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Das brandenburgische Stadtbürgertum als Mitgestalter der Moderne : die kommunale Selbstverwaltung und die politische Kultur des Gemeindeliberalismus /

Meier, Brigitte, January 2001 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Fakultät für Kulturwissenschaften--Europa-Universität Viadrina, 2000. / Bibliogr. p. 291-339. Index.
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Verargumentierte Geschichte : Exempla romana im politischen Diskurs der späten römischen Republik /

Bücher, Frank. January 2006 (has links)
Texte remanié de: Dissertation--Philosophische Fakultät--Universität zu Köln, 2004-2005. / Bibliogr. p. [333]-349.
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Ein Weltbild verliert seine Welt : der Untergang des Alten Reiches und die Generation 1806 /

Burgdorf, Wolfgang. January 2006 (has links)
Habilitationsschrift--Ludwig-Maximilians-Universität München, 2005. / Bibliogr. p. 341-384.
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Die Zukunft der Weimarer Republik : Krisen und Zukunftsaneignungen in Deutschland 1918-1933 /

Graf, Rüdiger. January 2008 (has links)
Texte remanié de: Dissertation--Philosophische Fakultät I--Humboldt-Universität zu Berlin, 2006. / Bibliogr. p. 381-441.
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Richard Hofstadter et la culture politique : une étude historiographique

Bergeron, Jean-Étienne January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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The struggle for power in Syria : politics and society under Asad and the Ba'th party /

Dam, Nikolaos van, January 1996 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Université d'Amsterdam, 1977. Titre de soutenance : De rol van sektarisme, regionalisme en tribalisme bij de strijd om de politieke macht in Syrië, 1961-1976. / En appendice, choix de documents. Bibliogr. p.202-218. Notes bibliogr. Index.
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Politische Kultur im Saargebiet 1920-1932 : symbolische Politik, verhinderte Demokratisierung, nationalisiertes Kulturleben in einer abgetrennten Region /

Linsmayer, Ludwig. January 1900 (has links)
Diss.--Philosophische Fakultät--Saarbrücken--Universität des Saarlandes, 1992. / Bibliogr. p. 518-535.
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La démocratisation par l’européanisation. Les transformations de la culture politique et du phénomène partisan dans la Roumanie postcommuniste / Democratization through Europeanization.Transformations of Political Culture and of the Partisan Phenomenon in Post-communist Romania

Mikola, Clara-Ioana 27 September 2019 (has links)
Le processus d’européanisation invite la Roumanie postcommuniste à redéfinir sa culture politique. Bien qu’inachevé, il provoque la mise en place des mécanismes de rétraction du politique. Le déclin contemporain de la démocratie représentative ainsi que de l’engagement partisan, nous invitent à repenser la relation « démocratie – européanisation ». Tant que les conditions ne sont pas réunies pour une démocratisation de l’Union européenne, elles ne le seront pas pour l’amélioration de l’exercice démocratique des Etats qui la composent. L’implantation d’une culture démocratique en Roumanie est endiguée par le manque de compréhension du Politique, mais aussi par l’entrée en post-démocratie d’une culture dont les racines sont paternalistes et clientélaires. Le passage d’une incompréhension du politique à l’impolitique trace les contours d’une culture qui a du mal à se définir. Avant d’être un régime, la démocratie est une culture des valeurs. Cette étude traite de la démocratie comme culture ainsi que des barrières qui empêchent sa transposition dans la Roumanie postcommuniste. Nous allons interroger la manière roumaine de se construire comme société. L’apport de la sociologie historique et de l’anthropologie à la compréhension de la culture politique postcommuniste roumaine reste non seulement important, mais crucial. Il nous permet de percer les différences de trajectoire des partis Social Démocrate – PSD et National Libéral – PNL suite à l’intégration européenne. Notre travail cherche à regarder la culture politique roumaine en miroir de celle européenne, prenant acte de la difficulté à sortir de soi. Une Roumanie européanisée et démocrate dévient plus fictive que jamais. L’européanisation n’améliore pas la qualité de l’exercice démocratique. Prisonnière de la continuité des élites qui entretiennent un lien étroit avec le passé, la culture politique roumaine parle plus de continuité que de rupture. L’européanisation n’entraîne pas la Roumanie au passage d’un régime communiste à un régime démocratique, mais à celui d’un communisme national à une démocratie nationale. Les cadres politiques postcommunistes restent producteurs d’idéologie à partir de l’imitation du modèle européen pour redonner un sens à l’action politique. Pourtant, chaque instant ne vaut pas l’imitation, mais aussi de la création. / The Europeanization process invites post-communist Romania to redefine its political culture. Although incomplete, it causes the setting up of retraction mechanisms of politics.The contemporary decline of the representative democracy and of the partisan engagement invites us to redefine the relationship between « Democracy and Europeanization ». As long as the conditions for democratization of the European Union are not settled, they will not aim at the improvement of the democratic exercise of the States that compose it. The establishment of a democratic culture in Romania is impeded by the lack of understanding Politics, but also by the entry into the post-democracy era of a culture whose roots are paternalistic and clientelist. The transition from misunderstanding politics to impolitic traces the contours of a culture that has difficulty in defining itself. Before being a regime, democracy is a culture of values. This study deals with democracy as culture and the barriers that prevent its transposition into postcommunist Romania. We will question the Romanian way of building itself as a society. The contribution of historical sociology and anthropology to the understanding of Romanian postcommunist political culture remains not only important, but crucial. It allows us to understand the differences between the main Romanian political parties: The Social Democrats (PSD) and The National Liberals (PNL) following European integration. Our study seeks to analyze the Romanian political culture as reflected in European culture, taking note of the difficulty of getting out of itself. A Europeanized and democratic Romania becomes more fictitious than ever. The Europeanization process does not improve the quality of the Romanian democratic exercise. Prisoner of its neo-communist elites who maintain a close link with their past, the Romanian political culture is built between continuity and change. Europeanization does not involve Romania in the transition from a communist regime to a democratic one, but from national communism to national democracy. Post-communist Romanian political parties imitate the European model. Their main goal is to give meaning to their political action. Yet, every moment does not mean imitation, but also innovation.
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Intellectuels, culture politique et démocratie : le cas de la transition démocratique du Mexique, 1977-2000

Montambeault, Françoise January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le Parti Québécois, entre participation et centralisation : institutionnalisation d’une culture politique à travers les congrès de 1968 à 1984.

Corriveau, Maxime January 2016 (has links)
L’histoire des partis politiques canadiens et québécois semble avoir peu intéressé les historiens. En conséquence, la vie de ces organisations politiques complexes échappe encore à ce jour aux connaissances de la science historique. L’évolution de l’histoire politique, autrefois généralement axée presqu’exclusivement sur les grands hommes d’État, ouvre toutefois de nouvelles perspectives pour aborder ces organisations et c’est à travers la perspective de la culture politique que nous avons abordé le Parti Québécois, en nous intéressant plus particulièrement aux différentes luttes internes pour le contrôle de son orientation. Pour cibler cette culture politique, nous nous sommes attardés principalement au déroulement des neufs congrès nationaux prenant place sous le mandat de René Lévesque à la tête du parti, soit de 1968 à 1985. Nous abordons à travers cette étude l’évolution du rôle des militants, du programme, des structures, ainsi que la dynamique entre les principaux organes qui dirigent le parti (conseil exécutif, conseil national, aile parlementaire). Nous suggérons que malgré les apparences que lui confèrent ses statuts novateurs et démocratiques lors de sa fondation en 1968, le Parti Québécois n’a jamais réellement été ce qu’une partie de ses fondateurs et adhérents auraient souhaité. Nos conclusions tendent à démontrer que le parti n’a jamais été le regroupement démocratique et dirigé largement par ses membres que plusieurs ont essayé de créer initialement, mais que ses dirigeants, au contraire, ont tenté constamment à travers le temps de contrôler l’enthousiasme de ses membres, de contenir leurs « déviations » idéologiques en plus d’aller parfois contre leurs convictions, pourtant ratifiées par des congrès démocratiques. Il va sans dire également que René Lévesque a joué un rôle important dans cette opposition constante et parfois paradoxale, entre la base et le sommet du parti.

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