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La contribution de la réactivité comportementale, de la sensibilité maternelle et du contrôle parental à la prédiction de l'anxiété à la petite enfance chez les enfants de mères adolescentes

Pinsonneault, Michelle January 2009 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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La contribution de la réactivité comportementale, de la sensibilité maternelle et du contrôle parental à la prédiction de l'anxiété à la petite enfance chez les enfants de mères adolescentes

Pinsonneault, Michelle January 2009 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Consommation de cannabis et symptômes dépressifs à l'adolescence : le rôle modérateur de la qualité de la relation parent-adolescent

Lavallée, Gabrielle 08 1900 (has links)
La dépression est une psychopathologie répandue qui débute fréquemment au cours de l’adolescence. Maintes répercussions tant personnelles qu’économiques et sociales ont été associées à ce trouble. Plusieurs facteurs, dont la consommation de cannabis, ont été identifiés comme étant susceptibles d’influencer l’apparition et le développement de symptômes dépressifs. Il existe toutefois une absence de consensus par rapport au lien entre la consommation de cannabis et les symptômes dépressifs à l’adolescence, qui pourrait notamment résulter de différences méthodologiques telles que le contrôle de tierces variables. Parmi ces variables, la relation parent-adolescent pourrait modérer la relation entre la consommation de cannabis et les symptômes dépressifs. Ce mémoire vise d’une part à vérifier la relation entre la consommation de cannabis et la manifestation de symptômes dépressifs à l’adolescence et, d’autre part, le rôle modérateur de la relation parent-adolescent sur ce lien. L’échantillon compte 1 740 adolescents québécois suivis longitudinalement du secondaire II au secondaire IV. Des analyses de régression multiple hiérarchique ont été effectuées afin de tester les hypothèses à l’étude. Les résultats démontrent une faible relation positive entre la consommation de cannabis en secondaire II et les symptômes dépressifs évalués deux ans plus tard. Par ailleurs, une seule dimension de la relation parent-adolescent, soit le faible soutien parental, a été identifiée comme ayant un pouvoir prédictif sur les symptômes dépressifs. Cet effet d’interaction explique néanmoins une variance insuffisante pour être significatif d’un point de vue clinique. Les implications de ces résultats pour la recherche sont discutées. / Depression is a prevailing psychopathology which often begins during adolescence. Multiple repercussions on personal, economic and social levels have been associated with this disorder. Many factors including cannabis have been identified as likely to influence the onset and development of depressive symptoms. However, there is a lack of consensus concerning the link between cannabis use and depressive symptoms in adolescence, which could result from methodological differences as the control of potential confounding variables. Among these variables, parent-adolescent relationship has been identified as a potential moderator in the relationship between cannabis use and depressive symptoms. The present research project firstly aims to examine the relationship between cannabis use and the manifestation of depressive symptoms in adolescence and, secondly to verify the potential moderating effect of parent-adolescent relationship on that link. The sample includes 1 740 Quebec teenagers followed longitudinally in high school. Multiple hierarchical regression analyses were conducted to test the hypotheses. Results indicate a weak positive relationship between cannabis use and depressive symptoms assessed two years later. Moreover, only one dimension of the parent-adolescent relationship, defined as low parental support, has been identified as having predictive power on depressive symptoms. However, the variance explained by this interaction is insufficient to be considered on a clinical level. The implications of these findings are discussed.
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Développement des comportements antisociaux de l’enfance au début de l’âge adulte : différences sexuelles et théories du contrôle

Robitaille, Marie-Pier 05 1900 (has links)
Contexte. Alors que le fait que les femmes manifestent moins de comportements antisociaux que les hommes est bien établi, l’étiologie des différences sexuelles liées à ces comportements demeure grandement incomprise. Objectif. Le but de cette thèse était de mieux comprendre l’étiologie des différences sexuelles liées aux comportements antisociaux de l’enfance au début de l’âge adulte. Cadre théorique. Les propositions des théories du contrôle en regard des différences sexuelles ont été examinées en comblant certaines de leurs limites utilisant une approche développementale. Les associations entre le contrôle parental, le contrôle de soi, le patriarcat familial et les comportements antisociaux des hommes et des femmes ont été analysées. Une attention particulière a été portée aux périodes développementales (ex., adolescence, âge adulte), aux types de comportements (ex., violents, contre les biens) et aux types de mesures (ex., autorapportés, dossiers criminels) afin d’assurer une analyse complète des différences sexuelles. Méthodologie. Les données proviennent de 3007 participants de l'Étude longitudinale québécoise des enfants de maternelle au Québec, prospectivement suivi de la maternelle au début de l'âge adulte. Les comportements antisociaux ont été mesurés à l'enfance (6 à 12 ans), à l'adolescence (13 à 17 ans) et au début de l’âge adulte (âgés de 18 à 26) par des questionnaires autorapportés, entrevues cliniques et dossiers criminels juvénile et adulte. Des analyses multiniveaux et modèles complexes non paramétriques (ex., régression binomiale négative avec inflation du zéro, régressions longitudinales à associations croisées) ont été utilisés pour vérifier les hypothèses des théories du contrôle social, du contrôle de soi, et du pouvoir-contrôle quant aux différences sexuelles. Principaux résultats. Les résultats ont montré que le contrôle de soi et le contrôle parental étaient associés de manière similaire aux comportements antisociaux des hommes et des femmes. Les filles avaient généralement un meilleur contrôle de soi et étaient plus contrôlées par leurs parents que les garçons, ce qui explique partiellement leur moins grande manifestation de comportements antisociaux. Ni les contrôles parentaux ni le contrôle de soi n’expliquent l’entièreté des différences sexuelles liées aux comportements antisociaux. Les résultats ont aussi révélé des influences réciproques entre le contrôle de soi, le contrôle parental et les comportements antisociaux, suggérant l’interaction de l'enfant avec son environnement dans l'émergence et la persistance des comportements antisociaux. Le patriarcat familial n’intervient généralement pas dans l’étiologie des comportements antisociaux des garçons ou des filles. Néanmoins, les résultats suggèrent que le contrôle de soi et le patriarcat familial pourraient influencer davantage la fréquence ou la diversité des comportements antisociaux rapportés dans les dossiers criminels. Conclusions. La présente thèse montre l’importance d’étudier les différences sexuelles liées aux comportements antisociaux dans toute leur complexité, c’est-à-dire en considérant la période développementale et les types de comportements et de mesures. Les résultats suggèrent que les mêmes facteurs de risque du contrôle seraient associés aux comportements antisociaux des hommes et des femmes et que ces facteurs de risque auraient un effet similaire sur eux. Ces résultats suggèrent que l’exposition différentielle des hommes et des femmes à ces facteurs de risque expliquerait les différences sexuelles liées aux comportements antisociaux. Un modèle alternatif du contrôle est proposé pour améliorer la compréhension de l’étiologie de ces différences sexuelles. / Context. The fact that girls manifest less antisocial behavior than boys is well known, although the etiology of the sex differences in antisocial behavior is still relatively misunderstood. Objective. The aim is to improve the understanding of the etiology of sex differences in antisocial behavior from childhood to early adulthood. Theoretical Framework. A theoretical framework was built based on control theories in criminology, addressing their weaknesses with developmental studies strengths. Associations between three control-related constructs (i.e., self-control, parental control, and familial patriarchy) and boys’ and girls’ antisocial behavior is assessed across developmental periods, in addition to their interplay. Method. Data are from 3007 participants of the Québec Longitudinal Study of Kindergarten Children prospectively followed from kindergarten to early-adulthood. Antisocial behavior was assessed during childhood (ages 6 to 12), adolescence (ages 13 to 17) and early adulthood (ages 18 to 26) using questionnaires, clinical interviews, and juvenile and adult official records. Multilevel analyses and non-parametric complex models (e.g., Zero-Inflated Negative Binomial Regressions, Cross-Lagged Path Modeling) were used to test the hypotheses regarding sex differences in antisocial behavior proposed by self-control theory, social control theory and power-control theory. Main Results. Results showed that self-control and parental control are risk factors of antisocial behavior for boys and girls. Girls generally had a better self-control and were more controlled by their parents than boys, which partially explained that they manifested less antisocial behavior. Neither self-control nor parental control explained the entirety of the noted sex differences in antisocial behavior. In addition, there were reciprocal influences between self-control, parental control, and antisocial behavior from childhood to adolescence, suggesting a transactional process of the child and its environment in the emergence and persistence of antisocial behavior. Familial patriarchy was overall not associated with boys’ or girls’ manifestation of antisocial behavior. Results, however, indicated that self-control and familial patriarchy could have a stronger influence in regards of the frequency and/or diversity officially recorded antisocial behavior. Conclusions. This thesis supports the relevance of considering all variations in sex differences in antisocial behavior, namely variations across developmental periods, types of behavior and measures. Results suggest that the same control risk factors are associated with boys’ and girls’ antisocial behavior and that those risk factors have a similar effect for them. Sex differences in exposition to those risk factors would generally better explain sex differences in antisocial behavior. An alternative developmental model of control is proposed to account for all sex differences.
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Adversité socioéconomique et pratiques parentales : le rôle des stresseurs contextuels et des caractéristiques de l’enfant

Labelle, Laurence 10 1900 (has links)
Thèse de doctorat présenté en vue de l'obtention du doctorat en psychologie - recherche intervention, option psychologie clinique (Ph.D) / L’adversité socioéconomique, définie comme l’expérience de conditions sociales et économiques défavorables, engendrerait des répercussions majeures sur la vie familiale. Un vaste courant de recherche a notamment lié l’adversité socioéconomique à des comportements parentaux sous-optimaux pour le développement des enfants, dont des pratiques plus hostiles, moins structurantes et soutenant moins l’autonomie des enfants, en plus d’être davantage contrôlantes. Toutefois, les études précédentes ont pu surestimer l’association entre l’adversité socioéconomique et les pratiques parentales sous-optimales en omettant de prendre en considération (1) les mécanismes explicatifs sous-tendant cette relation et (2) l’influence d’autres facteurs de risque dont dépend celle-ci. En se basant sur l’approche dimensionnelle des pratiques parentales mise de l’avant par la théorie de l’autodétermination, le modèle du stress familial et le modèle des déterminants des pratiques parentales, la présente thèse a pour objectif de revisiter la relation entre l’adversité socioéconomique, opérationnalisée à l’aide du statut socioéconomique (SSE), et les pratiques parentales en examinant le rôle médiateur des stresseurs contextuels dans cette relation (Étude 1), ainsi qu’en considérant l’influence potentielle des caractéristiques de l’enfant au sein de la relation parent-enfant (Étude 2). Les deux études de la thèse mettent à profit des méthodologies variées et complémentaires. Entre autres, les résultats de l’Étude 1 sont basés sur un échantillon diversifié et une approche multi-répondants, alors que l’Étude 2 examine des données prospectives et des mesures observationnelles des pratiques parentales. L’Étude 1 a examiné, auprès de 156 dyades mère-enfant (M âge = 11 ans) issues de la classe faible à moyenne, le rôle médiateur potentiel des stresseurs contextuels dans la relation entre le SSE et le soutien à l’autonomie (vs les pratiques contrôlantes). Précisément, les mères rapportaient leur SSE et leurs stresseurs contextuels, alors que les enfants rapportaient leur perception générale des pratiques parentales de leurs mères. L’Étude 2 avait plutôt pour objectif d’examiner le rôle respectif du SSE des mères et des facteurs de risque liés aux caractéristiques de l’enfant (son tempérament et son niveau de compétence) dans l’estimation des pratiques parentales, cette fois observées dans un contexte plus circonscrit, c.-à-d. le domaine de l’apprentissage guidé. Un échantillon de 192 mères et leur enfant de 4 ans, recrutés dans le cadre d’un projet de recherche longitudinal, ont participé à une tâche d’apprentissage guidé durant laquelle leurs interactions furent filmées puis codées. Le SSE et les caractéristiques de l’enfant furent mesurés avant la tâche de résolution de problème, créant ainsi un devis prospectif. Les analyses acheminatoires de l’Étude 1 n’ont pas soutenu le modèle de médiation proposé lorsque les stresseurs contextuels étaient considérés dans leur ensemble, sans distinction concernant leur nature ou leur gravité. Toutefois, des analyses exploratoires ont suggéré que certains stresseurs contextuels plus sérieux, menaçant les besoins de base des parents, étaient liés au SSE et, qu’en retour, ces stresseurs contextuels plus spécifiques étaient négativement associés au soutien parental à l’autonomie, tout en étant positivement liés aux pratiques parentales contrôlantes. Les analyses acheminatoires de l’Étude 2, quant à elles, ont révélé que certaines relations entre le SSE et les pratiques parentales en contexte d’apprentissage guidé s’avèrent plus faibles que ce que la documentation antérieure permettait de présager lorsque celles-ci sont évaluées en ajustant pour des facteurs de risque plus proximaux. Certaines pratiques parentales sous-optimales semblent donc plus fortement liées aux caractéristiques de l’enfant (c.-à-d., un tempérament difficile ou des niveaux de compétence moindres) qu’au SSE, suggérant que ces défis supplémentaires pourraient affecter ces pratiques parentales de manière plus directe que le SSE. Une analyse des profils de risque de notre échantillon a également suggéré que la présence simultanée des facteurs de risque était généralement associée à des pratiques parentales sous-optimales. En somme, les résultats de la thèse soulignent l’importance de décrire avec plus de nuances l’expérience des parents vulnérables notamment en spécifiant la nature des stresseurs avec lesquels ils composent, mais également en contrôlant pour d’autres facteurs de risque pouvant survenir de façon concomitante à l’adversité socioéconomique. Les implications théoriques et pratiques de cette thèse pour les relations parent-enfant en contexte d’adversité, de même que ses limites et des directions pour des recherches futures, sont discutées. / Socioeconomic adversity, defined as the experience of disadvantageous social and economic conditions, carries major implications for family life. A vast body of research has indeed linked socioeconomic adversity to suboptimal parenting practices that may thwart children’s development, including less warm, structuring, and autonomy-supportive practices, along with more controlling ones. However, past studies may have overestimated this association by omitting to consider (1) its underlying explanatory mechanisms and (2) the role of other, potentially confounding, risk factors. Grounded in the dimensional approach to parenting put forth by self-determination theory, the family stress model, and models on parenting determinants, this thesis aims at revisiting the relation between socioeconomic adversityoperationalized as socioeconomic status (SES)and parenting practices, by examining the mediating role of contextual stressors (Study 1) as well as considering the potential influence of child characteristics on parenting practices (Study 2). Two studies using varied and complementary research designs are proposed. Notably, Study 1 was conducted among a diversified sample and adopted a multi-informant approach, whereas Study 2 relied on prospective and observational data. Study 1, which included 156 mother-child dyads (M age = 11), examined the potentially mediating role of contextual stressors in the relation between SES and autonomy-supportive vs. controlling parenting practices. Specifically, mothers reported their SES and contextual stressors, while their children reported their general perceptions of their mothers’ practices. Study 2 assessed the unique role of SES and child characteristics (i.e., temperament and competence level) in estimating parenting practices, based on observations of parent-child interactions in a more specific context (i.e., guided learning domain). To do so, a sample of 192 mothers and their 4-year-old children, recruited through a longitudinal research project, engaged in a guided learning task during which their interactions were filmed and later coded. SES and child characteristics were assessed before these interactions, yielding a prospective design. First, path analyses from Study 1 did not confirm the proposed mediational model when contextual stressors were aggregated without distinction in terms of their nature or intensity. However, exploratory analyses suggested that more serious contextual stressors, such as those threatening parents’ basic physical and psychological needs, were linked to SES and, in turn, were negatively associated with autonomy support, while being positively linked to controlling parenting. Path analyses from Study 2 then showed that relations between SES and parenting practices in the guided learning domain may be more modest than previously reported when they are adjusted for more proximal risk factors. Some suboptimal parenting practices were indeed more strongly linked to child characteristics (i.e., difficult temperament and lower level of competence) than to SES, suggesting that these additional risk factors may affect some parenting components more directly. Latent profile analyses also suggested the co-occurrence of SES and demanding child characteristics, which could then lead to suboptimal parenting practices. Altogether, the present results underline the importance of describing the experience of vulnerable parents with more nuance, particularly by specifying the nature of the stressors they encounter, but also by controlling for other risk factors they might be facing. Theoretical and practical implications of this thesis for parent-child relationships in the context of socioeconomic adversity are discussed, as well as limitations and future research directions.
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The adoption and use of SMS among Chinese teenagers

Qiao, Qi 11 1900 (has links)
Ce mémoire examine l'adoption des téléphones mobiles et l'utilisation des messages texte (SMS) par les adolescents chinois, selon la théorie des usages et gratifications et de la recherche sur la communication par ordinateur. Certains champs particuliers de l'utilisation des messages textes par les adolescents chinois, comme le contrôle parental, la circulation des chaînes de messages, la popularité des messages de salutations et l'utilisation répandue des émoticônes ont été étudiés. La fonction sociale des SMS, plus particulièrement des pratiques sociales et des relations émotionnelles des adolescents chinois, a également été explorée. Cette étude est basée sur un sondage réalisé sur le terrain auprès de 100 adolescents chinois. Elle révèle que chez les adolescents chinois, les deux principales raisons pour l'adoption du téléphone mobile sont l'influence parentale et le besoin de communication sociale. Quant à l'utilisation des messages texte, elle répond à sept usages et gratifications : la flexibilité, le coût modique, l’intimité, éviter l'embarras, le divertissement, l'engouement et l'évasion. Il a également été observé que les messages texte jouent un rôle positif dans la construction et l'entretien des relations sociales des adolescents chinois. / This thesis examined the adoption of mobile phones and use of SMS among Chinese teenagers based on the uses and gratification theory and computer-mediated communication research. Specific areas of Chinese teenagers’ SMS use, such as parental control, the circulation of chain messages, the popularity of greeting messages and the wide use of emoticons were studied. The social functions of SMS, especially in Chinese teenagers’ social-emotional practice, were explored as well. This study is based on a field survey conducted among one hundred Chinese teenagers. It reveals that, for Chinese teenagers, the two main reasons for the adoption of mobile phones are parental influence and the need for social communication; the use of SMS corresponds to seven uses and gratifications: flexibility, low cost, privacy, embarrassment avoidance, entertainment, fad and escape. SMS is also used by Chinese teenagers to build and maintain their social relationships.
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The adoption and use of SMS among Chinese teenagers

Qiao, Qi 11 1900 (has links)
Ce mémoire examine l'adoption des téléphones mobiles et l'utilisation des messages texte (SMS) par les adolescents chinois, selon la théorie des usages et gratifications et de la recherche sur la communication par ordinateur. Certains champs particuliers de l'utilisation des messages textes par les adolescents chinois, comme le contrôle parental, la circulation des chaînes de messages, la popularité des messages de salutations et l'utilisation répandue des émoticônes ont été étudiés. La fonction sociale des SMS, plus particulièrement des pratiques sociales et des relations émotionnelles des adolescents chinois, a également été explorée. Cette étude est basée sur un sondage réalisé sur le terrain auprès de 100 adolescents chinois. Elle révèle que chez les adolescents chinois, les deux principales raisons pour l'adoption du téléphone mobile sont l'influence parentale et le besoin de communication sociale. Quant à l'utilisation des messages texte, elle répond à sept usages et gratifications : la flexibilité, le coût modique, l’intimité, éviter l'embarras, le divertissement, l'engouement et l'évasion. Il a également été observé que les messages texte jouent un rôle positif dans la construction et l'entretien des relations sociales des adolescents chinois. / This thesis examined the adoption of mobile phones and use of SMS among Chinese teenagers based on the uses and gratification theory and computer-mediated communication research. Specific areas of Chinese teenagers’ SMS use, such as parental control, the circulation of chain messages, the popularity of greeting messages and the wide use of emoticons were studied. The social functions of SMS, especially in Chinese teenagers’ social-emotional practice, were explored as well. This study is based on a field survey conducted among one hundred Chinese teenagers. It reveals that, for Chinese teenagers, the two main reasons for the adoption of mobile phones are parental influence and the need for social communication; the use of SMS corresponds to seven uses and gratifications: flexibility, low cost, privacy, embarrassment avoidance, entertainment, fad and escape. SMS is also used by Chinese teenagers to build and maintain their social relationships.

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