internationale sur la population organisée en 1927 à Genève, la problématique des droits et liberté des femmes en matière de sexualité et de reproduction ainsi que celle de la lutte contre la pauvreté et les inégalités socioéconomiques sont au cœur des débats scientifiques et politiques. Cependant, si dans l'ensemble, les études sur la fécondité générale en Afrique subsaharienne et le devenir sociodémographique des enfants, notamment la situation résidentielle, la santé et la scolarisation occupent une place importante dans la recherche démographique de ces trente dernières années, il existe encore plusieurs zones d'ombre à élucider au sujet de la procréation hors union et de ses effets sur le devenir des enfants. A partir des données des Enquêtes Démographiques et de Santé du Cameroun (1998) et de la Centrafrique (1994/1995), ainsi que de celles de l'Enquête sur la Situation des Enfants et des Femmes au Zaïre (1995), cette recherche essaie d'aborder la question de la procréation hors union à travers deux objectifs : (1) mesurer la fréquence de la procréation hors union et identifier ses déterminants dans trois pays de l'Afrique centrale, le Cameroun, la République Centrafricaine et la République Démocratique du Congo ; (2) analyser le devenir sociodémographique des enfants, en termes de leur situation résidentielle, leur mortalité (ou risque de décès) et leur scolarisation selon la légitimité de leur naissance (enfants nés hors union par rapport aux enfants légitimes). Ces objectifs s'inscrivent nettement dans le cadre de la problématique du développement humain et de la santé reproductive (droits des femmes en matière de sexualité et de procréation et droits de l'enfant à la vie, à la santé et à la scolarisation) dans un contexte de relative pauvreté, de diversité culturelle et de dissociation entre union et sexualité, alors que la prévalence contraceptive et le recours à l'avortement est légalement interdit. Les résultats de cette recherche montrent, d'une part, la complexité des facteurs explicatifs de la procréation hors union dans les trois pays étudiés, et d'autre part, l'intérêt d'une analyse multidimensionnelle et approfondie de l'effet de la légitimité de la naissance sur le devenir de l'enfant. En effet, les traditions (libérales ou non) en matière de sexualité hors union ne semblent pas avoir une influence déterminante sur la propension des femmes à procréer hors union. C'est la durée d'exposition à la sexualité hors union lié au modernisme qui est la principale variable intermédiaire. Ainsi, dans les trois pays étudiés, les femmes primipares et celles qui ont un niveau d'instruction élevé sont les plus enclines à procréer hors union. Par ailleurs, du point de vue des caractéristiques socioéconomiques du ménage, les profils des femmes qui ont procréé hors union varient selon le pays et l'unité d'analyse (femmes ou enfants). De même, l'analyse du devenir des enfants selon la légitimité de leur naissance montre la diversité des résultats selon qu'on considère la situation résidentielle, la mortalité, ou la scolarisation des enfants. Pour chacun de ces indicateurs du devenir de l'enfant, on observe selon le pays et/ou l'unité d'analyse une absence de différence, une différence en faveur ou en défaveur des enfants nés hors union.
3

La situation socioéconomique des résidants des collectivités des Premières Nations et des collectivités environnantes du Québec : impact des facteurs de contexte et des facteurs individuels

Deslauriers, Mélanie 04 1900 (has links)
Cette recherche se penche sur l’impact des facteurs de contexte et des facteurs individuels sur les conditions socioéconomiques des résidants des collectivités des Premières Nations du Québec et des résidants des communautés situées à proximité. Des régressions logistiques sur les données censitaires de 2001 ont été réalisées afin de répondre aux questions d’étude. Quatre dimensions, inspirées de l’indice de bien-être (IBC), ont été étudiées : l’activité, le logement, le revenu et la scolarité. Les résultats de recherche montrent que les deux types de facteurs contribuent à l’explication des inégalités sociales. Plus spécifiquement, les inégalités scolaires apparaissent principalement déterminées par les facteurs de contexte bien que les facteurs individuels, tel que l’âge et le genre, soient aussi déterminants. Ces dernières surviennent en amont des inégalités d’emploi et de revenu et expliquent celles-ci. De plus, les inégalités relatives au logement sont expliquées par l’emplacement spatial et le type de communauté de résidence. Par ailleurs, l’ethnicité des répondants ne joue pas un rôle de premier plan dans l’explication des disparités observées, une fois les autres caractéristiques contrôlées, ce qui ne signifie pas qu’il n’existe pas d’inégalités entre Amérindien et non-Amérindien. En fait, des chances différenciées persistent lorsque les autres caractéristiques sont contrôlées. Ainsi, les résultats mettent en évidence l’utilité de déplacer le point focal de la recherche quantitative sur les conditions autochtones du principal fait d’être Amérindien ou non vers un éventail plus large de déterminants. / This research assesses the specific contribution of individual and contextual factors in explaining the socioeconomics discrepancies between members of First Nations communities and those of communities located nearby. Using logistic regression on 2001 census data, four dimensions of socioeconomic conditions, largely inspired by the Community Well-Being Index (CWB), are assessed: employment, housing, income and education. The results of the study show that social inequalities appear correlated to both types of factors. Educational inequalities are primarily due to contextual factors even if individual factors, such as age and gender, also play a role in determining the odds of living social inequalities. Educational inequalities precede employment and income inequalities and, to some extent, explain them. Moreover, housing inequalities are mainly explained by spatial location and residence in a First Nations community Furthermore, the ethnicity of respondents does not play a major role in explaining the discrepancies, once other characteristics are taken into account. This does not mean that social inequalities do not exist between Aboriginal and non-Aboriginal Canadians. Actually, significant differences between these two social categories are observed even when other characteristics are controlled for. Thus, the results of this study point out to the fact that the focus of quantitative research on Aboriginal people’s conditions should be put on additional predictors of inequalities besides “aboriginality”. Also, the review of literature shows a lack of research on social inequalities within First Nations communities in Canada.
4

La situation socioéconomique des résidants des collectivités des Premières Nations et des collectivités environnantes du Québec : impact des facteurs de contexte et des facteurs individuels

Deslauriers, Mélanie 04 1900 (has links)
Cette recherche se penche sur l’impact des facteurs de contexte et des facteurs individuels sur les conditions socioéconomiques des résidants des collectivités des Premières Nations du Québec et des résidants des communautés situées à proximité. Des régressions logistiques sur les données censitaires de 2001 ont été réalisées afin de répondre aux questions d’étude. Quatre dimensions, inspirées de l’indice de bien-être (IBC), ont été étudiées : l’activité, le logement, le revenu et la scolarité. Les résultats de recherche montrent que les deux types de facteurs contribuent à l’explication des inégalités sociales. Plus spécifiquement, les inégalités scolaires apparaissent principalement déterminées par les facteurs de contexte bien que les facteurs individuels, tel que l’âge et le genre, soient aussi déterminants. Ces dernières surviennent en amont des inégalités d’emploi et de revenu et expliquent celles-ci. De plus, les inégalités relatives au logement sont expliquées par l’emplacement spatial et le type de communauté de résidence. Par ailleurs, l’ethnicité des répondants ne joue pas un rôle de premier plan dans l’explication des disparités observées, une fois les autres caractéristiques contrôlées, ce qui ne signifie pas qu’il n’existe pas d’inégalités entre Amérindien et non-Amérindien. En fait, des chances différenciées persistent lorsque les autres caractéristiques sont contrôlées. Ainsi, les résultats mettent en évidence l’utilité de déplacer le point focal de la recherche quantitative sur les conditions autochtones du principal fait d’être Amérindien ou non vers un éventail plus large de déterminants. / This research assesses the specific contribution of individual and contextual factors in explaining the socioeconomics discrepancies between members of First Nations communities and those of communities located nearby. Using logistic regression on 2001 census data, four dimensions of socioeconomic conditions, largely inspired by the Community Well-Being Index (CWB), are assessed: employment, housing, income and education. The results of the study show that social inequalities appear correlated to both types of factors. Educational inequalities are primarily due to contextual factors even if individual factors, such as age and gender, also play a role in determining the odds of living social inequalities. Educational inequalities precede employment and income inequalities and, to some extent, explain them. Moreover, housing inequalities are mainly explained by spatial location and residence in a First Nations community Furthermore, the ethnicity of respondents does not play a major role in explaining the discrepancies, once other characteristics are taken into account. This does not mean that social inequalities do not exist between Aboriginal and non-Aboriginal Canadians. Actually, significant differences between these two social categories are observed even when other characteristics are controlled for. Thus, the results of this study point out to the fact that the focus of quantitative research on Aboriginal people’s conditions should be put on additional predictors of inequalities besides “aboriginality”. Also, the review of literature shows a lack of research on social inequalities within First Nations communities in Canada.
5

Adversité socioéconomique et pratiques parentales : le rôle des stresseurs contextuels et des caractéristiques de l’enfant

Labelle, Laurence 10 1900 (has links)
Thèse de doctorat présenté en vue de l'obtention du doctorat en psychologie - recherche intervention, option psychologie clinique (Ph.D) / L’adversité socioéconomique, définie comme l’expérience de conditions sociales et économiques défavorables, engendrerait des répercussions majeures sur la vie familiale. Un vaste courant de recherche a notamment lié l’adversité socioéconomique à des comportements parentaux sous-optimaux pour le développement des enfants, dont des pratiques plus hostiles, moins structurantes et soutenant moins l’autonomie des enfants, en plus d’être davantage contrôlantes. Toutefois, les études précédentes ont pu surestimer l’association entre l’adversité socioéconomique et les pratiques parentales sous-optimales en omettant de prendre en considération (1) les mécanismes explicatifs sous-tendant cette relation et (2) l’influence d’autres facteurs de risque dont dépend celle-ci. En se basant sur l’approche dimensionnelle des pratiques parentales mise de l’avant par la théorie de l’autodétermination, le modèle du stress familial et le modèle des déterminants des pratiques parentales, la présente thèse a pour objectif de revisiter la relation entre l’adversité socioéconomique, opérationnalisée à l’aide du statut socioéconomique (SSE), et les pratiques parentales en examinant le rôle médiateur des stresseurs contextuels dans cette relation (Étude 1), ainsi qu’en considérant l’influence potentielle des caractéristiques de l’enfant au sein de la relation parent-enfant (Étude 2). Les deux études de la thèse mettent à profit des méthodologies variées et complémentaires. Entre autres, les résultats de l’Étude 1 sont basés sur un échantillon diversifié et une approche multi-répondants, alors que l’Étude 2 examine des données prospectives et des mesures observationnelles des pratiques parentales. L’Étude 1 a examiné, auprès de 156 dyades mère-enfant (M âge = 11 ans) issues de la classe faible à moyenne, le rôle médiateur potentiel des stresseurs contextuels dans la relation entre le SSE et le soutien à l’autonomie (vs les pratiques contrôlantes). Précisément, les mères rapportaient leur SSE et leurs stresseurs contextuels, alors que les enfants rapportaient leur perception générale des pratiques parentales de leurs mères. L’Étude 2 avait plutôt pour objectif d’examiner le rôle respectif du SSE des mères et des facteurs de risque liés aux caractéristiques de l’enfant (son tempérament et son niveau de compétence) dans l’estimation des pratiques parentales, cette fois observées dans un contexte plus circonscrit, c.-à-d. le domaine de l’apprentissage guidé. Un échantillon de 192 mères et leur enfant de 4 ans, recrutés dans le cadre d’un projet de recherche longitudinal, ont participé à une tâche d’apprentissage guidé durant laquelle leurs interactions furent filmées puis codées. Le SSE et les caractéristiques de l’enfant furent mesurés avant la tâche de résolution de problème, créant ainsi un devis prospectif. Les analyses acheminatoires de l’Étude 1 n’ont pas soutenu le modèle de médiation proposé lorsque les stresseurs contextuels étaient considérés dans leur ensemble, sans distinction concernant leur nature ou leur gravité. Toutefois, des analyses exploratoires ont suggéré que certains stresseurs contextuels plus sérieux, menaçant les besoins de base des parents, étaient liés au SSE et, qu’en retour, ces stresseurs contextuels plus spécifiques étaient négativement associés au soutien parental à l’autonomie, tout en étant positivement liés aux pratiques parentales contrôlantes. Les analyses acheminatoires de l’Étude 2, quant à elles, ont révélé que certaines relations entre le SSE et les pratiques parentales en contexte d’apprentissage guidé s’avèrent plus faibles que ce que la documentation antérieure permettait de présager lorsque celles-ci sont évaluées en ajustant pour des facteurs de risque plus proximaux. Certaines pratiques parentales sous-optimales semblent donc plus fortement liées aux caractéristiques de l’enfant (c.-à-d., un tempérament difficile ou des niveaux de compétence moindres) qu’au SSE, suggérant que ces défis supplémentaires pourraient affecter ces pratiques parentales de manière plus directe que le SSE. Une analyse des profils de risque de notre échantillon a également suggéré que la présence simultanée des facteurs de risque était généralement associée à des pratiques parentales sous-optimales. En somme, les résultats de la thèse soulignent l’importance de décrire avec plus de nuances l’expérience des parents vulnérables notamment en spécifiant la nature des stresseurs avec lesquels ils composent, mais également en contrôlant pour d’autres facteurs de risque pouvant survenir de façon concomitante à l’adversité socioéconomique. Les implications théoriques et pratiques de cette thèse pour les relations parent-enfant en contexte d’adversité, de même que ses limites et des directions pour des recherches futures, sont discutées. / Socioeconomic adversity, defined as the experience of disadvantageous social and economic conditions, carries major implications for family life. A vast body of research has indeed linked socioeconomic adversity to suboptimal parenting practices that may thwart children’s development, including less warm, structuring, and autonomy-supportive practices, along with more controlling ones. However, past studies may have overestimated this association by omitting to consider (1) its underlying explanatory mechanisms and (2) the role of other, potentially confounding, risk factors. Grounded in the dimensional approach to parenting put forth by self-determination theory, the family stress model, and models on parenting determinants, this thesis aims at revisiting the relation between socioeconomic adversityoperationalized as socioeconomic status (SES)and parenting practices, by examining the mediating role of contextual stressors (Study 1) as well as considering the potential influence of child characteristics on parenting practices (Study 2). Two studies using varied and complementary research designs are proposed. Notably, Study 1 was conducted among a diversified sample and adopted a multi-informant approach, whereas Study 2 relied on prospective and observational data. Study 1, which included 156 mother-child dyads (M age = 11), examined the potentially mediating role of contextual stressors in the relation between SES and autonomy-supportive vs. controlling parenting practices. Specifically, mothers reported their SES and contextual stressors, while their children reported their general perceptions of their mothers’ practices. Study 2 assessed the unique role of SES and child characteristics (i.e., temperament and competence level) in estimating parenting practices, based on observations of parent-child interactions in a more specific context (i.e., guided learning domain). To do so, a sample of 192 mothers and their 4-year-old children, recruited through a longitudinal research project, engaged in a guided learning task during which their interactions were filmed and later coded. SES and child characteristics were assessed before these interactions, yielding a prospective design. First, path analyses from Study 1 did not confirm the proposed mediational model when contextual stressors were aggregated without distinction in terms of their nature or intensity. However, exploratory analyses suggested that more serious contextual stressors, such as those threatening parents’ basic physical and psychological needs, were linked to SES and, in turn, were negatively associated with autonomy support, while being positively linked to controlling parenting. Path analyses from Study 2 then showed that relations between SES and parenting practices in the guided learning domain may be more modest than previously reported when they are adjusted for more proximal risk factors. Some suboptimal parenting practices were indeed more strongly linked to child characteristics (i.e., difficult temperament and lower level of competence) than to SES, suggesting that these additional risk factors may affect some parenting components more directly. Latent profile analyses also suggested the co-occurrence of SES and demanding child characteristics, which could then lead to suboptimal parenting practices. Altogether, the present results underline the importance of describing the experience of vulnerable parents with more nuance, particularly by specifying the nature of the stressors they encounter, but also by controlling for other risk factors they might be facing. Theoretical and practical implications of this thesis for parent-child relationships in the context of socioeconomic adversity are discussed, as well as limitations and future research directions.

Page generated in 0.1038 seconds