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Régulation émotionnelle et tempérament chez l'enfant typique ou porteur d'un trouble du spectre autistique : mise au point d'outils d'évaluation / Emotion regulation and temperament in typical children or in children with autism spectrum disorder : development of evaluation tools

Loquette, Sabrina 18 December 2017 (has links)
L’étude de la Régulation Emotionnelle (RE) et du tempérament chez l’enfant d’âge scolaire est au cœur de ce travail de thèse. En raison du manque d’outils satisfaisants, un premier questionnaire a été développé pour évaluer les compétences de RE et une seconde échelle a été traduite pour permettre la caractérisation du tempérament. D’après les rapports parentaux, il semble qu’avec l’âge, l'enfant sollicite de moins en moins son parent lors de situations émotionnelles et devienne apte à user de stratégies de RE intrapersonnelle pour contrôler l'émotion négative ou positive. Ceci suggère que la RE est un ensemble de compétences se développant encore en fin d’enfance. Au contraire, une stabilité de l’expression du tempérament entre 7 et 10 ans est rapportée, donnée en accord avec les données de la littérature. Enfin, l’étude de l’expression de la RE et du tempérament a été initiée chez l’enfant porteur d’un Trouble du Spectre Autistique (TSA). Selon les rapports parentaux, les enfants porteurs d’un TSA sont décrits comme usant moins de la RE interpersonnelle et comme présentant plus de difficultés de contrôle des émotions fortes (A-RE) que les enfants typiques. En outre, l’analyse intragroupe fait émerger 2 profils de RE, profils divergeant sur le plan de la RE intrapersonnelle et de l’A-RE. En couplant ces profils de RE aux 3 profils de tempérament isolés, il semble que la dimension tempéramentale contrôle volontaire soit associée aux difficultés de contrôle de l’émotion forte. Ces résultats ont une portée théorique et pratique intéressante car jusque-là les difficultés émotionnelles rencontrées chez l’enfant porteur d’un TSA n’ont jamais été évoqué en termes de tempérament. / At the heart of this thesis is the study of the expression of Emotion Regulation (ER) and temperament during middle childhood. Unfortunately, few satisfactory scales are available in French. Thus, a first questionnaire has been developed for assessing skills of ER and a second scale has been translated to provide a characterization of temperament in children. Parental reports indicate decreased use of interpersonal ER, which suggests that with age, children learn to regulate their emotions, and to use intrapersonal strategies in order to cope with positive as well as negative emotions. On the contrary, expression of temperament appears to be stable during middle childhood, and these results are in agreement with literature. Finally, in a pilot research, we have compared the expression of ER and temperament of 8 boys with autism spectrum disorders (ASD) matched on chronological age with 8 boys with typical development. According to parental reports, children with ASD use less interpersonal ER and present more difficulties to regulate intense emotions (A-RE) in comparison to typical children. Intragroup analysis revealed two patterns of ER in children with ASD. These patterns differ precisely in regards to the intrapersonal ER and A-ER. Association between profiles of ER and different profiles of temperament highlight that temperamental dimension of effortful control is linked to the level of A-ER. As until now the emotional difficulties frequently encountered/reported in children with ASD have never been mentioned in terms of temperament, the results of this thesis present new innovative theoretical and practical perspectives.
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Pitch direction perception and auditory global local processing in autism and typical development

Germain, Esther 08 1900 (has links)
Les personnes ayant un trouble du spectre autistique (TSA) présentent souvent une perception auditive atypique. Plusieurs études ont déjà mis en évidence une capacité hors norme, par exemple lorsqu’il s’agissait de discrimination élémentaire de stimuli auditifs (bas niveau) mais aussi à discerner la structure locale dans une tâche mélodique de niveau plus complexe (haut-niveau). Tout de même il n’est pas encore clarifié de quelle manière les niveaux hauts et bas de la perception auditive seraient liés, aussi bien en TSA qu’en développement typique (DT), ni si ce lien change avec l’âge et avec la rapidité de la présentation du stimulus. Dans l’étude présente 17 enfants avec TSA et 19 enfants DT appariés selon leur âge réel ont été testés avec une tâche auditive à bas-niveau et une tâche auditive mélodique à haut-niveau. Les deux groupes ont montré une performance similaire sur les deux tâches auditives. La performance sur la tâche à bas-niveau prédit par ailleurs fortement la performance sur la tâche à haut-niveau, et cet effet est plus prononcé dans le groupe TSA. Il n’y a pas eu d’effet principal d’âge sur la performance sur les deux tâches indépendantes, ni sur la relation entre la performance sur les deux tâches. Après avoir pris en compte la performance sur la tâche à bas-niveau, on distingue cependant un effet d’âge plus marqué dans le groupe DT que dans le groupe TSA concernant la tâche à haut-niveau. Finalement la rapidité de la présentation n’a pas d’effet sur la relation entre les performances sur les deux tâches dans les deux groupes. Ces résultats fournissent une meilleure compréhension de la façon dont les différents niveaux de la perception auditive sont associés chez les enfants DT comme chez les enfants affectés d’un TSA. Ils nous permettent par ailleurs de mieux appréhender les différences individuelles en perception auditive et d’affiner les phénotypes des TSA. / Individuals with Autism Spectrum Disorders (ASD) often present atypical auditory perception. Previous work has reported both enhanced low-level pitch discrimination and superior abilities to detect local pitch structure on high-level melodic tasks in ASD. However, it is unclear how low and high levels of auditory perception are related in ASD or typical development (TD), or how this relationship might change with development and rate of stimulus presentation. To these aims, in the present study, children with ASD and TD children matched in age were tested on a low-level pitch direction (PD) task and a high-level melodic task. Groups performed similarly on both pitch tasks. Moreover, lowlevel pitch direction ability predicted performance in high-level global-local (GL) pitch perception, but this relationship was stronger in ASD. Age did not affect the relationship between low-level and high-level pitch performance in either ASD or TD. However, there was a more positive effect of age on GL task performance in TD than ASD after accounting for the effect of low-level PD performance. Finally, there was no effect of stimulus rate upon the relationship between low-level and high-level pitch performance in either group. The present findings provide a better understanding of how perception is associated across levels in ASD versus TD. This work is key to better understanding individual differences in auditory perception and to refine ASD phenotypes.
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Auditory pitch perception in autism spectrum disorder is associated with superior non-verbal abilities

Chowdhury, Rakhee 08 1900 (has links)
Le Trouble du Spectre Autistique (TSA) est souvent caractérisé par un profil auditif atypique et des atteintes au niveau du langage. Des études antérieures examinant la perception auditive simple et complexe dans les TSA et le développement typique présentent des conclusions mitigées quant à la nature des profils auditifs des deux groupes. De plus, des données contradictoires ont été rapportées en termes d’aptitudes cognitives chez les personnes atteintes de TSA. En conséquence, la relation qui existe entre la perception auditive et les habiletés verbales et non-verbales chez les TSA demeure mal comprise. En conséquence, cette étude cherche à mieux comprendre la relation entre le traitement du son et les aptitudes cognitives, en visant de comparer des enfants atteints de TSA à des enfants au développement typique. Dans la présente étude, les participants ont effectué une tâche auditive à bas-niveau et une tâche auditive mélodique à haut-niveau. Les capacités cognitives verbales et non-verbales ont été mesurées à l’aide des composantes du Wechsler Abbreviated Scale of Intelligence (WASI), un test de quotient intellectuel (QI). Les deux groupes ont obtenu des résultats similaires sur les deux tâches auditives ainsi que sur les mesures de QI. De plus, cette étude a démontré que les habiletés verbales ne permettent pas de prédire la performance sur la tâche auditive à bas-niveau ou sur la tâche auditive à haut-niveau dans les deux groupes. Cependant, les habiletés non-verbales semblent prédire une meilleure perception auditive sur les deux tâches auditives, et ce, pour les deux groupes. Ces résultats soulignent la présence d’habiletés auditives intactes dans un échantillon d’enfants atteints de TSA ayant un QI qui se situe dans la moyenne. De plus, l’étude actuelle met en évidence une relation entre la perception auditive et le raisonnement non-verbal, plutôt que le raisonnement verbal. Ainsi, les résultats de cette étude permettent d’approfondir la connaissance sur les différences individuelles qui existent dans la perception auditive auprès des personnes atteintes de TSA dans les contextes verbales et non-verbales, pour enfin contribuer à une meilleure caractérisation du phénotype du TSA. / Autism Spectrum Disorder (ASD) is often characterized by atypical sensory perception and cognitive profiles. However, previous studies have found mixed findings with regard to auditory processing in ASD. Discrepant findings have been reported in terms of cognitive abilities in ASD. Accordingly, auditory perception and its relation to verbal and non-verbal cognitive abilities in ASD remains poorly understood. The objective of the present research was to examine the association between auditory pitch processing and verbal and non-verbal cognitive abilities in children with ASD, compared with age- and IQ-matched typically developing (TD) children. Participants were 17 children with ASD and 19 TD children, matched on age and IQ. Participants were tested on performed a low-level pitch direction task and a higher-level melodic pitch global-local task. Verbal and non-verbal cognitive abilities were measured using the Verbal IQ and Performance IQ components of the Wechsler Abbreviated Scale of Intelligence (WASI). No group differences in performance were found on either auditory task or IQ measure. Furthermore, verbal abilities did not predict performance on the auditory tasks in either group. However, non-verbal abilities predicted performance on both of the auditory tasks in ASD and TD. This work contributes to a better understanding of sensory processing and cognitive reasoning in children with ASD and typically-developing children. Specifically, these results indicate that tonal pitch-based auditory processing is preserved in individuals with ASD with average IQ. These findings also suggest that auditory perception is related to non-verbal reasoning rather than verbal abilities in both ASD and TD, implying that there may be common perceptual-cognitive profiles in these subgroups of children with ASD that are similar to typical development. Accordingly, this work supports the idea that some individuals with ASD have ‘islets of ability’ amidst their sensory and cognitive difficulties. These results motivate future studies to examine whether similar perceptual-cognitive associations might be observed in a broader sample of individuals with ASD, such as those with language impairment or lower IQ.
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Muscle co-activation during gait in children with cerebral palsy

Mohammadyari Gharehbolagh, Sahar 12 1900 (has links)
La paralysie cérébrale (PC) est un trouble non progressif causé par une lésion cérébrale. La PC survient tôt dans la vie et présente une atteinte hétérogène et une altération fonctionnelle. Chez les personnes atteintes de PC, les modifications du Contrôle neuronal et des muscles entraînent des modifications permanentes de la fonction motrice, entraînant des déficits de mouvement. L'une des raisons des patrons de marche atypiques chez les enfants atteints de PC est l'altération l'activation musculaire. Un niveau anormal d'activation simultanée des muscles agonistes et antagonistes des muscles agonistes et antagonistes entourant une même articulation la même articulation empêche une performance de marche optimale chez les enfants atteints de PC. Ce phénomène est connu sous le nom de co-contraction musculaire (CoM) ou de co-activation musculaire (CaM) dans toutes les études. L'identification des schémas musculaires les plus détériorés, à savoir CoM/CaM, chez les enfants atteints de PC est essentielle pour une rééducation efficace de la marche. L'objectif de ce projet de maîtrise était donc de distinguer CoM/CaM chez les enfants atteints de PC de leurs pairs en développement typique (DT) pendant la marche. Cet objectif a été atteint en deux étapes ; Premièrement, nous avons décrit la CoM/CaM chez les personnes atteintes de PC via la réalisation d'une revue de littérature ; Ensuite, nous avons appliqué nos résultats de la première étape à une étude transversale pour comparer CoM/CaM pendant la marche entre des enfants atteints de CP et de DT. Une revue de littérature suivant la méthodologie en 6 étapes du Joanna Briggs Institute a été effectué. Les bases de données ont été consultées à l'aide de mots-clés pertinents. Toutes les études publiées sur CoM/CaM chez les personnes atteintes de PC pendant la marche ont été recueillies. Après un examen de la pertinence des titres et des résumés, un deuxième examen des textes intégraux des sources par deux examinateurs a été appliqué. Enfin, les données ont été extraites des articles inclus (n=21). Ensuite, à l'étape suivante, les principales méthodes utilisées pour quantifier la MCa identifiées à l'étape précédente ont été codées dans Matlab (The Mathworks Inc., Natick, États-Unis) et appliquées à nos données de 12 enfants atteints de CP et 23 enfants TD. Nous avons comparé le CaM moyen de deux groupes de muscles de la cuisse et de la jambe (Rectus Femoris (RF)/Semitendinosus (ST) et Tibialis Anterior (TA)/Lateral gastrocnemius (LG), respectivement) via des tests t non appariés (ou son équivalent non paramétrique). La revue de littérature a suggéré une CaM plus élevée chez les personnes atteintes de PC par rapport à leurs pairs en bonne santé dans toutes les études. Bien qu'il y ait eu une terminologie et des approches méthodologiques incohérentes, nous avons pu discriminer les terminologies (c'est-à-dire CoM et CaM) en fonction des méthodologies de calcul (c'est-à-dire moment et EMG) utilisées par les études. En outre, cette étude nous a permis de résumer les modèles de CaM chez les individus atteints de PC et d'identifier la relation entre certains des paramètres de marche avec CaM. Enfin, les résultats de cette étude ont révélé des informations précieuses concernant les lacunes de la recherche dans ce domaine. La deuxième étude a identifié une augmentation de la CaM pendant la marche (la foulée entière, la phase d’appuie et la phase oscillante) chez les enfants atteints de PC par rapport à leurs pairs TD. Cette augmentation n'a été observée que dans les muscles de la jambe (pendant la phase d’appuie et la phase oscillante) et dans les muscles de la cuisse (pendant la phase oscillante) lorsque nous avons normalisé les signaux d'électromyographie. Les groupes CP et DT n'avaient pas de CaM différent en utilisant l'EMG normalisé pour l'ensemble de la foulée. Cette différence met en évidence l'effet de la normalisation EMG sur les valeurs de CaM. De plus, les enfants avec le niveau II du système de classification de la fonction motrice globale (SCFMG) avaient un CaM plus élevé dans les muscles de la cuisse pendant le swing que ceux avec le niveau I. Dans l'ensemble, ce projet de maîtrise révèle de nouvelles preuves soutenant une plus grande CaM chez les enfants atteints de PC par rapport à DT pendant la marche. Néanmoins, il est important d'étudier la CaM dans différentes phases de marche car elle affecte la comparaison entre les groupes. En outre, ce projet justifie l'importance de la méthodologie (par exemple, le traitement EMG et le calcul CaM) dans les études CaM. Plus précisément, il est fort probable que les résultats changent avec différentes approches de normalisation EMG. De plus, les enfants atteints de SCFMG I et II peuvent éprouver différents niveaux de CaM pendant la phase oscillante. Davantage de comparaisons dans des recherches futures, telles qu'entre les SCFMG I, II et III dans la PC hémiplégique et diplégique pendant les sous-phases de la marche (le contact initial, le « mid-stance »), peuvent fournir de meilleures informations sur les modèles de CaM dans cette population. / Cerebral palsy (CP) is a nonprogressive disorder caused by a brain injury. CP occurs early in life, before, during, or after birth, and has heterogeneous involvement and functional impairment. In individuals with CP, changes in neural drive and muscles lead to lifelong changes in motor function, leading to movement deficits. One of the reasons for atypical gait patterns in children with CP is altered muscle activation patterns. An abnormal level of simultaneous activation of agonist and antagonist muscles crossing the same joint prevents optimal gait performance in children with CP. This phenomenon is known as muscle co-contraction (MCo) or muscle co-activation (MCa) across studies. Identification of the most deteriorated muscular patterns, namely, MCo/MCa, in children with CP is vital for effective gait rehabilitation. The objective of this master’s project, therefore, was to distinguish MCo/MCa in children with CP from their typically developing (TD) peers during gait. This objective was achieved through two studies; first, we described MCo/MCa in individuals with CP via the conduction of a scoping review; then, we applied our findings to inform a cross-sectional study to compare MCo/MCa during gait between children with CP and TD. A scoping review following the 6-stage Joanna Briggs Institute methodology was conducted. Databases were searched using relevant keywords. All published studies on MCo/MCa in individuals with CP during gait were collected. After title and abstract relevance screening, a second screening for the full texts of the sources by two reviewers was applied. Finally, data were extracted from the included articles (n=21). Then, leading methods used to quantify MCa identified from the previous study were coded in Matlab (The Mathworks Inc., Natick, USA) and applied to our data from 12 children with CP and 23 TD children. We compared the average MCa of two thigh and shank muscle groups Rectus Femoris (RF)/Semitendinosus (ST) and Tibialis Anterior (TA)/Lateral gastrocnemius (LG), respectively, via unpaired t-tests (or its non-parametric equivalent). According to our scoping review, higher MCa in individuals with CP compared to healthy peers across studies was found. Although there were inconsistent terminology and methodological approaches, we could discriminate terminologies (i.e., MCo and MCa) according to the methodologies in the calculation (i.e., moment and EMG) used by studies. Also, this study enabled us to summarize MCa patterns within individuals with CP and identify the effect of the some of the gait parameters on MCa. Finally, the findings of this study revealed valuable information regarding the research gaps in this area. The second study identified increased MCa around the knee and ankle joints for the following muscles (i.e., RF/ST and TA/LG, respectively) during walking (i.e., entire stride, stance, and swing) in children with CP compared to their TD peers. This increase was seen only in shank muscles (i.e., during stance and swing) and in thigh muscles (i.e., during the swing) when we normalized electromyography (EMG) signals. CP and TD groups did not have different MCa using normalized EMG for the entire stride. This difference highlights the effect of EMG normalization on MCa values. Also, children with Gross Motor Function Classification System (GMFCS) level II had higher MCa around the knee during swing than those with level I. Overall, this master’s project reveals new evidence supporting greater MCa in children with CP compared to TD peers during walking. Nevertheless, it is recommended to investigate MCa within different gait phases as it affects the comparison across groups. Also, this project justifies the importance of methodology (e.g., EMG processing and MCa calculation) in MCa studies. More specifically, it is likely that the results alter with different EMG normalization approaches. Moreover, children with GMFCS I and II can experience various levels of MCa during the swing phase. More comparisons in future research, such as between GMFCS I, II, and III in hemiplegic and diplegic CP during gait sub-phases (i.e., initial stance, mid-stance), can provide better information regarding MCa patterns in this population.

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