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Educa??o pol?tica e movimentos sociais agr?rios no nordeste brasileiro

Lima, Severino Jos? de 25 May 2000 (has links)
Made available in DSpace on 2016-04-28T20:13:54Z (GMT). No. of bitstreams: 1 2000 - Severino Jose de Lima.pdf: 3022992 bytes, checksum: ff7adf743ba513328c0701f805537364 (MD5) Previous issue date: 2000-05-25 / Funda??o Carlos Chagas Filho de Amparo a Pesquisa do Estado do Rio de Janeiro / R?flexion sur la dimension ?ducative des mouvements sociaux dans le Nord- Est du Br?sil. Ces mouvements sociaux sont analys?s ? la lumi?re de la th?orie de l agir communicationnel de J?rgen Habermans. Dans l? moment que cherche ?valuer les possibilit?s de ces mouvements contribuent ? pr?venir la pr?-existante culture politique consid?r? autoritaire. Conclut que de tels mouvements dans le contexte de le Nord-East sont porteurs d une culture politique de participation et que ce est trouv?e une lacune dans le syst?me politique pour son institutionnalisation. Pendant ce temps, le movementalist action aurait limites pour surmonter les persistante culture politique de soumission , client?liste et corporatif dans le moment qu il ne le privil?ge pas les moyens d action politique. / Este trabalho analisa a dimens?o educativa dos movimentos sociais agr?rios no Nordeste do Brasil. Estes movimentos como portadores de processos de aprendizagem s?o analisados ? luz da teoria da a??o comunicativa de J?rgen Habermas. Procura realizar uma avalia??o de tais movimentos quanto ?s suas possibilidades de produzir impactos na cultura pol?tica pr?-existente e considerada autorit?ria, o que pressup?e possibilidades e limites de socializa??o pol?tica dos atores sociais implicados. Conclui que os movimentos sociais s?o portadores de uma cultura pol?tica de participa??o e que esta encontrou brechas no sistema pol?tico para a sua corporifica??o institucional. Entretanto, a a??o movimentalista teria limites em termos de contribui??o para superar a persistente cultura pol?tica de sujei??o , clientelista e corporativista, ao n?o privilegiar as vias propriamente pol?ticas de a??o.
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Les enjeux et défis de la démocratisation au Burundi. Essai d’analyse et d’interprétation à partir des partis politiques / Challenges of the democratization process in Burundi. Test of analysis and interpretation from political parties

Banshimiyubusa, Denis 06 December 2018 (has links)
S’étant imposés comme acteurs incontournables de la transition démocratique des années 1990 et de l’instauration d’un régime démocratique consociatif post-Accord d’Arusha d’août 2000, les partis politiques du Burundi constituent toujours de principaux canaux de mobilisation pour les acteurs politiques. Cependant, les déficits de ces formations politiques dus à leurs origines même, à leur histoire jalonnée de conflits ethnopolitiques, à leur très faible niveau d’institutionnalisation, à l’absence de culture politique démocratique ainsi qu’à leur inscription dans les dynamiques du système politique marqué par les pesanteurs des pratiques clientélistes et néopatrimoniales, de violences ethnopolitiques, d’autoritarisme militaro-civil et monopartiste, les réduisent à de simples instruments pour l’obtention des gains politico-économiques parfois personnels, au lieu d’être des leviers pour le changement démocratique qualitatif. Cette étude montre également que l’existence de plusieurs partis politiques, de textes légaux et la tenue d’élections à intervalles réguliers ne signifie pas nécessairement l’existence de régime démocratique dans la mesure où la démocratie n’est pas un processus technique et linéaire applicable sur base d’une simple prescription ou injonction de nature uniquement institutionnelle. / Having asserted themselves as key players in the democratic transition of the 1990’s and the establishment of the Arusha post-Agreement consociate democratic regime in August 2000, Burundi’s political parties remain the main channels of mobilization for political actors. Nonetheless, the deficits of these political formations regarding their origin, ethnopolitical conflits that stand out their history, their very low level of institutionalization, the lack of democratic political culture and their inclusion in the dynamics of the political system marked by the weigth of practices of patronage and neo-patrimonial practices, ethno-political violence, military civilian and one-party authoritarianism, reduce them to simple instruments for obtaining politico-economic profits, sometimes personal, rather than being levers for qualitative democratic change. This study also chows that the existence of several political parties, legal texts and the holding of elections at regular intervals does not necessarly mean the existence of democratic rule because that democracy is not a technical and linear process applied on the basis of a simple prescription or only institutional order.
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Le discours politique des États de Languedoc à la fin du Moyen Âge (1346-1484)

Quéré, Sylvie 11 1900 (has links) (PDF)
Cette thèse vise à mettre en évidence les fondements et l'évolution du discours politique des États de Languedoc entre 1346 et 1484. Elle postule d'abord que les États de Languedoc ont joué à la fin du Moyen Âge un rôle politique, c'est-à-dire qu'au-delà de leurs fonctions strictement économique, juridique et fiscale, ils ont su établir et maintenir avec le prince un dialogue basé sur leur prétention à représenter le « pays » et à en assumer collectivement les devoirs et les droits. Elle suppose ensuite que dans le cadre de ce dialogue, les États ont tenu un discours politique par lequel ils ont cherché à imposer au prince leurs propres représentations de l'« État » et de leur rôle au sein de ce dernier. Elle se fonde finalement sur l'hypothèse que ces représentations se révèlent dans le discours des États à travers les actes qu'ils ont laissés. Son originalité consiste ainsi à étudier, sous l'angle d'une nouvelle histoire politique du pouvoir - et non celui de l'histoire institutionnelle ou sociopolitique des pouvoirs - les manifestations d'une culture politique au moment où se mettent en place les assises de l'État moderne en Occident. La méthodologie adoptée s'inspire de travaux menés en analyse du discours, bien qu'elle s'en démarque à plusieurs égards en raison des difficultés inhérentes à l'exploitation de textes médiévaux. Le corpus est constitué de 326 documents, datés de 1346 à 1484, émanant soit des États eux-mêmes, soit du pouvoir royal. Son traitement s'appuie principalement sur l'analyse d'énoncés tournant autour d'un certain nombre de mots pivots correspondant à différents champs sémantiques, rendue possible par l'élaboration d'une grille de catégorisation sociosémantique et la constitution d'une base de données lexicale. Dans un premier temps, l'analyse du discours des États de Languedoc permet de révéler les diverses représentations liées à la nature et au rôle de l'assemblée. À cet égard, la thèse conclut à une convergence des discours des États et du pouvoir royal sur la prérogative royale de convoquer les assemblées et la reconnaissance du rôle des États de consentir à l'impôt. Elle montre également que le rôle des États évolue à partir de 1417, alors que l'acte de demander devient le moteur de leur action politique. Dès lors, les États s'assemblent tout autant pour requérir la grâce du roi, seule capable de guérir les maux qui accablent le pays, que pour accorder l'aide demandée. La thèse expose ainsi, à la lumière de la théorie maussienne du don et du contre-don, la dimension symbolique du consentement des États où l'impôt, présenté comme un don gracieux au roi, exige en contrepartie la grâce du roi, accordée au pays par le biais des réponses données aux requêtes. Dans un deuxième temps, la thèse analyse les principales représentations des États sur le pays, l'impôt et l'« État ». Au sujet du « pays de Languedoc », elle fait clairement ressortir que le discours identitaire des États se construit entre 1417 et 1430, alors que ceux-ci commencent à parler au nom de l'ensemble des habitants du pays et que sont établis les caractères qui « disent » le pays. Sur le plan de l'impôt, elle expose l'opiniâtreté des États, devenus un rouage essentiel de l'administration fiscale, à réclamer du souverain le respect de leur droit de consentir à l'impôt. Elle révèle également, parallèlement à un phénomène d'« ordinarisation » de l'impôt, l'existence d'un « contrat implicite » entre le prince et le pays par lequel les États, dans une forme de cogouvernance, participent à l'exercice du pouvoir politique. En ce qui concerne l'État, la thèse dévoile un roi de France perçu comme le « naturel » et « souverain » seigneur du pays, chargé de maintenir l'ordre et la paix et d'administrer la justice, duquel les États espèrent avant tout la pitié et la compassion. La thèse établit en outre clairement l'idée de la permanence de l'État à la fin du Moyen Âge, véhiculée principalement par les notions de « couronne » et de « chose publique », ainsi que l'extension de la souveraineté royale, à laquelle s'opposent farouchement les États par l'utilisation d'arguments relatifs à la coutume, au droit ou à la justice. Mais elle met aussi en lumière un discours empreint de loyauté, d'amour et d'obéissance, qui démontre toute l'importance de la dimension émotionnelle de la relation entre le roi et « son » pays, entre les États et leur « seigneur ». ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : assemblées représentatives, États de Languedoc, Moyen Âge, idées politiques, discours politique, représentation, consentement, impôt
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Comment peut-on être militant ?<br />Sociologie des cultures partisanes et des (dés)engagements<br />Les jeunes militants d'Alleanza Nazionale, Lega Nord et Forza Italia<br />face au pouvoir

Dechezelles, Stéphanie 13 December 2006 (has links) (PDF)
Comment devient-on militant et comment le demeure t-on au fil du temps, dans un contexte de "crise du politique" et de déprise partisane ? Contrairement à ce qu'une lecture hyper-rationaliste des comportements individuels présume, l'engagement suppose que les acteurs assimilent une culture politique spécifique à chaque organisation partisane. A partir d'une enquête qualitative menée auprès de jeunes engagés dans trois partis italiens de "droite" et d' "extrême droite" (Alleanza Nazionale, Lega Nord et Forza Italia), nous avons cherché à mettre au jour les conditions présidant à l'appropriation des cultures politiques et leur transformation / altération au cours du temps, notamment face aux changements liés à la conquête et l'exercice du pouvoir. Nous montrons que l'engagement juvénile repose sur un double mécanisme social a) d'appropriation d'un modèle de société (une cité, un territoire, une mémoire) et de trajectoire militante interne (un type idoine de dévouement, de socialisation et d'avancement) et b) d'indexation entre le discours d'une organisation partisane et le récit biographique, autrement dit l'établissement d'un rapport d'équivalence entre les éléments d'une culture partisane d'une part et les éléments d'une biographie personnelle et sociale d'autre part. L'hypothèse générale que nous défendons est que la mobilisation d'une culture militante par les jeunes sert autant à mettre en cohérence le sens (signification) de leur engagement que le sens (direction) de leur trajectoire militante, au gré des éventuelles bifurcations. En effet, les jeunes militants justifient leur entrée et négocient leur carrière (maintien, ascension, déprise, engagement) sur la base de cette même culture ; ainsi les processus de désengagement trouvent une partie de leurs motifs dans les formes de l'attachement et de l'appartenance au groupe.
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La mutation de la gauche et la recomposition du champ politique occidental : 1968-2010

Bock-Côté, Mathieu 08 1900 (has links) (PDF)
La crise du marxisme, à partir des années 1950, enclenche une dynamique idéologique qui forcera la gauche occidentale à se transformer en redéfinissant à la fois sa vision de la société occidentale et la critique qu'elle en fait. Elle la forcera aussi à redéfinir en profondeur son projet politique en misant non plus sur la lutte des classes mais sur le politique des identités, à partir de laquelle elle réinterprétera l'idéal démocratique au cœur de la modernité. Cette entreprise culminera autour de ce qu'on a appelé la « troisième voie », qui a représenté une forme de normalisation gestionnaire du radicalisme. Cette redéfinition se définira autour de quatre grands axes : une critique de la conscience historique occidentale, la formulation d'une théorie antidiscriminatoire, une multiculturalisation de l'identité collective qui entraînera une mutation du régime de représentation démocratique et une refondation cosmopolitique de la souveraineté. À travers cela se formulera une nouvelle définition de la légitimité démocratique qui disqualifiera fondamentalement les critiques du nouveau régime « progressiste », en pathologisant le conservatisme, désormais conceptualité à la manière d'une tentation régressive en contradiction avec la promesse émancipatoire de la modernité. Cette « mutation » de la gauche entraîne conséquemment une transformation en profondeur du clivage « gauche-droite » dans les sociétés occidentales, en changeant à la fois son contenu idéologique, ses frontières politiques et sa base sociale. ______________________________________________________________________________
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Les rébellions touarègues du Niger: combattants, mobilisations et culture politique

Deycard, Frédéric 12 January 2011 (has links) (PDF)
Cette thèse a pour but de comprendre pourquoi et comment les rébellions touarègues du Niger se forment, se pérennisent et réapparaissent malgré une efficacité marginale dans l'accomplissement de leurs buts politiques. L'analyse des mobilisations est fondée sur une approche sociohistorique qui en montre les tendances longues et permet de resituer les facteurs de déclenchement des mouvements récents. On voit apparaître une porosité entre les temps de guerre et de paix qui permet au rebelle de conserver un statut et à la rébellion d'évoluer sous l'effet conjugué des influences extérieures et de la créativité politique de ses acteurs. Au-delà de la temporalité du conflit s'est développé un répertoire culturel qu'on peut définir comme une culture politique rebelle. On montre d'abord qu'il existe depuis les premières rencontres avec la France une histoire de résistance qui s'inscrit dans un cadre politique plus complexe que généralement décrit et installe durablement une représentation du combattant. On voit ensuite que ces processus se réalisent dans la rébellion des années 1990, qui a mobilisé des combattants aux parcours sociologiques divers favorisant l'émergence de son influence après les accords de paix. Enfin, la rébellion et les rebelles en tant qu'acteurs politiques se pérennisent dans une culture politique, qui est renforcée par la voix de la diaspora et enfin par le monde occidental, dans un jeu de miroir constant et éminemment productif. Ce travail privilégie une " approche par le bas " qui situe les rebelles au centre des analyses. Au-delà du cas nigérien, cette approche critique les analyses unidimensionnelles des conflits dominantes dans le monde académique et les institutions du développement.
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Political attitudes in the Sudanese diaspora and the influence of region of origin

Baird, Stephen 04 1900 (has links) (PDF)
Les attitudes politiques des membres des diasporas ont été peu étudiées à ce jour; ce constat s'applique tout particulièrement à la diaspora soudanaise (connue avant 2011 en tant que diaspora « nord-soudanaise »). Ce mémoire présente un portrait des perceptions de la diaspora soudanaise au Canada en lien avec les conflits armés au Soudan, l'implication du gouvernement soudanais et des pays occidentaux, de même que la démocratisation du pays, réelle et envisagée. Le mémoire analyse également les liens entre la région d'origine des membres de la diaspora et les opinions politiques, posant l'hypothèse que l'affiliation régionale est un point d'ancrage important pour un clivage attitudinal. L'hypothèse est testée grâce à des données d'entrevues recueillies auprès de quinze membres de la diaspora soudanaise au Canada à l'automne 2011 et à l'hiver 2012. Les résultats confirment que l'origine régionale, définie en termes de territoires marginalisés et non-marginalisés, est associée aux attitudes à l'égard des conflits au Soudan et de certains des acteurs qui y sont impliqués. La plupart de ceux qui proviennent de régions marginalisées croient qu'un génocide a eu lieu au Darfour. Ils sont aussi plus nombreux à soutenir une intervention étrangère au Soudan sous une forme ou une autre en 2011-2012. Ceux qui proviennent de régions non-marginalisées rejettent pour leur part la notion de génocide et sont généralement opposés à une intervention extérieure. La région d'origine est également liée à la vision du changement politique au Soudan. La majorité des répondants originaires de territoires non-marginalisés invoquent la possibilité d'un soulèvement populaire menant à une transition démocratique; certains mettent l'accent sur le rôle de la société civile soudanaise dans un éventuel changement de régime, par opposition à toute intervention extérieure. Au contraire, les interviewés de régions marginalisés envisagent une intervention étrangère comme un instrument d'un éventuel changement et ne font pas mention de la société civile. Les opinions recueillies ne sont pas toujours distinctes en fonction de la région d'origine. C'est le cas des perceptions (négatives) à l'égard du rôle du gouvernement du Soudan dans les récents conflits et élections. La nature de l'échantillon colore incontestablement ces perceptions; en effet, la plupart des Soudanais vivant au Canada s'y sont réfugiés pour fuir la répression; il s'agit également d'individus particulièrement informés et engagés politiquement. En dépit de cette limite, cette étude nous permet de jeter un éclairage inédit sur les attitudes des Soudanais au Canada. Elle montre également qu'il est fructueux de mettre en œuvre le concept de clivage dans un contexte de diaspora, notamment lorsqu'elle est issue d'une immigration récente. Enfin, ses résultats vont dans le sens des études qui remettent en cause l'ethnicité comme principal, voire l'unique facteur pouvant expliquer les attitudes politiques des Africains. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Soudan, diaspora, attitudes politiques, opinions politiques, clivages
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The early Tudor court and international musical relations /

Dumitrescu, Theodor, January 1900 (has links)
Revised thesis (doctoral)--University of Oxford, 2004. / Includes bibliographical references (p. [297]-315) and index.
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Comment devenir femme politique au Gabon : socialisation, conquête et conservation du pouvoir / How to become a female politician in Gabon : socialization, conquest and retention of power

Litchangou Babambou, Ingrid Orphise 23 March 2018 (has links)
La production scientifique sur les rapports des femmes à la politique est aussi importante que variée, comme en attestent les nombreuses recherches menées dans les différents champs disciplinaires qui se sont saisis de cette thématique (histoire, science politique, sociologie, psychanalyse….). Il n’existe cependant que très peu d’écrits sur lareprésentation politique des femmes africaines en ce qu’elles ont peut-être de spécifique dans leur capacité d’agir dans ce domaine. L’intérêt de cette recherche est donc de contribuer à l’avancement des connaissances en sociologie politique–s’agissant des femmes en général, des Africaines et notamment des Gabonaises en particulier–. À cet effet, cette thèse se propose d’explorer les mécanismes par lesquels les femmes accèdent aux fonctions électives dans un pays marqué par des pratiques et logiques socio-culturelles limitant leur accès aux sphères de décision. La construction socio culturelle du rapport au pouvoir des élues a été interrogée. Les capitaux personnels et professionnels, la culture sociale et politique, ont été tour à tour examinés afin de ressortir les éléments de l’identité de femme au Gabon et leur articulation avec les exigences de leur métier. L’analyse de genre, a permis de rendre compte de la dimension genrée des rapports sociaux de sexe, des phénomènes politiques, et des pratiques en œuvre non seulement dans les sociétés moderne et traditionnelle, mais aussi dans les institutions, tours à tours lieux de construction et d’expression des rapports de genre. / The scientific productionon women and politics is as important as diverse. Indeed, many research have been conducted in various disciplines such as history, political sciences, sociology, and psycoanalysis that have studied that duo theme. However, there are very few writings on the representation of the specifics of african women to act as a female politician. This research work aims at contributing to the adavancement of knowledge by exploring the mechanisms through which women access elected functions in a country charactirized by socio-cultural practices and logics that restrict women access within the decision-making spheres. The elected socio-cultural constuction relation to powerhas been scrutinized. Proessional and personnal assets, the socio-political culture, all have been scrutinized in order to highlight the components of the woman’s identity in Gabon and their interaction with the requirements of their profession. The gender analysis has enabled to report on the gender-based dimension of the social relationship of sexe, political phenomena and the ongoing praticises in traditional and modern societies and institutions, areas of construction and expresion of gender relations.
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Quitter la Très Fidèle : exilés et bannis au temps du séparatisme cubain (1834-1879) / Leaving the Ever Faithfull : exile and banishment in the times of Cuban separatism (1834-1879)

Sánchez, Romy 12 December 2016 (has links)
Cette thèse analyse le rôle ambivalent de l'exil politique cubain dans le processus de séparation de Cuba et l'Espagne au XIXe siècle, à l'époque où se définit un mouvement anticolonial dans l'île. S'il est indéniable que le héros national cubain, José Marti, a passé plus de temps en exil qu'à l'intérieur de Cuba, ce travail s'écarte de l'idée d'une « fabrique de la nation» hors-sol que l'omniprésence de cette figure a pu suggérer. Des années 1830 à la fin de la guerre des Dix Ans, quitter Cuba n'est pas toujours synonyme d'aspirations indépendantistes. Loin de prétendre au portrait de groupe exhaustif, cette étude insiste sur la grande diversité d'un personnel unifié par l'histoire-patrie insulaire, et sur les dissonances que l'exil introduit dans le récit patriotique cubain. Cette analyse sociopolitique d'un personnel à première vue secondaire pour le récit national cubain aborde trois points principaux. Premièrement, l'étude de l'exil pousse à repenser les jalons chronologiques du nationalisme cubain, et ceux: de la relation impériale entre île et péninsule. Cet objet transversal fait émerger une nouvelle temporalité du lien colonial. Plutôt que de considérer Cuba comme « attendant sa libération » dès le temps des indépendances ibéro-américaines, un « temps du compromis » se dessine, qui dure pendant tout le long XIXe siècle cubain et hispano-cubain. Deuxièmement, la nouvelle géographie impériale dessinée par la carte de l'exil séparatiste pendant la période étudiée donne à voir de nouveaux problèmes politiques pour un empire espagnol amputé de ses anciennes possessions américaines et cherchant à se renouveler. Enfin, s'il est certain qu'il a existé une synergie indépendantiste dans les années 1870 chez les créoles cubains séparatistes de l'intérieur et de l'extérieur, cette thèse montre que ceux qui s'autodéfinissent comme « exilés cubains » compliquent par leur grande diversité les aspirations nationales définies par la République en Armes de Guaimaro en avril 1869. / This dissertation analyses the ambivalent role of political exile from Cuba at the moment of its separation from Spain in the 19thcentury, a period during which the anticolonial movement on and off the island solidified. Although Jose Marti, the Cuban national hero who spent most of his time outside of Cuba in exile, is ubiquitous in the narrative of Cuban independence, I argue that the figure of exil.es is far from simple. This work contends that from the 1830s to the end of the War of Ten Years, leaving Cuba was not necessarily indicative of supporting independence. It tracks these exiles in ail their diversity, and traces the kinds of dissonance that exile might introduce into the patriotic Cuban narrative. Using Cuba as a case study, this thesis maps a new field of knowledge of the Euro-American XIXth century, often defined as the "century of exiles". I approach this analysis of a group, considered secondary until now, through a sociopolitical lens, and make three main contributions. First, a study of political exile challenges the usual chronology of Cuban nationalism, as well as the relationship between the island and the peninsula relationship's timeline. Second, the framework of exile points to a new imperial geography. Separatism abroad reveals the Spanish empire's navel political challenges once a significant part of it had been lost. The number of exiles and banishments it imposed was not a sign of decline, as is most often interpreted. Rather it shows how the empire was seeking renewal, trying to reinvent itself starting in the late 1830s. The empire used exiles to design new colonial policies at home and abroad, and made use of diplomacy to keep a close eye on separatists in exile. While the historiography of this period claims that there was a uniformity of political vision among Cuban creoles, this work claims that those who called themselves "Cuban exiles" were too politically diverse to be considered mere supporters of a monolithic independence.

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