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Dilma: mãe ou madrasta? Metáforas conceptuais que categorizam a presidente em charges

Ferreira, Barbara Cabral 07 August 2015 (has links)
Submitted by Maike Costa (maiksebas@gmail.com) on 2016-01-06T14:43:15Z No. of bitstreams: 1 arquivototal.pdf: 4753923 bytes, checksum: 1192139f80435b94168f048aed0d918a (MD5) / Made available in DSpace on 2016-01-06T14:43:15Z (GMT). No. of bitstreams: 1 arquivototal.pdf: 4753923 bytes, checksum: 1192139f80435b94168f048aed0d918a (MD5) Previous issue date: 2015-08-07 / Metaphors are present in our day to day. They can be found in all aspects of life. In the area of politics, Lakoff (1995; 2002; 2008a), Lakoff and Wehling (2012) and Kovecses (2000) show that our first encounter with the concept of government happens in the family environment. The primary INSTITUTION AS FAMILY metaphor comes from this experience, and promotes the insurgency of the sub-metaphors THE NATION IS A FAMILY, THE PRESIDENT/ GOVERNMENT IS A PARENT, THE CITIZENS/ OTHER MEMBERS OF THE GOVERNEMENT ARE CHILDREN. The NATION AS FAMILY metaphor is associated with the idea of morality. The idea of morality results in different views of Family, and as a result, what the Nation/ government is. This research‘s goal is to analyze if the PRESIDENT AS PARENT metaphor applies in the Brazilian context regarding the president Dilma. We began with the hypotheses that Dilma is seen as a mother figure, therefore, we tried to identify, based on the models proposed by the previously mentioned authors, how the presidente-mom is categorized. The theoretical foundation for this research is the theory of Idealized Cognitive Models (Lakoff, 1987), the Conceptual Metaphor Theory developed by Lakoff (1993; 2008); Reddy (1993), Lakoff and Johnson (1999; 2002 [1980]; 2003), Ortony (1993), Cameron (2003), Sardinha (2007), among other researchers; Kovecses (2000; 2005) and Yu (2008) studies on metaphor and culture and the relation between metaphor and politics, and metaphor and ideology, according to Goatly (2007) and Charteris-Black (2005). The Corpus is made up of political cartoons published from 2010 to 2014. As a result of this regard, the hypotheses that Dilma is seen as a mother figure has been confirmed. We observed in the corpus that she is categorized either as a nurturant mother, the father´s wife, and mainly as the evil stepmother. We also observed that a patriarchalist, sexist and convervatist political-ideological point of view is prevalent in the cartoons. / La métaphore est présente dans notre quotidien et nous la retrouvons dans toutes les sphères de la vie humaine. Dans le champs politique, Lakoff (1995; 2002; 2008a), Lakoff et Wehling (2012) et Kovecses (2000) montrent que nos premières expériences sur l‘idée de gouvernement se produisent au sein de la famille. De ces expériences découle la métaphore primaire INSTITUTION EST FAMILLE qui autorise l‘apparition des sous-métaphores NATION EST FAMILLE, PRÉSIDENT EST PÈRE/MÈRE et CITOYENS/D‘AUTRES MEMBRES DU GOUVERNEMENT SONT ENFANTS/MEMBRES DE LA FAMILLE. La métaphore NATION EST FAMILLE est liée à la conception que nous avons de moralité. Cette conception conduit au surgissement de différentes visions de ce que veut dire famille et, par conséquent, de ce que veut dire Nation/gouvernement. Ce travail a le but d‘analyser si la métaphore PRESIDENT EST PERE/MERE est actualisée dans le contexte brésilien dans les textes se référant à la Présidente Dilma Rousseff. Nous partons de l‘hypothèse que Dilma Rousseff est conceptualisée comme mère et, ainsi, nous cherchons à identifier selon les modèles de famille proposés par les auteurs cités ci-dessus comment la présidente-mère est catégorisée. La base théorique de notre recherche est la Théorie des Modèles Cognitifs Idéalisés(LAKOFF, 1987), la Théorie de la Métaphore Conceptuelle, développée par Lakoff (1993; 2008), Reddy (1993), Lakoff et Johnson, (1999; 2002 [1980]; 2003), Ortony (1993), Cameron (2003), Sardinha (2007), parmi d‘autres; les études sur la métaphore et la culture de Kovecses (2000, 2005) et Yu (2008) et le rapport existant entre métaphore et idéologie, selon Goatly (2007) e Charteris-Black (2005). Notre corpus est composé de dessins de presse publiés entre 2010 et 2014. Dans nos résultats, l‘hypothèse que Dilma est conceptualisée comme mère a été confirmée. Nous proposons que dans le corpus de notre travail la présidente-mère est catégorisée soit comme mère soignante, soit comme la femme du père et surtout, comme belle-mère méchante. Pour conclure, nous constatons que dans les dessins de presse prédomine une vision politico-idéologique à caractère patriarcal, sexiste et conservateur. Mots-clés: Métapho / A metáfora está presente em nosso cotidiano, podendo ser encontrada em todas as esferas da vida humana. No campo da política, Lakoff (1995; 2002; 2008a), Lakoff e Wehling (2012) e Kovecses (2000) nos mostram que as primeiras experiências que temos de governo ocorrem na família. Dessas experiências, decorre a metáfora primária INSTITUIÇÃO É FAMÍLIA, que autoriza o aparecimento das submetáforas NAÇÃO É FAMÍLIA, PRESIDENTE É PAI/MÃE e CIDADÃOS/OUTROS MEMBROS DO GOVERNO SÃO FILHOS/MEMBROS DA FAMÍLIA. A metáfora NAÇÃO É FAMÍLIA está ligada à concepção que temos de moralidade. Essa concepção leva ao surgimento de diferentes visões do que é família e, consequentemente, do que é Nação/governo. Este trabalho tem como objetivo investigar se a metáfora PRESIDENTE É PAI/MÃE é atualizada no contexto brasileiro em textos que se referem à presidente Dilma Rousseff. Partimos da hipótese de que Dilma Rousseff é conceptualizada como mãe e, desse modo, buscamos identificar, de acordo com os modelos de família propostos pelos autores mencionados acima, como a presidente-mãe é categorizada. Tomamos como base teórica para nossa pesquisa a Teoria dos Modelos Cognitivos Idealizados (LAKOFF, 1987), a Teoria da metáfora Conceptual, desenvolvida por Lakoff (1993; 2008), Reddy (1993), Lakoff e Johnson, (1999; 2002 [1980]; 2003), Ortony (1993), Cameron (2003), Sardinha (2007), dentre outros autores; os estudos sobre metáfora e cultura de Kovecses (2000, 2005) e Yu (2008) e a relação existente entre metáfora e política e metáfora e ideologia, conforme Goatly (2007) e Charteris-Black (2005). Nosso corpus é composto de charges publicadas entre os anos de 2010 e 2014. Nos resultados, a hipótese de que Dilma é conceptualizada como mãe foi confirmada. Sugerimos que no corpus do nosso trabalho a presidente-mãe é categorizada tanto como mãe cuidadosa, quanto como mulher do pai e, principalmente, como madrasta má e, por fim, verificamos que, nas charges, prevalece uma visão político-ideológica de cunho patriarcal, sexista e conservador.
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Autoritarisme et démocratie. La notion " d'appui à la démocratie" dans les sondages d'opinion. Le cas du Guatemala / The Notion of "support for democracy" in Opinion Surveys. Guatemala

Goulet, Charles-André 13 April 2012 (has links)
Cette thèse porte sur l’opinion publique et la démocratie. Elle s’intéresse particulièrement aux Guatémaltèques et à leur faible propension à appuyer la démocratie et certains des principes associés à celle-ci. Entre des explications qui associent ce comportement à un artéfact et à une culture autoritaire, des éléments contextuels et d’importantes nuances prévalent. Ce travail montre qu’il est nécessaire de traiter l’appui à la démocratie comme un objet multiface et malléable. En puisant dans les théories des perspectives et des bifurcations, un instrument d’analyse est élaboré sous le libellé de « temps court de l’appui à la démocratie ». Ce dernier nous permet de comprendre pourquoi, en période de crise politique, les points de vue sur la démocratie sont susceptibles d’évoluer. Sensibles aux circonstances extraordinaires, les opinions peuvent aussi, dans des périodes plus calmes, connaître une certaine stabilité. Les théories de l’ambivalence permettent d’élaborer un deuxième instrument, le « temps long de l’appui à la démocratie », qui aide à expliquer pourquoi les sondés offrent souvent des réponses « contradictoires » en matière de droits et de libertés. Aussi ambivalents que les autres Centraméricains, les Guatémaltèques se démarquent cependant par une forte tendance à esquiver les questions de sondage, à s’opposer aux droits des gens qui critiquent le gouvernement et à évaluer négativement le travail des institutions. Ces caractéristiques mettent en lumière des tensions entre les demandes et l’évaluation de l’offre en démocratie que font les citoyens. Cette thèse débute en étudiant les dimensions de la culture politique guatémaltèque et en proposant une typologie des indicateurs employés dans les grandes enquêtes internationales. / This thesis deals with public opinion and democracy. It mainly focuses on Guatemalans and on their weak propensity to support democracy and some of its dimensions. Between explanations that tie this behaviour to an artifact and to a culture of authoritarianism, contextual factors and important nuances can be found. We thus argue that it is advisable to deal with support for democracy as a multifaceted and malleable object. Drawing from perspectives and bifurcation theories, we develop an analytical instrument that we refer to as the "short-run of support for democracy". The latter allows us to understand why and how, in times of crisis, citizens’ viewpoints on democracy can easily become volatile. The fact that opinions are sensitive to extraordinary circumstances does not prevent them, under usual circumstances, from being relatively stable. Building on theories on ambivalence, we elaborate another instrument, the "long-run of support for democracy", which allows us to explain why survey respondents often give "contradictory" answers to questions dealing with rights and freedoms. While as ambivalent as other Central Americans, Guatemalans stand apart for their likelihood to avoid certain survey questions, to prefer limiting the rights of people who criticize the government, and to be particularly distrustful of state institutions. As background to those opinions and other paradoxical attitudes, we highlight existing tensions between citizens’ demands and their evaluation of the offer in democracy. This thesis first examines the various dimensions of the Guatemalan political culture and proposes a typology of indicators used in international barometer surveys.
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Génération politique : engagement, politisation et mobilisation dans les organisations de jeunesse des partis politiques en RFA et en France (1966-1974) / Political generation : commitment, politicization and mobilization in political youth organizations in West Germany and France (1966-1974).

Dubois, Mathieu 27 June 2012 (has links)
Les « années 1968 » ne virent pas seulement l’émergence d’une jeunesse radicale, mais une politisation sans précédent de l’ensemble d’une génération. Aux États-Unis comme en Europe, des jeunes de gauche comme de droite s’engagèrent massivement en politique, faisant des partis et de leurs organisations de jeunesse les premiers bénéficiaires de cette politisation des jeunes. L’étude des principales organisations de jeunesse politiques en RFA (Junge Union, Jungsozialisten) et en France (MJCF, UJP) met en évidence la mutation profonde de la culture politique que suscita cet afflux de jeunes entre 1966 et 1974. Avant même le mouvement étudiant, un nouveau modèle d’organisation fondé sur l’autonomie des jeunes se diffusa dans le cadre du processus de naissance des partis d’électeurs. Au lendemain de « 68 », les organisations se forgèrent une nouvelle identité autour d’un positionnement progressiste reposant sur la foi en un changement social imminent. Cherchant à mobiliser massivement les jeunes, elles transformèrent leur vie interne à travers l’accroissement du rôle de la base, la démocratisation et la rationalisation de leur fonctionnement, l’essor du militantisme actif et de la propagande. L’ascension politique exceptionnelle que connurent par la suite leurs cadres fit des organisations de jeunesse l’une des principales filières d’accès à la politique. Ainsi, à travers l’ensemble des changements qu’elle suscita dans l’engagement militant, la culture politique et le fonctionnement de la démocratie, cette génération fut, par excellence, une génération politique. / The « 1968s » witnessed not only the emergence of a radical youth, but also an unprecedented politicization of a whole generation. In the United States as in Europe, young people on the left and the right became massively involved in politics, making the political parties and their youth organizations the first beneficiaries of the youth’s politicization. The study of the main political youth organizations in West Germany (Junge Union, Jungsozialisten) and in France (MJCF, UJP) highlights the deep transformation of the political culture sparked off by this influx of young members between 1966 and 1974. Even before the student movement, a new model of organization based on more autonomy developed along with the rise of “catch-all-parties”. After “68”, the organizations forged a new identity by taking a progressive stand, proclaiming their faith in the imminence of a social change. Attempting to mobilize massively the youth, they transformed their internal organization increasing the role of the activist base, accelerating the democratization and the rationalization of their functioning, developing the militancy and the propaganda. The exceptional political rise of their leaders made the youth organizations a major pathway to a political career. Thus, by initiating radical changes in the organization of activism, in the political culture and in the management of the democracy, this generation was par excellence a political generation.
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Le conspirationnisme dans la culture politique et populaire aux Etats-Unis : une approche sociopolitique des théories du complot / Conspiracism in American politics and popular culture : a sociopolitical approach of conspiracy theories

Giry, Julien 06 October 2014 (has links)
Du 11 septembre aux extraterrestres, des camps de concentration américains à l'assassinat de Kennedy, cette thèse a pour objectif d'éclairer sous un angle sociopolitique les fondements, les mécanismes et les enjeux de la pensée conspirationniste aux États-Unis depuis la révolution jusqu'à nos jours. S'il ne s'agit pas de dresser un catalogue exhaustif de toutes les théories du complot en vogue, le but demeure de démontrer que le conspirationnisme est un véritable fait social aux États-Unis, un élément de culture politique et populaire. Cette thèse se propose alors d'étudier les rouages et les origines du conspirationnisme sous trois aspects différents et complémentaires qui forment un triangle. D'abord, sous l'angle factuel, c'est-à-dire en étudiant les thèses du complot relatives à un événement extraordinaire (9/11, assassinat de JFK, etc.). Ensuite, sous l'angle des acteurs du conspirationnisme : les leaders conspirationnistes (LaRouche, Icke, etc.), les citoyens enquêteurs et les boucs-émissaires (communistes, juifs, illuminatis, etc.). Enfin, sous l'angle culturel en mettant en perspective le conspirationnisme avec la culture américaine : l'anti-étatisme, la présence de mafias ou encore le cinéma de masse. / From 9/11 to UFOs, from American concentration camps to the Kennedy's assassination, this dissertation aims to enlighten, through a sociopolitical analysis, the grounds, the mechanics and the goals of the conspiratorial thought in the United States since the Revolution. Even Though it is no question to draw an exhaustive catalog of each and every conspiracy theory, I would stress that conspiracism is part of the American political and popular culture. Then, this dissertation studies the origins and the developments of conspiracism through three complementary focuses. First, a factual approach which dwells on specific conspiracy theories such as the 9/11 attacks or the assassination of Kennedy. Secondly, I will come on the actors of conspiracism : the conspiracist leaders (LaRouche, Icke) the citizens sleuths and the scapegoats (Communists, Jews, Illuminatis). Finally, under a cultural angle, I will outlook conspiracism and the American culture of anti-statism, the presence of mafias or the role of mass-medias.
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Le pouvoir des bons mots : "faire rire" et politique à Rome du milieu du IIIe siècle a.C. à l'avènement des Antonins / The power of jokes : humor and politics at Rome from the middle of the third century BC to the Antonines

Montlahuc, Pascal 12 December 2016 (has links)
Ce travail reconstitue les mécanismes humoristiques propres à la concurrence politique des époques tardo-républicaine et impériale, dans le but de montrer les adaptations du risum mouere aux changements politiques et sociaux intervenus durant cette période. Il s’agit de dépasser une lecture théorique centrée sur le rire de l’homo urbanus et du bon orateur proposée par Cicéron et Quintilien pour lui préférer une lecture historicisée et combinatoire, considérant les orateurs, les traits d’esprit, les auditoires et les causes politiques comme un tout à l’agencement variable de ce que les Modernes nomment l’« humour politique ». Scrutant les divers contextes politiques de cet humour (les procès, le Sénat, les contiones, le Forum, la campagne militaire ou encore la rue), la recherche souligne également le passage, selon des rythmes syncopés résultant d’un repli de la causticité aristocratique face à César mais qui perdure à l’époque triumvirale, d’un « faire rire » frontal articulé autour du succès oratoire vers un humour fondé sur l’anonymat des correspondances, des graffitis ou des chants du triomphe. La dernière partie du travail, centrée sur le premier siècle du Principat, part de l’opposition établie par des sources pro-sénatoriales entre les « bons princes » et les « tyrans » pour mieux montrer que, ne se limitant pas à refuser ou à accepter le rire politique selon son degré de dangerosité pour leur autorité politique, les princes utilisèrent également le rire à leur profit, entretenant par là une « inaccessible accessibilité » au fondement du charisme impérial, permettant l’aboutissement de la « Révolution romaine ». / This work explores the links between risum mouere and Roman political competition from the two last centuries of the Republic to the beginnings of the Principate. It is necessary to go beyond a critical discussion of the influential theories of the good orator and homo urbanus (mostly conceptualized by Cicero and Quintilian) and instead to adopt a historicizing and complex reading of the phenomenon, conceiving political humor as an ever-changing object shaped by orators, jokes, audiences, and political struggles. In order to understand its role in the roman city, political humor thus needs to be considered as a contextualized whole. The first part of the dissertation considers risum mouere in the context of trials, in the Senate, on the Forum, in the street or at war. Each of these case studies reveals a type of political humor that is freely and openly used in public life. The second part tries to determine what impact Caesar’s rise and the triumvirs had on political competition and, at the same time, on the possibilities of using political humor in the city. This section sheds light on the multiple ways in which the aristocrats and people of Rome continued to mock the powerful (Caesar, Antony and Octavian) by using more discreet channels (correspondence, graffiti, triumphal songs), and how these enabled them to keep expressing strong political opposition, which was otherwise dangerous to address in broad daylight. The third and last part focuses on the first century A.D. and discusses the opposition elaborated by ancient authors between the “good prince”, who was naturally comfortable with political humor, and the repressive “tyrant”. A critical study of the literary documentation shows that every Princeps tended to discourage political humor when it meant an effective danger for the imperial authority, but also that emperors knew how to use laughter and humor to create a form of “inapproachable approachability” which constituted a foundation of imperial charisma and strengthened the new regime, born from the “Roman revolution”.
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L'État québécois et la crise d'Oka de 1990 : mutations des politiques en matière de gestion des revendications amérindiennes, 1985-2001

Guilbeault-Cayer, Émilie 13 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2008-2009 / Sans précédent dans l'histoire contemporaine du Québec, la crise d'Oka de 1990 marque, par son caractère violent et par sa durée, un point tournant dans l'histoire des relations entre l'État québécois et les Autochtones du même territoire. En effet, si un certain changement est perceptible à partir de 1985 avec la motion de Reconnaissance des onze nations amérindiennes et que des efforts sont faits pour améliorer leur relation, la crise d'Oka agit plutôt à titre d'événement déclencheur d'une nouvelle attitude parmi les responsables de l'État québécois, qui va désormais caractériser les actions des responsables étatiques en la matière. La décennie 1990 est ponctuée de diverses ententes avec les Premières Nations, nous permettant de constater un tant soit peu une amélioration de la relation, pour culminer en 2001 avec la signature de la "Paix des Braves", une entente qualifiée d'historique en matière autochtone.
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Influence de Facebook sur les élections : cas des élections municipales en Tunisie

Chouikh, Arbi 01 June 2021 (has links)
Depuis le début du printemps arabe en 2011, la plupart des tunisiens ont revendiqué pour un nouveau régime politique, avec des réformes et des changements politiques, sociaux et économiques fondamentaux. Plus spécifiquement, les tunisiens se sont révoltés pour le respect de la dignité et de la liberté individuelle et collective, ainsi que l'égalité sociale et l'équité entre les régions. En conséquence, durant la transition démocratique qui a suivi la révolution, une attention particulière a été portée au processus de "décentralisation", où les autorités locales sont en mesure de gérer leurs ressources et leurs affaires locales avec plus d'autonomie et d'indépendance. Le 6 mai 2018, les premières élections municipales post-révolution ont eu lieu en Tunisie. Ces élections ont été précédées par des campagnes électorales menées par les candidats pour siéger au sein des conseils municipaux. Selon la loi électorale relative aux élections municipales en Tunisie, la candidature est faite â travers des listes fermées 1 . Chaque liste candidate comprend un nombre de membres égal au nombre des sièges alloués pour chaque circonscription électorale (ladite municipalité). Plusieurs listes candidates ont utilisé les médias sociaux pour débattre de différents sujets liés principalement aux questions des régions et aux intentions de vote. La présente investigation vise à déterminer s'il y a une corrélation entre les activités des listes candidates sur les médias sociaux, en particulier sur Facebook, et les résultats finaux des élections. Nos résultats montrent qu'en général, il n'y a pas une corrélation entre les activités des candidats sur leurs pages Facebook et les résultats des élections municipales. Cependant, dans certains gouvernorats, on peut trouver une corrélation entre les listes candidates et les résultats des élections. Ainsi, en conclusion générale, cette recherche démontre la présence qu'une corrélation entre les activités des listes de candidats sur les réseaux sociaux et les résultats des élections municipales est possible mais sans être systématique.
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Mémoire du Québec, conscience historique et conscience politique chez les jeunes Québécois de niveau collégial

Audet, Francine 11 April 2018 (has links)
Le contenu de ce mémoire propose une exploration de la conscience historique des jeunes Québécois de niveau collégial à partir des souvenirs qu'ils ont conservés de l'histoire du Québec. L'analyse de contenu d'un récit fait par les élèves, en provenance de plusieurs régions du Québec et d'origines ethniques variées, révèlent une conception plutôt traditionnelle du Nous les Québécois dans l'histoire. Des visions du temps passé qui s'inscrivent en continuité avec le patrimoine représentatif des générations précédentes de Québécois. Le terrain de la mémoire francophone nous oblige à considérer l'influence de la culture politique qui contribue elle aussi à camper, dans la conscience historique et politique des jeunes générations de Québécois, des représentations identitaires assez singulières du Nous dans l'histoire. Des représentations en lien avec nos horizons sur le plan politique et auxquels elles souscrivent partiellement en regard du désir d'affirmation nationale partagé par une partie importante de la collectivité québécoise.
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À la lisière du vote : socio-histoire de l'institution électorale dans le Sénégal colonial (années 1840-1960)

Ruaud, Juliette 26 May 2021 (has links)
Thèse en cotutelle : Université Laval, Québec, Canada et Université de Bordeaux, Talence, France. / À partir d'une collecte d'archives et d'entretiens, cette thèse propose de renouveler l'histoire de l'institution électorale au Sénégal durant la période coloniale. Ce travail affirme la double nécessité d'historiciser les phénomènes de circulation internationale et d'extraversion des normes et des dispositifs de vote, et d'élargir l'horizon géographique de la socio-histoire du vote pour tendre vers une histoire plus polycentrée. Revisiter le cas sénégalais, qui incarne le modèle triomphal de la diffusion des pratiques électorales depuis un centre européen, incite à questionner un récit de l'universalisation du vote individuel-majoritaire et secret qui serait d'office celui d'une victoire progressive. En nous détachant des conceptions les plus évidentes du vote et en analysant les catégories produites dans le contexte colonial, nous mettons au jour des pratiques jusque là négligées ou envisagées de manière cloisonnée : élections menées par les militaires lors de la conquête à partir des formes électives vernaculaires, pratiques locales de dévolution du pouvoir, dispositifs de participation et de délibération nés de la pratique administrative, élections dans les chefferies, élections séditieuses, etc. Seule la prise en compte de cette pluralité de pratiques et de procédures permet de comprendre la forme prise par l'institution électorale dans le pays et sa consolidation. Ceci, sans nous limiter à un inventaire, mais en passant de l'étude de l'acte de vote à celle d'un espace de pratiques. Nous défendons ainsi la nécessité d'une approche relationnelle, capable de montrer que l'institutionnalisation du vote s'est d'abord jouée à ses frontières. En nous situant successivement à l'échelle de la société coloniale et au plus proche de ces activités, nous montrons les influences réciproques qui existent entre les pratiques et les formes de concurrences, de différenciations et de requalifications à l'œuvre. Arpenter l'histoire du vote au Sénégal permet en retour d'interroger plus largement les temporalités et les rythmes de l'histoire de l'institution électorale et partant d'en proposer un récit moins linéaire.
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Les stratégies de l'imputabilité sociale au service de la consolidation démocratique : étude de cas en Argentine de 1990 à 2006

Ospina D'Amours, Marie-Astrid 18 April 2018 (has links)
Ce mémoire a pour objectif d'approfondir l'étude du concept d'imputabilité sociale dans le contexte de la consolidation des démocraties latino-américaines. Il s'inspire des travaux publiés par les auteurs Enrique Peruzzotti et Catalina Smulovitz et propose une étude comparative qui fait appel à la méthode du process tracing. L'analyse des cas Maria Soledad Morales et Omar Carrasco, qui se sont déroulés en Argentine entre 1990 et 2006, donne à voir comment les stratégies de l'imputabilité sociale, à savoir la médiatisation, la mobilisation et la judiciarisation, se sont orchestrées afin de sanctionner des individus et entraîner des réformes institutionnelles. L'hypothèse formulée concernant le caractère déterminant de la médiatisation n'est confirmée que partiellement, laissant entrevoir l'importance de l'interaction avec la mobilisation. Enfin, l'approche inductive mise de l'avant permet de suggérer des pistes de recherches plus précises afin de raffiner les postulats théoriques de ce champ d'études encore récent.

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